Un été à la campagne
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 57 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Zootman ont reçu un total de 486 184 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 16 912 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Un été à la campagne
Je passe mes vacances dans le hameau de S., sur la commune de C., dans le centre de la France.
C’est un coin très tranquille, loin du brouhaha des plages, ou la campagne est très belle, les parcelles délimitées par des haies arbustives, de magnifiques chênes plantés au milieu des prés, de petits étangs alimentés par de nombreuses petites rivières. C’est un pays d’élevage, ou vaches et moutons paissent paisiblement. Parfois, d’anciennes bergeries ou de petites granges bordent un chemin.
Je m’y promène souvent seul, découvrant peu à peu de nouveaux lieux bucoliques où mes rêveries trouvent l’inspiration. Mais il y a deux jours, cela n’a pas été un rêve !
Il était quatre heures environ, le soleil inondait la campagne. Je marchais au bord d’un chemin, cherchant l’ombre apaisante.
Au loin, j’aperçois une silhouette qui marche sur une sente transversale, le pas pressé. Il me semble reconnaître la boulangère de C. chez qui j’ai acheté mon pain le matin. Je prends la sente à sa suite.
Elle avance pendant plusieurs minutes, loin devant moi, et tout à coup disparaît de ma vue. Je continue le chemin et aperçois bientôt une de ces bergeries, encore en bon état, avec une fontaine qui coule sur un des côtés. Je m’assois pour me désaltérer.
A peine posé, j’entends un bruit dans la bergerie. J’approche l’oreille du mur en planches, et entends :
- Désolée, je suis un peu en retard, mais je n’ai pas pu fermer la boutique avant, à croire que tout le monde avait décidé de venir chercher son pain à la dernière minute !
- Viens-là, contre moi, je veux sentir ton corps humide de ta marche au soleil
- Ô coquin, que fais-tu, tu m’ouvres le corsage
- Je veux voir tes seins luisant de sueur, ma belle boulangère.
Emoustillé par ce dialogue, et pensant avoir reconnu la voix de l’homme, je cherche un interstice entre les planches pour tenter de voir les amants. Bingo, je trouve un nœud évidé dans une des lames. Je retiens mon souffle en collant mon œil sur le trou et constate que j’ai une excellente vision de tout l’intérieur. Je ne m’étais pas trompé, c’est bien le maire de C. qui est en train de pétrir les miches de la boulangère.
- Mmm, tu sais combien j’aime te lécher les mamelles, ma jolie, tes bonnes grosses mamelles de coquine.
- Et tu sais bien les malaxer, coquin, et je sens bien dans ma main que cela ne te laisse pas indifférent. Tu bandes comme l’âne du père Thomas.
- Oui, libères-moi, je veux que tu me suces.
D’un geste, elle déboutonne le pantalon du maire qui tombe à ses pieds. Elle s’agenouille, lui baisse le slip et comme un ressort la queue jailli. Jamais je n’ai vu « en vrai » une bite pareille ! Longue, large, le gland rouge de désir.
Elle prend le membre et le branle en regardant son amant dans les yeux, puis enfourne d’un coup l’énorme engin. Tout juste si elle peut encore respirer tant le gourdin lui remplit la bouche. Mais elle semble avoir l’habitude et elle le suce profondément, aspirant tout ce qu’elle peut.
Il lui prend la tête et accompagne ses mouvements, regardant cette belle femme accueillir son jonc.
Il frémit d’aise, il sait qu’elle suce comme une reine. Il n’a pas toujours eu de bonnes suceuses à disposition, souvent ses aventures étaient réticentes à la vue du braquemart.
Mais la boulangère sait bien y faire, et y prend visiblement du plaisir.
Je m’installe du mieux que je peux pour suivre les ébats, car mon pantalon est légèrement tendu.
- Arrête, tu vas me faire gicler, dit le maire, je veux te lécher aussi. Allonge-toi là.
Sur une vielle table qu’il a recouvert d’un grand tissu, elle s’allonge sur le dos.
Il relève la jupe, écarte la culotte, et apparaît devant mes yeux ébahis une chatte de toute beauté, ourlée précieusement, épilée pour l’essentiel, et rutilante du plaisir attendu.
