A pervers, perverse et demi (Démission 4)
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 57 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Zootman ont reçu un total de 486 041 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 457 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
A pervers, perverse et demi (Démission 4)
Pour pimenter un peu le truc, j’ai dit à Camille qu’on allait faire une vidéo cochonne ou elle serait soumise à mes désirs pervers.
- Avec plaisir Maître, m’a-t-elle répondu.
- On fera un scénario ou je serai le patron qui te saute dessus. Toi tu résisteras et je te baiserai sauvagement.
- Oh, Maître, je suis toute excitée rien que d’y penser.
On a attendu vendredi soir dernier, quand tout le monde était parti.
J’avais mis deux caméras dans mon bureau pour pouvoir prendre plusieurs angles de la scène.
A 18h, je l’ai faite venir avec un dossier. Elle s’est assise à la table ronde et on a commencé à parler du dossier. Moi je matais ses nibards et tout à coup, j’y ai posé une pogne.
- Mais, Monsieur, que faites-vous ? Allons, restez professionnel.
- Ah, Mademoiselle, y’a pas de mal à se faire un peu de bien non ?
- Non, ce n’est pas bien.
- Allez, petite cochonne, je suis sûr que tu mouilles déjà à l’idée de te faire prendre
- Pas du tout, Monsieur. Oh, ôtez vos mains de mon corsage, ah, non, non, ah vous l’avez ouvert, vous prenez mes seins, vous les pincez, aie, vous me faites mal, non, je ne veux pas
- Arrête de faire la pucelle, tu vas voir, ce sera bon ensuite
Je lui ai arraché son corsage et j’ai mis ses nichons à l’air et les ai sucés tout en lui mettant une main sur la culotte.
- Oh, non, vous êtes un pervers, lâchez-moi, je vous en prie.
- Arrête de minauder, laisse toi faire.
- Non, aaahhh, ma culotte, vous m’avez enlevé ma culotte
Je l’ai mise de force le dos sur la table
- Regarde ma belle queue, tu vas bien la sentir, je suis sûr que t’aime ça, petite salope,
- Non, Monsieur, non, ne faites pas ça,
Mais je lui ai enfoncé mon chibre dans la chatte et je l’ai pilonnée comme un bourrin.
- Ahhhh, mmmm, non, je ne veux pas, ooooo, aaaaa, vous êtes trop gros pour moi.
- Ouais, c’est pas d’la queue de minet ça, hein ?
- Noooonnn, aaaaaah,
Elle mouillait comme une fontaine, et moi j’étais complètement excité de la voir faire semblant de résister.
- Je vais t’enculer maintenant, t’aime ça petite chienne.
- OOOOOO, NON, je n’ai jamais fait cela, vous allez me déchirer.
- Tais-toi, et apprécie
Je l’ai enculée sans barguigner, et elle geignait comme une vierge effarouchée.
Puis j’ai déchargé mon foutre au fond de son cul.
- Vooiiilllaaa, tu vois, petite sainte nitouche, papa Steve t’a fait du bien
- Oh, vous êtes dégoutant, je vous déteste, ce n’est pas bien de m’avoir forcée.
- Mais non, j’ai vu tout de suite que tu aimes la queue, petite pute, et maintenant, tu vas te rhabiller et rentrer chez toi. Tu auras une petite prime en fin de mois, comme ça tu pourras t’acheter des vêtements plus affriolants pour la prochaine fois.
- Non, je ne veux, pas, vous êtes un pervers, je ne reviendrai pas
- Mais si, maintenant que tu as goûté à la queue de Monsieur Steve, tu reviendras pour avoir du rab. Allez, tire-toi maintenant.
Elle est sortie toute en lambeaux de mon bureau.
Je suis allé arrêter les caméras.
- Camille reviens, bravo, tu as super bien joué ton rôle.
- Merci Maître, c’était un moment délicieux. Voulez-vous que je fasse le montage de votre vidéo pour avoir un bon souvenir ?
- Ahh, je veux bien, je suis sûr qu’une jeunette comme toi manipule mieux la technique que moi.
- Ce sera un plaisir Maître. Vous l’aurez demain matin chez vous, et j’y ajouterai une surprise si vous voulez bien.
- Avec plaisir, j’ai répondu, imaginant qu’elle allait me faire une petite séance à domicile de branlette solitaire.
Une fois partie, je me suis reconcentré sur le boulot, puis je suis rentré chez moi.
Samedi matin. 10 heures. On sonne à la porte.
- Monsieur Steve X ?
- Oui, c’est moi
- Police Nationale, veuillez nous suivre s’il vous plait.
- Vous suivre ? Pourquoi ?
- Vous êtes accusé de harcèlement sexuel sur votre lieu de travail, et de viol d’une de vos préposées.
- Quoi ? Mais enfin, c’est une blague.
- Pas du tout, Monsieur, la jeune personne qui a porté plainte nous a remis une vidéo tout à fait explicite de vos agissements. Heureusement qu’elle a pu cacher ces caméras dans votre bureau pour prouver ce qu’elle dit. Je crois que cela va vous coûter très cher, Monsieur.
Saloooooooooooope……………
Je suis en garde à vue depuis dimanche.
J’ai confié ce texte à un bon ami qui je l’espère vous le fera parvenir.
