EN FILATURE

- Par l'auteur HDS Zootman -
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : EN FILATURE Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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EN FILATURE
Ce soir, je suis au bureau, seul. J’ai le temps de vous raconter.

Ma femme m’a quitté il y a quelque temps, brutalement. Je n’ai rien vu venir. Je croyais qu’on s’entendait bien, et puis visiblement elle a trouvé un autre mec qui l’attire plus que moi. Après 20 ans de mariage, c’est banal, mais moi ça m’a fait mal.
- J’ai envie de changer, a été sa seule explication.
Pendant huit jours, je me suis remémoré les instants partagés, ces bonheurs ensemble (nous n’avons pas eu d’enfant). Et bien sûr son corps, la douceur de sa peau, la rondeur de ses beaux seins, la courbe de ses fesses rebondies, et le parfum de sa chatte, doux, vanillé.
Et après avoir bien pleuré, m’être lamenté sur mon sort, j’ai décidé de vivre, pour moi.

Cela dit, j’avoue que j’avais du mal à pardonner, et j’ai voulu voir qui était mon « remplaçant ».

Aussi, un soir, je me suis grimé et me suis pointé à la sortie de son bureau. L’avantage avec mon ex, c’est qu’elle est assez régulière dans ses habitudes. A l’heure prévue, je l’ai vu sortir de l’immeuble ou elle travaille et je l’ai suivie. J’ai remarqué qu’elle donnait régulièrement des coups d’œil en arrière pour me repérer (elle me connaît bien aussi !) Mais j’avais fait ce qu’il fallait pour qu’elle ne se doute pas que la femme (un peu forte c’est vrai) en jupe, bas, et petit pull sous son long manteau entrouvert, aux cheveux longs et blonds, c’était moi.

Je l’ai suivie dans le métro, à l’autre bout du wagon. L’air de rien. Il y avait pas mal de monde et l’on était serrés. A un moment, j’ai cru sentir une main sur mon cul. Je me suis un peu avancé pour y échapper et me suis retourné. Un homme mince, bien mis, d’une quarantaine d’années, me souriait, l’air innocent. Je lui ai fait les gros yeux et me suis retourné. Peu après il a recommencé. J’expérimentais ce que doivent parfois vivre les femmes quand un balourd les aborde ainsi. J’ai décidé de me laisser faire, et de lui donner une leçon.
Voyant que je me dérobais plus, il a insisté, caressant mes fesses et essayant d’appuyer sur la jupe pour atteindre ma raie. J’ai même légèrement reculé mon derrière pour qu’il puisse mieux le palper.
Il s’est approché de mon oreille
- Je vois que je t’excite, tu m’as l’air d’une bonne cochonne toi.
Je me marrais intérieurement.
- Tu vas où ma belle ? Tu ne voudrais pas faire un tour chez moi pour que je te montre ma belle queue ? Je descends dans trois stations.
J’ai hésité. Et puis je me suis dit que j’aurais toujours la possibilité de suivre mon ex un autre jour.
Je me suis retourné, je lui ai souri.
- Silencieuse mais consentante à ce que je vois. Je t’emmène ?
J’ai hoché de la tête.
Une fois hors du métro, il m’a pris par la taille et a essayé de m’embrasser. Je l’ai repoussé gentiment mais fermement.
- Plus tard, ai-je chuchoté en essayant de féminiser ma voix.
Il m’a conduit chez lui. Un bel appartement dans un bel immeuble..
- Je vis seul, mets-toi à ton aise m’a-t-il dit en commençant à se dévêtir.
Je l’ai regardé faire, l’encourageant des yeux. Je me suis approché et lui ai enlevé sa chemise. J’ai passé une main sur la bosse qui commençait à tendre son pantalon.
- Mmmmm, ai-je fait en lui ouvrant la ceinture.
Puis je lui ai baissé le pantalon. Son boxer était presque trop petit pour sa queue tendue. Il ne m’avait pas menti, il avait une belle queue.
Je n’ai jamais été avec un garçon. Ma femme me comblait.
Mais là, je m’amusais comme un fou en imaginant sa réaction sous peu. J’avais bien vu dans le métro qu’il n’était pas très costaud et que si besoin était, je pourrais facilement le dominer.
Une fois qu’il été à poil, je ne savais plus trop quoi faire : le manque d’habitude.
- Allez, enlève tes fringues m’a-t-il demandé, on sera mieux pour baiser.
Je l’ai assis dans un fauteuil du salon, me suis un peu reculé et j’ai commencé à lui faire un strip-tease.
- Mon dieu, tu es une belle cochonne, si je m’attendais à ça !
J’ai enlevé mon manteau, j’ai entrouvert mon chemisier. Je m’étais mis un soutif bien rembourré pour faire illusion sur ma femme, mais ça marchait très bien sur lui aussi, tant il était excité à imaginer la suite.

