Acteur porno 01 Rôles explicites
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Acteur porno 01 Rôles explicites
Acteur porno 01Rôles explicites
Louis faisait de la musculation tous les jours. Il voulait avoir un corps parfait. Il était passé ce matin là et avait fait une séance un peu plus longue que d'habitude. Là il venait de sortir de la douche et il admirait son corps dans un miroir. Il était musclé, totalement épilé, une belle grosse queue, il mesurait son mètre quatre vingt, carré mais pas trop, une belle grosse queue ( ah ! je l'avais déjà dit, oui mais c'est qu'il y revenait ).
Il finissait par se rhabiller, il surveillait l'heure, il avait un rendez-vous important.
Il avait de l'allure. Belle gueule, mince, musclé, et bien monté, il espérait qu'avec ces qualités de base il avait une chance de faire carrière. Le rendez-vous était dans une villa moderne dans la périphérie de la ville, un quartier résidentiel très chic. Il sonnait à la grille.
On le faisait entrer dans un salon, il y avait plusieurs caméras installée qui étaient toute orientées vers le centre du canapé.
Un homme se présentait.
– Bonjours je m'appelle René, directeur des production Réné Porno Vidéo. Je vois que tu connaît déjà Benoît, en montrant de la main son camarade qui l'avait introduit.
Benoît s'éloignait et s'installait devant les écrans de contrôle, René faisait connaissance avec son hôte. Il l'invitait à s'installer confortablement sur le canapé, les caméras tournaient. Benoît ne disait plus rien et ne se faisait pas remarquer.
– Bien pour commencer. Tu t'appelles comment ?
– Rock Hard ! Mon vrai prénom c'est Louis, mais je pense que Rock … Ce serait mieux.
– Rock donc, ça devrait pourvoir le faire. Tu mesures combien ?
– Vingt deux centimètres.
– C'est très bien ça !
La discussion n'était en fait qu'un questionnaire sur les qualités professionnelles. De toutes évidences, il en avait de belles. De belles qualités professionnelles je veux dire. René remplissait un petit questionnaire, il jetait un œil à son complice Benoît pour avoir son avis. D'un geste Benoît lui répondait, lui indiquant que le nouveau passait très bien à l'écran.
– Bien, tout ça se présente bien. Tu pourrait retirer ta chemise qu'on voit un peu à quoi tu ressembles torse nue.
Rock s'exécutait sans sourciller, il avait une très belle carrure, René et Benoît se rinçaient l’œil. René l'invitait ensuite à retirer le reste de ses vêtements.
C'est entièrement nu que le nouveau candidat se retrouvait au milieu du salon. Il en avait une belle en effet, une belle grosse queue se balançait devant lui, il en avait une belle, comme il l'avait dit. Oui je sais je me répète mais ça laisse rêveur tout ça ...
– Et en érection, ça nous donne quoi ? Demandait René.
Il suffisait de demander, Rock, enfin Louis, se masturbait et rapidement il montrait une très belle érection. Sa queue mesurait bien la taille indiquée, elle était large et bien droite, il était circoncis. Il avait parfaitement compris l'importance de ce rendez-vous et jouait le jeux autant qu'il le pouvait. Il se donnait en spectacle.
René et Benoît étaient très professionnels mais comme ils étaient également un peu vicieux, ils en profitaient et tous les deux bandaient.
– Avec une telle queue tu es actif mais, passif également ?
– Je donne dans les deux sens, sauf avec les filles. Sinon actif passif, j'aime bien être passif.
– Voyons ce que tu es capable de te prendre dans le cul.
René proposait à Louis un lot de godes. Le plus gros était un peu plus gros que la queue de Louis et, bien sûr, c'est celui-ci qu'il choisissait. René lui tendait le gel lubrifiant. A la base du gode, il y avait une sorte d'étranglement qui faisait qu'il pouvait tenir comme un plug. La différence avec le plug, c'était la taille, la longueur, la largeur et la forme ( ? ) … J'ai comme l'impression d'avoir dit une connerie là, en fait ça ne ressemblait absolument pas à un plug, mais ça marchait pareil …
C'est tout en continuant à discuter avec René que Louis lubrifiait longuement le gode, se le posait sur le cul, il se retournait pour la caméra, Benoît était en première place quand Louis poussait sur le gode. Il ne fallait que quelques secondes pour que son anus se détende, s'écarte et laisse passer le gode, il s'enfonçait rapidement. Louis poussait un gémissement de plaisir, et en un rien de temps le gode avait totalement disparu. Il ne restait que sa base qui ressortait encore.
