La chaînette

- Par l'auteur HDS Lexdepenny -
Récit érotique écrit par Lexdepenny [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La chaînette Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
La chaînette
- Alors, tu vas me laisser voir ce que tu t’es fait faire?
L’expression sur les lèvres de ma bien-aimée me rappelle un chat que vient de bouffer tout un pot de crème.
- Tu peux regarder, mais pas toucher…pour le moment. Je veux en profiter moi-même d’abord.
Elle prend le bas de sa robe à deux mains et, centimètre par centimètre, se dévoile. J’arrête de respirer. Sa toison naturelle est fournie, blonde et frisée, et elle m’a promis qu’elle reviendrait de cette première visite chez l’esthéticienne avec un nouveau look. Ticket de metro? Piste d’atterrissage ? L’un ou l’autre lui iraient très bien. En tout cas je suis prêt à n’importe quel moment à lécher et sucer son joli minou, et j’ai l’eau à la bouche et l’espoir au cœur…- Ouah! Qu’est-ce que c’est beau! Je peux regarder de plus près?
- Oui, mais tu ne touches pas, promis?
- Promis.
Elle n’a plus de poils du tout! Complètement lisse! Devant cette vision, me mettre à genoux me parait un geste mérité. Je ne me fatigue jamais de regarder minutieusement le sexe de mon épouse. La nouvelle épilation fait ressortir son mont de Vénus, et met en valeur cette fente qui ne cesse de m’émerveiller. Ma femme garde ses cuisses résolument serrées, mais cela ne fait qu’exagérer que son sexe n’est jamais complètement fermé et que ses lèvres intérieures sont toujours visibles, mais ne dépassent pas la fente. Le capuchon de son clitoris est également facile à voir, surtout qu’en ce moment, le bourgeon est légèrement en erection. J’ai du mal à m’empêcher d’avancer mes lèvres pour le prendre en bouche. Combien d’heures ai-je passées à embrasser, lécher et sucer ce bout de chair? Car, une fois que ma femme est excitée, son clitoris dépasse la fente et s’offre facilement à mes caresses buccales ou digitales. Il est tellement sensible à ces moments-là, qu’il suffit que je souffle dessus pour provoquer une contraction involontaire, qui est accompagnée d’une contraction toute aussi involontaire des muscles de son abdomen.
- Content? me demande-t-elle.
- Et comment! Je m’attendais à une réduction, pas à une épilation intégrale!
Et qu’est-ce que ça te va bien! Et toi?
- C’est encore plus satisfaisant que je n’espérais. Même l’esthéticienne a dit que ça m’allait à merveille, et elle a dû en voir pas mal. Tu me comprendrais si je te disais que je me sens plus que nue?
- Parce que tu l’es!
Et c’est vrai. L’épilation donne une ligne nette et pure à son bas-ventre et raffine encore plus sa silhouette de sportive.
Pendant le week-end, je ne sais pas combien de fois je la surprends à se regarder, se toucher, ou se caresser. La robe légère qu’elle a enfilée comme seul vêtement lui donne un accès instantané à son nouveau jouet, car elle passe les deux jours sans culotte. J’observe et si ça me démange de ne pas pouvoir jouer aussi, je ronge mon frein en silence.
C’est au lit le dimanche soir que j’ai le droit d’y toucher. Elle adore le sexe oral, et moi j’adore brouter son minou, que je suce et lèche. Une fois que son clitoris est bien enflé, je le prends entre mes lèvres et je l‘aspire jusqu’à ce qu’elle jouit. Son pubis glabre ajoute à mon plaisir, autant la sensation de cette peau fraîchement épilée que l’aspect visuel. Si j’avais su ce qu’elle allait demander à l’esthéticienne, j’aurais été inquiet de la possibilité de me retrouver face à un sexe de petite fille, mais il n’en est rien. C’est une vulve de femme que j’ai à des centimètres de ma figure, une vulve pulpeuse et enflée par mes baisers. Je franchis ces centimètres. Je ne lâche pas son clitoris pendant que les spasmes d’un orgasme puissant la secouent. Délicieux!
Pendant plusieurs jours nous abandonnons presque le coït pour des séances interminables où nous nous suçons mutuellement. C’est une compétition pour qui fera jouir l’autre en premier. On rit comme des fous parfois, et parfois cela se fait sans paroles, chacun concentré sur le sexe de l’autre.
