Le caissier et la mature.
Récit érotique écrit par KERO88 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le caissier et la mature.
Je m’appelle Florent, j’ai 38 ans, je mesure 1 mètre 80, je suis brun assez sec, avec des lunettes. Je travaille comme caissier dans une supérette en centre-ville.
Il est 18h50, le magasin va fermer dans 10 minutes, les derniers clients se pressent à ma caisse et parmi eux je remarque Annick.
Annick est une cliente régulière, une femme d’une petite soixantaines d’années, blonde, mince, de taille moyenne avec des petits seins et un physique agréable. A oui, c’est vrai, je ne vous ai pas préciser que je fantasme sur les femmes mures, à tel point que les filles de mon âge ne me font plus aucuns effets.
Il est un peu plus de 19 heures, lorsque je quitte le magasin, et là, je remarque Annick, qui attend dans la pénombre de cette soirée hivernale. Je lui propose de l’aider à porter ses courses. Je sais qu’elle habite quelques centaines de mètres plus loin.
Annick me répond que c’est bien aimable et de ma part, qu’elle n’habite pas très loin, mais que ses sacs sont lourds.
Arrivée devant son immeuble, Annick me propose de monter chez elle. Je lui réponds que je dois rentrer chez moi car je n’ai pas encore manger. Elle me rétorque : « Venez chez moi, j’ai un reste de pates et de poulet ça devrait faire l’affaire ». Je décide d’accepter son invitation et je monte avec elle l’escalier qui mène à son appartement.
C’est un logement de taille moyenne, avec un couloir qui distribue des pièces à droite et à gauche, au début une cuisine américaine ouverte sur un séjour et je pense qu’au bout il doit y avoir les chambres et la salle de bain.
Annick me fait assoir à table, me dit de me mettre à l’aise et m’amène une assiette toute chaude, réchauffé au micro-onde.
On commence à discuter, je lui explique que je suis célibataire et que j’aime bien les aventures d’un soir. Elle me dit qu’elle est veuve depuis 5 ans, qu’elle ne veut pas se remettre en couple mais que comme moi elle n’est pas contre une aventure de temps en temps.
Elle commence à me raconter ses fantasmes pour les hommes plus jeune et moi je lui explique que j’adore faire l’amour avec des femmes plus âgées à la chatte poilue et en nuisette.
La soirée continue de s’écouler tranquillement quand Annick me dit : « reste là, j’en ai pour 2 minutes ». Puis elle s’éclipse au fond du couloir.
Il s’est écoulé 5 bonnes minutes quand j’entends un hurlement d’Annick. Je lui demande : » qu’est ce qui t’arrive ». Elle me répond : « Viens vite il y a une grosse araignée dans ma chambre ».
J’emprunte le couloir et me dirige au son de sa voix, pour arriver devant l’entrée d’une pièce qu’une lumière tamisée éclaire.
C’est alors que je vois mon hôte allongé sur un lit et vêtue d’un cour déshabillé sexy. Je m’approche du lit à la fois surpris et excité par la scène. Annick fait glisser doucement et sensuellement le morceau de tissu vers le haut de sa cuisse pour laisser entrevoir sa chatte grisonnante de mature.
Je n’en peux plus, le désir monte et laisse maintenant paraitre une bosse au niveau de mon entre jambe, juste sous ma ceinture. Annick l’a remarqué, et me signe du doigt de me rapprocher d’elle. Puis toujours allonger sur le lit, elles positionnent ses jambes en l’air et les écarte pour me laisser une vue imprenable sur son existant petit minou.
Je n’en peux plus, j’ai l’impression que mon cœur va sortir de ma poitrine. Je m’accroupi au pied du lit, je fourre ma tête entre ses cuisses, et je commence à lui lèche la chatte, d’abord lentement, puis j’accélère le mouvement jusqu’à carrément la lui bouffé au point d’en avaler ses poils.
Je me relève, Annick et comme en transe. Je la regarde, j’hôte rapidement mes vêtements pour me retrouver entièrement nu devant elle. Je remarque qu’elle admire mon majestueux sexe en érection qui est pleins de désir pour elle.
Je me positionne à genou sur le lit, je me retrouve de nouveau entre en ses cuisses, mais cette fois c’est ma queue qui va lui donner du plaisir. Je la pénètre et je commence à lui donner des coups de butoir, Annick gémit, plus les secondes passent, plus ses gémissements se transforment en cris de plaisirs.
Nos deux corps ne font plus qu’un, je soulève sa nuisette pour laisser apparaitre ses seins et je commence à les embrasser à tour de rôle puis à lui mordiller les tétons. Je me retire momentanément de sa caverne humide. Annick relève légèrement le haut de son corps et je fini de lui hotter complétement sa nuisette.
Elle est maintenant complétement nue devant moi, j’adore le spectacle de ce corps de mature qui s’offre à moi. Elle me regarde, elle a encore envie. Elle écarte de nouveaux ses cuisses et caresse langoureusement sa chatte qui est maintenant complétement tremper d’excitation.
Je n’en peux plus, je me jette sur elle, je m’allonge sur son corps, mon ventre contre le sien, mon torse plaqué contre ses tétons devenus aussi dure que du bois. Nous entamons ce que j’appellerais un slow allongé. Je n’en peux plus, je suis au bords de l’extase. Annick écarte ses bras et saisie les barreaux de la tête du lit, elle les serre de toute ses forces et dans un hurlement bestial, je joui en elle.