J’ai remarqué que dans un coin du salon, il y avait des écharpes sur une chaise. J’en ai saisi deux, les faisant tournoyer pendant que je me trémoussais devant lui. Sa bite était au garde à vous et il se branlait gentiment.

Insensiblement, je me suis rapproché de lui. Je lui ai présenté ma jupe, en lui faisant signe de l’enlever. Il ne s’est pas fait prier. Comme j’avais mis des bas, je m’étais rasé les jambes. Je me suis retourné pour qu’il ne voie pas mon sexe qui sans être en érection, se voyait sous le slip. Un slip d’homme bien sûr, je n’avais pas imaginé me retrouver dans cette situation.
- Dis donc cochonne, tu mets des slips de mec pour t’exciter au boulot ? Faut dire que ton beau cul le remplit bien. Je te l’enlève maintenant.
En baissant mon slip, il a vu mon cul. Un peu poilu. Je me suis retourné brusquement et il s’est retrouvé avec ma queue sous le nez.
- Surpris, hein, petit vicieux ai-je dit fortement avec ma voix d’homme.
Il s’est reculé au fond de son fauteuil, saisi.
J’en ai profité pour lui attraper les mains et les ligoter avec une écharpe dans son dos. Avant qu’il n’ait compris, ses chevilles aussi étaient serrées.
- Alors, mon beau, tu veux voir du pays ? Tu dragues dans le métro mais tu as pêché du gros aujourd’hui, de l’inhabituel, du pas commun, du bon mec viril. C’est ton jour de chance, tu vas découvrir des choses.
- Ne me faites pas de mal, c’est une erreur, pardon, détachez-moi a-t-il gémi.
- Tiens, tu me vouvoies maintenant ? Continues à me tutoyer s’il te plait, on est intimes maintenant.
- Pardon, pardon, je ne savais pas, je ne voulais pas te fâcher.
- Tu ne me fâches pas, au contraire, il y a longtemps que je n’avais autant ri. Tu vois, je filochais mon ex qui vient de me larguer quand tu es apparu dans le paysage. Et moi, ça fait trois semaines que je n’ai pas baisé, alors ton numéro m’a donné envie de me faire plaisir. Je n’ai jamais baisé un mec vois-tu, je ne suis pas homo, mais comme beaucoup de mecs j’ai eu des fantasmes. Ce soir tu vas commencer à les réaliser.
- Non, s’il te plait, je n’ai pas envie, je ne suis pas attiré par les hommes.
- Moi non plus, mais faut que je me calme, alors ton cul ou un autre….
- Ahhh, non.
- Arrête lui ai-je dit sèchement, sinon tu auras mal. Calme-toi.
Il m’a regardé, un peu apeuré encore, mais il avait compris que je ne lui ferais pas de mal.
- Bon, pour commencer, je vais te caresser et on va voir si tu aimes. Mais avant, comme je ne veux pas d’ennuis, je vais filmer notre petite séquence.
J’ai installé mon smartphone sur une table avec une belle vue sur la scène. Je suis également allé chercher son portefeuille dans lequel j’ai trouvé une carte de visite.
- Au cas où tu ne sois pas sympa, la vidéo arrivera chez ton boss. Mais je pense que je n’en aurai pas besoin, n’est-ce pas Arthur? J’aime bien ton prénom, moi c’est Steve.
- Non, non, ne faites pas ça, euh, ne fais pas ça Steve, ma carrière serait foutue.
J’avoue qu’à ce moment-là, j’ai eu comme un petit coup d’adrénaline avec le pouvoir que j’avais sur ce mec inconnu. Et puis de le voir à poil, livré à mes envies, ça commençait à m’exciter un peu.
