Courses de Noël
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Courses de Noël
Chaque année la même séquence de stress : les cadeaux de Noël.
Je m’y prends toujours au dernier moment, mon travail étant particulièrement chargé en fin d’année. Mais parfois, il y a des compensations…
Lundi dernier, j’ai réussi à m’échapper du bureau pas trop tard pour aller m’engouffrer dans un grand magasin bondé, à la recherche de la bonne idée.
Je déambulais, regardant chaque rayon, jetant des coups d’œil alentour pour me repérer.
Devant moi, une femme assez forte avançait, son postérieur imposant se dandinant de droite à gauche sur ses petites jambes. Cela faisait un effet un peu comique mais en même temps, j’imaginais ces fesses nues se faisant trousser. Et j’ai eu une petite érection.
L’imaginaire émoustillé, je regardais les femmes dans le magasin, et je me prenais au jeu de les imaginer nues, cherchant à croiser leur regard. Mais la plupart n’étaient intéressées que par leur quête de cadeau, pas par un mâle !
Jusqu’à ce que mon regard croise celui d’une femme d’une cinquantaine d’années. Elle était à quelques rayons du mien. Le premier échange a été fugace, mais une forme d’intensité s’y dessinait. Nous nous sommes perdus de vue, puis après une dizaine de minutes, toujours d’assez loin, nous nous sommes repérés. Nouveau regard, nouvelle braise à moitié éteinte. Nous nous sommes souris.
Continuant mes pérégrinations, je suis monté à l’étage, au rayon habillement. Je cherchais un pull pour un ami de ma corpulence, touchant les textiles, regardant les étiquettes. J’en trouvais un et décidais d’aller l’essayer. Il m’allait bien, je décidais de le prendre. En sortant de la cabine d’essayage, je tombe nez à nez avec ma belle inconnue.
- Bonjour, je trouve ce pull sympa, je me demandais s’il irait pour mon mari, me dit-elle avec un sourire
- Bonjour, oui, il me va bien, et je le trouve très agréable au toucher. Vous pourrez caresser votre mari avec plaisir répondis-je bêtement, sans doute déçu d’apprendre qu’elle était mariée.
- Vous croyez ? Il faut que je m’en rende compte avant non ? Vous ne voulez pas le réessayer ?
Là, j’étais un peu bluffé et je ne pus que bredouiller un « oui, si vous voulez ».
Je rentrais dans la cabine, assez grande, et refermais le rideau pour passer le pull, la laissant à l’extérieur.
A peine avais-je fini de le mettre que le rideau s’est écarté, que l’inconnue s’est glissée dans la cabine, refermant le rideau avec soin.
- Pour caresser avec plaisir, autant être un peu tranquille non ?
Elle s’est approchée, a commencé à toucher les manches, remontant vers mes épaules, puis sa main est descendue vers mon ventre.
- C’est vrai qu’il est doux, cela donne envie de le caresser encore, a-t-elle lancé en me fixant.
Je m’étais un peu ressaisi, et l’invitait à continuer.
- Tournez-vous, que je voie le dos.
Je me tournais
Elle passa sa main dans mon dos, sur mes omoplates, puis descendant jusqu’au fesses.
Je commençais à m’ériger un peu sous cette caresse.
Elle se plaqua soudain derrière moi, passa ses bras devant, m’enserrant de l’un, pendant que l’autre se dirigeait vers ma braguette.
- Mmmm, on dirait que le plaisir est partagé.
Elle me caressait le sexe, vite devenu tout dur, à travers le pantalon. Je ne pouvais bouger. Je sentais ses seins écrasés sur mon dos.
Experte, elle a bientôt fait sortir ma queue et m’a branlé lentement. Je gémissais.
- Je vois, je vois, un pull très érotique en effet, me dit-elle en me posant des baisers dans le cou. Tu m’as excitée au premier regard, Monsieur l’inconnu, maintenant je te veux.