Je me retire, je m’allonge à côté d’elle, je suis heureux, mais tellement épuisé par l’intensité de cette aventure. Je commence à être gagné par le sommeil. Je vais dormir un peu et qui sait, à mon réveil Annick aura peut-être envie de jouer le second acte.
Il est 18h50, le magasin va fermer dans 10 minutes, les derniers clients se pressent à ma caisse et parmi eux je remarque Annick.
Annick est une cliente régulière, une femme d’une petite soixantaines d’années, blonde, mince, de taille moyenne avec des petits seins et un physique agréable. A oui, c’est vrai, je ne vous ai pas préciser que je fantasme sur les femmes mures, à tel point que les filles de mon âge ne me font plus aucuns effets.
Il est un peu plus de 19 heures, lorsque je quitte le magasin, et là, je remarque Annick, qui attend dans la pénombre de cette soirée hivernale. Je lui propose de l’aider à porter ses courses. Je sais qu’elle habite quelques centaines de mètres plus loin.
Annick me répond que c’est bien aimable et de ma part, qu’elle n’habite pas très loin, mais que ses sacs sont lourds.
Arrivée devant son immeuble, Annick me propose de monter chez elle. Je lui réponds que je dois rentrer chez moi car je n’ai pas encore manger. Elle me rétorque : « Venez chez moi, j’ai un reste de pates et de poulet ça devrait faire l’affaire ». Je décide d’accepter son invitation et je monte avec elle l’escalier qui mène à son appartement.
C’est un logement de taille moyenne, avec un couloir qui distribue des pièces à droite et à gauche, au début une cuisine américaine ouverte sur un séjour et je pense qu’au bout il doit y avoir les chambres et la salle de bain.
Annick me fait assoir à table, me dit de me mettre à l’aise et m’amène une assiette toute chaude, réchauffé au micro-onde.
On commence à discuter, je lui explique que je suis célibataire et que j’aime bien les aventures d’un soir. Elle me dit qu’elle est veuve depuis 5 ans, qu’elle ne veut pas se remettre en couple mais que comme moi elle n’est pas contre une aventure de temps en temps.
Elle commence à me raconter ses fantasmes pour les hommes plus jeune et moi je lui explique que j’adore faire l’amour avec des femmes plus âgées à la chatte poilue et en nuisette.
La soirée continue de s’écouler tranquillement quand Annick me dit : « reste là, j’en ai pour 2 minutes ». Puis elle s’éclipse au fond du couloir.
Il s’est écoulé 5 bonnes minutes quand j’entends un hurlement d’Annick. Je lui demande : » qu’est ce qui t’arrive ». Elle me répond : « Viens vite il y a une grosse araignée dans ma chambre ».
J’emprunte le couloir et me dirige au son de sa voix, pour arriver devant l’entrée d’une pièce qu’une lumière tamisée éclaire.
C’est alors que je vois mon hôte allongé sur un lit et vêtue d’un cour déshabillé sexy. Je m’approche du lit à la fois surpris et excité par la scène. Annick fait glisser doucement et sensuellement le morceau de tissu vers le haut de sa cuisse pour laisser entrevoir sa chatte grisonnante de mature.
Je n’en peux plus, le désir monte et laisse maintenant paraitre une bosse au niveau de mon entre jambe, juste sous ma ceinture. Annick l’a remarqué, et me signe du doigt de me rapprocher d’elle. Puis toujours allonger sur le lit, elles positionnent ses jambes en l’air et les écarte pour me laisser une vue imprenable sur son existant petit minou.
Je n’en peux plus, j’ai l’impression que mon cœur va sortir de ma poitrine. Je m’accroupi au pied du lit, je fourre ma tête entre ses cuisses, et je commence à lui lèche la chatte, d’abord lentement, puis j’accélère le mouvement jusqu’à carrément la lui bouffé au point d’en avaler ses poils.
Je me relève, Annick et comme en transe. Je la regarde, j’hôte rapidement mes vêtements pour me retrouver entièrement nu devant elle. Je remarque qu’elle admire mon majestueux sexe en érection qui est pleins de désir pour elle.
Je me positionne à genou sur le lit, je me retrouve de nouveau entre en ses cuisses, mais cette fois c’est ma queue qui va lui donner du plaisir. Je la pénètre et je commence à lui donner des coups de butoir, Annick gémit, plus les secondes passent, plus ses gémissements se transforment en cris de plaisirs.
Nos deux corps ne font plus qu’un, je soulève sa nuisette pour laisser apparaitre ses seins et je commence à les embrasser à tour de rôle puis à lui mordiller les tétons. Je me retire momentanément de sa caverne humide. Annick relève légèrement le haut de son corps et je fini de lui hotter complétement sa nuisette.
Elle est maintenant complétement nue devant moi, j’adore le spectacle de ce corps de mature qui s’offre à moi. Elle me regarde, elle a encore envie. Elle écarte de nouveaux ses cuisses et caresse langoureusement sa chatte qui est maintenant complétement tremper d’excitation.
Je n’en peux plus, je me jette sur elle, je m’allonge sur son corps, mon ventre contre le sien, mon torse plaqué contre ses tétons devenus aussi dure que du bois. Nous entamons ce que j’appellerais un slow allongé. Je n’en peux plus, je suis au bords de l’extase. Annick écarte ses bras et saisie les barreaux de la tête du lit, elle les serre de toute ses forces et dans un hurlement bestial, je joui en elle.
Je me retire, je m’allonge à côté d’elle, je suis heureux, mais tellement épuisé par l’intensité de cette aventure. Je commence à être gagné par le sommeil. Je vais dormir un peu et qui sait, à mon réveil Annick aura peut-être envie de jouer le second acte.
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