Le Champagne... et ses suites

- Par l'auteur HDS Lexdepenny -
Récit érotique écrit par Lexdepenny [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le Champagne... et ses suites Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le Champagne... et ses suites
Le Champagne...et ses suites
Comme, je pense, une grande majorité des hommes qui apprécient la beauté et la sensualité de leur épouse, j’adore prendre des photos de Clara. J’ai envie d’en faire de nouvelles. Et oui, des photos en tenue sexy et si mes vœux sont exaucés, de ma femme toute nue. Nous sommes très prévisibles, nous les hommes, je sais. Aujourd’hui, pas de problème, smartphone, appareil digital, webcam. A l’époque dont j’écris, il faut soit développer les photos soi- même, soit les faire développer. La première solution exige des compétences et du matériel que moi je n’ai pas, la deuxième comporte des risques. Moi, j’achète un simple appareil Polaroïd. Que du noir et blanc, mais on fait ce qu’on peut avec ce qu’on a.
« Francis ? Pas la peine de faire cette tête innocente. C’est quoi, ce truc- là ?
J’abandonne ma tentative vaine de cacher l’appareil jusqu’à un moment plus propice et je le montre à Clara.
- Je regardais les photos que j’ai prises de toi en bikini dans le jardin cet été.
- Entre autres, celle de dos quand tu as insisté que j’enlève le haut, par hasard ?
- Euh, oui. J’ai pensé que j’aimerais bien en faire encore, si tu veux bien ?
- Pas question. Ça ne me déplairait pas, en principe, mais je n’étais pas tranquille quand tu as apporté le film à développer, alors…- Justement. Avec ce machin, ça se fait tout seul, dis- je, en espérant que les instructions- que je n’ai pas encore lues ne mentent pas trop.
- Ah oui ? Hmmm. On verra.
Ouf. Au moins elle n’a pas dit non tout court. On verra ? Qui dit mieux ? J’attends un moment opportun. Un samedi soir et on a fini une bouteille de blanc, plus un Calva chacun. Je vais chercher l’appareil et le sors de sa boîte, avec un regard interrogateur vers elle. Elle soupire.
- Attends ! Je ne suis pas maquillée.
Cinq minutes d’attente. Elle revient, maquillée, en soutif et slip, et avec un petit sourire aux lèvres.
.- Je ne me fais pas d’illusions, me dit- elle. Je sais ce que tu veux.
Avec ses 80A de poitrine, Clara ne met un soutien- gorge que rarement. J’en déduis qu’elle l’a mis pour avoir quelque chose à enlever, du moins je l’espère.
Je prends une première photo. Il faut attendre un certain temps avant de séparer les deux parties du film. Je laisse quelques secondes supplémentaires pour ne pas brusquer le processus. Et voilà ! Un cliché tout noir. Loupé. La seule chose qui me soulage, c’est qu’elle a l’air déçue, elle aussi.
Deuxième tentative. Je respecte le délai et voici ma belle en toute sa splendeur, ses longues jambes, sa taille fine et sa jolie figure. Bon, le soutif et le slip sont des plus quotidiens, mais, pour un début, je ne suis pas trop mécontent.
- Si tu perdais le soutif ?
Elle soupire à nouveau et exécute. Clic. Trop pressé. On passe du tout noir au presque blanc. Le film a huit clichés et ça fait deux ratés sur trois. Calcul rapide. J’ai intérêt à faire mieux, sinon ça risque de revenir cher.
Clic. Rebelote et gagné. Elle est chouette en topless, ma femme. Elle est menue de poitrine, mais ce qu’elle me montre est très mignon. Elle regarde l’image de près.
- Intéressant. J’ai les tétons aussi pâles que ça ? On les distingue à peine. Laisse mes seins tranquilles pour le moment, et voyons comment mes fesses se présentent. Je ne suis pas contortionniste et ce sera nouveau.
Elle descend son slip et j’utilise les quatre photos qui restent. Deux des quatre sont réussies et ma chérie se trouve que ses fesses ont une forme et une ampleur tout à fait convenables du point de vue esthétique et comme elle les concevait. Séance terminée.