Toujours dos à elle, j’ai réussi à glisser ma main sous sa jupe et à atteindre sa culotte. Rapidement, j’ai touché sa fente, passé un doigt sous l’élastique et maladroitement vu la position, lui ai introduit un doigt dans sa chatte déjà mouillée.
- Madame, je vois que vous ne mentez pas, vous êtes dégoulinante. M’autorisez-vous à m’abreuver à votre source ?
Elle m’a fait retourner, m’a agenouillé, a posé un de ses pieds sur la petite banquette de la cabine, écartant ses jambes. Elle a écarté elle-même sa culotte et m’a dit :
- Bouffe-moi la chatte, suce-moi la moule.
Je ne me suis pas fait prier, me lançant à l’assaut de ses chairs offertes, écartant ses lèvres pour laper au plus profond, dardant dans son con, ma langue s’insinuant, puis léchant son clitoris qui se gonflait à vue d’œil.
J’ai lancé un bras vers sa poitrine, lui pressant les seins sous son chemisier. Elle a gémit.
- Oooo, c’est bon, Monsieur, très bon, je suis bien contente de faire mes courses aujourd’hui ! Continuez, mon ami, engloutissez-ce bouton qui est bien trop rarement à la fête ainsi.
Sous le compliment, je m’appliquais, et approchant ma deuxième main, je lui enfonçais deux doigts dans sa grotte humide, faisant un crochet pour atteindre ce point sensible à l’orée du vagin.
- Mmm, cochon, tu sens que j’aime ça ! Attends, je m’assois, viens continuer.
Une fois sur la banquette, elle a enlevé sa culotte, a écarté les jambes, m’offrant une vue sur sa pilosité naturelle sur laquelle je me suis à nouveau jeté de la bouche et des doigts. Son suc était un peu sucré, me donnant soif encore de la boire. Elle a ouvert son corsage, libérant des seins de belle taille que j’ai malaxé autant que je pouvais.
Soudain, j’ai senti son corps se raidir. Elle a porté une main à sa bouche pour que son cri ne sorte pas de la cabine, puis s’est détendue. Aussitôt, elle s’est relevée, s’est mise dos à moi, les mains posées sur la banquette, m’offrant son cul.
- Prends-moi, là, je veux ta queue.
A peine le temps d’enfiler une capote qui, par bonheur, était dans ma poche, que je pointais mon gland. Je pris un peu de son jus abondant puis fis coulisser mon pieu sur sa raie.
- Ne me fais pas languir, enfile-moi comme un soudard.
- Bien Madame !
J’écartais ses fesses, et pénétrais d’un coup au fond de la matrice. Mon chibre était au chaud, bien au fond de cette femme inespérée. Je la besognais fortement, lui tenant les hanches. Dans la glace de la cabine, je voyais ses seins pendre et se mouvoir sous mes coups de queue.
Je ne suis pas un surhomme. Une telle situation, autant d’excitation impromptue ont eu raison de ma capacité à me retenir. Au bout de 5 minutes, quand je l’ai entendue gémir sa jouissance, j’ai éjaculé sur son cul.
Comme si de rien n’était, elle a rabattu sa jupe, épongeant mon sperme, s’est retournée, m’a souri et m’a dit : Oui décidément, je crois que je vais le prendre, ce pull !
On a éclaté de rire.
Avant que j’aie pu me rhabiller complètement, elle était sortie de la cabine.
Je me suis dépêché de la suivre, mais je l’ai juste aperçue qui filait vers l’escalator. Au moment où elle allait disparaître, elle s’est tournée vers moi, m’a envoyé un baiser de la main avec un grand sourire.
Elle avait un pull dans la main, attrapé au vol sans doute.
Et mon pull, je me le suis gardé, pour moi.
Cela a été mon plus beau cadeau.
