Un été à la campagne – 3

- Par l'auteur HDS Zootman -
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un été à la campagne – 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2014 dans la catégorie Plus on est
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(8.3 / 10)
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Un été à la campagne – 3
J’ai finalement décidé de faire un petit montage vidéo avec mes trois vues, de quelques minutes, ne gardant que les moments les plus significatifs des ébats des deux compères.
J’en ai fait parvenir à chacun une copie, avec un petit mot : « rendez-vous à l’hôtel Z, chambre 215, dans la ville de G. le 24 août prochain (à 22h30 pour lui, 22h45 pour elle). Si vous n’êtes pas là, des photos seront envoyées à vos proches. Ne prenez plus contact avec votre amant(e) à partir de maintenant, qui n’est pas au courant. Prévoyez de passer la nuit sur place. Montez directement à la chambre en arrivant, sans passer par la réception».
J’avais laissé quelques jours de battement pour qu’ils s’organisent. Je les épiais pendant ces quelques jours. Visiblement, ils semblaient chacun un peu inquiet, et surtout à l’idée que l’autre les contacte. Bien sûr, il n’y avait pas de risque !
Le jour dit, j’avais donc réservé une grande chambre dans un des beaux hôtels de G., suffisamment loin de C. pour qu’ils ne soient pas connus.
J’avais repéré que de la salle de bain, on pouvait voir dans la chambre sans être vu. Je m’étais caché là.
A 22h30 précises, le maire est entré dans la chambre, regardant autour de lui s’il voyait quelqu’un. J’avais prévu un petit haut-parleur.
- Bonjour Monsieur le maire, bienvenue. Obéissez-moi et tout se passera bien.
- Qui êtes-vous, petit salaud, montrez-vous que je vous casse la gueule.
- Ne vous énervez pas, vous allez bientôt avoir de la visite, alors ne perdez pas de temps. Déshabillez-vous, asseyez-vous dans le fauteuil dans le coin et prenez le bandeau sur l’accoudoir pour masquer vos yeux. Je veux que vous ne puissiez rien voir.
- Tu ne perds rien pour attendre, mon gars, ce que tu fais est dégueulasse.
- Mais non, vous verrez, ne soyez pas si tendu, tout va bien se passer. Faites ce que je vous dis. Vite ! Ma voix était devenue plus directe, un peu menaçante.
Gérard s’est foutu à poil et s’est assis comme demandé.

A peine était-il assis que Louise pénétrait dans la chambre, l’air aussi préoccupé.
- Entrez, faites juste un pas et taisez-vous. On vous attend et on ne doit pas vous reconnaître de suite. Tous les deux, taisez-vous tant que je ne vous autorise pas à parler. Sinon, les vidéos seront chez René dès demain matin. Faites un geste de la tête pour me dire que vous avez compris.

Louise et Gérard ont obtempéré.
- C’est bien, vous comprenez vite. Maintenant, invitée n° 2, déshabillez-vous totalement et mettez le bandeau qui est à côté de vous sur vos yeux.
Elle s’est désapée.
- C’est bien, vous ne voyez rien et la personne qui vous attend non plus.
- Avancez de deux pas. Tournez-vous vers la droite, c’est bien, faites deux pas. Là, stop !
- Premier invité, prenez votre queue dans votre main droite. Branlez-vous un peu pour faire durcir votre bel engin.
- Invitée n° 2, vous venez de comprendre que c’est un homme qui vous attend. Agenouillez-vous. Là, oui, avancez un tout petit peu. Parfait.
- Penchez la tête. Oh, mais oui, c’est bien une bite qui ouvre vos lèvres. Prenez-là dans votre bouche et sucez-la.
- Bien, bien, vous êtes une bonne suceuse, cette queue vous plaît ? Vous avez le droit de me répondre en continuant de sucer.
- MMMM, mais c’est la bite de Gérard, je la reconnais, il n’y en pas deux comme elle !
- Mais oui, c’est bien elle. Et vous Gérard, vous reconnaissez qui vous suce ?
- C’est Louise, petit saligaud, je reconnais son talent !
- Eh bien puisque vous vous êtes reconnus et que je sais que vous aimez baiser, allez-y, mais sans enlever vos bandeaux.