Je me suis approché, et j’ai touché sa bite. Il a eu un petit recul, c’était nouveau, un mec le tâtant, mais ça n’a pas duré. Je le branlais en le regardant et matait son membre en train de prendre du volume.
- Mmm, ta queue est douce, Arthur, et je vois que les caresses te plaisent.
- Bien sûr, j’aime qu’on me branle, mais là c’est un peu spécial. Mais c’est bon, c’est vrai, tu le fais bien.
- On va bien s’entendre tous les deux.
J’ai continué, découvrant le plaisir de masturber un homme, de toucher ses couilles, de dégager le gland et de le recalotter. Il commençait à gémir un peu. Moi-même je devenais dur.
- Maintenant, je vais te sucer, une première pour moi, tu me fais signe si je te fais mal.
Je me suis penché. J’avais soudain envie de le sentir en moi, de goûter ce chibre bien dur, de ressentir cette chair. J’ai craché sur la tige, ai ouvert la bouche, l’ai posée sur le gland et insensiblement, j’ai descendu la hampe, l’entourant, la léchant, l’enfournant jusqu’au fond de la gorge. Il a fermé les yeux.
- Tu aimes ça, en fait, petit cochon, je le vois bien. Et moi je trouve que c’est vraiment agréable, je regrette de ne pas l’avoir fait plus tôt.
Je le suçais lentement, et quelques gouttes de sperme sont venues donner du goût à cela.
- Je vais jouir si tu continues, tu fais ça trop bien m’a-t-il dit dans un souffle.
- Ok, on va inverser les rôles.
Je me suis relevé, l’ai soulevé du fauteuil et l’ai mis à genoux devant moi. Il était toujours attaché et en équilibre instable. Je l’ai calé contre le fauteuil et lui ai présenté mon dard.
- Suce-moi aussi bien que je l’ai fait, petit cochon.
Il m’a pris d’un coup, happant mon sexe profondément, et entamant une fellation rapide. Je lui ai pris la tête pour l’accompagner dans son mouvement, sans pression. Il commençait à baver.
- Ne me dis pas que tu ne l’as jamais fait, tu suces comme une salope affamée. Tu en rêvais sûrement pour être aussi habile.
- C’est vrai, j’en ai toujours eu envie sans oser le faire.
- C’est le bon jour, tu vois, tu dragues une femme dans le métro et tu te retrouves à assouvir ton fantasme avec un homme. Vas-y, jeune chien, lape ton maître.
- Oui Maître, je te suce, c’est bon.
- Oh, mais je vois que tu es prêt à te soumettre en plus ? Quelle journée. Arrête-toi, moi aussi je vais gicler sinon.
Il s’est reculé, et j’ai vu comme de la reconnaissance dans ses yeux. J’étais plutôt étonné de la tournure des événements.
- Bon, j’ai l’impression que tu es une bonne salope qui aime la bite. Je crois que je vais t’enculer.
- J’ai un peu peur, et aussi très envie, Steve. Tu feras doucement ?
- Très doucement, j’ai envie que cette première pour nous deux soit un bon souvenir. Tu ne voulais pas me violer, dans le métro, moi non plus. Veux-tu que te détaches puisque tu es consentant maintenant ?
- Détache-moi les chevilles pour que je puisse m’écarter le cul, mais laisse-moi les mains attachées, cela m’excite d’être un peu soumis.
- Ok, tu es vraiment bien cochon, j’aime ça.
- Tu ne veux pas venir dans la chambre, j’ai de quoi nous lubrifier un peu, et ce sera plus confortable.
- Ok, mais pas d’entourloupe, hein. Et j’ai emporté le smartphone pour continuer de filmer.
Il s’est installé sur le lit, docilement, à quatre pattes.
