Caty cherche un bikini - histoire érotique

Tout commence quand Caty s’assoit sur du goudron à la plage. Son bikini préféré a beau être noir, la tâche reste visible, même après un lavage et des traitements. Son mari David et elle viennent à peine d’arriver chez leurs amis Laure et Patrice, et il leur reste cinq jours de leurs vacances en bord de mer. Il faut faire quelque chose.
« Avant que tu ne commences, non. Je ne vais pas passer la journée à poil à la plage, déclare-t-elle.
- L’idée n’avait même pas commencé à se suggérer, lui ment David. Et puis, avec ton soutif, tu ne serais pas nue.
- Oh, toi ! Tu es impossible ! Soyons sérieux. Tu veux venir avec moi aux magasins ?
- Parce que tu crois que je vais te laisser choisir un bikini sans moi ?
- Je m’en doutais.
- Et directement à la plage après ?
- Si tu veux.
Elle met sa jupe floue bleu-marine et un chemisier blanc. Son soutif léger est rouge et reste visible à travers le tissu très fin du chemisier. Pour lui, chemise manches courtes et short de plage.
Dans le centre de la petite ville, elle fonce tout droit vers la boutique de mode que lui a suggérée leur amie Laure, suivi par son mari. Dix minutes plus tard, elle a déjà les bras pleins de possibilités qu’elle emporte dans l’unique cabine d’essayage du petit magasin. Elle se déshabille, et comme David a réussi à laisser un peu ouvert le rideau de la cabine, il a droit à une vision de sa belle petite femme blonde qui ne porte plus que son string. Il admire pour la énième fois les fesses fermes et la belle poitrine de son épouse, qui a accroché son soutien-gorge près du rideau. David fait preuve de patience, pas trop dur quand toutes les deux minutes, elle sort pour lui faire admirer un des maillots qui lui ont tapé à l’œil. Elle fait finalement son choix. S’il n’est pas surpris de voir que le bikini neuf ressemble à son prédécesseur, il n’est pas déçu non plus. Le bikini couvre, mais ne cache pas les charmes de sa femme.
- Tiens, dit-elle. Tu rends tout ça à la vendeuse, s’il te plaît.
Il prend les multiples maillots rejetés et tente sa chance. Pendant que sa femme s’affaire à remettre sa jupe, il s’empare du soutien-gorge, l’embarque et le fourre dans sa chemise. Il se met à l’écart et attend la fureur féminine.
Elle sort de la cabine et il est ravi de voir que les tétons de sa femme pointent sous le tissu fin. Elle paie le maillot et ils sortent dans la rue.
- Tu as quand même du culot, commence-t-elle. Regarde-moi comme je suis !
- Oh, je te regarde, ne t’en fais pas pour ça, répond David, qui a du mal à arracher ses yeux des tétons de sa femme. Non seulement ils sont durs, mais on en voit la couleur aussi. Écoute, on ne nous connaît pas ici. Détends-toi et laisse les autres t’admirer, comme moi.
- Tu es content maintenant ? Je sais que tu rêves de me voir seins nus en public..
- ils ne sont pas nus…pas tout à fait. Content ? Entre ravi et délirant plutôt ! Et très fier d’être ton mari.
- J’espère bien ! Tu as intérêt ! Elle se calme. Elle adore être flattée.
Ils sont à seulement quelques mètres de la voiture quand, soudain…- Je me dIsais bien que c’était toi, dit leur amie et hôtesse Laure. Elle est accompagnée d’un couple. Caty, David, je vous présente ma cheffe, Thérèse et son mari Julien.
Le trio ne se gêne pas pour toiser Caty. Thérèse est une rouquine, la trentaine peut-être, avec un sourire complice. Les yeux de l’homme, qui est plus âgé, genre hippy, queue de cheval, Lévis, santiags, sont fixés sur les tétons de Caty.
- Dis donc, Laure ! Tu m’as dit que ton amie était jolie et sexy, mais pas autant ! dit Thérèse. Remarque, elle peut se permettre d’oublier le soutien-gorge, elle a de très beaux seins, tu ne trouves pas, Julien ? Du 85, j’en suis sûre.
Laure rigole, et tend la main pour pincer le téton du sein gauche de Caty qui en mord sa lèvre inférieure.
- J’ai déjà vu ses soutifs. 85B, je confirme, déclare Laure.
Soudain elle a son portable à la main, et avant que Caty ne puisse l’arrêter ou cacher ses seins, la photo est prise.
