Le Gangbang de Chloé.
Récit érotique écrit par KERO88 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2021 dans la catégorie Plus on est
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Le Gangbang de Chloé.
Je m’appelle Elsa, avec mon ami Chloé (une jolie brune, 1m60 et toute menue) nous avons toute les deux 19 ans. Nous sommes étudiantes en deuxième années de droit. Les études coutent chère et pour pouvoir subvenir à nos besoins, nous avons recours et je n’en suis pas très fière, à la prostitution occasionnelle, avec des hommes dans la cinquantaine qui n’hésitent pas à dépenser deux cents euros pour passer une heure avec nous.
Nous sommes au mois de janvier, les fêtes de fin d’années ont couté chère et nos finances sont au plus bas. Chloé a entendu dire que des étudiants d’une école très huppée cherchaient une ou deux filles pour une partie fine d’un genre un peu spéciale. Ils paient 2 000 euros d’entrée de jeu et plus selon ce que les filles acceptent de faire.
Je ne suis pas très emballée, je connais ce genre d’école remplie de fils à papa qui se croient tout permis parce qu’ils font partis de l’élite de la société.
Chloé insiste, je décide de l’accompagner tout en lui précisant que si je ne le sens pas je partirais.
Il est un peu plus de 22 heures lors de notre arrivée sur le lieu du rendez-vous. C’est un pavillon de banlieue où une trentaine d’étudiants garçons et filles font la fête. Chloé entre, je la suis. Un garçon bon chic bon genre, dans la vingtaine vient nous accueillir. Il nous dit : « c’est vous les filles pour « la spéciale » ? Chloé lui répond oui, mais moi, qui comprend très vite que nous sommes tombés dans un traquenard, je lui dis clairement que je ne suis pas chaude du tous et que je suis juste venu accompagner mon amie.
La fête bas son plein, l’alcool coule à flou. Il y a de jeunes hommes torses nus et déjà très alcoolisés. Le jeune homme nous guide au milieu de la pièce où se trouve un canapé clic clac mis en position lit.
Ils commencent à me tripoter sous le regard des autres invités, je le repousse en lui faisant comprendre que non c’est non. Il recommence son manège avec Chloé qui, sentant l’argent qu’il y avait à ce faire est nettement plus docile que moi.
Chloé, à qui le jeune homme vient de glisser 4 billets de 500 euros dans son décoté se met à danser entourer de garçons qui commencent à la tripoter et de filles qui regardent avec une certaine excitation.
Il ne se passe pas 5 minutes avant que la robe de Chloé ne quitte son corps. La voilà maintenant seins à l’air et en string entrain de danser au milieu de tous ces jeunes en chaleur.
Tout à coup, un des gars l’attrape et l’allonge sur le lit. Il lui écarte les cuisses, lui écarte son string pour laisser apparaitre sa petite chatte rasée, et lui verse le continu de sa cannette de bière dessus tout en y léchant le breuvage.
Le jeune homme est maintenant nue devant Chloé, son sexe est droit comme un I. Il retire le string de mon amie et s’écrie : « Concours de pilonnage, 50 euros la partie, et celui qui met le plus de coup de bites à gagner ».
Le jeune homme dépose 50 euros dans une boite en fer posé à coté de Chloé, il enfourne son sexe dans sa chatte et pendant qu’il la baisé, la foule autour compte les coups de queue qu’il est en train de lui donner.
Les garçons mais aussi à ma grande surprise les filles sont tout excités par le spectacle qui se déroule sous leurs yeux. Il y avait même des filles qui se caresse en regardant, d’autres passent leur langue sur leurs lèvres.
Au bout du 23ème coups le garçon se retira du vagin de Chloé, et un autre garçon s’exclama : » 23 coups pour Brice, note le sur le tableau Kevin ». Et un garçon nota avec une craie sur une grande ardoise accrochée au mur, Brice 23.
C’est alors qu’un autre garçon arrive. Il est fortement alcoolisé et complètement existé et il hurle en s’approchant de Chloé qu’il va lui démonter son petit abricot. Ni une ni deux, il la pénètre donne quelques coups et s’écroule sur Chloé sous les effets de l’alcool. Deux de ses potes le relèvent et s’écrient 3 et demi pour Pierre. Ecrit le sur le tableau Kévin, et toute la petite foule éclate de rire.
Un troisième homme se présente, 1m80, bien bâti avec un sexe imposant, il s’écrit : « regardé le champion, je vais lui montrer ce que c’est un vrai mec ». Il saisit les cuisses de Chloé, les écarte, présente son sexe, et le frotte à l’entrée de son orifice pendant quelques secondes, puis la pénètre sans crier gare.