Deux semaines plus tard, elle revient des magasins et me tend un nouveau film.
- Je sais que tu es pressé d’essayer de nouveau, alors tiens, un cadeau.
Moi ? Pressé ? On dirait que ne suis pas le seul.
Cette fois elle met son soutif plus léger. Elle n’en possède que deux, et la plupart du temps ses 80A lui permettent de vivre sans. On voit ses tétons à travers la dentelle, mais sur la photo que je prends ils sont toujours aussi invisibles. Pas assez de contraste en noir et blanc, et pas moyen de régler l’appareil pour faire une différence. Clara fait une moue et part à la salle de bain. Elle revient seins nus et je vois qu’elle s’est mis du rouge à lèvres sur les mamelons. C’est une nouveauté et j’apprécie. Elle est aussi curieuse que moi et on se penche sur le nouveau cliché.
- C’est mieux, dit- elle. Pas la peine d’être topless si ça ne se remarque pas.
En effet, le contraste est net, d’autant plus que ses tétons sont durs, et on les voit bien qui pointent quand je la prends de profile. Je finis le film là- dessus et on fait l’amour sur le tapis du salon. J’en devine que mon épouse prend goût à être photographiée seins nus et fesses nues. Le minou ? Non ! Pas question.
Je reviens d’une visite à Reims avec une bouteille de Champagne qu’on m’a offerte. Je sais ce que vaut cette bouteille haut de gamme dans le commerce et je suis tenté par l’idée d’associer sa consommation avec une soirée sexe… et photos. Je propose cela à Clara.
- Peut- être. Tu as un film ?
- Ben, oui. Toujours l’optimiste, moi.
- Le Giacobetti des Polaroïd. Va mettre la bouteille au frais et prépare des bricoles à manger.
Elle s’enferme dans la salle de bain et je fais mes préparations. Je mets l’appareil de côté. Je préfère laisser la soirée se dérouler à son rythme. Champagne, petits plats à grignoter, de la lumière pour bien éclairer ma belle. Je suis en train de déplacer une lampe essentielle quand je trébuche sur son fil. Il faut que je répare la fiche. Allez hop ! Boîte à outils et au boulot. J’ai à peine fini quand elle fait son entrée dans le salon. Je balance mes outils derrière le sofa vite fait. Elle est belle de nature, ma Clara, mais ce soir elle s’est maquillée avec soin, comme si on allait sortir. Elle a mis sa robe légère vert- pâle, que j’aime beaucoup, celle qui lui arrive à peine à mi- cuisse. Elle a les jambes nues, les pieds aussi. Je lui fais les compliments auxquels elle s’attend, et qu’elle mérite, et j’ouvre la bouteille.
Elle boit plus que sa part du Champagne. C’est un hasard, je ne fais pas exprès. Elle est plus friande de bulles que moi, c’est tout. La bouteille vidée, elle pose son verre et me regarde.
- Alors, ces photos ? On les fait ou pas ?
Je repêche l’appareil et je m’affaire à installer le film.
- Prêt ? me demande- t- elle.
Je lève la tête et la regarde.
Elle prend le bas de la robe à deux mains et la soulève très lentement, en dévoilant peu à peu son corps. Le slip vert qu’elle porte est en dentelle. Elle ne le met pas souvent. Elle l’a remonté sur ses hanches et le résultat est ce triangle aigu délicieux qui cache de justesse la fente de son sexe. Elle a réduit sa toison à un minimum. J’aurais aimé qu’elle soit complètement rasée, mais Clara n’est pas une femme qu’on peut brusquer. Profitons de ce qui est offert, sans se préoccuper de ce qui ne l’est pas. Elle n’a pas mis de soutif. Je ne m’en plains pas, j’aime beaucoup cette poitrine plate qui rend le port d’un soutien- gorge facultatif et relativement rare. Elle a colorié ses tétons de nouveau. Le rouge qu’elle a mis cette fois- ci est presque marron. Le contraste entre la pâleur de sa peau et les tétons plus foncés est frappant; d’autant plus, parce qu’ils sont de nouveau en pleine érection. Elle ne bouge plus. De sa figure je ne vois que les yeux qui me scintillent par- dessus la délicate barrière de tissu vert. Je prends la photo.
