Alison est seule

- Par l'auteur HDS Lexdepenny -
Récit érotique écrit par Lexdepenny [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Alison est seule Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Alison est seule
Alison, 30 ans, s’ennuie. Elle sait que ce n’est pas la faute de John, son amant, son fiancé …et son meilleur ami. Elle est à la fois plus âgée et plus grande que lui. 30 ans contre 27 et un mètre quatre-vingt-cinq contre un mètre soixante-douze. Ils forment un couple inattendu mais stable. La différence entre lui, solide comme un demi de mêlée, et elle, faite comme une joueuse de volley ou de basket, les a curieusement attirés l’un vers l’autre, et la passion pour les vieilles voitures a complété ce qui les unit. Cela, et le sexe.

Après des débuts peu prometteurs, John a finalement découvert les secrets cachés d’Alison. Difficile à rater, sa poitrine magnifique de quatre-vingt-dix centimètres qui a, pour ainsi dire, frappé John à leur première rencontre, ni ses grands yeux noisette dans lesquels il a tout de suite senti qu’il se noierait volontiers. La première fois où elle l’a permis de la déshabiller a pourtant mis la cerise sur le gâteau. C’est un détail qui avait fait la honte d’Alison pendant une adolescence compliquée et un mariage de courte durée mais désastreux, ce clitoris qui, en érection, saillit comme un pénis miniature d’entre les grandes lèvres de son sexe. C’est une cerise sur le gâteau qui rend fou John, qui adore sucer ce bout de chair si sensible, pour offrir à Alison des orgasmes tsunamesques.


L’autre particularité érotique d’Alison, c’est qu’elle a appris pendant sa jeunesse, qu’en brutalisant ses seins, elle arrive à un point où, en écrasant ses tétons entre ses doigts, sa jouissance est d’une délice qui manque de justesse de la faire s’évanouir. C’est une pratique qu’elle réserve maintenant à de rares occasions, car John a du mal à assumer l’évidence des traces de ses ongles qui ont griffé la peau fine de cette femme qu’il adore.
Avant Alison, John a eu des relations avec Imogen, une fille de la haute bourgeoisie Londonienne. C’est elle qui lui a fait une éducation dans la jungle de pratiques sexuels de plus en plus bizarres. Comme il a expliqué à Alison, avec Imogen, fanatique surtout des vidéos amateurs, il a vu des gens se lancer dans le dogging, les trios, avant de passer à des actes beaucoup plus difficiles à comprendre et encore moins à accepter pour lui. Elle ne cherchait pas à vivre ces choses, simplement à les observer, et John ne peut pas, comme il explique à Alison, ne pas les avoir vues aussi.
Cela a choqué Alison, malgré sa propre adolescence difficile. Elle a atteint sa taille d’adulte à quinze ans, et dépasser les autres filles de sa classe de vingt centimètres n’a pas été facile à vivre. Sa mère, même, qui avait ses propres démons, l’appelait « l’accident ». À l’école elle avait vite acquis une mauvaise réputation. Tous les garçons étaient au courant de « la grand gigue aux gros nichons, qui ne se passionne vraiment que pour l’informatique, mais qui se laisse baiser par n’importe qui ». Elle n’y prenait pas plaisir, mais cherchait par ce moyen désespéré d’être davantage comme les filles « normales ». Son mariage misérable n’a pas arrangé les choses. Depuis, elle ne sort que pour ses séances au gymnase.


L’arrivée de John dans sa vie a renversé la situation. Elle a vite compris qu’elle peut lui faire confiance et pour la première fois, le sexe ne lui donne rien que du plaisir.
Depuis son évasion de chez son mari contrôleur, elle a cherché à passer inaperçue. Elle vit en jeans pour le travail et en shalwar kamis chez elle. Maintenant, elle a le courage de s’offrir une nouvelle garde-robe. John veut qu’elle s’habille pour mettre en valeur sa taille et sa belle poitrine, et ses nouvelles tenues la convainquent qu’elle plaît à John, aux autres…. et à elle-même.


