La dette de Stéphane

- Par l'auteur HDS KERO88 -
Récit érotique écrit par KERO88 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La dette de Stéphane Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La dette de Stéphane
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je m’appelle Marion, j’ai 21 ans, je suis brune, 1m60, mince avec des petits seins Je vis dans une cité avec Stéphane mon petit copain depuis 1 an. Nous vivons des aides sociales et Stéphane arrondi nos fins de mois en revendant différents objets tombés du camion que Fati, un jeune de la cité lui fournit. Fati est un métis de 25 ans, 1m80, musclé et qui sait se faire respecter, bref un chef de cité.
Fati nous laisse la marchandise, nous la stockons dans notre cave et Stéphane le paye dès que celle-ci est écoulée. Le business fonctionnait très bien jusqu’à ce matin, où Stéphane remonte de la cave l’air catastrophé en me disant : « On s’est fait cabrioler, il ne reste plus rien dans la cave ».
La cave était remplie de matériel informatique, il y en avait pour 10 000 € à la revente. Je suis très inquiète, car notre fournisseur n’est pas du genre à plaisanter.
Stéphane appelle Fati et lui explique ce qui vient de se passer. Ce dernier ne veut rien entendre est prévient Stéphane qu’il a 48 heures pour le rembourser. Stéphane est bouleversé, il ne voit pas comment il va trouver une telle somme d’argent dans un délai aussi cours.
48 heures viennent de s’écouler sans que l’on ait pu réunir la somme, quand la sonnette de la porte retentie. Stéphane va ouvrir, est là, c’est Fati qui comme prévu vient chercher son argent.
Fati entre, s’installe dans le canapé, un peu comme s’il était chez lui. Stéphane lui explique qu’il va falloir lui laisser un délai, que dix mille euros, c’est une grosse somme et qu’il ne peut pas la trouver dans un délai aussi cours.
Fati ne répond rien, il regarde dans ma direction avec un petit sourire et dit à Stéphane : « J’ai peut-être une solution ».
A la façon que Fati avait de me regarder, je craignais le pire. Fati se retourna vers Stéphane et lui dit : « Elle est vraiment bonne ta meuf, je la trouve bien bandante. Alors je vais vous proposez une solution à tous les deux. Je vais venir tous les deux jours et je vais la baiser jusqu’à ce que tu puisses me rembourser la totalité de la somme. Et je vais commencer tout suite. Ce sera une sorte d’intérêt pour le retard ».
Mon sang ne fit qu’un tour. Je connais la loi des cités, et je sais que l’on peut se faire tuer pour une dette de quelques centaines d’euros. Stéphane me regarda, d’un air de dire on n’a pas le choix.
Fati m’attrape la main et se dirige vers la chambre en disant à Stéphane : « Viens avec nous, comme ça tu vas voir ce que c’est un homme, un vrai ».
Stéphane nous suivit sans broncher et Fati m’ordonne de me mettre à poil et de m’allonger sur le lit. Pétrifié par la situation, je m’exécute sans broncher. Je suis maintenant nue allongé sur le lit, Fati me regarde avec un air pervers en se caressant le sexe à travers son jeans. Stéphane fait les cents pas dans la chambre, il a les larmes aux yeux, mais il n’ose rien faire ou dire.
Fati commence à se déshabiller, il enlevé son t-shirt pour laisser paraitre un torse musclé et un ventre en forme de tablette de chocolat. Dans d’autres circonstances, j’aurais sans doute apprécié le spectacle. Puis il enlève son pantalon et son caleçon pour dévoiler un sexe en érection d’un bon 25 centimètres et d’un diamètre imposant.
Il s’assoit à côté de moi, m’écarte délicatement les cuisses et introduit deux de ses doigts dans ma chatte toute rasée, puis commence des mouvements de masturbation à l’intérieur de celle-ci, d’abord lent puis de plus en plus rapide. Il dit à Stéphane : « prend une chaise et viens t’asseoir à côté du lit au lieu de faire des allés retour dans la pièce, tu commences à m’énerver ». Stéphane s’exécute, il a le teint blafard, mais n’ose rien dire.
Au bout de quelques minutes, Fati me regarde est dit : « Bon, fini de jouer, maintenant on va passer aux choses sérieuses, j’espère que tu prends la pilule parce que je n’ai pas de capote sur moi ». Il m’écarta les cuisses, se coucha sur moi, et d’un coup sec, il me pénétra violemment. Je poussai un cri de douleur et par reflex, je saisi les barreaux de la tête de lit. Il était maintenant en moi et utilisait son engin surdimensionné comme un ouvrier du bâtiment utiliserait un marteau piqueur.
Stéphane était toujours assis à côté de moi, il se tenait maintenant la tête entre les deux mains. La première minute fut douloureuse, mais bizarrement celle-ci passé, je commençais à prendre du plaisir. Il faut dire que Fati savait y faire, c’était un remarquable amant, mais je me refusais à jouir, cela lui aurait trop fait plaisir, mais aussi par respect pour Stéphane qui était à côté de moi.
Les minutes s’écoulaient sur le radio réveil qui projetait l’heure au plafond de la chambre. Déjà 10 minutes est toujours la même position et surtout la même intensité. J’avais bon me retenir, ça devenait de plus en plus difficile, je serrai les dents et surtout les barreaux du lit, quand tout à coup je ne pus me retenir et je poussai un crie jouissif suivit d’un c’est bon, vas-y, continue, qui surpris à la fois mon amant forcé et Stéphane qui devait se demander quelle mouche m’avait piqué.
Au bout de 15 minutes, Fati retira son pénis de mon petit abricot tous dilaté et dans un crie de plaisir extrême, il éjacula de gros flots de sperme sur mon vente, ma poitrine et en projeta jusque sur mon visage. Il était heureux, il regarda Stéphane et lui dit tous en se rhabillant : « A dans 2 jours, j’espère que tu mettras beaucoup de temps à réunir la somme, je me suis bien amusé avec ta nana et j’ai l’impression qu’elle va attendre notre prochain rendez-vous avec impatience, et qui sait peut-être que je vais ramener des amis, plus on est de fou plus on rit ».
Fati quitta la pièce en rigolant, quant à moi, j’avais tellement honte que je ne pouvais même pas regarder Stéphane qui était prostré sur sa chaise. Une chose était sûr, c’est qu’ils nous étaient impossible de réunir la somme en 48 heures et que nous allions devoir nous plier de nouveau aux exigences de Fati.

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