Elle lâche sa robe et vient s’agenouiller à côté de moi. On attend impatiemment que l’image ne se révèle.
- Wow. Tu es super !
- Tu trouves ? Elle rit. – Mes premières photos topless depuis l’âge de cinq ans.
- Tu as changé . Heureusement pour moi. Comment tu te trouves ?
- Je ne suis pas si mal que ça. Comme c’est en noir et blanc, c’est comme si ce n’est pas moi, alors que je sais pertinemment que je suis cette femme qui montre ses seins et sa culotte, si tu me comprends. Tu me trouves sexy ?
- Oh oui ! Et comment !
- Pas trop maigre ? Je ne suis pas trop plate ?
- Jamais de la vie ! Puis tes tétons…j’adore ce que tu leur as fait. Ils sont merveilleusement beaux.
- Ce n’est pas mon rouge à lèvres habituel. Je l’ai acheté en plus foncé exprès pour ce soir…et peut- être qu’il en restera pour d’autres soirées, si tu es sage.
Logiquement, ça veut dire que la séance d’aujourd’hui ne sera pas unique. J’en ai une érection qui me fait presque mal. Elle se relève.
- Dis- moi comment me mettre. Tu dois savoir ce que tu cherches, me dit- elle.
La robe s’envole. Je prends une photo d’elle juste en slip. Une autre de derrière, où elle tire le slip entre ses fesses. Je lui demande de rentrer le devant entre les lèvres de sa vulve. C’est une lubie que j’ai. J’adore la voir comme ça. Désastre ! Le cliché pourrait tout aussi bien montrer un chat noir dans une cave sans lumière à minuit… Je suis sur le point de lui demander de reprendre la pose, quand je me rends compte que Clara s’est mise complètement nue, et ne cache plus rien de son jolie minou, avec sa fente si fièrement exposée. Elle tient la bouteille vide entre ses seins. Le long col, particularité de cette marque, fait vraiment phallique. Je prends une photo, qui, étant donné l’air de séductrice que ma femme affiche, me plaît énormément. Je me dis que si elle est d’humeur coquine ce soir, pourquoi ne pas pousser plus loin ?
Quand je lui demande de remettre sa robe, elle est surprise, peut- être croyant que j’arrête la séance, mais elle s’exécute. Je lui demande de se mettre à genoux et de relever sa robe jusqu’à ce que son minou soit tout juste visible. Je me mets à genoux en face d’elle pour chercher l’angle bas que je veux. Je lui demande d’écarter les cuisses pour que ses genoux soient à une vingtaine de centimètres l’un de l’autre. Elle commence à comprendre et se relève un peu. Je place la bouteille entre ses cuisses, directement sous son sexe, et je prends la photo. Elles sont superbes, la photo comme la femme. Malgré l’air innocent de sa figure, on dirait que Clara est sur le point de se baisser sur le goulot, qui n’est qu’à un millimètre de son minou.
« Le parquet me fait mal aux genoux. Je peux changer de place ? demande- t- elle .
Elle recule, toujours à genoux. La bague de la bouteille frôle son sexe au passage et ça la fait rire. Je lui jette un coup d’œil en levant les sourcils. Elle ne dit pas non. Je prends la bouteille et j’enlève ce qui reste du papier d’argent qui entoure le col. Elle reprend position, sur le tapis cette fois, au dessus de la bouteille. Elle se baisse un peu trop vite. Le haut de la bouteille bute contre son entrejambe. Elle fait une grimace, puis se sert de ses doigts pour séparer les lèvres intérieures de son sexe. Petit à petit, elle se laisse descendre, et la bouteille rentre dans son vagin de deux ou trois centimètres. Elle ne me quitte pas des yeux, comme pour être sûre que son public apprécie ce qu’elle est en train de se faire. Comme si j’allais manquer un instant de ce moment si intense ! Je recule un peu et je cale l’appareil sur une table basse. J’ai la main qui tremble et je ne veux pas louper ce que j’ai devant l’objectif. Une photo d’un sexe anonyme ne suffira absolument pas; ce que je veux, c’est faire un portrait de mon épouse Clara, 30 ans, expert comptable, qui porte une robe et qui, pourtant, toute souriante, exhibe son sexe. Ma femme qui se laisse photographier à califourchon sur la bouteille de Champagne qui la pénètre. Clic ! Attente nerveuse. Gagné !
