Surpris – 2
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Surpris – 2
Bonjour a toutes et tousAprès une longue absence, voici la suite de "Surpris" que je vous invite à (re)lire avant cette suite (mais pas indispensable non plus :)Zootman
Cette première séance avec Awa m’avait enflammé les sens et j’attendais avec impatience son retour la semaine suivante. Comme chez moi la relation avec ma femme était tendre mais quasiment non sexuée, vous comprendrez que cette opportunité soudaine d’avoir une relation sexuelle torride me vrillait le cerveau.
Mardi soir, donc, je l’attendais, espérant pouvoir recommencer nos ébats. Elle est arrivée à l’heure habituelle mais, à ma grande déception, elle était accompagnée d’une collègue. Je voyais mes espoirs d’une séance de baise compromis. Elle m’a salué comme d’habitude, bien poliment, et m’a présenté sa collègue Aminata. Jolie fille au demeurant, mais bon, c’était Awa que je voulais !
Celle-ci m’a expliqué que son patron avait demandé à ce que le travail soit fait plus rapidement cette semaine du fait d’un nouveau client ponctuel, et qu’il avait constitué des équipes de deux. J’ai bien vu son gentil sourire et ses yeux qui me disaient sa propre déception. Aussi, j’ai acquiescé et suis retourné travailler dans mon bureau, déconfit.
Je les entendais travailler dans les autres bureaux, et attendais le moment ou Awa viendrait prendre ma poubelle pour avoir un moment seul avec elle. Mais c’est Aminata qui est venue, et qui m’a fait un grand sourire et entrant dans mon bureau. Je la regardais à peine, déçu toujours.
Elle a pris la poubelle, l’a vidée dans un grand sac, puis m’a dit : « Monsieur vous avez l’air triste. Y a-t-il quelque chose que nous pourrions faire pour que ça aille mieux ? ». Je l’ai regardée, les yeux sûrement dans le vague. Comment lui dire que j’aurais voulu être seul avec Awa ? Elle a souri encore et a lancé : « Awa, le patron là n’est pas bien, il faut venir voir et m’aider à le réconforter ».
Alors Awa s’est présentée à la porte de mon bureau….totalement nue !
Mes yeux sont sortis de leurs orbites et j’ai dû avoir une tête étonnée tellement tordante qu’elle a éclaté de rire en s’approchant. Je ne la quittais pas des yeux, mais quand même, j’ai voulu voir la réaction d’Aminata. Elle s’était mise nue aussi, et rigolait comme sa copine.
« Chéri, je t’ai fait une petite surprise » a gloussé Awa, « et on va continuer. Reste assis et regarde ».
Elle s’est approchée d’Aminata et toutes deux, devant mon bureau, ont commencé à s’enlacer, à faire courir légèrement leurs mains sur les épaules, les courbes, le visage de l’autre, puis à s’embrasser.
Enfin revenu de ma surprise, je les regardais, comme dans un rêve toutefois. Ce retournement de situation, il fallait le digérer ! Mais bon, un mec affamé comme moi ne pouvait que réagir positivement et rapidement. Je me suis donc calé dans mon fauteuil et j’ai dégusté le spectacle.
A force de bécoter, je sentais que les filles s’échauffaient et leurs caresses devenaient plus appuyées et localisées.
Et moi j’avais la queue qui se dressait a mortCes deux cochonnes se malaxaient les seins, puis leurs chattes luisantes, en s’embrassant.
Elles se sont assises sur la moquette puis se sont rapprochées pour une séquence de minou contre minou des plus rafraichissantes ! Je me suis rapproché et j’ai enfourné mon membre dans la bouche d’Aminata qui l’a accueillie profondément tout en se contorsionnant pour que sa fente soit en contact avec celle d’Awa.
Puis je suis allé rejoindre la bouche d’Awa qui ma sucé divinement.
Soudain, elle m’a lâché la queue pour lancer un long cri de jouissance, Aminata n’étant pas en reste, leurs clitos gonflés s’étant tant et tant frottés qu’ils les avaient menées à l’orgasme.
Pour autant, elles ne se sont pas ramollies !
Juste après, Aminata s’et relevée et m’a embrassé, pendant qu’Awa à genoux me suçait. Je pétrissais un sein d’Awa et de l’autre main, j’essayais d’atteindre l’abricot sensible d’Aminata. Quand j’ai réussi à atteindre sa fente, elle a gémi tant la précédente jouissance était proche, mais elle m’a susurré : « continue, c’est trop bon ».