- Laure ! Efface-moi ça tout de suite !
- Trop tard. Je l’ai déjà envoyé à monsieur. Lui, aussi, sera ravi d’apprendre que tu t’es exhibée à ma cheffe en plein centre-ville !
Caty est rouge de honte, mais on dirait que ses tétons se sont redressés encore plus et cherchent à percer à travers le tissu fin de son chemisier. David contemple sa femme, exposée en pleine ville, les seins exhibés à tout passant, et se rend compte que maintenant c’est l’érection qui se manifeste dans son short qui attire l’attention de la femme de son ami. Il rougit à son tour.
- Allez hop, les amoureux, dit Laure. Amusez-vous bien. Je me joindrais bien à vous, mais il y a une robe qu’il faut que j’aille essayer.
Elle fait la bise à son amie, et en profite pour lui pincer à nouveau un téton. Quand elle embrasse David, il sent les ongles de la femme qui griffent le long de sa bite endurcie. Il sursaute.
- Du beau matériel, tous les deux ! À ce soir ! On en reparlera !
- Nous aussi, on va en parler, dit Thérèse. À bientôt, j’espère.
Julien et Thérèse les saluent et partent. Laure fait deux pas avec eux, puis fait demi-tour et revient.
- David, dit-elle, tu veux me prêter ta belle une heure ou deux ? J’aimerais avoir son opinion sur une robe qui me tente.
- Bien sûr, répond-il, ravi de l’idée que sa femme va être obligée de faire les magasins avec son amie sans pouvoir rien faire pour cacher ses seins. A tout à l’heure, chérie. Appelle-moi quand tu auras fini et je viendrai te chercher,Il ne lui laisse pas le temps de répondre, mais lui prend le cabas avec le bikini dedans, rajoute le soutif volé,monte dans la voiture et démarre. Dans le rétroviseur il voit sa femme, comme paralysée, qui se laisse prendre le bras et embarquer par Laure. Il arrive à un feu rouge, ce qui lui laisse un moment pour réfléchir. Y a-t-il un rapport entre l’absence de soutien-gorge chez son épouse et ce désir subit de Laure, d’être accompagnée ? La possibilité le chatouille suffisamment pour qu’il trouve un parking et parte à pied à la recherche des deux amies. Comment se comportera son épouse exhibée, maintenant qu’il n’est plus avec elle ? Et les autres passants? Comment réagiront-ils ? La pensée l’émoustille et il doit attendre que ça se calme un peu dans son caleçon avant de se mettre en route.
La ville est petite, il ne doit pas y avoir cinquante-six boutiques de mode. Il se fait discret, et ne s’approche pas trop des magasins susceptibles d’être la destination des deux femmes. Coup de chance, il les repère rapidement. Dans la boutique, sa chérie a l’air d’avoir oublié qu’elle est exposée et fait la causette avec une vendeuse en rigolant. Elle a le dos tourné vers David. Laure apparaît. Elle porte une robe fleurie, courte et avec un décolleté plongeant. David apprécie, puis s’éclipse. Laure n’est pas aussi belle de tête que Caty, ni élégante que la petite gazelle qui est sa femme, mais elle a quand même des courbes qui attirent le regard et qui plaisent.
Il attend quinze minutes et elles sortent du magasin, les mains toujours vides. David les prend en filature, en faIsant attention qu’il y ait des passants entre. Au coin d’une petite ruelle que David n’avait jamais remarquée auparavant, elles s’arrêtent, et il doit vite se planquer derrière une camionnette pendant qu’elles entament une discussion animée. Elles disparaissent dans la ruelle . David arrive au coin et regarde. Ses yeux s’écarquillent. Trente mètres plus loin, Laure est en train de tirer Caty par le bras vers l’entrée d’un sex-shop !
Il attend une minute avant de passer rapidement devant la vitrine obscurcie du magasin. Par bonheur la porte s’ouvre juste au bon moment et il les aperçoit à l’intérieur. Il fait demi-tour et passe de nouveau, mais la porte reste fermée cette fois-ci. S’il veut savoir plus, il va falloir pénétrer dans le magasin. Doit-il prendre le risque d’être vu ? Il prend son courage à deux mains et pousse la porte. Il souffle de soulagement. Elles ont disparu. Où ont-elles pu aller ? Au fond du magasin, il y a une porte fermée, au-dessus de laquelle il y a un panneau : Cabines-Vidéo.