Il ne me reste qu’une seule photo et je suis tenté de la prendre quand Clara se laisse descendre sur la bouteille pour que le col rentre davantage. D’après les yeux à moitié fermés et le besoin qu’elle ressent de passer sa langue sur les lèvres, il est évident que la sensation lui plaît. Elle continue à monter et à descendre, et quand je regarde de près, ses jus sont en train de laisser des traces sur le verre. Elle me tourne le dos et se penche en avant. Elle remonte sa robe pour me montrer ses fesses, sans arrêter ses mouvements sur la bouteille. Ce serait normalement une invitation pour que je titille sa rondelle avec ma langue, ce qu’elle adore…moi, aussi, mais le col de la bouteille disparaît de toute sa longueur dans son sexe maintenant, et la forme de la bouteille rend impossible l’accès dans sa position actuelle. Que faire ?
Elle appuie son torse sur le pouf en cuir, souvenir de vacances au Maroc, pour avoir une position plus stable. Elle se cambre et se sert de ce gode improvisé pour se ramoner avec enthousiasme, pendant que sa main libre travaille son clitoris. Sa petite rondelle papillote involontairement. Je mouille mon majeur dans la bouche et j’appuie dessus. Je n’ai pas besoin de forcer, mon doigt glisse dedans, tout naturellement, de toute sa longueur. Clara grogne son plaisir. La respiration rauque de ma mie me déclare qu’elle est perdue dans les sensations et que l’orgasme n’est pas loin. Que faire ? Est- ce que je peux rendre ce moment, déjà hyper- excitant, encore plus fort ? Inspiration ! Je retire mon doigt. Elle gémit son mécontentement. De là où j’ai balancé ma boîte à outils, je saisis un tournevis par la lame. Ma femme bloque son haleine, elle est à des micro- secondes de la jouissance. D’un coup, j’enfonce la poignée du tournevis de toute sa longueur dans son cul. Elle laisse tomber la bouteille, beugle et jouit, très fort, puis s’effondre, en haletant, sur le pouf.
Je la laisse reprendre haleine. Elle commence à geindre ; le tournevis qui l’envahit la démange. Je lui demande de ne pas bouger et je remets la bouteille en place. La robe témoignera que c’est bien de ma bien- aimée qu’il s’agit, ses fesses tendues en gros plan vers l’objectif , avec le goulot d’une bouteille de Champagne de grande marque enfoui profondément dans son sexe. Ça ne me suffit pas.
« Tu veux tourner la tête et me regarder par- dessus ton épaule ? je lui dis.
- Comme ça ?
- Oui. Super !
La figure de mon épouse est bien reconnaissable sur la photo que je prends. Mon épouse qui a, sans aucun doute, la poignée entière d’un tournevis, d’une bonne quinzaine de centimètres, enfilée dans son cul, parce qu’il n’y a que la lame de vingt centimètres qu’on voit, qui sort de son anus comme une fine queue en acier brillant.