Chloé hurle. La foule de plus en plus nombreuse s’affaire autour d’eux. Certain crient des encouragements à leur camarade baiseur, pendant que d’autres immortalisent la scène avec leurs portables. Je vois des filles complètements existées par ce spectacle, ces filles à papa bien propres sur elles, rêvent sans doute en secret d’être à la place de Chloé, mais ça elles ne l’avoueront jamais.
Mais bon, revenons à ce troisième garçon, il a l’être très performant, il en est déjà à son 30ème coups dans le vagin de mon amie et il n’a pas l’air de baisser en régime. Chloé hurle, de douleur ou de bonheur, je ne sais pas trop, car la foule qui s’agglutinent autour d’elle me cache maintenant son visage.
Le troisième homme en fini enfin, la foule s’écarte pour éviter le jet de sperme qui sort de son pénis dans un « olé » général. 46 coups, annonce un garçon qui depuis le début des ébats, s’est improvisé arbitre.
Je fini enfin par apercevoir Chloé qui me regarde. Elle a l’air de regretter de s’être engagé dans cette histoire, et à la vue des mecs qui sont en train de se dessaper, j’ai l’impression qu’elle est loin d’en avoir finie.
Les mecs la prennent les uns à la suite des autres, sans répit. Pendant que la boite en fer se rempli de billets de 50 euros, le tableau lui se rempli de prénoms avec des performances de plus en plus élevées. 75 coups pour celui que la foule présente comme le fils d’un ambassadeur sénégalais, ravi de se faire une chienne de blanche comme il le crie haut et fort.
Je regarde Chloé, j’ai l’impression qu’elle est complétement déconnectée, comme un pantin, une poupée de chiffon, et ces hommes qui continus de la baiser, dans cette ambiance toujours aussi euphorique.
Cela fait maintenant une bonne heure un quart que la partie a commencé quand le dernier participant de ce jeu sordide quitte l’entrejambe de Chloé. J’ai très vite arrêté de compter, mais ce n’est pas loin d’une vingtaine de mecs qui lui sont passés dessus. Chloé est allongé sur le lit, recouverte de sperme, sa chatte est complétement dilatée. Je lui parle, mais elle ne répond pas, elle est comme dans un état second. Autour de nous, les hommes se félicitent, il se tape dans les mains toute en riant. Ils en ont rien à faire de la catharsis dans laquelle Chloé est plongée. Pire les filles la regardent et la traite de salope et de trainer.
Je relève Chloé, je la rhabille comme je peux, elle tient à peine sur ses deux jambes et tient des propos incohérents. Je ramasse l’argent durement gagné et nous quittons la maison sous les rires et les insultes de la foule.
Le lendemain, lorsque Chloé eu repris ses esprits, elle me jura que plus jamais et pour tout l’or du monde elle ne revivrait une telle expérience.
Nous sommes au mois de janvier, les fêtes de fin d’années ont couté chère et nos finances sont au plus bas. Chloé a entendu dire que des étudiants d’une école très huppée cherchaient une ou deux filles pour une partie fine d’un genre un peu spéciale. Ils paient 2 000 euros d’entrée de jeu et plus selon ce que les filles acceptent de faire.
Je ne suis pas très emballée, je connais ce genre d’école remplie de fils à papa qui se croient tout permis parce qu’ils font partis de l’élite de la société.
Chloé insiste, je décide de l’accompagner tout en lui précisant que si je ne le sens pas je partirais.
Il est un peu plus de 22 heures lors de notre arrivée sur le lieu du rendez-vous. C’est un pavillon de banlieue où une trentaine d’étudiants garçons et filles font la fête. Chloé entre, je la suis. Un garçon bon chic bon genre, dans la vingtaine vient nous accueillir. Il nous dit : « c’est vous les filles pour « la spéciale » ? Chloé lui répond oui, mais moi, qui comprend très vite que nous sommes tombés dans un traquenard, je lui dis clairement que je ne suis pas chaude du tous et que je suis juste venu accompagner mon amie.
La fête bas son plein, l’alcool coule à flou. Il y a de jeunes hommes torses nus et déjà très alcoolisés. Le jeune homme nous guide au milieu de la pièce où se trouve un canapé clic clac mis en position lit.
Ils commencent à me tripoter sous le regard des autres invités, je le repousse en lui faisant comprendre que non c’est non. Il recommence son manège avec Chloé qui, sentant l’argent qu’il y avait à ce faire est nettement plus docile que moi.
Chloé, à qui le jeune homme vient de glisser 4 billets de 500 euros dans son décoté se met à danser entourer de garçons qui commencent à la tripoter et de filles qui regardent avec une certaine excitation.
Il ne se passe pas 5 minutes avant que la robe de Chloé ne quitte son corps. La voilà maintenant seins à l’air et en string entrain de danser au milieu de tous ces jeunes en chaleur.