- Tu trouveras de l’huile dans le tiroir de ma table de nuit, et quelques objets que j’ai utilisés certains soirs de solitude.
J’ai pris le flacon de gel et les deux godes qui étaient là. Un petit et un plus gros.
- Je vois, tu t’es déjà élargi la rondelle. Cela-dit, j’ai fait pareil avec ceux de ma femme les soirs où elle était absente ! On est à égalité.
J’ai pris du gel sur mes doigts et commencé à lui masser le fion. Avec ses mains attachées dans le dos, il était penché la tête dans l’oreiller, et ses fesses se dressaient vers moi.
- Tu as un beau croupion, Arthur, je vais adorer le défoncer.
- Ooh, tu m’excites, c’est dingue, continue, et insulte-moi, aussi.
- Petite pute, tu veux te faire enculer hein. Attends, ça vient.
J’ai d’abord attendri le trou de balle, puis j’ai introduit un doigt, puis deux, les faisant tourner pour l’élrgir, puis les enfonçant bien. Arthur a commencé à se trémousser.
- Tu aimes ça, cochon, un bon doigt dans ta chatte de mec.
Puis j’ai pris le petit gode et l’ai inséré dans l’anus.
J’étais tout raide de voir ce mec s’offrir à mes attouchements.
Ensuite, j’ai pris le plus gros. Je l’ai huilé et il est entré lentement, écartant les chairs du tunnel.
- Je vois que tu l’as déjà testé celui-là aussi, on dirait que ton conduit se souvient de son diamètre.
- C’est mon préféré, je me gode avec de temps en temps.
Pendant que je le limais, j’ai attrapé son chibre pour le masturber en même temps. Il aimait ça visiblement, mais la position n’était pas idéale.
- Mets-toi sur le dos, je vais te détacher les mains.
Il s’est retourné et a écarté et levé les jambes, tenant ses genoux avec ses mains.
Je lui ai remis le gros gode, et en même temps je le suçais. J’ai adoré ce moment, d’avoir un homme à qui je donnais du plaisir. Alors tout à coup, je me suis approché de lui et je l’ai embrassé. Là, c’était furieusement chaud. Jamais nous n’avions embrassé un homme, et pourtant nous l’avons fait naturellement, tendrement et sensuellement, cherchant nos langues, et avec fougue aussi, l’un et l’autre tentant de pénétrer la bouche de l’autre autant que possible.
Puis je suis redescendu lui lécher les couilles tout en insérant l’olisbos.
- Prends-moi, encule moi maintenant, je veux sentir ton membre en moi a-t-il susurré.
- Je viens, traînée, je vais te pénétrer enfin.
Il a souri sous l’insulte
- Oui, je suis ta pute, ta traînée, ta chienne, enfile-moi bien fort.
En le regardant dans les yeux, j’ai mis un préservatif, posé mon gland à l’orée de son anus, je l’ai enduit de gel, et je l’ai enculé.
Ahhh, cette première sodomie d’un homme, quelle joie, quelle sensation. Pas tant physique, j’avais déjà pris ma femme ainsi, mais intellectuellement, d’assouvir un fantasme, de voir un garçon prendre son pied avec ma queue en lui.
J’y suis allé doucement au début, mais il m’a demandé d’accélérer, et lui tenant les jambes, je l’ai ramoné vigoureusement. Il se caressait le mandrin en même temps, et c’était beau.
- Prends-moi en levrette, je veux que tu voies mon cul jouir.
Il s’est à nouveau mis en position, et je l’ai repris fortement, ses hanches dans mes mains, et il se lançait vers mon phallus. Ce fut une belle chevauchée !