Avant certaines de ces séances, elle met un miroir en place dans la chambre ou la pièce où on est. Sa préférence est que que je suce aussi fort que possible sur ses lèvres intérieures. Son clitoris durcit et gonfle et devient très sensible . Après cinq ou dix minutes de succions répétées, parce qu’il faut que je m’arrête pour reprendre haleine, elle a la vulve infusée de sang, enflée et rose..
À ce moment-là, elle aime tirer sur ses petites lèvres pour qu’elles sortent de sa fente, avant de s’examiner dans le miroir. Il lui plaît de voir son minou, qui d’habitude montre très discrètement les replis de son sexe, tout gonflé. Les picotements qui démangent son sexe dans cette condition ajoutent à ce plaisir visuel, dit-elle.
Je sais qu’un moment viendra où ma femme aura envie…ou que je le lui demanderai… de montrer ce sexe féminin plus que nu à d’autres que moi, et je cherche un moyen de rendre cette exhibition éventuelle encore plus flagrante, plus érotique, si cela est possible. Je deviens obsédé par le désir d’embellir cette fente déjà si provocante.
J’achète une fine chaîne en or, trente centimètres de long, avec un petit anneau à chaque bout, et une paire de boucles d’oreille pas chères. Je vandalise celles-ci pour avoir des clips que j’attache aux bouts de la chaîne. Après la séance de cunni qui suit la création de ce chef d’œuvre(!), quand je finis de la sucer, elle se lève pour se regarder comme d’habitude. Je lui demande de fermer les yeux et j’attache la chaîne à ses lèvres intérieures avec les clips. L’effet lui plaît quand elle ouvre les yeux pour se regarder, la sensation aussi.
Moi je suis moins content. J’avais envisagé que la chaîne formerait une parabole harmonieuse entre ses cuisses, mais il y a un maillon de trop, et la chaîne penche d’un côté. Je suis déçu et elle s’en aperçoit. Elle range la chaîne dans son coffre à bijoux en attendant que j’aie le temps et les compétences d’enlever le surplus.
Je n’ai toujours trouvé ni l’un ni l’autre quand on part en vacances à Ibiza. Ce n’est pas la vie nocturne qui nous attire, mais le calme de certaines plages connues des habitués et indigènes. Je ne vais quand même pas me priver d’un bon restaurant, et ça ne manque pas dans l’île. Celui que je propose à ma femme pour fêter notre arrivée est chic, très chic, même. Elle va pouvoir se mettre en ce qu’elle appelle grande tenue. Pour moi, et souvent pour elle, ça veut dire qu’elle sera au moins un peu sous-vêtue. C’est un plaisir partagé qui a mis quelques années pour de définir définitivement. Peu après qu’on se soit rencontrés, j’ai commencé à suggérer que j’aimerais beaucoup la voir un peu sous-habillée en public. Elle n’a pas trouvé ça facile à faire au début. Un immense sentiment de gêne avec seulement une sous-jacente pointe d’excitation qui l’a encouragée à retenter l’expérience. Peu à peu ce déséquilibre s’est inversé . La gêne, bien que toujours présente, est devenue l’essentiel piment submergé dans la vague d’euphorie et fierté qu’elle ressent, très consciente de la délectation et convoitise dans les yeux de ceux et de celles qui l’observent.
- Tu mets ton chemisier vert ce soir?
- Oui. Pourquoi?
- J’aime beaucoup. Ça fait à la fois classe et très sexy. On voit tes tétons à travers.
- Je sais.
C’est un chemisier des plus classiques. Ma femme m’a déjà dit que la texture légèrement rêche du lin archi-fin lui donne des sensations agréables. Elle a une poitrine menue, avec des tétons sensibles et qui durcissent facilement, et elle ne met pour ainsi dire jamais de soutien-gorge. La jupe qu’elle a choisie pour cette sortie est blanche, plissée et ne fait pas plus de trente-et-quelques centimètres en longueur, c’est à dire même pas mi-cuisse. Des sandales à petits talons et elle est prête, et contente de sa tenue. Moi, aussi.Pendant que nous attendons le taxi, j’ai une idée.
- Ça te plairait qu’on remarque davantage que tu n’as pas de soutif?
Son sourire de vacances me suggère que j’ai des chances qu’elle dise oui.