Intrigué, David demande s’il faut payer pour accéder aux cabines. Pour voir les vidéos, on met des pièces, dit-il. David ouvre la porte et entre dans un couloir sombre. De part et d’autre il entend des bandes-sonores confuses. David ne voit pas les deux femmes. Il y a quatre portes, donc quatre cabines, dont une seule a la porte ouverte. Il rentre et s’enferme. Il y a une chance sur trois que les deux amies soient dans la cabine voisine. Il se tient immobile dans le noir et écoute.
Gagné ! Il reconnaît la voix de Laure. Il arrive à entendre, mais pas à comprendre ce qu’elle dit. Il s’appuie contre la cloison et colle son oreille contre le mur pour essayer de savoir ce qu’elle raconte. Soudain, il sursaute et manque de peu de crier à haute voix. Une main s’est emparée de sa bite à travers son short.
- Hé, l’innocent ! ditt Laure. Elle continue : Faut la sortir, si vous voulez qu’on vous la suce !
Elle propose de lui faire une pipe ? Elle a déjà joué un rôle dans certains de ses fantasmes, mais là ? Il a depuis un moment des soupçons sur les habitudes sexuelles de Laure et son mari, et les réactions de Thérèse et Julien au seins de Caty n’ont fait que de les concrétiser. Il baisse son short, libère sa bite dure et la présente au niveau du trou qu’il peut voir, maintenant que ses yeux sont habitués à l’obscurité de la cabine. Unemain lui saisit la bite. C’est bien Laure, il reconnaît la couleur de son vernis à ongles. Il se pince l’oreille pour confirmer qu’il ne rêve pas. Il est bel et bien en train de se laisser masturber par la femme de son copain et l’amie de son épouse ! Il ne bouge pas, n’ose pas ouvrir sa bouche de peur d’être reconnu. Il est rigide comme une barre d’acier.
- Pas mal, ta bite, Coco, dit Laure.
David avance son bassin et sa bite passe dans le trou. Il n’en croit pas les sensations. Des lèvres douces entourent son sexe et Laure commence un savant va-et-vient qui est un délice aux bords du tourment. Il ferme les yeux. Il veut absolument que cela dure aussi longtemps que possible.
Il entend Caty qui murmure quelque chose. Il faut prendre encore un risque…- Vous êtes deux ? Il fait de son mieux pour déguiser sa voix. Laure arrête de le sucer pour répondre.
- Oui, pourquoi ?
- L’autre elle fait quoi ?
- Elle regarde.
- C’est tout ?
Il y a un silence, puis des murmures indistincts. Il entend beaucoup de réticence dans la voix de sa femme. Quand son épouse n’est pas volontaire, il n’a jamais de difficulté à le reconnaître. Va-t-elle céder ?
Sur la main qui vient toucher, puis encercler sa bite, une alliance qu’il connaît très bien, est visible. C’est sa femme qui le masturbe, il reconnaît sa technique. Encore un risque ? Les occasions où Caty lui fait une fellation, si elles ne sont pas exactement rares, ne sont pas quotidiennes non plus. Elle a besoin d’être drôlement excitée pour lui proposer ça d’elle-même. Plus souvent c’est lui qui doit demander. Mais là , pourquoi se priver ? Il s’efforce de donner un ton rauque et péremptoire à sa voix pour la déguiser :- T’es là pour sucer, non ? Alors suce, salope !
Il a du mal à s’empêcher de trembler de tout son corps. Comment va-t-elle réagir ? Il ne respire plus.
Et c’est fait ! Son épouse fidèle accueille dans sa bouche une bite qui aurait pu appartenir à n’importe quel inconnu, et la suce. Laure est en train de parler à voix basse, et David comprend qu’elle donne des instructions à Caty. Il a droit à un léchage qui remonte depuis ses couilles jusqu’au méat, où elle donne de petits coups du bout de sa langue en plein dedans. Elle prend toute sa longueur dans sa bouche. Il bute contre les parois de la gorge de sa femme. Les gargouillements étranglés qu’elle émet en sont la preuve. Jamais elle ne l’a sucé aussi profondément, ni aussi langoureusement. Quand elle se met à mordiller gentiment tout autour du gland, il se sent défaillir, presque. Il ne tient plus. Il est sur le point d’exploser.
- Je vais te jouir dans la bouche. Prête ?
- Non ! déclare Caty. Je ne fais pas ça ! Je ne veux pas !
- Si, tu le feras ! Laure insiste.