Ensuite Louis, guidé par René, faisait son numéro. Il se relevait, avec le gode dans le cul, faisait quelques mouvements de gym puis s'asseyait sur le canapé, il gardait les jambes bien écartées, il se masturbait. Il s'installait, se penchait en arrière, on pouvait deviner le gode qui ressortait de son cul, entre ses cuisses.
René ouvrait sa braguette, s'approchait de Louis et recevait un violent coup d'épaule de la part de Benoît qui jouait des coudes pour prendre sa place.
– C' mon tour, c'est moi qui l'essaye celui là ! Râlait Benoît en fusillant du regard René qui ne s'y attendait pas.
René laissait faire, Louis ne comprenait pas tout de suite ce qui se passait mais ne cherchait pas. Benoît lui présentait sa bite, il bandait ferme à ce moment le petit Benoît, Louis sans chercher à comprendre la suçait, et il savait faire ça bien en plus. Benoît gémissait de plaisir.
– Il fait ça bien ? Lui demandait René.
– Oh que oui, oh que oui. Lui répondait Benoît.
Louis faisait ça très bien et comme il fallait qu'il montre ce qu'il savait faire, il se donnait à fond. Il avait passé ses deux mains derrière les cuisses de Benoît et le tirait vers lui. Il avalait sa queue avec aisance, la suçait, la caressait avec sa langue, elle ressortait de sa bouche et y revenait. Et quand elle y revenait, elle venait s'écraser sur le fond de la gorge de Louis.
Benoît prenait la tête de Louis entre ses mains, la retenait fermement et lui balançait quelques violents coups de bassin. René intervenait.
– C'est bon maintenant. Tu peux le lâcher.
– Non, je ne veux pas. Il fait ça trop bien.
– Tu es chiant c'est toujours pareil avec toi.
– Oui, et bien tu peux parler toi. Pour une fois que c'est moi qui peut essayer le candidat, j'en profite.
– Mais enfin on a trois autres candidats cet après midi. Si tu jutes sur la gueule de chacun d'entre eux, tu ne tiendras pas jusqu'au bout.
– A parce que toi tu arrives à tenir peut être.
Ils s'engueulaient, ils s'engueulait mais Louis continuait à sucer Benoît, il ne cherchait pas à comprendre ce qui se passait. On lui avait dit de sucer, il suçait. Si vous vous souvenez de ce ces deux guignols vous devez savoir qu'ils sont toujours comme ça. ( Philippe Ep 33 – David Ep 6 )
René revenait à son bureau et reprenait son discours.
– Il semblerait Louis que tu ais les qualités nécessaires pour ce genre de boulot. Maintenant j'aimerais bien voir ce que ça donne dans le rôle de l'actif …
Benoît lui lançait un regard ravageur.
– Ma pauvre chouquette, tu ne vas pas me dire que tu as peur de te prendre une petite bite dans le cul ? Lançait René à son acolyte Benoît.
– C'était pas prévu ça !
– Arrête de te plaindre, on n'a pas que ça à faire, il y a d'autres candidats, j'aimerais bien avoir terminé avant demain matin.
Louis comprenait qu'il pouvait arrêter de lui sucer la queue. Il se relevait, il y avait cette bite énorme qui se relevait devant lui avec fierté, avec force. Benoît faisait un peu moins le fier à ce moment.
– Il est bien monté ! Faisait remarqué Benoît.
– C'est préférable dans ce métier ! Lui répondait René.
– Je dis ça mais c'est que … Continuait Benoît.