A force de le voir prendre du plaisir ainsi, de l’entendre bramer, l’envie m’est venue de ressentir la même chose.
J’ai fini par éjaculer, poussant tant que je pouvais pour atteindre le fond du conduit.

On s’est écroulés sur le lit en riant, tant c’était bon et nous étions heureux de cette séquence, d’avoir exploré cette envie commune.
Je l’ai pris dans mes bras, et l’ai embrassé à nouveau.
- Tu m’as bien fait jubiler, et je voudrais que ce soit toi maintenant qui me prenne.
- Tu es sûr ? Tu es le dominant, je ne sais pas si je pourrai.
- Je le veux, petit paillard, tu restes un mâle qui chassait les femmes il y a une heure à peine, tu te souviens ? Donc tu vas m’assouplir l’œillet comme je te l’ai fait, puis me dilater et me prendre le fondement. Mais d’abord, tu vas me lécher la rosette.
- Comme tu veux, Steve.
A mon tour, je me suis mis en position impudique, offrant mon postérieur à ses doigts agiles qui m’ont huilé, écarté, ont forcé le sphincter, se sont enfouis en moi. Les godemichés ont pris la suite, et j’ai adoré ces pénétrations lentes.
Enfin, après que je lui ai à nouveau taillé une pipe pour le rendre bien ferme, il m’a enculé.

Ahhh, j’aime ça, je l’avoue, se sentir envahi par un nœud puissant, large, qui vous viole l’intimité rectale. Et Arthur à un engin de toute beauté.
Me sentir un petit mignon, une pucelle soumise, offrir mon fourreau à la lame du mâle, j’aime ça.

Je l’entendais ahaner dans mon dos, donnant toute sa puissance pour me ravager les intestins, pour tenter d’atteindre ma prostate pour qu’elle exprime le dernier jus qu’elle avait gardé.
J’ai gémi sous les coups de boutoirs, mais je l’encourageais.
- Petite pute, fourre-moi, encore, plus fort, ahhh, tu es une bonne chienne qui stimule son Maître, oooh, je te sens, ton dard me vrille, c’est trop fort.
Il a perdu toute retenue, et mon orifice n’était plus qu’extase sous l’impétuosité de ses assauts.
Enfin, dans un dernier élan, il s’est planté au fond de ma gaine et à giclé son foutre dans un cri hystérique.

Allongés sur le lit, étendus l’un à côté de l’autre, nous avons repris notre respiration. Puis sa main est venue chercher la mienne. Nos doigts se sont entremêlés. Il s’est tourné vers moi et m’a chuchoté.
- Je recommencerais bien un de ces jours, qu’en penses-tu ?
- La prochaine fois, c’est toi qui t’habilleras en femme, gredin, et moi je te draguerai avant de t’embrocher.
- Comme tu voudras, je suis ton soumis
- Non, je ne te veux pas soumis, je te veux coquin, canaille, mâle aussi parfois, mais essentiellement comme une femme débauchée, dévergondée, qui s’offre à son homme sans pudeur.
- Tu es mon homme alors.

Depuis, j’ai un peu oublié de suivre ma femme.
Nous regardons souvent ensemble cette vidéo de notre première baise.
On remet le couvert.
Et j’enfile Arthur.

Mais cela ne m’a pas éloigné des femmes, vous le verrez prochainement. Disons que j’ai une corde de plus à mon arc. Un arc bien bandé bien sûr…..

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
salut tres belle histoire de sexe de découverte d emotion vivement la suite bisous

Histoire Libertine
les mecs vous tous pareils, dés que vous en avez la possibilité vous êtes pire que les femmes,on goute au gode et on veut passer à l'étape suivante, avec mon conjoint idem!!amusez vous bien les femelles!!



Texte coquin : EN FILATURE
Histoire sexe : Une rose rouge
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