Il s’agenouille à son tour et se met à laper la fente juteuse. Sa langue fouille profondément la moule, allant aussi loin que possible.
La vision de la boulangère sur le dos, jupe retroussée, jambes relevées et nichons à l’air est particulièrement bandante.
Elle gémit sous les coups de langue, avançant son abricot vers l’homme qui tout en la dévorant, a mis un puis deux doigts dans l’antre humide. Il a le menton couvert de la cyprine qui s’écoule. Un rayon de soleil vient soudain, à travers les tuiles disjointes, éclairer les lèvres ouvertes et la bouche avide.
- On dirait que même le ciel apprécie ta chatte, ma cochonne.
- Il me réchauffe, mais moi j’ai plutôt besoin d’être rafraîchie là !
- Je vais arranger ça dans quelques minutes, répond le maire,
- Fais-moi jouir, je vais arroser le terrain, sourit-elle
Alors le maire happe le bouton tendu, le mordille, le suçote, l’aspire, tant et si bien que la boulangère, dans un cri de joie, lâche un flot de mouille sur la tête du maire.
- Mon dieu, quelle fontaine aujourd’hui, rit-il, s’essuyant les yeux d’un revers de manche.
- Il fallait vraiment que j’humidifie en grand, répond-elle, hilare.
- Bien, montre-moi ton cul, maintenant. Et il la relève, la retourne sur la table, lui relève à nouveau la jupe, monte sur la table, se positionne derrière elle… et l’encule d’un coup !
- Aaaaaaaaaaaaaiiiiieeeeeeeee, mais tu es fou, je n’étais pas préparée !
- Désolé, ma salope, ma queue a dérapé dans cette position bizarre, mais maintenant que j’y suis, j’y reste !
Et il lui lime le fondement, ne s’occupant pas des cris de protestation qui se transforment peu à peu en insultes
- Salaud, enfoiré, dégueulasse, ahhhh, que c’est bon, encule-moi bien fort, tu es un immonde salopard, mais qu’est-ce que ta bite est bonne une fois la douleur passée. Fous-moi, défonce moi le fion, aaaaahhhh, mon dieu, ce n’est pas mon mari qui a cette puissance !
- René, il a une queue minuscule, je le sais, on jouait ensemble au foot quand on était plus jeune. Je l’aime bien, mais ce n’est pas lui qui a les moyens de faire reluire une gourmande comme toi !
- Tais-toi, et baise-moi, oooooooooooooo à fond oui, oui, encore, ahh, ooh, tu me déchires, c’est bon, continue.
Je suis pantelant devant cette scène et ne peux résister à l’envie de me toucher. J’ai sorti mon gourdin et me paluche tout en matant le derche majestueux se faire reluire par monsieur le maire.
Celui accélère d’ailleurs la cadence, ahanant sur le postérieur, et dans un dernier coup de reins, il s’enfonce au fond du trou pour libérer sa semence. La boulangère pousse un rugissement de plaisir en même temps.
- AAAAAAhhh que tu es bonne, Louise, ton cul est magique, je ne peux plus m’en passer.
- Et moi je veux encore de ton bâton, encore, encore…
Epuisés, ils s’enlacent sur la table, puis, une fois calmés, redescendent et se rhabillent.
- Faut que j’y aille Louise, je dois finir de préparer le conseil municipal de ce soir.
- Je sais, Gérard, et moi, je dois aller aider à préparer le pain de demain.
- Quand se revoit –on ?
- Pas demain, je vais à A. faire des courses avec mon mari
- Après demain, ici, même heure ?
- D’accord mon cochon, mais cette fois, tu me baiseras la chatte, parce que là, je vais en avoir pour plusieurs jours à refermer l’orifice. Heureusement René ne vient pas trop fouiner par-là, il tomberait dans le gouffre !
Ils éclatent de rire, s’enlacent et s’embrassent une dernière fois.
J’ai fait le tour de la bergerie et les voit partir, chacun de son côté.
Je finis de me branler et jette mon jus sur le chemin, la tête pleine des images aperçues.
Et je me dis que moi aussi, j’aimerais bien agrémenter mon séjour avec les appâts de Louise.