Je cherche une avocate, c’est mieux, je pourrai la sauter dans le parloir pour me défouler.
Quoique, à y réfléchir, je vais peut-être me mettre aux mecs, moi.
FIN
- Avec plaisir Maître, m’a-t-elle répondu.
- On fera un scénario ou je serai le patron qui te saute dessus. Toi tu résisteras et je te baiserai sauvagement.
- Oh, Maître, je suis toute excitée rien que d’y penser.
On a attendu vendredi soir dernier, quand tout le monde était parti.
J’avais mis deux caméras dans mon bureau pour pouvoir prendre plusieurs angles de la scène.
A 18h, je l’ai faite venir avec un dossier. Elle s’est assise à la table ronde et on a commencé à parler du dossier. Moi je matais ses nibards et tout à coup, j’y ai posé une pogne.
- Mais, Monsieur, que faites-vous ? Allons, restez professionnel.
- Ah, Mademoiselle, y’a pas de mal à se faire un peu de bien non ?
- Non, ce n’est pas bien.
- Allez, petite cochonne, je suis sûr que tu mouilles déjà à l’idée de te faire prendre
- Pas du tout, Monsieur. Oh, ôtez vos mains de mon corsage, ah, non, non, ah vous l’avez ouvert, vous prenez mes seins, vous les pincez, aie, vous me faites mal, non, je ne veux pas
- Arrête de faire la pucelle, tu vas voir, ce sera bon ensuite
Je lui ai arraché son corsage et j’ai mis ses nichons à l’air et les ai sucés tout en lui mettant une main sur la culotte.
- Oh, non, vous êtes un pervers, lâchez-moi, je vous en prie.
- Arrête de minauder, laisse toi faire.
- Non, aaahhh, ma culotte, vous m’avez enlevé ma culotte
Je l’ai mise de force le dos sur la table
- Regarde ma belle queue, tu vas bien la sentir, je suis sûr que t’aime ça, petite salope,
- Non, Monsieur, non, ne faites pas ça,
Mais je lui ai enfoncé mon chibre dans la chatte et je l’ai pilonnée comme un bourrin.
- Ahhhh, mmmm, non, je ne veux pas, ooooo, aaaaa, vous êtes trop gros pour moi.
- Ouais, c’est pas d’la queue de minet ça, hein ?
- Noooonnn, aaaaaah,
Elle mouillait comme une fontaine, et moi j’étais complètement excité de la voir faire semblant de résister.
- Je vais t’enculer maintenant, t’aime ça petite chienne.
- OOOOOO, NON, je n’ai jamais fait cela, vous allez me déchirer.
- Tais-toi, et apprécie
Je l’ai enculée sans barguigner, et elle geignait comme une vierge effarouchée.
Puis j’ai déchargé mon foutre au fond de son cul.
- Vooiiilllaaa, tu vois, petite sainte nitouche, papa Steve t’a fait du bien
- Oh, vous êtes dégoutant, je vous déteste, ce n’est pas bien de m’avoir forcée.
- Mais non, j’ai vu tout de suite que tu aimes la queue, petite pute, et maintenant, tu vas te rhabiller et rentrer chez toi. Tu auras une petite prime en fin de mois, comme ça tu pourras t’acheter des vêtements plus affriolants pour la prochaine fois.
- Non, je ne veux, pas, vous êtes un pervers, je ne reviendrai pas
- Mais si, maintenant que tu as goûté à la queue de Monsieur Steve, tu reviendras pour avoir du rab. Allez, tire-toi maintenant.
Elle est sortie toute en lambeaux de mon bureau.
Je suis allé arrêter les caméras.
- Camille reviens, bravo, tu as super bien joué ton rôle.
- Merci Maître, c’était un moment délicieux. Voulez-vous que je fasse le montage de votre vidéo pour avoir un bon souvenir ?
- Ahh, je veux bien, je suis sûr qu’une jeunette comme toi manipule mieux la technique que moi.
- Ce sera un plaisir Maître. Vous l’aurez demain matin chez vous, et j’y ajouterai une surprise si vous voulez bien.
- Avec plaisir, j’ai répondu, imaginant qu’elle allait me faire une petite séance à domicile de branlette solitaire.
Une fois partie, je me suis reconcentré sur le boulot, puis je suis rentré chez moi.
Samedi matin. 10 heures. On sonne à la porte.
- Monsieur Steve X ?
- Oui, c’est moi
- Police Nationale, veuillez nous suivre s’il vous plait.
- Vous suivre ? Pourquoi ?
- Vous êtes accusé de harcèlement sexuel sur votre lieu de travail, et de viol d’une de vos préposées.
- Quoi ? Mais enfin, c’est une blague.
- Pas du tout, Monsieur, la jeune personne qui a porté plainte nous a remis une vidéo tout à fait explicite de vos agissements. Heureusement qu’elle a pu cacher ces caméras dans votre bureau pour prouver ce qu’elle dit. Je crois que cela va vous coûter très cher, Monsieur.
Saloooooooooooope……………
Je suis en garde à vue depuis dimanche.
J’ai confié ce texte à un bon ami qui je l’espère vous le fera parvenir.
Je cherche une avocate, c’est mieux, je pourrai la sauter dans le parloir pour me défouler.
Quoique, à y réfléchir, je vais peut-être me mettre aux mecs, moi.
FIN
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Zootman
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...