Une fois habituée à faire davantage attention à comment elle s’habille, John lui a révélé qu’il aime ce changement, mais aimerait qu’elle s’habille moins, quele
Cette première tentative, qui a eu lieu à Amsterdam, a abouti dans un café où elle a montré ses seins nus, qui ont été caressés et ses tétons sucés, par des femmes qui enterraient la vie de jeune fille d’une de leur groupe.
Ça date maintenant d’il y a trois mois, et la vie professionnelle des deux les a tenus à l’écart l’un de l’autre bien trop souvent à leur goût. Elle, informaticienne de haut niveau, est souvent sollicitée pour résoudre des problèmes de la maison-mère outre-Atlantique, et lui doit souvent s’occuper des succursales dans les pays nordiques, comme en ce moment.


Alison donc, s’ennuie. Ils ont beau s’offrir des séances vidéo, au cours desquelles elle, nue et qui se caresse, demande que John lui raconte ces choses qui les excitent tous les deux, mais qui, à elle, font toujours un peu peur.
À la suite d’une de ces séances, elle a commandé plusieurs accessoires qu’elle a l’intention d’étrenner avec John. Leur discussion d’hier soir, cependant, a rendu évident qu’il va falloir attendre pour lui offrir cette surprise. Il a dû retarder son retour de trois jours.


Elle ne veut pas…ne peut plus attendre. Jusqu’à présent, c’est John qui propose les expériences et elle qui les accueille, et avec plaisir. Maintenant ce sera elle qui, pour la première fois depuis qu’elle le connaît, aura une aventure à lui raconter. Mais que faire ?


Au début, elle a eu du mal à s’ouvrir complètement à John sur son passé sexuel. Il lui a donc suggéré de chercher un chat room et trouver un ou une inconnu avec qui en parler en anonyme. Elle a eu la chance de tomber sur un vieux monsieur avec qui elle a eu des discussions aussi approfondies qu’excitantes sur le sexe et la vaste gamme de ses possibilités. Elle allume son ordinateur. Par bonheur, il est déjà là. Une demi-heure plus tard, elle a un plan.
Elle ouvre une page sur les offres du week-end, comme ils avaient fait pour Amsterdam. Elle ferme les yeux et tape sur l’écran au hasard. Elle ouvre les yeux et voit que c’est Strasbourg qui sera sa destination. Elle ne connaît pas du tout cette ville. Tant pis, elle fait sa réservation. Trois nuits dans un hôtel près du centre. Elle prépare sa petite valise. D’après la météo, il fera beau et chaud là-bas…ou est-ce là-haut ? Nouvelle recherche pour fixer la géolocalisation. Ses tenues d’Amsterdam, ses deux écharpes indiennes, une culotte et les jouets, toujours emballés.
A l’aéroport elle rougit sous le regard amusé de la femme qui scrute les bagages à main qui passent par le scanner. Puis c’est l’avion et un taxi pour la ramener à son hôtel. Elle s’amuse à utiliser ses connaissances d’arabe avec le chauffeur, qui est visiblement d’origine maghrébine. Consciente qu’il va falloir retourner à l’aéroport, elle lui réclame son numéro de téléphone. L’hôtel est simple mais confortable et Alison verse le contenu de sa valise sur le lit. Elle commence à s’inquiéter maintenant. Osera-t-elle mettre en œuvre ces choses qui paraissaient tellement évidentes pendant sa discussion avec ce Francis ?


Elle commence gentiment, dans sa chambre, et sans témoins. Elle se met nue. La glace révèle une grande femme brune, cheveux châtains mi-longs, au corps fin et aux seins lourds. Sa toison est taillée court, comme John l’aime, pour lui laisser un meilleur accès pour ses caresses buccales. Ses longues jambes l’obligent à reculer pour se voir en entière. Elle sort le haut qu’elle a acheté dans un marché à Amsterdam. Le lin grenat est très fin et elle voit clairement ses tétons. Une jupe légère en coton floue complète sa tenue…si elle a le courage de sortir en public ainsi (sous)habillée. Elle regarde par la fenêtre. Sept heures du soir et il fait moins jour. Elle souffle un grand coup, met ses sandales, prend son sac à main et descend dans la rue. Son iPhone la dirige vers le centre historique, à dix minutes de marche.