– Bon tu vas te la prendre dans le cul oui ou merde. Je te ferais remarqué que c'est toi qui voulait faire le job aujourd'hui.
Benoît faisait la moue en baissant son pantalon.
– Bien Louis, tu lui défonces le cul sans ménagement, tu me le fais couiner, et surtout ne t'inquiètes pas il adore ça. Même s'il est toujours en train de se plaindre.
Louis acquiesçait de la tête en se lubrifiant la queue. Benoît prenait position, il se retournait et se penchait en avant.
– Tu y vas doucement Louis. Tu ne l'écoutes pas, tu en a une grosse, alors, vas y doucement.
Louis préférait écouter ce que le boss avait demandé, et il avait compris que le boss, c'était René. Il se mettait en place et sans prévenir donnait un violent coup de bassin. Son ventre, s'écrasait en claquant contre les fesses de Benoît qui hurlait de douleur.
Benoît avait le réflexe de se dégager mais Louis avait tout prévu et le retenait avec force par les hanches. Il le tirait vers lui en donnant un second coup de bassin.
– Tu arrêtes de faire des manières s'il te plaît Benoît ? Lui demandait René sur un ton blasé. On travaille ici !
– Je voudrais bien t'y voir.
– C'est toi qui a voulu essayer les candidats aujourd'hui.
Benoît continuait à râler, ce n'était certainement pas que par plaisir, et finissait par demander grâce. Louis marquait une hésitation.
– J'aimerais voir combien de temps tu peux tenir. Lui disait René.
– Tu es vraiment un enfoiré, arrêtez les mecs, j'en peu plus. Braillait Benoît.
Louis ne lâchait rien. Ses coups devenaient de plus en plus violents et de plus en plus rapides. Benoît tentait de retenir Louis en glissant sa main derrière ses fesses mais Louis lui prenait la main et continuait à le buriner.
– Tu as encore les yeux plus gros que le ventre mon pauvre Benoît.
Là Benoît ne répondait pas, il avait le visage tout rouge, il faisait une grimace à faire peur. Il dégustait le pauvre mais on pouvait se demander s'il appréciait vraiment.
Au bout de plus d'un quart d'heure, Louis ne faiblissait pas.
– Tu m'as l'air endurant, dis donc. Faisait remarquer René.
– Je peux tenir comme ça pendant encore un long moment, tu veux voir ? Rajoutait Louis.
– Non, je t'en prie, c'est bon, là j'en peux plus , c'est bon … Suppliait Benoît.
– Bon allez on va abréger ses souffrances. Concluait René.
– Je l'achève ? Demandait Louis.
– Non ! hurlait Benoît.
– En plus tu as de l'humour … Rajoutait René.
Louis se retirait sans prévenir, il bandait ferme. Il prenait une serviette en papier et s'essuyait longuement. Benoît s'en allait en râlant.
– René je te hais. Non mais tu as vu la queue qu'il a le mec, plus de vingt centimètres sur pas loin de six de large …– Vingt deux sur presque sept … Précisait Louis.
– Je te préviens René si jamais tu me refais le coup encore une fois, je te quitte. Tu ne me feras plus jamais un coup pareil !
Il était un peu colère le Benoît. René indiquait la salle de bain à Louis pour lui donner le loisir de se laver. Benoît avait disparu.
– Je vais certainement te recontacter. Expliquait René à Louis qui revenait de la salle de bain.
Il n'avait pas éjaculé et était toujours entièrement nu. Une queue énorme pendait lourdement devant lui, il avait l'air d'en être fier.
– Je me contrôle parfaitement, je peux limer un mec comme ça pendant une heure … S'il peut tenir le coup !
– Je vais te faire un chèque, comme tu sais le film d'essais peut être commercialisé donc je te paye, c'est normal.
– Ils ne le font pas tous. Lui répondait Louis.
Louis se rhabillait, il prenait son chèque, signait le contrat de principe et saluait son hôte.
– Benoît, tu pourrais raccompagner notre nouvel étalon, je crois qu'on va le revoir celui-là … BENOIT !
Benoît ne répondait pas !