- Je pourrais éventuellement être persuadée, je suppose, mais comment?
- La chaîne.
- Humm. Je ne suis pas sûre.
Pas sûre peut-être , mais elle est en train de déboutonner son chemisier.
- Enfin, c’est une expérience à tenter, alors ok.
Je cours repêcher la chaîne de son étui et je l’attache à ses tétons, qui, je note, sont déjà en érection. J’en déduis que ça lui plaît. Quand elle refait les boutons, la chaîne est toujours bien visible, ainsi que comment elle est attachée.
- Tu es encore plus belle comme ça.
- Tu trouves? Ça m’excite.
Le taxi arrive et on monte. Le chauffeur, un monsieur qui doit avoir la soixantaine bien sonnée, a réglé le rétroviseur pour bien voir ce qui se passe sur la banquette arrière, et je sais qu’il apprécie la jolie tenue de mon épouse.
On roule depuis dix minutes quand je m’aperçois que ma femme n’est pas confortable.
- Qu’est-ce qu’il y a?
- La chaîne. Elle m’écrase les tétons. Il va falloir que je l’enlève.
- Vas-y alors. Enlève-la.
- Le chauffeur va voir.
- Et alors? Vu où il exerce, il a dû voir plus d’une jolie femme aux seins nus dans son taxi.
Elle soupire, mais elle ouvre son chemisier et détache la chaîne. En effet, ses tétons sont bien plus foncés et plus gonflés que d’habitude. Le chauffeur ne rate rien du spectacle, moi non plus. Elle me passe la chaîne et se fait un petit massage des tétons avant de refermer son chemisier.
- Ouf! Je suis soulagée! Je sais qu’il faut souffrir pour être belle, mais il y a des limites !
- Je comprends, mais j’ai rarement vu tes tétons aussi longs et durs. Ça fait super sexy!
- Ils sont plus sensibles que d’habitude aussi.
Sa voix me dit que, même si elle a souffert, l’effet ne la laisse pas indifférente . Le taxi s’arrête dans le parking du restaurant et on sort. Je prends son numéro et lui dis qu’on l’appellera pour venir nous chercher. Nous sommes en avance pour notre table, alors on traverse le parking jusqu’à la plage qui n’est qu’à vingt mètres. Il fait agréablement chaud, avec une petite brise. Nous passons cinq minutes à regarder la mer et écouter le clapotis des vagues. Je mets la main dans ma poche et je sors la chaîne.
- Dommage que tu n’aies pas pu garder la chaîne. Tu étais superbe!
- Ne me demande pas de la remettre. Mes tétons sont toujours enflés.
- Je pensais à autre chose.
Elle a compris. Elle me connaît trop bien.
- Il faudra que j’enlève mon slip. Tu me veux cul nu?
- Pourquoi pas. Ça me plairait…toi aussi?
- Pour te faire plaisir, je me dévoue.
Elle baisse son slip et l’enlève.
- Il fait trop noir pour voir comment fixer les clips.
- Si tu te retournes vers les lumières du parking tu verras mieux.
Les lumières du parking, ça veut dire aussi qu’elle sera face au restaurant, et à ses grandes fenêtres qui, de jour, donnent une vue de la plage. Elle tourne à moitié, juste assez pour voir ce qu’elle fait, et attache la chaîne.
- Je l’ai attachée au lèvres extérieures. Pour autre chose c’est trop compliqué. Et puis je suis humide, là-bas, grâce à tes manèges !
- Fais voir un peu, tu veux?
Même sans qu’elle relève sa jupe, je vois le petit reflet de la chaîne qui dépasse. J’ai déjà vu, sur le web, des photos de femmes avec une chaîne attachée à leur vulve, mais, sans faille, ce sont des professionnelles, vues d’en bas et qui portent une jupette tellement courte que ça ressemble davantage à une ceinture plutôt large qu’à une jupe. La jupe de mon épouse est mini, mais les 8 centimètres qui séparent sa décence relative d’un attentat à la pudeur ne choquent pas pour une jeune femme en vacances à Ibiza. Avec sa chaîne, pourtant, surtout que celle-ci est (tout juste) en vue, mon épouse est beaucoup, beaucoup moins dans les normes!
- On t’a déjà dit que tu étais obsédé?
- Oui, tu me l’as dit assez souvent. Allez hop! La table doit être prête.