Elle sait que les gens la regardent, ce qui resserre encore plus ses tétons. Elle croise un couple assez âgé. Elle est surprise quand la dame lui fait un grand sourire et l’homme lui tire son chapeau.


« Vous êtes superbe, mademoiselle, » dit-il.

Alison sent qu’elle rougit. Il est rare qu’elle soit en public sans un support pour ses 90C de poitrine, et ce n’est que la deuxième fois qu’elle se dévoile autant.
« Merci » répond-elle. Rassurée par le compliment, elle allonge sa démarche et remarque que cela la rend davantage consciente de l’absence de culotte, même si son sexe est bien caché par la jupe qui flotte autour de ses genoux. Tout à coup, elle se retrouve sur une place, avec en face la cathédrale aux pierres roses. Elle trouve une table libre à la terrasse d’un café et s’assoit.


Le service est rapide et très assidu. Le jeune serveur a du mal à regarder sa figure plutôt que les seins magnifiques devant ses yeux. Elle commande un vin blanc. C’est un autre serveur qui lui apporte son verre, et qui se rince, lui aussi, l’oeil. Elle fait comme si elle était normalement vêtue, mais la moiteur entre ses cuisses ne ment pas. Ce qu’elle fait est en train de l’exciter. Oups ! Si elle continue à mouiller, elle risque une tache sur sa jupe. Il n’y a pas d’autre remède que de la remonter derrière et poser ses fesses nues à même le plastique de la chaise. Elle prend son verre et boit pour se calmer. Le vin est frais et fruité et l’aide à se détendre. Après tout, se dit-elle, il n’y a que sa poitrine qui… elle boit vite une autre gorgée. Elle avait oublié que ses seins étaient presque nus !


« Vous permettez ? » C’est le couple de tout à l’heure qui voudrait partager sa table. Elle fait oui, d’un geste. Ils entament une conversation avec elle qui ne touche pas du tout au sujet de son exhibition. Ils sont de la ville et malgré leur anglais défaillant et son français minime, ils arrivent à mener une conversation. Ils lui offrent un deuxième verre, qu’elle accepte. Quand elle se lève pour les quitter, elle sait que l’alcool fait son effet.
« A demain ? » demande la dame.
« Après-demain serait mieux » dit Alison automatiquement.
« D’accord. Vous venez ici. Même heure. » rajoute le monsieur.


Elle rejoint son hôtel avec la tête qui flotte un peu et une sensation de bien-être qui lui fait sourire. Elle se change pour une tenue plus complète et va dîner, puis dormir.

Le lendemain elle prend une vedette et fait un tour des canaux de la ville, découvre un salon de thé qui a des gâteaux paradisiaques, puis rentre faire une sieste. Le soir, un dîner en solitaire et au lit.
Elle joue aux touristes le surlendemain, aussi. Elle fait des kilomètres à pied avant de retourner à l’hôtel. Elle aura besoin d’être bien reposée pour ce qu’elle a l’intention de faire. En se réveillant, elle est étonnée de découvrir qu’elle a dormi pendant cinq heures, et qu’il est temps qu’elle se prépare. Elle se douche et se lave les cheveux, consciente qu’elle retarde le moment fatidique.

Elle sort le petit paquet et l’ouvre. Elle aurait pu acheter le même modèle en toc, mais elle s’est dit qu’elle a les moyens alors pourquoi ne pas s’offrir mieux ? La triple chaîne est en argent massif, et les pinces sont en inox, avec un insert détachable en caoutchouc . Alison prend place devant la glace et arrête de respirer. Elle se penche en avant et laisse pendre ses seins lourds. Elle attache la première pince au téton de son sein gauche et a du mal à ne pas crier. Elle se mord la lèvre et soulève la deuxième pince vers son téton droit. Le petit cri qu’elle n’arrive pas à retenir témoigne d’une sensation incroyablement puissante quand la pince mord sur la chair délicate. La vanité du métal précieux se paie en poids, un poids qui est entièrement suspendu de ses tétons. Elle se met droite en grimaçant et se regarde dans la glace. Elle n’a jamais vu ses mamelons aussi enflés, ni aussi rouge foncés, gorgés de sang. Un pouls bat fort, là où les pinces compriment la chair. Entre ses seins oscille la pince au bout de la troisième partie de la chaîne. C’est presque malgré elle-même qu’elle la prend en main et teste la pression qu’elle va infliger à son clitoris. Elle n’a jamais besoin de chercher celui-ci, mais il est maintenant d’une de ces raideurs… Elle ouvre la pince et la met en position. Millimètre par millimètre elle permet aux mâchoires de se fermer et de s’emparer de son clitoris. Finalement elle lâche la pince et s’écroule sur le lit. Qu’est-ce que c’est fort. Ça fait mal, mal, mal…mais en même temps, qu’est-ce que ça l’excite !