– BENOIT ? … Je ne sais pas ou il est passé l'animal. Je te raccompagne …
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Louis faisait de la musculation tous les jours. Il voulait avoir un corps parfait. Il était passé ce matin là et avait fait une séance un peu plus longue que d'habitude. Là il venait de sortir de la douche et il admirait son corps dans un miroir. Il était musclé, totalement épilé, une belle grosse queue, il mesurait son mètre quatre vingt, carré mais pas trop, une belle grosse queue ( ah ! je l'avais déjà dit, oui mais c'est qu'il y revenait ).
Il finissait par se rhabiller, il surveillait l'heure, il avait un rendez-vous important.
Il avait de l'allure. Belle gueule, mince, musclé, et bien monté, il espérait qu'avec ces qualités de base il avait une chance de faire carrière. Le rendez-vous était dans une villa moderne dans la périphérie de la ville, un quartier résidentiel très chic. Il sonnait à la grille.
On le faisait entrer dans un salon, il y avait plusieurs caméras installée qui étaient toute orientées vers le centre du canapé.
Un homme se présentait.
– Bonjours je m'appelle René, directeur des production Réné Porno Vidéo. Je vois que tu connaît déjà Benoît, en montrant de la main son camarade qui l'avait introduit.
Benoît s'éloignait et s'installait devant les écrans de contrôle, René faisait connaissance avec son hôte. Il l'invitait à s'installer confortablement sur le canapé, les caméras tournaient. Benoît ne disait plus rien et ne se faisait pas remarquer.
– Bien pour commencer. Tu t'appelles comment ?
– Rock Hard ! Mon vrai prénom c'est Louis, mais je pense que Rock … Ce serait mieux.
– Rock donc, ça devrait pourvoir le faire. Tu mesures combien ?
– Vingt deux centimètres.
– C'est très bien ça !
La discussion n'était en fait qu'un questionnaire sur les qualités professionnelles. De toutes évidences, il en avait de belles. De belles qualités professionnelles je veux dire. René remplissait un petit questionnaire, il jetait un œil à son complice Benoît pour avoir son avis. D'un geste Benoît lui répondait, lui indiquant que le nouveau passait très bien à l'écran.
– Bien, tout ça se présente bien. Tu pourrait retirer ta chemise qu'on voit un peu à quoi tu ressembles torse nue.
Rock s'exécutait sans sourciller, il avait une très belle carrure, René et Benoît se rinçaient l’œil. René l'invitait ensuite à retirer le reste de ses vêtements.
C'est entièrement nu que le nouveau candidat se retrouvait au milieu du salon. Il en avait une belle en effet, une belle grosse queue se balançait devant lui, il en avait une belle, comme il l'avait dit. Oui je sais je me répète mais ça laisse rêveur tout ça ...
– Et en érection, ça nous donne quoi ? Demandait René.
Il suffisait de demander, Rock, enfin Louis, se masturbait et rapidement il montrait une très belle érection. Sa queue mesurait bien la taille indiquée, elle était large et bien droite, il était circoncis. Il avait parfaitement compris l'importance de ce rendez-vous et jouait le jeux autant qu'il le pouvait. Il se donnait en spectacle.
René et Benoît étaient très professionnels mais comme ils étaient également un peu vicieux, ils en profitaient et tous les deux bandaient.
– Avec une telle queue tu es actif mais, passif également ?
– Je donne dans les deux sens, sauf avec les filles. Sinon actif passif, j'aime bien être passif.
– Voyons ce que tu es capable de te prendre dans le cul.
René proposait à Louis un lot de godes. Le plus gros était un peu plus gros que la queue de Louis et, bien sûr, c'est celui-ci qu'il choisissait. René lui tendait le gel lubrifiant. A la base du gode, il y avait une sorte d'étranglement qui faisait qu'il pouvait tenir comme un plug. La différence avec le plug, c'était la taille, la longueur, la largeur et la forme ( ? ) … J'ai comme l'impression d'avoir dit une connerie là, en fait ça ne ressemblait absolument pas à un plug, mais ça marchait pareil …
C'est tout en continuant à discuter avec René que Louis lubrifiait longuement le gode, se le posait sur le cul, il se retournait pour la caméra, Benoît était en première place quand Louis poussait sur le gode. Il ne fallait que quelques secondes pour que son anus se détende, s'écarte et laisse passer le gode, il s'enfonçait rapidement. Louis poussait un gémissement de plaisir, et en un rien de temps le gode avait totalement disparu. Il ne restait que sa base qui ressortait encore.