Clara pose la bouteille et me demande de retirer le tournevis qui la sodomise. La poignée est ovale en plastique jaune lisse, avec un diamètre au plus gros point de quatre centimètres. La rondelle de Clara s’est refermée autour du col plus fin où la lame est attachée. Je commence à retirer l’envahisseur. Je tire dessus jusqu’à ce que le muscle de son anus commence à se dilater. La respiration de Clara accélère et elle gémit. Juste avant le plus gros de la poignée, je lâche, et la poignée est naturellement aspiré de nouveau dans le cul de ma femme. Ça me vaut une engueulade de Madame, qui trouve que je m’amuse à la faire souffrir. Je plaide coupable, parce que j’entends l’excitation dans sa voix. Rebelote. Je tire, j’attends qu’elle se mette à haleter et je relâche. L’opération dure au moins deux minutes et si elle se plaint, les gloussements quand elle est de nouveau remplie démentent ses paroles. L’opération terminée, j’observe, fasciné, sa rondelle qui subit des contractions répétées pour se remettre à son état normal, avant que je ne dépose un baiser dessus, pour me faire pardonner. L’absolution totale vient quand Clara se met assise parterre et regarde la photo.
- Je suis indécente , tout de même, non ? Tu m’as eue, espèce de sexomane ! me dit- elle. Quelle idée de me mettre dans cette position et en faisant ça…tu n’as pas honte ?
- La position, c’est toi qui l’as choisie ! Et je n’ai absolument pas honte !
- Eh bien moi si, et comment ! J’ai suffisamment honte pour nous deux. On dirait qu’elle est un peu fière de cette photo, malgré tout.
- Tu ne la montreras pas à n’importe qui , j’espère ? me demande- t- elle.
- Certainement pas ! Quoique…- Je te connais, toi ! J’ai bien peur que tu ne résisteras pas à la tentation de me montrer en topless à un ami…ou même deux, n’est- ce pas ?
Je ne peux pas nier que je serai très tenté, donc je n’essaie pas . Elle me fait une signe d’abnégation :- J’en étais sûre. Soit. Si c’est ce que tu tiens à faire, j’accepte, mais attention, tu choisis bien qui me verra comme ça. Et tu me diras qui c’est, qui m’aura vue seins nus, d’accord ? Par contre, celle- là, non. Je suis trop obscène… - Mais non, tu n’es pas obscène ! Obscène, ça veut dire moche, alors que c’est une photo super- érotique . Tu es Incroyablement sexy, mais pas obscène.
- Moi, je me trouve totalement obscène. Mais c’est une image de moi qui est très forte, quand même…Elle se couche sur le tapis, ses cuisses largement ouvertes et les genoux repliés. Elle indique la bosse dans mon jean. Sa voix est pleine de désir :- Viens me faire l’amour, Francis, et bien fort !
Finie la séance, elle me laisse prendre toutes le photos sauf la dernière, qu’elle garde pour elle. Clara a une boîte à secrets à laquelle je n’ai pas, en principe accès. Je dis en principe, parce que cette photo- là, j’ai besoin de m’en rafraîchir la mémoire de temps en temps. Si les autres de cette séance présentent ma femme sous une lumière flatteuse, j’aurais du mal à qualifier celle- ci de belle. Excitante, oui. Érotique, certainement, mais je l’admets, une femme qui tend ses fesses ouvertes en gros plan vers l’objectif, le cul et le con bourrés d’objets insolites, a sacrifié sa beauté. En revanche, elle se montre superbement pornographique.
Le problème avec les enfants en bas âge , c’est qu’ils n’ont aucune idée de pourquoi ils font ce qu’ils font, la plupart du temps. Nous, les adultes, on ne comprend jamais comment ils arrivent à trouver des trucs qu’ils n’auraient pas dû. La nièce de Clara ne fait pas exception à cette règle. Je la retrouve dans notre chambre, avec le plus petit des vibro que j’ai offerts à Clara dans une main, et la photo dans l’autre. Je les libère aussi discrètement que possible, au moment où sa mère entre. Heureusement, Angélique a besoin de mon aide pour détourner la colère de sa maman, qui la cherche depuis vingt minutes. Elles ont un train à prendre. On doit partir illico pour la gare, et si j’ai le temps de balancer le vibro dans un tiroir, je ne trouve pas d’autre remède que de glisser la photo dans mon portefeuille pour la sauvegarder. J’ai l’intention de la remettre à sa place, mais je suis un homme et j’oublie.