On rentre dans le restaurant. Elle n’est pas la seule à s’être habillee sexy. La chaleur de la journée s’est calmée, mais la température permet les décolletés et les dos nus de pas mal des clientes. Elle est tout de même la seule à exhiber ses tétons aussi ouvertement, et ça ne passe pas inaperçu. Un monsieur d’un certain âge se fait taper sur le doigts par sa compagne de table. Pas discret de mettre ses lunettes pour mieux regarder les seins nus d’une autre femme!
On a droit à un service impeccable. Deux jeunes serveurs se battent, presque, pour le droit de tirer une chaise pour la faire asseoir. On commande, on mange et on boit très bien. Ses tétons sont toujours sous l’effet des clips de tout à l’heure et je profite de la vue. Elle sait que je les regarde. Comme d’habitude dans ces circonstances, elle est à la fois gênée et excitée. On en arrive aux digestifs.
- Je te plais?J’aime beaucoup comment tu me regardes quand je suis sous-habillée en public. Ça me fait des choses sous la jupe.
- Oh, tu me plais, crois-moi! Et je suis loin d’être le seul à qui tu plais. Tu fais plaisir aux serveurs et à une bonne partie des clients. Tu ne nieras pas que tu aimes que d’autres t’observent quand tu t’exhibes comme ce soir, j’espère?
- Non. Ce serait une grosse mensonge, j’admets. C’est justement à cause de ça qu’une visite aux toilettes s’impose. Pas encore pipi time, mais pour éviter de laisser des traces. J’ai mes fesses nues directement sur la chaise, de peur de faire une tâche sur ma jupe. Quand je m’asseyais, la chaîne a dû être évident pour les gens derrière moi. Je la sentais qui pendait sous mes cuisses. Et elle s’est entassée sous mon sexe nu. J’en suis très consciente. Ce n’est pas très confortable, mais pour être excitant…mmm…..oh, oui!
Une fantaisie folle surgit dans ma tête. Je lui prends la main et je retire son alliance.
- Qu’est-ce que tu fabriques? Que veux-tu encore me faire faire?
Elle le dit avec le sourire…un sourire un peu nerveux, il faut dire. Je retire mon alliance aussi. Les deux sont assez solides, un trouvaille chez un brocanteur. Nous nous sommes mariés jeunes, donc fauchés.
- Une lubie à satisfaire si tu oses. Tu décroches la chaîne, tu fais glisser les deux alliances dessus et tu la rattaches. Chiche?
- Elles sont lourdes. Ça va tirer sur mon minou.
Je note le frisson qui traverse tout son corps quand elle rajoute:- Et les alliances vont pendre plus bas que ma jupe. Les gens vont les voir et deviner où cette chaîne est attachée!
- Oui.
- C’est ce que tu veux? Que les gens voient clairement que ta femme porte une chaînette attachée à son sexe?
- Si tu en as le courage, oui.
Elle frissonne visiblement.
- Ecoute. On prend un café et on règle l’addition. Je passerai aux toilettes quand on part et je le fais, d’accord?
- D’accord.
- Mais maintenant il faut absolument que j’aille m’essuyer un peu. J’ai l’impression de couler comme un ruisseau.
Elle se lève et se dirige vers les toilettes. Des yeux, surtout, mais pas tous masculins, suivent son passage à l’aller comme au retour. Moi je me réjouis de la pensée que je suis le seul à savoir qu’il y a pas plus que quelques centimètres de jupe qui cachent les fesses et la vulve nues de mon épouse, sans parler de la chaîne que moi je sais que je vois, et don’t il se peut que d’autres devinent la présence. Nous finissons notre café, je paie et nous nous dirigeons vers la sortie. Elle me montre les alliances dans sa main et disparaît derrière la porte marquée “Señoras”. A mon tour je pousse la porte marquée “Caballeros” et je vais pisser un coup. Je ne me presse pas. Je veux qu’elle ait le temps de sortir avant moi et qu’elle doive m’attendre dans l’entrée. Je me lave les mains lentement et je sors.