Un plan germe dans mon cerveau excité.
C’est un coin très tranquille, loin du brouhaha des plages, ou la campagne est très belle, les parcelles délimitées par des haies arbustives, de magnifiques chênes plantés au milieu des prés, de petits étangs alimentés par de nombreuses petites rivières. C’est un pays d’élevage, ou vaches et moutons paissent paisiblement. Parfois, d’anciennes bergeries ou de petites granges bordent un chemin.
Je m’y promène souvent seul, découvrant peu à peu de nouveaux lieux bucoliques où mes rêveries trouvent l’inspiration. Mais il y a deux jours, cela n’a pas été un rêve !
Il était quatre heures environ, le soleil inondait la campagne. Je marchais au bord d’un chemin, cherchant l’ombre apaisante.
Au loin, j’aperçois une silhouette qui marche sur une sente transversale, le pas pressé. Il me semble reconnaître la boulangère de C. chez qui j’ai acheté mon pain le matin. Je prends la sente à sa suite.
Elle avance pendant plusieurs minutes, loin devant moi, et tout à coup disparaît de ma vue. Je continue le chemin et aperçois bientôt une de ces bergeries, encore en bon état, avec une fontaine qui coule sur un des côtés. Je m’assois pour me désaltérer.
A peine posé, j’entends un bruit dans la bergerie. J’approche l’oreille du mur en planches, et entends :
- Désolée, je suis un peu en retard, mais je n’ai pas pu fermer la boutique avant, à croire que tout le monde avait décidé de venir chercher son pain à la dernière minute !
- Viens-là, contre moi, je veux sentir ton corps humide de ta marche au soleil
- Ô coquin, que fais-tu, tu m’ouvres le corsage
- Je veux voir tes seins luisant de sueur, ma belle boulangère.
Emoustillé par ce dialogue, et pensant avoir reconnu la voix de l’homme, je cherche un interstice entre les planches pour tenter de voir les amants. Bingo, je trouve un nœud évidé dans une des lames. Je retiens mon souffle en collant mon œil sur le trou et constate que j’ai une excellente vision de tout l’intérieur. Je ne m’étais pas trompé, c’est bien le maire de C. qui est en train de pétrir les miches de la boulangère.
- Mmm, tu sais combien j’aime te lécher les mamelles, ma jolie, tes bonnes grosses mamelles de coquine.
- Et tu sais bien les malaxer, coquin, et je sens bien dans ma main que cela ne te laisse pas indifférent. Tu bandes comme l’âne du père Thomas.
- Oui, libères-moi, je veux que tu me suces.
D’un geste, elle déboutonne le pantalon du maire qui tombe à ses pieds. Elle s’agenouille, lui baisse le slip et comme un ressort la queue jailli. Jamais je n’ai vu « en vrai » une bite pareille ! Longue, large, le gland rouge de désir.
Elle prend le membre et le branle en regardant son amant dans les yeux, puis enfourne d’un coup l’énorme engin. Tout juste si elle peut encore respirer tant le gourdin lui remplit la bouche. Mais elle semble avoir l’habitude et elle le suce profondément, aspirant tout ce qu’elle peut.
Il lui prend la tête et accompagne ses mouvements, regardant cette belle femme accueillir son jonc.
Il frémit d’aise, il sait qu’elle suce comme une reine. Il n’a pas toujours eu de bonnes suceuses à disposition, souvent ses aventures étaient réticentes à la vue du braquemart.
Mais la boulangère sait bien y faire, et y prend visiblement du plaisir.
Je m’installe du mieux que je peux pour suivre les ébats, car mon pantalon est légèrement tendu.
- Arrête, tu vas me faire gicler, dit le maire, je veux te lécher aussi. Allonge-toi là.
Sur une vielle table qu’il a recouvert d’un grand tissu, elle s’allonge sur le dos.
Il relève la jupe, écarte la culotte, et apparaît devant mes yeux ébahis une chatte de toute beauté, ourlée précieusement, épilée pour l’essentiel, et rutilante du plaisir attendu.
Il s’agenouille à son tour et se met à laper la fente juteuse. Sa langue fouille profondément la moule, allant aussi loin que possible.