Quelques jours plus tard, je suis en train de me rhabiller dans les vestiaires de la gym, quand mon portefeuille s’évade de ma veste et éparpille son contenu par terre. Mon meilleur pote Adam, toujours prompt à donner un coup de main, ramasse mes cartes et mes billets…et la photo. Il est déjà venu dîner deux fois chez nous avec Farida , sa femme, donc il reconnaît tout de suite mon épouse.
« Putain ! Ouah ! Qu’est- ce que c’est que ça ? Mais… c’est Clara !
Heureusement que nous sommes seuls. J’ai des amis qui se seraient fait un plaisir de me piquer la photo, mais pas Adam. Ce qui ne l’empêche pas de bien la regarder avant de me la rendre.
- Jamais je n’aurais cru… Bon, elle est belle, Clara, et bien faite dans son genre, mais la voir comme ça ! Tu n’es pas le seul à avoir des photos intimes de son épouse, mais là… »Décidément Adam, qui n’est jamais à court de paroles, ne sait pas quoi dire. Que faire ? Il ne peut pas ne pas avoir vu la photo, alors comment résoudre la situation ?
- Tu dis que je ne suis pas le seul…- Okay. Ma grande gueule. J’en ai pris de Farida, à la plage cet hiver aux Caraïbes. Si je te les montrais pour nous mettre à égalité ? Enfin, pas tout à fait. Voir Farida comme sur cette photo serait un rêve pour moi, mais c’est pas pour demain la veille.
Sa compagne est une jolie brune de vingt- huit ans. Si Clara est grande, blonde, plutôt filiforme, Farida est petite et bien roulée avec, on le devine, une belle poitrine que ma femme lui envie ouvertement. On ne peut que la deviner, par ce que Farida s’habille de façon très conservatrice ; une longue jupe jumelée avec un énorme pull ou un tunique qui lui donne une silhouette de grand- mère russe, selon la saison. J’ai toutefois des soupçons sur son comportement en privé, en lisant entre les lignesde quelques bribes laissés tomber par Adam. J’aurai beaucoup de plaisir à decouvrir ces beaux seins tant soit peu dévoilés, ne serait- ce qu’en maillot de bain.
- Autant faire la chose tout de suite, dit- il. Elle est partie prendre le café chez une copine, donc le champ est libre.
J’accompagne Adam jusqu’à chez lui. Dans son bureau, il ouvre un tiroir et sort un album. On retourne au salon et il l’ouvre sur une table basse. Il y a des photos de son mariage, auquel j’ai assisté en témoin. Farida est radieuse, ce qui la rend encore plus jolie.
- Elle n’aime pas vraiment se laisser prendre en photo, m’explique Adam. Je suis obligé d’attendre qu’elle veuille bien ou bien d’en prendre au vol. Ah, les voilà. Nos dernières vacances.
Il me tend l’album. Farida en maillot une pièce blanc, qui met en valeur sa peau bronzée. Nous avons raison, Clara et moi. Sous ses robes fermées jusqu’au cou, avec de longues manches et qui descendent jusqu’à mi- mollet, Farida cache un corps de mini- Vénus. Tout est en proportion avec ses un mètre soixante, mais elle a des contours de star du cinéma des années cinquante. Elle doit faire du quatre- vingt- dix au moins, et même aplatis par le Lycra du maillot, ses seins sont superbes. Elle doit être à peine sortie de l’eau, on voit les gouttelettes sur ses épaules, et ses tétons durs sont en relief majeur.
- Purée ! Mais je n’avais aucune idée ! L’exclamation involontaire m’échappe comme une explosion. Si ses étudiants de terminale savaient !
- Pourquoi tu crois qu’elle se fringue pour être invisible ? N’importe quoi pour qu’il ne leur passe pas par l’esprit que leur prof de maths est une jeune femme. Et encore il y en a qui lui font du plat !
- Je la comprends. Si elle avait été la mienne, je n’auras rien appris du tout à force de baver!
- Attends. Tourne la page.