Elle m’attend près de la porte d’entrée. Elle est en conversation animée avec les deux jeunes hommes qui nous ont servis. Celui qui lui parle actuellement fait de son mieux pour ne pas bigler trop ouvertement les tétons nus de ma femme, mais son coéquipier s’est placé assez loin d’elle pour pouvoir observer ce qui se passe plus bas. Même à partir des six ou sept mètres qui nous séparent, les deux alliances qui pendent entre ses cuisses sont évidentes, parce qu’elle a les pieds à une dizaine de centimètres l’un de l’autre. Elle me voit et commence un léger balancement de son bassin, ce qui impose le même mouvement à la chaîn. Cette oscillation est exagérée par le poids des deux alliances doit lui donner des sensations intéressantes dans son minou. Les lumières de l’entrée font scintiller l’or brillant. Elle est magnifiquement sexy et, il faut admettre, d’une impudeur plus que choquante. Je me presse de la rejoindre. Je sais qu’elle doit avoir une envie folle, au moins de se faire jouir, peut-être même plus.
Nous sortons du restaurant. Elle se colle à moi, en tremblant.
- Tu m’as vue? Je me sentais tellement excitée! Au moment où je t’ai vu arriver, j’étais presque sur le point de montrer aux garçons comment j’avais attaché la chaîne. J’en crevais d’envie!
- On peut retourner si tu veux toujours le faire. À toi de choisir.
- Non. Le moment est passé.Je ne sais pas si j’aurais eu le courage de le faire, de toute façon. Oh, regarde. On nous fait un appel de phares. C’est notre taxi?
En effet, c’est le chauffeur venu nous chercher. Je fais exprès de monter devant, parce que j’ai une idée en tête. Elle a donc toute la banquette arrière pour elle.
- Vous pouvez prendre la route qui longe la mer? Je demande au chauffeur.
Il me fait oui de la tête et démarre. Je me retourne à moitié pour regarder ma femme. Elle a sa main fourrée sous la jupe. Le chauffeur règle son rétroviseur pour mieux la voir. Elle me regarde, une question muette dans ses yeux. Comme réponse, je tends la main et je remonte sa jupejusqua sa taille, ce qui révèle son minou, ses doigts qui sont en train de caresser celui-ci, et la chaîne, avec les deux clips qui l’agrafent à sa vulve. Le chauffeur, comme moi, ne peut en arracher ses yeux.
Soudain, il doit donner un grand coup de volant pour ne pas rentrer dans un palmier, et il réduit sa vitesse à un minimum. Il y a des parkings le long de la plage et le sourcil levé du chauffeur me pose une question à laquelle je réponds avec un geste affirmatif. Il se gare, et fait comme s’il allait sortir.
- Non. Regarder seulement, je dis.
Il acquiesce sans discussion. Lui et moi, on se retourne pour regarder ma femme qui se masturbe. Elle tire sur la chaînette et ouvre sa fente. Son clitoris est bien enflé. Elle le triture, les yeux mi-clos, partie dans son imagination vers un scénario où, me dira-t-elle plus tard, elle montre sa chatte aux serveurs avant de se laisser lécher par l’un des deux, pendant que l’autre lui fourre les doigts dans le cul. Elle est très près de l’orgasme quand le chauffeur me tape sur la main. Encore une question sans paroles, mais je dis oui.
Il tend la main entre les sièges de devant et frôlé le sexe ouvert de ma femme. Elle ouvre de grands yeux quand elle se rend compte que cette main n’est pas la mienne, mais remonte son bassin vers ces doigts étrangers. Le chauffeur lui prend le clitoris entre son pouce et un doigt et sans crier gare, le pince, très fort.
Elle hurle. Il a dû lui faire mal, très mal même, compte tenu de cette multiplicité de terminaisons de nerfs qui aboutissent dans le clito de mon épouse. Elle hurle, donc, mais en même temps elle jouit comme une folle. Les secousses la font tressaillir de tout son corps, pendant qu’elle se fait toute petite, recroquevillée et miaulant sur la banquette. Le chauffeur la regarde se tortiller puis se retourne vers moi et tape su sa montre.
- Perdón. Très jolie. Très fort. Beaucoup aimé. Vite à votre appartement. Autre client dans quinze minutes.
Il démarre en trombe et cinq minutes plus tard, il nous dépose au pied de notre immeuble. Il prend l’argent que je lui tends et repart à toute vitesse. J’aide ma femme à monter les escaliers. Elle est toute molle, comme désossée. Je la dépose sur le lit et la déshabille.
- Viens, il me faut un homme, déclare-t-elle.
Je me presse de jouer ce rôle…

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