Je m’y prends toujours au dernier moment, mon travail étant particulièrement chargé en fin d’année. Mais parfois, il y a des compensations…
Lundi dernier, j’ai réussi à m’échapper du bureau pas trop tard pour aller m’engouffrer dans un grand magasin bondé, à la recherche de la bonne idée.
Je déambulais, regardant chaque rayon, jetant des coups d’œil alentour pour me repérer.
Devant moi, une femme assez forte avançait, son postérieur imposant se dandinant de droite à gauche sur ses petites jambes. Cela faisait un effet un peu comique mais en même temps, j’imaginais ces fesses nues se faisant trousser. Et j’ai eu une petite érection.
L’imaginaire émoustillé, je regardais les femmes dans le magasin, et je me prenais au jeu de les imaginer nues, cherchant à croiser leur regard. Mais la plupart n’étaient intéressées que par leur quête de cadeau, pas par un mâle !
Jusqu’à ce que mon regard croise celui d’une femme d’une cinquantaine d’années. Elle était à quelques rayons du mien. Le premier échange a été fugace, mais une forme d’intensité s’y dessinait. Nous nous sommes perdus de vue, puis après une dizaine de minutes, toujours d’assez loin, nous nous sommes repérés. Nouveau regard, nouvelle braise à moitié éteinte. Nous nous sommes souris.
Continuant mes pérégrinations, je suis monté à l’étage, au rayon habillement. Je cherchais un pull pour un ami de ma corpulence, touchant les textiles, regardant les étiquettes. J’en trouvais un et décidais d’aller l’essayer. Il m’allait bien, je décidais de le prendre. En sortant de la cabine d’essayage, je tombe nez à nez avec ma belle inconnue.
- Bonjour, je trouve ce pull sympa, je me demandais s’il irait pour mon mari, me dit-elle avec un sourire
- Bonjour, oui, il me va bien, et je le trouve très agréable au toucher. Vous pourrez caresser votre mari avec plaisir répondis-je bêtement, sans doute déçu d’apprendre qu’elle était mariée.
- Vous croyez ? Il faut que je m’en rende compte avant non ? Vous ne voulez pas le réessayer ?
Là, j’étais un peu bluffé et je ne pus que bredouiller un « oui, si vous voulez ».
Je rentrais dans la cabine, assez grande, et refermais le rideau pour passer le pull, la laissant à l’extérieur.
A peine avais-je fini de le mettre que le rideau s’est écarté, que l’inconnue s’est glissée dans la cabine, refermant le rideau avec soin.
- Pour caresser avec plaisir, autant être un peu tranquille non ?
Elle s’est approchée, a commencé à toucher les manches, remontant vers mes épaules, puis sa main est descendue vers mon ventre.
- C’est vrai qu’il est doux, cela donne envie de le caresser encore, a-t-elle lancé en me fixant.
Je m’étais un peu ressaisi, et l’invitait à continuer.
- Tournez-vous, que je voie le dos.
Je me tournais
Elle passa sa main dans mon dos, sur mes omoplates, puis descendant jusqu’au fesses.
Je commençais à m’ériger un peu sous cette caresse.
Elle se plaqua soudain derrière moi, passa ses bras devant, m’enserrant de l’un, pendant que l’autre se dirigeait vers ma braguette.
- Mmmm, on dirait que le plaisir est partagé.
Elle me caressait le sexe, vite devenu tout dur, à travers le pantalon. Je ne pouvais bouger. Je sentais ses seins écrasés sur mon dos.
Experte, elle a bientôt fait sortir ma queue et m’a branlé lentement. Je gémissais.
- Je vois, je vois, un pull très érotique en effet, me dit-elle en me posant des baisers dans le cou. Tu m’as excitée au premier regard, Monsieur l’inconnu, maintenant je te veux.
Toujours dos à elle, j’ai réussi à glisser ma main sous sa jupe et à atteindre sa culotte. Rapidement, j’ai touché sa fente, passé un doigt sous l’élastique et maladroitement vu la position, lui ai introduit un doigt dans sa chatte déjà mouillée.