Louise s’est relevée, cherchant le visage de Gérard de ses mains. Puis elle s’est approchée et l’a embrassé goulument.
- Faisons ce qu’il dit, après tout, nous aimons ça non ?
- Oui, mais là, c’est un peu spécial non ?
- Et alors, visiblement, il nous a déjà vus, donc il sait tout.
- Tu as raison. Suce-moi encore.
Louise a repris la hampe et sa fellation, les grognements de Gérard ont commencé à se faire entendre.
Quand j’ai senti qu’ils allaient bientôt m’oublier, j’ai dit : - Stop, Louise. Relevez-vous, tournez-vous sur la gauche, avancez jusqu’à toucher le lit. Puis mettez-vous dessus à quatre pattes.
- Gérard, rejoignez-là et quand vous toucherez le sommier, prenez-lui son cul et fourrez-y votre langue.
Peu après, j’avais une vision du postérieur de Louise offert aux assauts du maire, qui prenant à cœur mes instructions, lui mouillait copieusement la raie, l’anus, la chatte. Je commençais à bander sérieusement.
- Bien, c’est très beau ce que vous faites, je vois que vous y prenez du plaisir, c’est fait pour !
- Tu es un enfoiré, mais je reconnais que cela m’excite de sucer Louise les yeux bandés.
- Et moi, j’adore que tu m’humidifies la raie ainsi.
Je les ai laissés un petit moment, je les voyais très excités maintenant.
- Gérard, tu vas monter sur le lit par le côté, t’allonger sous Louise, et venir la baiser maintenant.
Il s’est mis en position, a attrapé les hanches de la boulangère, l’a pénétrée d’un coup et a entamé son va et vient.
Louise couinait de plaisir sous les assauts du maire.
- Vous pensez bien tous les deux que je ne vous ai pas fait venir juste pour vous mater ! Je vais en profiter un peu moi aussi, mais si vous enlevez vos bandeaux, je diffuse la vidéo, vu ?
- Oh, Gérard, laissons le faire, je suis super excitée, et je n’ai jamais eu deux hommes pour moi.
- Il m’excite bien aussi ce morpion, allez, vas-y.
Je suis sorti de la salle de bain, mon membre dur en avant, me suis approché du lit, suis monté dessus. J’avais le trou de Louise sous les yeux. J’ai craché dessus pour l’humecter, et posé mon gland au bord.
- Gérard, il va m’enculer ! Oh, une double pénétration, j’en rêve depuis que je suis adolescente ! Oui, encule-moi, que je sente vos deux gourdins.
- Puisque madame le demande, a souri Gérard.

Alors j’ai pénétré dans Louise, mon chibre a passé l’anneau puis s’est enfoncé dans ce postérieur magnifique.
Louise est venue autant que possible à ma rencontre, pendant que Gérard attendait que je sois installé pour reprendre son coït.
- Ahhhh, il est au fond ! Gérard, il a une belle queue aussi notre bourreau, pas aussi grosse que la tienne, mais il me remplit bien.
- Je le sens aussi. Tu es prête pour le grand jeu ?
- Ouiiii, allez-y, bourrez-moi bien tous les deux.
Et la chevauchée sauvage a débuté. Ce n’étaient plus qu’ahanements, grognements, cris de plaisir.
La boulangère écartelée n’en pouvait plus.
- Ahhh, c’est bon, vos pieux me transpercent, ouiiiiiiii, aaaaaaaaaaah, au fond, tous les deux, ouiiiiiiiii, aaannn, baisez-moi, enculez-moi, oh, encore…..
A chaque fois que je sentais le jus monter, je ralentissais pour profiter encore de ce derche. Sentir que je donnais du plaisir à ces deux-là était en soi aussi jouissif que de profiter du fondement convoité.

Au bout d’un quart d’heure, j’ai senti Gérard se contracter pour lâcher sa purée, alors j’ai accéléré ma cadence pour le rejoindre. La boulangère est partie dans un long râle et nous nous sommes tous les deux vidés dans ses entrailles.