Elle ne se permet pas de tergiverser. Ce qu’elle va mettre à été acheté exprès pour cette occasion. La robe dissimule les formes de son corps, comme une djellaba, mais avec des boutons devant, de haut en bas. Elle met une grosse ceinture. Elle n’ose pas la serrer à cause de la chaîne. Elle se regarde dans la glace de nouveau. La robe lui arrive jusqu’aux genoux. Elle la remonte et la laisse faire un pli au dessus de la ceinture. À mi-cuisse, la longueur la satisfait. Avant de perdre courage, elle met ses sandales, prend son sac et part. Elle prend l’ascenseur pour descendre au Rez de chaussée, elle est loin d’être sûre de pouvoir marcher longtemps. Une idée la frappe. De son sac elle repêche la carte du jeune chauffeur de taxi. Elle l’appelle en croisant les doigts qu’il ne soit pas trop loin.

Il est place Kléber et il sera avec elle dans deux minutes. Alison se place au bord du trottoir à l’attendre. Le pouls dans son clitoris et dans ses tétons bat comme une locomotive à vapeur qui quitte la gare. Elle a l’impression de l’entendre. Le taxi arrive. Le jeune Arabe lui donne un grand sourire et sort pour ouvrir la portière et la faire monter. Pour le remercier, elle s’assoit sur la banquette arrière avant de rentrer ses jambes, l’une après l’autre. Il ne voit pas jusqu’en haut des cuisses, mais presque, et elle a le cœur qui bat comme du tonnerre à penser au risque qu’elle court. Il la conduit jusque devant le café où elle paie, et il vient de nouveau lui ouvrir la portière.

Le fait-elle exprès ou pas ? Elle n’a aucune idée, mais après lui avoir tendu un billet, quand elle glisse sur la banquette pour sortir, sa robe remonte complètement, et révèle à la vue du chauffeur son sexe nu et la pince qui tient prisonnier ce clitoris meurtri . Cela ne dure qu’une seconde, mais c’est assez pour qu’il n’y ait pas d’équivoque. Rouge comme une tomate, Alison finit de se mettre debout. Sans se retourner, elle se dirige vers la terrasse du café où l’attendent le couple. Elle leur dit bonsoir et s’installe sur la chaise que lui tend le monsieur. Elle lève les yeux et voit que le chauffeur n’a pas bougé. Soudain, il vient vers elle.

« Madame, vous avez oublié votre monnaie » s’exclame-t-il.
« Gardez-la. Madame aura peut-être besoin de vous avant de repartir chez elle, » dit la dame. « Vous lui avez donné votre carte, n’est-ce pas ? »

Il y a une bouteille de crémant d’Alsace sur la table. Monsieur remplit les trois verres et ils trinquent. La conversation est facile et Alison explique ce qu’elle a vu de la ville, mais elle ne peut pour une seconde ignorer la présence du triplet de pinces, qui l’excitent autant qu’elles la martyrisent. Soudain la dame change de sujet :