Ensuite Louis, guidé par René, faisait son numéro. Il se relevait, avec le gode dans le cul, faisait quelques mouvements de gym puis s'asseyait sur le canapé, il gardait les jambes bien écartées, il se masturbait. Il s'installait, se penchait en arrière, on pouvait deviner le gode qui ressortait de son cul, entre ses cuisses.
René ouvrait sa braguette, s'approchait de Louis et recevait un violent coup d'épaule de la part de Benoît qui jouait des coudes pour prendre sa place.
– C' mon tour, c'est moi qui l'essaye celui là ! Râlait Benoît en fusillant du regard René qui ne s'y attendait pas.
René laissait faire, Louis ne comprenait pas tout de suite ce qui se passait mais ne cherchait pas. Benoît lui présentait sa bite, il bandait ferme à ce moment le petit Benoît, Louis sans chercher à comprendre la suçait, et il savait faire ça bien en plus. Benoît gémissait de plaisir.
– Il fait ça bien ? Lui demandait René.
– Oh que oui, oh que oui. Lui répondait Benoît.
Louis faisait ça très bien et comme il fallait qu'il montre ce qu'il savait faire, il se donnait à fond. Il avait passé ses deux mains derrière les cuisses de Benoît et le tirait vers lui. Il avalait sa queue avec aisance, la suçait, la caressait avec sa langue, elle ressortait de sa bouche et y revenait. Et quand elle y revenait, elle venait s'écraser sur le fond de la gorge de Louis.
Benoît prenait la tête de Louis entre ses mains, la retenait fermement et lui balançait quelques violents coups de bassin. René intervenait.
– C'est bon maintenant. Tu peux le lâcher.
– Non, je ne veux pas. Il fait ça trop bien.
– Tu es chiant c'est toujours pareil avec toi.
– Oui, et bien tu peux parler toi. Pour une fois que c'est moi qui peut essayer le candidat, j'en profite.
– Mais enfin on a trois autres candidats cet après midi. Si tu jutes sur la gueule de chacun d'entre eux, tu ne tiendras pas jusqu'au bout.
– A parce que toi tu arrives à tenir peut être.
Ils s'engueulaient, ils s'engueulait mais Louis continuait à sucer Benoît, il ne cherchait pas à comprendre ce qui se passait. On lui avait dit de sucer, il suçait. Si vous vous souvenez de ce ces deux guignols vous devez savoir qu'ils sont toujours comme ça. ( Philippe Ep 33 – David Ep 6 )
René revenait à son bureau et reprenait son discours.
– Il semblerait Louis que tu ais les qualités nécessaires pour ce genre de boulot. Maintenant j'aimerais bien voir ce que ça donne dans le rôle de l'actif …
Benoît lui lançait un regard ravageur.
– Ma pauvre chouquette, tu ne vas pas me dire que tu as peur de te prendre une petite bite dans le cul ? Lançait René à son acolyte Benoît.
– C'était pas prévu ça !
– Arrête de te plaindre, on n'a pas que ça à faire, il y a d'autres candidats, j'aimerais bien avoir terminé avant demain matin.
Louis comprenait qu'il pouvait arrêter de lui sucer la queue. Il se relevait, il y avait cette bite énorme qui se relevait devant lui avec fierté, avec force. Benoît faisait un peu moins le fier à ce moment.
– Il est bien monté ! Faisait remarqué Benoît.
– C'est préférable dans ce métier ! Lui répondait René.
– Je dis ça mais c'est que … Continuait Benoît.
– Bon tu vas te la prendre dans le cul oui ou merde. Je te ferais remarqué que c'est toi qui voulait faire le job aujourd'hui.