Farida en vacances c’est une toute autre histoire. Des short, des minijupes, des décolletés qui mettent en valeur cette magnifique poitrine. Elle doit frôler les 90- 60- 90 légendaires de Marilyn Monroe. Elle a un sourire à mille watts, qu’on ne voit pas souvent. Je tourne encore une page, et…- Bordel ! Jamais je n’aurais deviné… J’en ai la mâchoire qui pend. Une seule photo. Farida en short…et rien d’autre ! A l’air libre, ses seins sont des obus. Pour être sensationnelle, Farida en topless on ne demanderait pas mieux. Et elle est fière de se présenter ainsi, son sourire le dit. Et puis sa main droite, qu’on ne voit pas ! Elle est enfouie dans le short, et si elle ne se tripote pas la foufoune, elle en fait sacrément semblant !
- Hé les garçons ! Vous faites quoi, exactement ?
Je ferme brutalement l’album. Depuis la porte ouverte du bureau, Farida nous regarde, et n’a vraiment pas l’air d’apprécier. Adam balbutie, mais n’arrive pas à sortir un mot.
- Comme ça on se branle sur les photos privées des amis, me dit- elle.
Il y a longtemps, j’ai compris qu’une bonne majorité des femmes ont un sixième ou même un septième sens de quand les hommes mentent. J’ai trouvé que ne pas essayer de dissimuler est le moyen de faire passer l’orage éventuel.
- Tu nous as eus, je dis. Je plaide coupable. Mais deux choses. Tu es d’une beauté épatante sur ces photos, et je ne les aurais jamais vues, si, par pur hasard, Adam ne s’était pas aperçu d’une photo de Clara que j’avais dans mon portefeuille.
- Une photo dite intime, je suppose. Farida soupire. Dans ce cas- là, la réponse logique aurait demandé que Clara en voie une du même genre d’Adam, plutôt que de me montrer à toi, non ?
- Logiquement, oui. Je sais que je n’aurais pas dû voir cette photo, mais je ne peut pas le regretter, non plus. Tu es magnifique !
- Aussi magnifique que Clara ? Farida s’adresse à son mari.
- Euh… Dans un autre genre, disons, répond- il. Mais oui, certainement.
- Alors, cette fameuse photo…dans un autre genre, je vais être la seule à ne pas l’avoir vue ? L’ironie résonne dans la voix de Farida.
Je suis interloqué. Je n’avais pas vu ça arriver. Si la photo avait été une simple topless ou même une nue, je n’aurais pas hésité, mais…- Montre-la-moi, merde ! Farida est impérative. Je sors la petite Polaroïd et je la lui tends. Un grand silence tombe pendant qu’elle examine ma femme dans cette photo tellement…quoi ? Pornographique ? Obscène ? Érotique ? Le mot juste reste toujours introuvable, du moins pour moi.
- Elle a pris cette position volontairement ? On sent que Farida s’inquiète pour Clara.
- Oui, tout à fait. C’est elle qui l’a choisie.
- Avec ces…trucs ?
- Oui, ça aussi. Elle a aimé.
- Elle savait que tu la prenais en photo ?
- Elle me regarde, donc logiquement oui.
- La logique n’y est pour rien ! Elle a vu le résultat ? Elle a réagi comment ?
- Elle a été choquée par la preuve indéniable de ce qu’elle a fait, je crois. Elle a dit qu’elle se trouvait obscène, mais d’un ton qui m’a fait supposer que cette pensée ne lui déplaisait pas et l’excitait, même. Tu nous aurais vus cinq minutes plus tard, tu en aurais conclu que j’avais raison.
- Hum. Trop d’information, merci. Tiens, voici ta photo. Fais attention à ne pas la laisser traîner. Tu nous laisses, s’il te plaît, Yves ? Monsieur et moi avons des choses à nous dire.
Face à Farida en mode “enseignante sérieusement mécontente”, je reprends la photo et je me tire.