« Vous êtes moins exposée que la dernière fois » dit-elle . « Y a-t-il une raison pour cela ? »
« Euh…non, » ment Alison..
« Je parie qu’il y a quelque chose que vous nous cachez, » dit la dame. « N’est-ce pas ? ».
Alison fait oui de la tête avant de pouvoir s’en empêcher.
« Mais ce serait dommage de continuer à garder cela secret, je crois. Les secrets sont d’autant plus forts au moment de leur découverte. Alors ? »
Alison se rend compte qu’elle ne contrôle plus sa situation. Elle a une envie irrésistible de montrer à ce couple tellement respectable ce qu’elle s’est fait. Ses doigts défont de leur seule décision les boutons qui ferment le devant de la robe. Elle écarte le pans et montre ses seins avec les pinces..
« Magnifique, » dit le monsieur. « Bravo ! »
La dame se penche en avant. Elle accroche la chaîne qui relie les seins d’Alison avec un doigt et la tire vers elle. Alison ne peut s’empêcher de geindre.
« Ça fait mal ? »
« Oui »
« Mais cela vous excite aussi, je sais. »
« Oui. »
Les doigts de la dame commencent à tracer la chaîne qui descend vers le bas-ventre de l’Anglaise. Elle la regarde dans les yeux, et tire sur la chaîne d’un petit coup sec. Les yeux d’Alison se ferment involontairement et elle se mord la lèvre.
« Hmm. Où peut-elle donc être attachée, cette chaîne? » demande la dame à son mari. « Tiens, tire dessus ! »
Sitôt dit, sitôt fait, et le gémissement involontaire confirme.

« Tu es une cochonne, ma fille, » dit la dame. Une belle cochonne. Mais il est temps de libérer tes pauvres tétons. »
Elle se penche en avant et ouvre les deux pinces. Alison marmonne, pour s’empêcher de hurler. Le retour abrupte du sang qui afflue dans les bouts de sein est à la fois une torture et une ivresse qui la fait jouir. Elle reste pliée en deux pendant au moins une minute. Quand elle relève la tête, la dame se presse de lui refermer la robe. Elle garde toutefois les deux pinces libres dans l’autre main, de façon a ce que la chaîne ressorte entre deux boutons et joue le rôle d’une laisse. Elle tire dessus et le clitoris d’Alison sursaute.
« Promenade » dit la dame.

Le monsieur paie et le couple se lève. Comme la dame tient la chaîne, Alison ne peut que suivre. Pendant dix minutes les trois se baladent. Alison est rouge de honte, car un œil perceptif verrait vite sa condition. Dans une ruelle sombre, la dame descend par un escalier vers le sentier piéton qui longe le canal. Sitôt en bas, elle arrête.
« Il est temps que tu te montres comme il faut », dit-elle. « Enlève le haut ! »

Alison obéit. Elle sort ses bras des manches et laisse tomber le haut de la robe autour de sa taille. Torse nu, et toujours tirée vers l’avant par la chaîne, ils se promènent le long du berge, passant devant des couples qui s’embrassent et même un groupe de jeunes qui arrête leur discussion le temps d’admirer et commenter cette femme qui exhibe ses seins splendides.

Le couple la fait asseoir sur un banc sous un pont. Le monsieur prend le sac d’Alison et ressort la carte du chauffeur. Il s’écarte de quelques mètres et compose le numéro. Elle ne comprend pas ce qu’il dit, mais ça l’inquiète. Que peuvent-ils manigancer encore ?

Quelques minutes plus tard un appel de phares les alerte que le taxi les attend sur le pont. Toujours avec les seins à l’air, Alison est doucement tirée vers la voiture. Comme avant, le chauffeur sort de la voiture pour l’accueillir. Il ouvre de grands yeux à voir son état délabré. Elle monte à l’arrière de la voiture et les deux autres l’encadrent.
« Il est temps que tu jouisses » dit Madame. « Tu es prête ? »

C’est bizarre. Ils ne savent pas comment elle s’appelle et n’ont pas l’air de s’y intéresser. Ils ne s’appellent jamais par des prénoms, juste des « chérie», ou « mon cher ».
« Oui. »
« Alors mets-toi toute nue »
Alison ne réfléchit même pas avant de défaire les boutons restants et ouvrir sa robe complètement. Le chauffeur se retourne et la regarde longuement.
« Tu as envie que ce soit lui qui t’enlève la pince pour te faire jouir ? » demande Madame.
« Oui. »
« D’accord. » Elle s’adresse au jeune homme. « Tu vas lui enlever la pince sans toucher ni à elle ni à la pince, tu comprends ? »

Elle lui passe le bout des chaînes. Alison, qui n’a rien compris, commence à paniquer. Il va arracher la pince sans l’ouvrir ? Comment va-t-elle supporter cela ?
Elle apprend tout de suite comment elle va le supporter. Il tire brusquement sur la chaîne . Le clitoris se déforme sous la pression avant que, lubrifiée par ses jus, la pince ne lâche sa prise sur le bout de chair tuméfié. Et Alison hurle. Elle hurle l’agonie du retour de la circulation. Elle hurle la douleur de la pince qui a écrasé le bout ultra-sensible de son clitoris. Et elle hurle l’orgasme qui mélange une jouissance cosmique à cette supplice insupportable.