Tout à coup, un des gars l’attrape et l’allonge sur le lit. Il lui écarte les cuisses, lui écarte son string pour laisser apparaitre sa petite chatte rasée, et lui verse le continu de sa cannette de bière dessus tout en y léchant le breuvage.
Le jeune homme est maintenant nue devant Chloé, son sexe est droit comme un I. Il retire le string de mon amie et s’écrie : « Concours de pilonnage, 50 euros la partie, et celui qui met le plus de coup de bites à gagner ».
Le jeune homme dépose 50 euros dans une boite en fer posé à coté de Chloé, il enfourne son sexe dans sa chatte et pendant qu’il la baisé, la foule autour compte les coups de queue qu’il est en train de lui donner.
Les garçons mais aussi à ma grande surprise les filles sont tout excités par le spectacle qui se déroule sous leurs yeux. Il y avait même des filles qui se caresse en regardant, d’autres passent leur langue sur leurs lèvres.
Au bout du 23ème coups le garçon se retira du vagin de Chloé, et un autre garçon s’exclama : » 23 coups pour Brice, note le sur le tableau Kevin ». Et un garçon nota avec une craie sur une grande ardoise accrochée au mur, Brice 23.
C’est alors qu’un autre garçon arrive. Il est fortement alcoolisé et complètement existé et il hurle en s’approchant de Chloé qu’il va lui démonter son petit abricot. Ni une ni deux, il la pénètre donne quelques coups et s’écroule sur Chloé sous les effets de l’alcool. Deux de ses potes le relèvent et s’écrient 3 et demi pour Pierre. Ecrit le sur le tableau Kévin, et toute la petite foule éclate de rire.
Un troisième homme se présente, 1m80, bien bâti avec un sexe imposant, il s’écrit : « regardé le champion, je vais lui montrer ce que c’est un vrai mec ». Il saisit les cuisses de Chloé, les écarte, présente son sexe, et le frotte à l’entrée de son orifice pendant quelques secondes, puis la pénètre sans crier gare.
Chloé hurle. La foule de plus en plus nombreuse s’affaire autour d’eux. Certain crient des encouragements à leur camarade baiseur, pendant que d’autres immortalisent la scène avec leurs portables. Je vois des filles complètements existées par ce spectacle, ces filles à papa bien propres sur elles, rêvent sans doute en secret d’être à la place de Chloé, mais ça elles ne l’avoueront jamais.
Mais bon, revenons à ce troisième garçon, il a l’être très performant, il en est déjà à son 30ème coups dans le vagin de mon amie et il n’a pas l’air de baisser en régime. Chloé hurle, de douleur ou de bonheur, je ne sais pas trop, car la foule qui s’agglutinent autour d’elle me cache maintenant son visage.
Le troisième homme en fini enfin, la foule s’écarte pour éviter le jet de sperme qui sort de son pénis dans un « olé » général. 46 coups, annonce un garçon qui depuis le début des ébats, s’est improvisé arbitre.
Je fini enfin par apercevoir Chloé qui me regarde. Elle a l’air de regretter de s’être engagé dans cette histoire, et à la vue des mecs qui sont en train de se dessaper, j’ai l’impression qu’elle est loin d’en avoir finie.
Les mecs la prennent les uns à la suite des autres, sans répit. Pendant que la boite en fer se rempli de billets de 50 euros, le tableau lui se rempli de prénoms avec des performances de plus en plus élevées. 75 coups pour celui que la foule présente comme le fils d’un ambassadeur sénégalais, ravi de se faire une chienne de blanche comme il le crie haut et fort.
Je regarde Chloé, j’ai l’impression qu’elle est complétement déconnectée, comme un pantin, une poupée de chiffon, et ces hommes qui continus de la baiser, dans cette ambiance toujours aussi euphorique.
Cela fait maintenant une bonne heure un quart que la partie a commencé quand le dernier participant de ce jeu sordide quitte l’entrejambe de Chloé. J’ai très vite arrêté de compter, mais ce n’est pas loin d’une vingtaine de mecs qui lui sont passés dessus. Chloé est allongé sur le lit, recouverte de sperme, sa chatte est complétement dilatée. Je lui parle, mais elle ne répond pas, elle est comme dans un état second. Autour de nous, les hommes se félicitent, il se tape dans les mains toute en riant. Ils en ont rien à faire de la catharsis dans laquelle Chloé est plongée. Pire les filles la regardent et la traite de salope et de trainer.
Je relève Chloé, je la rhabille comme je peux, elle tient à peine sur ses deux jambes et tient des propos incohérents. Je ramasse l’argent durement gagné et nous quittons la maison sous les rires et les insultes de la foule.
Le lendemain, lorsque Chloé eu repris ses esprits, elle me jura que plus jamais et pour tout l’or du monde elle ne revivrait une telle expérience.
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