Benoît faisait la moue en baissant son pantalon.
– Bien Louis, tu lui défonces le cul sans ménagement, tu me le fais couiner, et surtout ne t'inquiètes pas il adore ça. Même s'il est toujours en train de se plaindre.
Louis acquiesçait de la tête en se lubrifiant la queue. Benoît prenait position, il se retournait et se penchait en avant.
– Tu y vas doucement Louis. Tu ne l'écoutes pas, tu en a une grosse, alors, vas y doucement.
Louis préférait écouter ce que le boss avait demandé, et il avait compris que le boss, c'était René. Il se mettait en place et sans prévenir donnait un violent coup de bassin. Son ventre, s'écrasait en claquant contre les fesses de Benoît qui hurlait de douleur.
Benoît avait le réflexe de se dégager mais Louis avait tout prévu et le retenait avec force par les hanches. Il le tirait vers lui en donnant un second coup de bassin.
– Tu arrêtes de faire des manières s'il te plaît Benoît ? Lui demandait René sur un ton blasé. On travaille ici !
– Je voudrais bien t'y voir.
– C'est toi qui a voulu essayer les candidats aujourd'hui.
Benoît continuait à râler, ce n'était certainement pas que par plaisir, et finissait par demander grâce. Louis marquait une hésitation.
– J'aimerais voir combien de temps tu peux tenir. Lui disait René.
– Tu es vraiment un enfoiré, arrêtez les mecs, j'en peu plus. Braillait Benoît.
Louis ne lâchait rien. Ses coups devenaient de plus en plus violents et de plus en plus rapides. Benoît tentait de retenir Louis en glissant sa main derrière ses fesses mais Louis lui prenait la main et continuait à le buriner.
– Tu as encore les yeux plus gros que le ventre mon pauvre Benoît.
Là Benoît ne répondait pas, il avait le visage tout rouge, il faisait une grimace à faire peur. Il dégustait le pauvre mais on pouvait se demander s'il appréciait vraiment.
Au bout de plus d'un quart d'heure, Louis ne faiblissait pas.
– Tu m'as l'air endurant, dis donc. Faisait remarquer René.
– Je peux tenir comme ça pendant encore un long moment, tu veux voir ? Rajoutait Louis.
– Non, je t'en prie, c'est bon, là j'en peux plus , c'est bon … Suppliait Benoît.
– Bon allez on va abréger ses souffrances. Concluait René.
– Je l'achève ? Demandait Louis.
– Non ! hurlait Benoît.
– En plus tu as de l'humour … Rajoutait René.
Louis se retirait sans prévenir, il bandait ferme. Il prenait une serviette en papier et s'essuyait longuement. Benoît s'en allait en râlant.
– René je te hais. Non mais tu as vu la queue qu'il a le mec, plus de vingt centimètres sur pas loin de six de large …– Vingt deux sur presque sept … Précisait Louis.
– Je te préviens René si jamais tu me refais le coup encore une fois, je te quitte. Tu ne me feras plus jamais un coup pareil !
Il était un peu colère le Benoît. René indiquait la salle de bain à Louis pour lui donner le loisir de se laver. Benoît avait disparu.
– Je vais certainement te recontacter. Expliquait René à Louis qui revenait de la salle de bain.
Il n'avait pas éjaculé et était toujours entièrement nu. Une queue énorme pendait lourdement devant lui, il avait l'air d'en être fier.
– Je me contrôle parfaitement, je peux limer un mec comme ça pendant une heure … S'il peut tenir le coup !
– Je vais te faire un chèque, comme tu sais le film d'essais peut être commercialisé donc je te paye, c'est normal.
– Ils ne le font pas tous. Lui répondait Louis.
Louis se rhabillait, il prenait son chèque, signait le contrat de principe et saluait son hôte.
– Benoît, tu pourrais raccompagner notre nouvel étalon, je crois qu'on va le revoir celui-là … BENOIT !
Benoît ne répondait pas !
– BENOIT ? … Je ne sais pas ou il est passé l'animal. Je te raccompagne …
A suivre
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