La vision de la boulangère sur le dos, jupe retroussée, jambes relevées et nichons à l’air est particulièrement bandante.
Elle gémit sous les coups de langue, avançant son abricot vers l’homme qui tout en la dévorant, a mis un puis deux doigts dans l’antre humide. Il a le menton couvert de la cyprine qui s’écoule. Un rayon de soleil vient soudain, à travers les tuiles disjointes, éclairer les lèvres ouvertes et la bouche avide.
- On dirait que même le ciel apprécie ta chatte, ma cochonne.
- Il me réchauffe, mais moi j’ai plutôt besoin d’être rafraîchie là !
- Je vais arranger ça dans quelques minutes, répond le maire,
- Fais-moi jouir, je vais arroser le terrain, sourit-elle
Alors le maire happe le bouton tendu, le mordille, le suçote, l’aspire, tant et si bien que la boulangère, dans un cri de joie, lâche un flot de mouille sur la tête du maire.
- Mon dieu, quelle fontaine aujourd’hui, rit-il, s’essuyant les yeux d’un revers de manche.
- Il fallait vraiment que j’humidifie en grand, répond-elle, hilare.
- Bien, montre-moi ton cul, maintenant. Et il la relève, la retourne sur la table, lui relève à nouveau la jupe, monte sur la table, se positionne derrière elle… et l’encule d’un coup !
- Aaaaaaaaaaaaaiiiiieeeeeeeee, mais tu es fou, je n’étais pas préparée !
- Désolé, ma salope, ma queue a dérapé dans cette position bizarre, mais maintenant que j’y suis, j’y reste !
Et il lui lime le fondement, ne s’occupant pas des cris de protestation qui se transforment peu à peu en insultes
- Salaud, enfoiré, dégueulasse, ahhhh, que c’est bon, encule-moi bien fort, tu es un immonde salopard, mais qu’est-ce que ta bite est bonne une fois la douleur passée. Fous-moi, défonce moi le fion, aaaaahhhh, mon dieu, ce n’est pas mon mari qui a cette puissance !
- René, il a une queue minuscule, je le sais, on jouait ensemble au foot quand on était plus jeune. Je l’aime bien, mais ce n’est pas lui qui a les moyens de faire reluire une gourmande comme toi !
- Tais-toi, et baise-moi, oooooooooooooo à fond oui, oui, encore, ahh, ooh, tu me déchires, c’est bon, continue.
Je suis pantelant devant cette scène et ne peux résister à l’envie de me toucher. J’ai sorti mon gourdin et me paluche tout en matant le derche majestueux se faire reluire par monsieur le maire.
Celui accélère d’ailleurs la cadence, ahanant sur le postérieur, et dans un dernier coup de reins, il s’enfonce au fond du trou pour libérer sa semence. La boulangère pousse un rugissement de plaisir en même temps.
- AAAAAAhhh que tu es bonne, Louise, ton cul est magique, je ne peux plus m’en passer.
- Et moi je veux encore de ton bâton, encore, encore…
Epuisés, ils s’enlacent sur la table, puis, une fois calmés, redescendent et se rhabillent.
- Faut que j’y aille Louise, je dois finir de préparer le conseil municipal de ce soir.
- Je sais, Gérard, et moi, je dois aller aider à préparer le pain de demain.
- Quand se revoit –on ?
- Pas demain, je vais à A. faire des courses avec mon mari
- Après demain, ici, même heure ?
- D’accord mon cochon, mais cette fois, tu me baiseras la chatte, parce que là, je vais en avoir pour plusieurs jours à refermer l’orifice. Heureusement René ne vient pas trop fouiner par-là, il tomberait dans le gouffre !
Ils éclatent de rire, s’enlacent et s’embrassent une dernière fois.
J’ai fait le tour de la bergerie et les voit partir, chacun de son côté.
Je finis de me branler et jette mon jus sur le chemin, la tête pleine des images aperçues.
Et je me dis que moi aussi, j’aimerais bien agrémenter mon séjour avec les appâts de Louise.
Un plan germe dans mon cerveau excité.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Zootman
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...