« Tu peux démarrer, » dit Monsieur. Le taxi se met en route.
« Nous en avons pour une heure de route, plus ou moins, » dit Madame. « Parlons un peu de ce qui t’a amenée ici. »
Alison explique aussi bien qu’elle peut, les circonstances de cette visite et ses suites inattendues.
« Tu as eu de la chance de tomber sur nous, » dit Madame. « Ton aventure aurait pu mal tourner. »
« Où allons-nous ? » L’inquiétude revient chez Alison.

« N’aie pas peur. Nous t’amenons a un lieu où tu apprendras comment tu te sentiras quand tu es complètement nue, les tétons et le clitoris pincés et devant des inconnus. Mais ce sera tout. Personne ne te touchera à moins que tu ne le demandes, et je crois que, pour le moment au moins, cela te suffira. Tu as remarqué que nous ne t’avons pas touchée ? C’est parce qu’il faut que ce soit ta décision à chaque fois. C’est toi qui as choisi de montrer tes seins nus quand nous t’avons rencontrée, n’est-ce pas ? Nous avons proposé de nous revoir, mais c’est toi qui as accepté l’invitation et qui t’es présentée comme tu l’as fait. Je t’ai demandé si tu voulais nous révéler tes secrets et tu l’as fait tout de suite. Ce qui est arrivé, c’est toi qui l’as voulu. Tu me comprends ? »
« Oui, je comprends. »

« Tu nous a dit que ton ami t’a parlé des déviations sexuelles. Lesquelles te paraissent impossibles, ou indésirables ? »
« J’ai dit stop quand les gens commençaient à s’uriner dans la bouche…et pire. »
« Un goût bien particulier, c’est vrai. Tu as déjà vu des vidéos de bestialité ? »
« Une fois seulement. Je crois que voir une femme saillie par un chien c’est la perversion la plus extrême que j’ai pu supporter. Il faut dire que le chien n’avait pas l’air trop intéressé. »
« Ah. Des amateurs. Pour qu’une saillie soit réussie, le chien doit être bien entraîné. Tu ne vois rien dans ce scénario-là qui pourrait être plus pervers ? »
Alison réfléchit. « Non, je ne vois pas. »
« Alors, admettons qu’un chien de quatre ans c’est comme un garçon de 18 ou 20 ans. Il ne pense qu’à baiser. S’il est un peu averti, le sexe anal s’offre aussi. Le chien voit devant lui une femelle nue, dans une position propice et il la pénètre. C’est dans sa nature, d’accord ? »
« D’accord. Mais que pourrait-il y avoir de plus pervers ? Vraiment je ne vois pas ».
« Dans cette situation la femme est passive. Elle n’a besoin de rien faire. Ah, je vois que tu commences à comprendre. »
« Si…si elle le masturbait, vous voulez dire ? »
« Pour commencer, oui. Et puis ? »
Alison cache sa figure dans les mains.
« Vous voulez dire que la femme…suce le chien ? »
« Exactement. Quoi de plus perverti que d’accueillir la bite raide d’une bête entre vos lèvres et la sucer jusqu’à ce que l’animal jouit et vous remplit la bouche de sa semence canine…et que vous l’avalez ? »
Silence. Alison est choquée jusqu’à la moelle.
« Il y a des femmes qui font ça par simple vice. Mais pour moi, le spectacle le plus excitant est quand il est évident que la femme est troublée, qu’elle sait que ce qui l’attend..que ce que les spectateurs attendent d’elle, n’est pas du tout normale et qu’elle devra se forcer à le faire. J’en ai vu qui pleuraient, avant, pendant et après. Mais qu’est-ce que cela les a fait jouir ! »
Allison ne trouve pas de réponse. Des images inquiétantes défilent dans sa tête qui tourbillonne.