- Madame, je vois que vous ne mentez pas, vous êtes dégoulinante. M’autorisez-vous à m’abreuver à votre source ?
Elle m’a fait retourner, m’a agenouillé, a posé un de ses pieds sur la petite banquette de la cabine, écartant ses jambes. Elle a écarté elle-même sa culotte et m’a dit :
- Bouffe-moi la chatte, suce-moi la moule.
Je ne me suis pas fait prier, me lançant à l’assaut de ses chairs offertes, écartant ses lèvres pour laper au plus profond, dardant dans son con, ma langue s’insinuant, puis léchant son clitoris qui se gonflait à vue d’œil.
J’ai lancé un bras vers sa poitrine, lui pressant les seins sous son chemisier. Elle a gémit.
- Oooo, c’est bon, Monsieur, très bon, je suis bien contente de faire mes courses aujourd’hui ! Continuez, mon ami, engloutissez-ce bouton qui est bien trop rarement à la fête ainsi.
Sous le compliment, je m’appliquais, et approchant ma deuxième main, je lui enfonçais deux doigts dans sa grotte humide, faisant un crochet pour atteindre ce point sensible à l’orée du vagin.
- Mmm, cochon, tu sens que j’aime ça ! Attends, je m’assois, viens continuer.
Une fois sur la banquette, elle a enlevé sa culotte, a écarté les jambes, m’offrant une vue sur sa pilosité naturelle sur laquelle je me suis à nouveau jeté de la bouche et des doigts. Son suc était un peu sucré, me donnant soif encore de la boire. Elle a ouvert son corsage, libérant des seins de belle taille que j’ai malaxé autant que je pouvais.
Soudain, j’ai senti son corps se raidir. Elle a porté une main à sa bouche pour que son cri ne sorte pas de la cabine, puis s’est détendue. Aussitôt, elle s’est relevée, s’est mise dos à moi, les mains posées sur la banquette, m’offrant son cul.
- Prends-moi, là, je veux ta queue.
A peine le temps d’enfiler une capote qui, par bonheur, était dans ma poche, que je pointais mon gland. Je pris un peu de son jus abondant puis fis coulisser mon pieu sur sa raie.
- Ne me fais pas languir, enfile-moi comme un soudard.
- Bien Madame !
J’écartais ses fesses, et pénétrais d’un coup au fond de la matrice. Mon chibre était au chaud, bien au fond de cette femme inespérée. Je la besognais fortement, lui tenant les hanches. Dans la glace de la cabine, je voyais ses seins pendre et se mouvoir sous mes coups de queue.
Je ne suis pas un surhomme. Une telle situation, autant d’excitation impromptue ont eu raison de ma capacité à me retenir. Au bout de 5 minutes, quand je l’ai entendue gémir sa jouissance, j’ai éjaculé sur son cul.
Comme si de rien n’était, elle a rabattu sa jupe, épongeant mon sperme, s’est retournée, m’a souri et m’a dit : Oui décidément, je crois que je vais le prendre, ce pull !
On a éclaté de rire.
Avant que j’aie pu me rhabiller complètement, elle était sortie de la cabine.
Je me suis dépêché de la suivre, mais je l’ai juste aperçue qui filait vers l’escalator. Au moment où elle allait disparaître, elle s’est tournée vers moi, m’a envoyé un baiser de la main avec un grand sourire.
Elle avait un pull dans la main, attrapé au vol sans doute.
Et mon pull, je me le suis gardé, pour moi.
Cela a été mon plus beau cadeau.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
quel beau que ce magasinage de Noel; j espere qu elle ta laisser son numero :)
situation exceptionelle sans doute, mais cette ''baise à la sauvette'' est très bien rendue
je doute qu une telle aventure puisse arriver en réel mais je la trouve tres sensuelle