Louise s’est écroulée sur Gérard, et moi sur elle, puis j’ai glissé à côté d’eux.
- Alors, les amants de C., on se dévergonde à ce que je vois.
- Salopard, tu nous as bien fait jouir avec tes conneries !
- Mais oui, Gérard, et ce n’est pas fini, tu vas voir. Mais reposons nous un peu.

Je leur ai servi un jus de fruit, quelques biscuits. Ils étaient toujours aveugles mais ne s’en formalisaient plus, soumis au jeu que j’avais imaginé.

- Bon, on va reprendre, mes amis. Louise, il faut me rendre dur à nouveau. Venez me sucer.
Elle s’est approchée tant bien que mal, me cherchant à tâtons, puis une fois l’objet trouvé, l’a embouché divinement.
- Gérard, pendant ce temps-là, allez-vous étendre sur le dos sur le lit, les jambes pendantes vers le sol.
- Qu’est-ce que tu veux faire toi ?
- Silence, Gérard, tu sais maintenant que je suis là pour votre plaisir et vous faire dépasser quelques limites. Ce que Louise à bien apprécié je crois.
- Gérard, fais ce qu’il dit, au point où on en est !
Gérard s’est installé, et Louise a repris sa succion sur ma tige, lui redonnant de la vigueur. Un fois raide, j’ai aidé Louise à se relever, à monter sur le lit, et à poser sa belle foufoune sur le nez de Gérard.
- Tu sens cette moule qui n’attend qu’une chose, Gérard ? Ne la fait pas attendre.
Il a sorti sa langue pour laper la fente.
Moi j’ai pris un peu de gel et j’ai commencé à masser la queue et le petit œillet de Gérard.
- Eh, qu’est-ce que tu fais, je ne suis pas homo moi.
- Mais non, pas besoin d’être homo pour aimer se faire enculer. TU vas voir, c’est divin.
- Non, non, mais non !
- Louise, expliquez-lui qu’il n’a aucune chance d’y échapper.
- Gérard, sois sage, tu m’encules bien toi, alors pour une fois tu vas comprendre pourquoi il faut y aller en douceur. Et puis cela m’excite à mort de penser qu’il va t’enculer.
- Tu vois, Gérard, sois un bon garçon.
Vaincu, il m’a laissé lui enduire le trou de lubrifiant et lui relever les jambes pour que je puisse m’approcher. Il a bien eu un petit recul quand j’ai posé ma bite sur son trou, mais finalement, je suis entré en lui comme dans du beurre.
- Dis donc, c’est pas trop serré par ici, tu es sûr que tu n’as jamais inséré d’objet dans ton cul ?
- Euh, c’est vrai, cela m’arrive de temps en temps- Gérard, mais tu es encore plus cochon que j’imaginais, à rit Louise, tu vas voir, je vais t’enculer aussi moi la prochaine fois.
- Je n’osais pas te le demander, je suis le maire quand mêmeLes laissant à leurs constatations, j’ai limé le conduit de Gérard, allant bien lui chatouiller la prostate, ressortant et le pénétrant à nouveau fortement.
J’avais pris son mandrin en main et le branlais tout en l’enculant.
J’étais vraiment aux anges, ma bite au chaud, les seins énormes de Louise palpitant devant moi, et une belle asperge à astiquer.

Tant et si bien qu’à force, Gérard a giclé sur son ventre, Louise, mouillant tant et plus a lâché un flot de mouille sur le nez de son amant, et moi j’ai enduit de foutre l’intérieur de Gérard.

- Merci, mes amis, merci pour ce doux moment. Vous avez suivi mes instructions à la lettre, vous avez été épatants, j’ai joui comme rarement, aussi, maintenant, vous pouvez être tranquilles, les vidéos resteront pour toujours dans mon ordinateur. Je vais vous laisser.
Vous avez la nuit devant vous pour partager encore plein de choses.
Je crois que c’était une demande de Louise d’avoir un long moment pour vous deux.
Je vous l’offreAdieu….

Je me suis rhabillé. Au moment de fermer la porte de la chambre, je les ai entendus me dire ensemble : Merci monsieur l’inconnu.


Ce fut un bel été, vraiment. La routine du boulot a repris, alors quand j’ai un peu le blues, je vais sur mon PC et je revois ce doux moment.
Ah, oui, parce que là aussi j’avais mis des caméras.

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