Puis Awa s’est levée et m’a, à son tour, embrassé lentement, Aminata étant passée dans mon dos et se livrant à la découverte de mon cul, le palpant, le léchant, écartant ma raie, insinuant sa langue, et bientôt titillant mon œillet.
Je lui tendais mes fesses tant c’était doux.
Awa s’était remise à genoux pour me sucer, et j’avais donc ces deux femmes qui me léchaient le bas du dos, devant –derrière, comme deux soumises devant leur maître. Je devais comprendre plus tard que cette vision était un fantasme mais en aucun cas un avant-goût de la réalité !
Je n’allais pas tarder à exploser et j’avais envie de baiser ces deux chaudasses. Je leur ai demandé de se mettre à quatre pattes, côte à côte. J’ai approché ma queue de la fente d’Aminata que je voulais découvrir. Je me suis enfoncé lentement, sentant s’écarter son vagin bien humide. Ca coulissait tout seul ! Je l’ai limée un moment, avant de m’attaquer à la chatte d’Awa. Celle-là, je la savais chaude et juste dimensionnée pour ma bite dure. Je les ai ainsi baisées l’une après l’autre, allant, venant, puis les enculant tour à tour, la première fois sur Aminata en faisant comme si j’avais dérapé…« Salaud » m’a-t-elle lancé, « tu aurais pu prévenir… ohhh mais ooohh, oui, continue, enfonce toi dans mon cul, ah je la sens trop bien ta queue, ahh ahh » et ainsi de suite tant que je l’enculais.
Awa a été moins volubile mais elle connaissait déjà le gourdin.
A force, j’ai lâché mon foutre sur le cul de mes belles, dans un râle de mâle assouvi.
Elles se sont retournées, m’ont léché le jonc pour le nettoyer.
Puis je les ai fait asseoir chacune sur un siège, et je les caressées de la bouche, lentement, alternativement. J’adore entendre une femme gémir sous ma langue, alors deux !
J’ai inséré un doigt, puis deux, dans leurs chattes bien ouvertes déjà, et je les ai branlées doucement. Enfin, titillant leur clitoris, j’ai fait monter leur plaisir ensemble, et quand elles ont crié leur jouissance simultanément, j’étais le plus heureux des hommes.
Epuisés, nous avons fini de ranger le bureau ensemble et chacun est reparti chez lui.
J’ai promis que la prochaine fois, on se verrait dans un endroit plus cosy que mon bureau.
Cette première séance avec Awa m’avait enflammé les sens et j’attendais avec impatience son retour la semaine suivante. Comme chez moi la relation avec ma femme était tendre mais quasiment non sexuée, vous comprendrez que cette opportunité soudaine d’avoir une relation sexuelle torride me vrillait le cerveau.
Mardi soir, donc, je l’attendais, espérant pouvoir recommencer nos ébats. Elle est arrivée à l’heure habituelle mais, à ma grande déception, elle était accompagnée d’une collègue. Je voyais mes espoirs d’une séance de baise compromis. Elle m’a salué comme d’habitude, bien poliment, et m’a présenté sa collègue Aminata. Jolie fille au demeurant, mais bon, c’était Awa que je voulais !
Celle-ci m’a expliqué que son patron avait demandé à ce que le travail soit fait plus rapidement cette semaine du fait d’un nouveau client ponctuel, et qu’il avait constitué des équipes de deux. J’ai bien vu son gentil sourire et ses yeux qui me disaient sa propre déception. Aussi, j’ai acquiescé et suis retourné travailler dans mon bureau, déconfit.
Je les entendais travailler dans les autres bureaux, et attendais le moment ou Awa viendrait prendre ma poubelle pour avoir un moment seul avec elle. Mais c’est Aminata qui est venue, et qui m’a fait un grand sourire et entrant dans mon bureau. Je la regardais à peine, déçu toujours.
Elle a pris la poubelle, l’a vidée dans un grand sac, puis m’a dit : « Monsieur vous avez l’air triste. Y a-t-il quelque chose que nous pourrions faire pour que ça aille mieux ? ». Je l’ai regardée, les yeux sûrement dans le vague. Comment lui dire que j’aurais voulu être seul avec Awa ? Elle a souri encore et a lancé : « Awa, le patron là n’est pas bien, il faut venir voir et m’aider à le réconforter ».
Alors Awa s’est présentée à la porte de mon bureau….totalement nue !
Mes yeux sont sortis de leurs orbites et j’ai dû avoir une tête étonnée tellement tordante qu’elle a éclaté de rire en s’approchant. Je ne la quittais pas des yeux, mais quand même, j’ai voulu voir la réaction d’Aminata. Elle s’était mise nue aussi, et rigolait comme sa copine.