Après une cinquantaine de minutes, la voiture s’arrête sur un grand terrain vague. Des voitures sont éparpillées un peu partout. Monsieur ouvre la portière et sort. Alison le suit, laissant sa robe dans la voiture. Madame lui tend les chaînes.
« C’est à toi de te les mettre. »

Et de nouveau, Alison se prépare mentalement à ressentir le caoutchouc serrer ses tétons et son clitoris. Elle sait que cela la fera souffrir, mais aussi que c’est une douleur qui l’excitera énormément. Ce n’est qu’au moment de lâcher prise de la première pince qu’elle se rend compte que le caoutchouc a disparu. Ce sera le métal froid et denté des pinces, qui mordra sur ces parties déjà sensibilisées par la première pose. L’envie est néanmoins trop forte. Elle attache la première, puis la deuxième, sautillant sur place pour s’empêcher de crier. La pression est beaucoup plus forte, parce que les points de contact sont très petits. Quand c’est au tour du clitoris, c’est une vraie torture de savoir à l’avance, à quoi elle est sur le point de se soumettre. Monsieur et Madame l’observent en silence. Elle positionne la pince et lâche prise.

« J’ai mal, j’ai mal ! Ça me mord ! Je ne supporte pas ! »
« Calme-toi. Respire. Et si, tu peux les supporter…et admets que tu as besoin de les supporter, n’est-ce pas ? »
Madame la prend par la main et la conduit vers là où un cercle de voitures éclaire l’espace au milieu. Quand elles arrivent derrière les voitures, Madame lui lâche sa main.

« Va. Montre comme tu es belle à tous ces gens. Tu mérites qu’ils admirent ton corps nu, et avec tes chaînes, tu es vraiment une déesse du sexe. Va jusqu’au milieu du cercle, tourne sur 360 degrés pour bien t’exhiber de tous les côtés. Après, c’est à toi de décider de ce que tu fais. »

Alison fait un pas hésitant. Puis elle se rappelle qu’elle aura toute cette aventure à raconter à John. Elle veut qu’il soit aussi fier d’elle qu’elle ne le sera d’elle-même. Elle se redresse, lève le menton et entre dans le cercle illuminé, à pas délibérément lents. Des cris, des sifflets et des applaudissements l’accompagnent. Au milieu, elle s’arrête, très consciente d’être le focus de ces gens, dont elle ne voit que des silhouettes. Elle est tentée de leur offrir plus, mais sa fidélité à John lui coupe l’envie d’aller plus loin.

Elle lève une main vers les pinces qui tourmentent ses mamelons. D’un brusque geste, elle les détache et lâche la chaîne . Le choc dans ses seins est fort, mais ce n’est rien à côté de l’éclair qui transperce son clitoris, qui subit tout le poids de la chaîne qui tombe. Soudain elle ne tient plus debout. À genoux , elle griffe ses seins pour faire durer cet orgasme inouï et inoubliable. Puis, Madame vient l’aider à se relever et lui rend sa robe.

« Tu as été tout ce que j’espérais. Calme-toi maintenant. Il y a encore beaucoup à voir ici ce soir. Tu apprendras des choses qui te serviront, peut-être. Qui sait ? »

Alison fait de son mieux pour se calmer, malgré la file de gens qui tiennent à la féliciter de sa présentation. Ce qui la surprend, c’est qu’au lieu d’être des camionneurs et ouvriers, d’après les voix, et les compétences en anglais, elle a affaire à une couche plus aisée de la société. Elle a hâte de répéter cette expérience, certaine que ce sera encore plus fort quand John sera parmi les témoins.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
A quand la suite ?

Histoire Erotique
Superbe éloge de la féminité au travers des seins. Tout y est. On sent dans le choix des mots, le vécu de l'auteur. Un modèle de texte qui devrait faire référence.
A

Merci pour l'avis. Avez-vous lu mes autres histoires?

Histoire Libertine
Très agréable lecture :)
Cela me donne envie d'essayer de porter des pinces sous mon t-shirt !



Texte coquin : Alison est seule
Histoire sexe : Une rose rouge
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