Le stagiaire et la milf.
Récit érotique écrit par KERO88 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 13 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.2
- • L'ensemble des récits érotiques de KERO88 ont reçu un total de 182 780 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 17 250 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le stagiaire et la milf.
Je m’appelle Lucas. J’ai 19 ans. Je suis d’origine portugaise, 1m80, musclé mais pas trop baraqué. Je suis d’un naturel timide. Je suis étudiant en BTS action commercial et depuis une semaine je fais un stage en entreprise.
Dans le bureau où je fais ce stage, il y a une majorité de femmes, dont Ludivine, une brune, pulpeuse avec de gros seins et un visage quelconque.
Depuis le début de la semaine je remarque que Ludivine passe beaucoup de temps à me mater, et que dès qu’elle est à côté de moi, elle ne rate pas une occasion de me toucher. Une main sur mon épaule ou bien dans le dos. Je n’y prête guère attention, si ce n’est un petit sourire par politesse.
Mais ce vendredi matin, vers 10h, la situation va changer. Ludivine me voit partir dans un petit réduit où se trouve le photocopieur. Elle me suit, et alors que je suis en train de faire mes photocopies, elle me dit, sans aucune gêne : » j’ai envie de faire l’amour avec toi ». Je n’en crois pas mes oreilles. Je fais mine de ne rien avoir entendu. C’est alors qu’elle ajoute : « j’ai envie de me faire un petit jeune, et tu me plais beaucoup ».
Je retourne à mon bureau, Ludivine au sien, et la matinée continue de s’écouler. Il est maintenant midi, les autres employés commencent à partir en se souhaitant un bon weekend. Avec les 35 heures, on ne travaille pas le vendredi après-midi.
Je suis maintenant seul avec Ludivine, qui revient à la charge : « Tu n’as pas répondu à ma question tout à l’heure, viens chez moi, mon mari travaille et mes enfants sont à l’école. Nous sommes tranquilles jusque 17h ».
La situation me gêne, cette femme pourrait presque être ma mère et en plus elle est mariée et mère de famille. Mais devant son insistance, je me laisse convaincre et je l’accompagne dans son pavillon qui se trouve à une dizaine de minutes en voiture de notre lieu de travail.
Arrivée chez elle, tous s’enchainent très vite. Ludivine me plaque contre le mur du salon, elle pose une main sur mon torse puis l’autre sur mon entrejambe. Je n’en peux plus, cette femme pour qui je n’avais aucune attirance et soudainement entrain de m’exciter. Si bien que sans que je ne m’en sois rendu compte, je suis maintenant torse nu, mon pantalon et caleçon sur les genoux avec Ludivine qui amorce une pipe à mon sexe bien bandé. Elle est vraiment douée, elle tourne sa langue autour de mon gland, ce qui me procure un plaisir extrême.
Au bout de quelques minutes, elle se relève. J’en profite pour lui déboutonner son chemisier et lui dégrafé son sous-tif. Ils sont énormes, on dirait 2 grosses pastèques avec 2 tétons bien durs. Je commence à les lécher, tout en promenant mes mains le long de ses cuisses, pour atteindre sa culotte sous sa jupe et la lui faire glisser jusque sur ses chevilles.
Je dirige maintenant ma bouche vers sa petite chatte rasée et commence à lui lécher la fente. Ludivine à l’air d’apprécier, elle me relève, me prend par la main et m’entraine dans sa chambre. Elle est maintenant nue devant moi.
Une angoisse me reprend. Et si son mari débarquait à l’improviste. Dans le salon, j’avais une vue sur le devant de la maison, mais dans le chambre il pouvait nous surprendre sans même que nous l’ayons vu arrivé. Cette hypothèse n’avait visiblement pas l’air d’inquiéter Ludivine.
Elle s’allonge sur le lit et commence à rouler de façon sensuelle, de la droite vers la gauche, puis de la gauche vers la droite, tout en passant sa langue sur ses lèvres. Puis s’immobilise sur le dos et me tend un préservatif, mon excitation est à son maximum.
Elle écarte les cuisses et avec l’aide de ses deux mains, elle écarte la fente de sa chatte de façon à agrandir l’orifice tous rose.
Cette fois je n’en peux plus, mes jambes flagelles. Le tremblement de mes bras me perturbe pour ouvrir le sachet du préservatif et pour l’enfiler. Ça y est, j’y suis arrivé. Je me jette entre ses cuisses et je commence à la baiser. C’est vraiment bon, la taille XXL de ses seins sur mon torse, mes mains plaquées sur ses cuisses et la chaleur humide de sa chatte. Je profite de son corps de milf, mais l’angoisse de voir son mari débarquer est toujours présente. Sans parler de cette situation, une collègue de travail, nos 16 ans d’écart, c’est vraiment glauque.
Alors que Ludivine commence à gémir, je suis partagé entre deux sentiments, le plaisir de me faire cette femme et la culpabilité de la situation. Puis d’un coup, je sens comme une délivrance à ma culpabilité. La sauce monte et remplie le préservatif. Je me retire immédiatement de ma partenaire d’un jour. Je suis maintenant debout devant le lit, j’hôte la capote et me rhabille rapidement. Je ne me sens vraiment pas bien. Ludivine s’étonne de mon comportement, mais ne dit rien.