« Chéri, je t’ai fait une petite surprise » a gloussé Awa, « et on va continuer. Reste assis et regarde ».
Elle s’est approchée d’Aminata et toutes deux, devant mon bureau, ont commencé à s’enlacer, à faire courir légèrement leurs mains sur les épaules, les courbes, le visage de l’autre, puis à s’embrasser.
Enfin revenu de ma surprise, je les regardais, comme dans un rêve toutefois. Ce retournement de situation, il fallait le digérer ! Mais bon, un mec affamé comme moi ne pouvait que réagir positivement et rapidement. Je me suis donc calé dans mon fauteuil et j’ai dégusté le spectacle.
A force de bécoter, je sentais que les filles s’échauffaient et leurs caresses devenaient plus appuyées et localisées.
Et moi j’avais la queue qui se dressait a mortCes deux cochonnes se malaxaient les seins, puis leurs chattes luisantes, en s’embrassant.
Elles se sont assises sur la moquette puis se sont rapprochées pour une séquence de minou contre minou des plus rafraichissantes ! Je me suis rapproché et j’ai enfourné mon membre dans la bouche d’Aminata qui l’a accueillie profondément tout en se contorsionnant pour que sa fente soit en contact avec celle d’Awa.
Puis je suis allé rejoindre la bouche d’Awa qui ma sucé divinement.
Soudain, elle m’a lâché la queue pour lancer un long cri de jouissance, Aminata n’étant pas en reste, leurs clitos gonflés s’étant tant et tant frottés qu’ils les avaient menées à l’orgasme.
Pour autant, elles ne se sont pas ramollies !
Juste après, Aminata s’et relevée et m’a embrassé, pendant qu’Awa à genoux me suçait. Je pétrissais un sein d’Awa et de l’autre main, j’essayais d’atteindre l’abricot sensible d’Aminata. Quand j’ai réussi à atteindre sa fente, elle a gémi tant la précédente jouissance était proche, mais elle m’a susurré : « continue, c’est trop bon ».
Puis Awa s’est levée et m’a, à son tour, embrassé lentement, Aminata étant passée dans mon dos et se livrant à la découverte de mon cul, le palpant, le léchant, écartant ma raie, insinuant sa langue, et bientôt titillant mon œillet.
Je lui tendais mes fesses tant c’était doux.
Awa s’était remise à genoux pour me sucer, et j’avais donc ces deux femmes qui me léchaient le bas du dos, devant –derrière, comme deux soumises devant leur maître. Je devais comprendre plus tard que cette vision était un fantasme mais en aucun cas un avant-goût de la réalité !
Je n’allais pas tarder à exploser et j’avais envie de baiser ces deux chaudasses. Je leur ai demandé de se mettre à quatre pattes, côte à côte. J’ai approché ma queue de la fente d’Aminata que je voulais découvrir. Je me suis enfoncé lentement, sentant s’écarter son vagin bien humide. Ca coulissait tout seul ! Je l’ai limée un moment, avant de m’attaquer à la chatte d’Awa. Celle-là, je la savais chaude et juste dimensionnée pour ma bite dure. Je les ai ainsi baisées l’une après l’autre, allant, venant, puis les enculant tour à tour, la première fois sur Aminata en faisant comme si j’avais dérapé…« Salaud » m’a-t-elle lancé, « tu aurais pu prévenir… ohhh mais ooohh, oui, continue, enfonce toi dans mon cul, ah je la sens trop bien ta queue, ahh ahh » et ainsi de suite tant que je l’enculais.
Awa a été moins volubile mais elle connaissait déjà le gourdin.
A force, j’ai lâché mon foutre sur le cul de mes belles, dans un râle de mâle assouvi.
Elles se sont retournées, m’ont léché le jonc pour le nettoyer.
Puis je les ai fait asseoir chacune sur un siège, et je les caressées de la bouche, lentement, alternativement. J’adore entendre une femme gémir sous ma langue, alors deux !
J’ai inséré un doigt, puis deux, dans leurs chattes bien ouvertes déjà, et je les ai branlées doucement. Enfin, titillant leur clitoris, j’ai fait monter leur plaisir ensemble, et quand elles ont crié leur jouissance simultanément, j’étais le plus heureux des hommes.
Epuisés, nous avons fini de ranger le bureau ensemble et chacun est reparti chez lui.
J’ai promis que la prochaine fois, on se verrait dans un endroit plus cosy que mon bureau.
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