- Mais…Laure interrompt brutalement les protestations sourdes de son amie.
- Non, non, non ! Et tu avaleras, un point c’est tout. Vas-y, Coco. Balance. Elle est prête.
Les lèvres de sa femme enferment de nouveau la bite de David. Il a l’impression que Laure doit tenir la tête de Caty pour l’empêcher de s’échapper. Il grogne du fond de ses tripes et lâche un déluge de semence entre les lèvres de sa femme ; elle qui refuse qu’il jouisse dans sa bouche et se plaint s’il lui éclabousse la figure par mégarde. Elle doit en avoir la bouche pleine. Il entend que cela l’étouffe.
- Embrasse-moi ! ordonne Laure à haute voix. Je veux goûter le foutre sur tes lèvres et sur ta langue.
David entend les gloussements des deux femmes qui s’embrassent.
- Oups ! dit Laure. Désolée. Tu en as sur ton chemisier. Laisse-moi lécher. Mmm. C’est bon. Maintenant, avale ! Vas-y. Ah… Voilà. J’étais convaincue que tu serais capable de jouer la salope.
David en a la tête qui tourne. Est-ce possible ? Il rêve ? Entend-il vraiment son épouse qui embrasse, goulûment d’après les sons, une autre femme avec qui elle partage le goût de son foutre ? Il appuie son front contre le mur et attend que son cœur se calme, au moins un peu.
Et maintenant ? Doit-il rester et les confronter ? Ou se débiner pour essayer de commencer à comprendre ce qu’il vient de vivre ? Les questions affluent . Caty est-elle déjà venue ici pour sucer des bites étrangères ? Et Laure, quel rôle joue-t-elle dans ce qui se passe ? Est-ce la première fois que les deux femmes échangent des baisers si passionnés ? Vaut mieux partir et se donner le temps de réfléchir. Il ferme sa braguette et fait un pas vers la porte.
- Eh ! C’est pas gratuit ! Laure déclare. Vingt euros chacune. Tous les hommes n’ont pas droit au doublé, donc c’est plus cher.
David sort un billet de cinquante de sa poche et la tend à travers le trou.
- Tiens. J’ai pas de monnaie., dit-il.
Une main saisit l’argent. David sort vite de la cabine et file vers la rue. Il y a un bureau de tabac en face, et il se cache dans l’entrée. Vont-elles rester pour sucer d’autre hommes, d’autres bites ? L’idée l’excite, et en même temps lui fait un pincement dans l’estomac. Cinq minutes plus tard il est déçu – mais en même temps soulagé - de les voir qui sortent du sex-shop. Caty a le vIsage inquiet et Laure lui parle dans l’oreille. Elle la conseille ou la console ? David les laisse disparaître avant de repartir dans l’autre sens. Il arrive à peine à la voiture quand son portable sonne.
- Tu peux passer me prendre dans une demi-heure ? lui demandes à femme.
- Bien sûr, mais où ?
- Au salon de thé d’avant-hier..
- Mmm. Ça me fait penser à un autre salon de thé pas trop loin de chez nous, le jour de mon anniversaire ! J’en ai gardé un souvenir super-sexy. Sans soutif, et à deux pas de ton boulot. Je te verrais bien sans chemisier… tu veux ?
- Mais tu es obsédé ! Je suis une femme mariée, pas une traînée de rue !
- Tant pis pour toi….et pour moi. Ok, trente minutes et j’arrive.
Elle est seule devant sa tasse de thé quand David vient la chercher. Elle a toujours les tétons visiblement durs à travers le tissu fin de son chemisier blanc, mais elle semble ne plus en être consciente. Quand il l’embrasse, il note sur l’épaule du chemisier une petite tâche plus jaunâtre, qui témoigne de la réalité de ce qui s’est passé.
- Ça va ? Le shopping a été une réussite ?
- Euh, pas trop. Laure a changé d’avis pour la robe.
Elle fait de son mieux pour avoir l’air normal, mais David ne rate pas le petit tremblement nerveux dans sa voix. Il décide d’insister un peu.
- Vous en avez mis du temps. Elle a trouvé autre chose ?
- Non, elle n’a rien acheté, finalement, rajoute-t-elle. On s’est juste promenées un peu et on a fait du lèche-vitrine.
David a un mal fou à s’empêcher de rire. Du lèche bite, plutôt ! Il va falloir cogiter longuement au sujet de ce que les événements de cet après-midi signifient, avant de penser à comment profiter d’une suite éventuelle.