Je quitte la chambre, puis la maison. Je suis perturbé, moi le garçon timide, je viens de vivre une situation qui ferait fantasmer bon nombre de mecs de mon âge. Mais moi, je ne pensais qu’au retour en entreprise, lundi matin. Comment j’allais me comporter, comment Ludivine allait elle aussi se comporter. J’étais nauséeux en pesant à tout ça et je n’avais vraiment pas envie d’y retourner Lundi.
Dans le bureau où je fais ce stage, il y a une majorité de femmes, dont Ludivine, une brune, pulpeuse avec de gros seins et un visage quelconque.
Depuis le début de la semaine je remarque que Ludivine passe beaucoup de temps à me mater, et que dès qu’elle est à côté de moi, elle ne rate pas une occasion de me toucher. Une main sur mon épaule ou bien dans le dos. Je n’y prête guère attention, si ce n’est un petit sourire par politesse.
Mais ce vendredi matin, vers 10h, la situation va changer. Ludivine me voit partir dans un petit réduit où se trouve le photocopieur. Elle me suit, et alors que je suis en train de faire mes photocopies, elle me dit, sans aucune gêne : » j’ai envie de faire l’amour avec toi ». Je n’en crois pas mes oreilles. Je fais mine de ne rien avoir entendu. C’est alors qu’elle ajoute : « j’ai envie de me faire un petit jeune, et tu me plais beaucoup ».
Je retourne à mon bureau, Ludivine au sien, et la matinée continue de s’écouler. Il est maintenant midi, les autres employés commencent à partir en se souhaitant un bon weekend. Avec les 35 heures, on ne travaille pas le vendredi après-midi.
Je suis maintenant seul avec Ludivine, qui revient à la charge : « Tu n’as pas répondu à ma question tout à l’heure, viens chez moi, mon mari travaille et mes enfants sont à l’école. Nous sommes tranquilles jusque 17h ».
La situation me gêne, cette femme pourrait presque être ma mère et en plus elle est mariée et mère de famille. Mais devant son insistance, je me laisse convaincre et je l’accompagne dans son pavillon qui se trouve à une dizaine de minutes en voiture de notre lieu de travail.
Arrivée chez elle, tous s’enchainent très vite. Ludivine me plaque contre le mur du salon, elle pose une main sur mon torse puis l’autre sur mon entrejambe. Je n’en peux plus, cette femme pour qui je n’avais aucune attirance et soudainement entrain de m’exciter. Si bien que sans que je ne m’en sois rendu compte, je suis maintenant torse nu, mon pantalon et caleçon sur les genoux avec Ludivine qui amorce une pipe à mon sexe bien bandé. Elle est vraiment douée, elle tourne sa langue autour de mon gland, ce qui me procure un plaisir extrême.
Au bout de quelques minutes, elle se relève. J’en profite pour lui déboutonner son chemisier et lui dégrafé son sous-tif. Ils sont énormes, on dirait 2 grosses pastèques avec 2 tétons bien durs. Je commence à les lécher, tout en promenant mes mains le long de ses cuisses, pour atteindre sa culotte sous sa jupe et la lui faire glisser jusque sur ses chevilles.
Je dirige maintenant ma bouche vers sa petite chatte rasée et commence à lui lécher la fente. Ludivine à l’air d’apprécier, elle me relève, me prend par la main et m’entraine dans sa chambre. Elle est maintenant nue devant moi.
Une angoisse me reprend. Et si son mari débarquait à l’improviste. Dans le salon, j’avais une vue sur le devant de la maison, mais dans le chambre il pouvait nous surprendre sans même que nous l’ayons vu arrivé. Cette hypothèse n’avait visiblement pas l’air d’inquiéter Ludivine.
Elle s’allonge sur le lit et commence à rouler de façon sensuelle, de la droite vers la gauche, puis de la gauche vers la droite, tout en passant sa langue sur ses lèvres. Puis s’immobilise sur le dos et me tend un préservatif, mon excitation est à son maximum.
Elle écarte les cuisses et avec l’aide de ses deux mains, elle écarte la fente de sa chatte de façon à agrandir l’orifice tous rose.
Cette fois je n’en peux plus, mes jambes flagelles. Le tremblement de mes bras me perturbe pour ouvrir le sachet du préservatif et pour l’enfiler. Ça y est, j’y suis arrivé. Je me jette entre ses cuisses et je commence à la baiser. C’est vraiment bon, la taille XXL de ses seins sur mon torse, mes mains plaquées sur ses cuisses et la chaleur humide de sa chatte. Je profite de son corps de milf, mais l’angoisse de voir son mari débarquer est toujours présente. Sans parler de cette situation, une collègue de travail, nos 16 ans d’écart, c’est vraiment glauque.
Alors que Ludivine commence à gémir, je suis partagé entre deux sentiments, le plaisir de me faire cette femme et la culpabilité de la situation. Puis d’un coup, je sens comme une délivrance à ma culpabilité. La sauce monte et remplie le préservatif. Je me retire immédiatement de ma partenaire d’un jour. Je suis maintenant debout devant le lit, j’hôte la capote et me rhabille rapidement. Je ne me sens vraiment pas bien. Ludivine s’étonne de mon comportement, mais ne dit rien.
Je quitte la chambre, puis la maison. Je suis perturbé, moi le garçon timide, je viens de vivre une situation qui ferait fantasmer bon nombre de mecs de mon âge. Mais moi, je ne pensais qu’au retour en entreprise, lundi matin. Comment j’allais me comporter, comment Ludivine allait elle aussi se comporter. J’étais nauséeux en pesant à tout ça et je n’avais vraiment pas envie d’y retourner Lundi.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par KERO88
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...