Le soir chez moi, je me sens obligé de raconter à Clara ce qui s’est passé. À ma grande surprise, elle rit quand je lui explique le déroulement des événements. Elle a trouvé le vibro là où je l’ai balancé, mais ne s’est pas rendu compte que la photo avait disparu. Ce qui l’intéresse davantage, c’est que je lui fasse une description minutieuse du corps de Farida.
- Ses seins sont aussi beaux qu’ils en ont l’air ? me demande- t-s elle.
- Ils sont d’une beauté, oui, je dis, anxieux de ne pas dénigrer la jolie petite poitrine de ma belle.
- Je suis jalouse.
- A cause de leur ampleur ?
- Non ! Parce que toi, tu les as vus et moi, pas. Tu crois que, maintenant qu’elle sait que nous faisons quelquefois des folies, elle s’habillerait autrement si on les invitait ?
- Aucune idée. Je me vois difficilement dire à Adam qu’on s’attend à ce que Farida vienne dîner chez nous à moitié à poil !
- Idiot. Mais maintenant que tu sais comment elle s’habille en vacances, ce serait bizarre si elle arrivait en tenue de boulot comme les autres fois, non ?
- Peut- être. C’est toi qui les invites ou moi ? Et dîner ou apéro ? Seuls ou avec d’autres ?
- Pas toi et seuls ! Ils savent de nous…et surtout de moi…des choses que je n’ai pas l’intention de partager plus largement. Ils vont vouloir en discuter…du moins Farida voudra.
- Tu es sûre ? Comment tu sais ça ?
- Je suis une femme, elle aussi, voilà tout.
- Ah.
Plus besoin de discuter. Clara appelle Farida et ils sont invités pour le samedi d’après.
La veille, je croise Adam en ville. Quand il m’invite à prendre un café, je sens qu’il a quelque chose à me dire. En effet, assis à la terrasse avec des tables vide autour de nous, il est pressé de déballer son sac.
– Je dois te remercier, me dit-il. Cette histoire de la photo a rallumé le feu pour Farida et moi. Elle a retrouvé son enthousiasme, son imagination érotique aussi. Te laisse pas tromper par sa rendue habituelle. C’est une vraie petite allumeuse à ses moments. Tu verras, j’espère. Elle n’arrête pas de me parler de Clara, de comment elle est. Il va falloir qu’on fasse attention, toi et moi, de ne pas avoir l’air de s’attendre à… qui sait quoi ? Mais ça m’étonnerait pas que vous retrouviez une Farida un peu différente, disons. Je ne dis pas plus…et toi, tu ne dis rien à Clara, compris ?
- Je ne comprends rien à ce que tu radotes ! Mais pas un mot, promis, juré.
Je ne sais vraiment pas à quoi m’attendre chez moi, non plus. Clara ne veut pas que je l’aide à préparer quoi que ce soit et quand je propose de faire les courses nécessaires, elle me dit qu’elle s’est occupée de tout et que je ferais mieux de la laisser tranquille. Le jour arrive, elle me dit de lui foutre la paix. Je sors le vélo et je pars faire un tour jusqu’à une heure qui me laissera le temps de me doucher et m’habiller avant l’arrivée de nos invités.
Quand je rentre chez nous, Clara est enfermée dans notre chambre. Je commence à ouvrir la porte, mais je la referme vite fait bien fait quand une voix impérative crie « Non ! ». Je prends ma douche et quand je sors, Clara est prête. Elle a mis la robe de la séance de photo, verte, floue, mi- cuisse. Elle s’est maquillée un peu plus que d’habitude. Le soir du Champagne elle est entrée dans le salon les jambes nues et sans chaussures, alors que maintenant, elle a ses talons de cinq centimètres, qui font qu’elle n’est qu’un peu plus petite que moi. Je ne reconnais pas les dim-up blancs qu’elle porte (elle ne met jamais de collant, donc logiquement…). J’ouvre la bouche pour commenter cette vision de beauté sensuelle.
« Va t’habiller. Ils arrivent dans cinq minutes, me dit-elle. Pas la peine de discuter quand elle prend ce ton-là, alors je m’éclipse pour me fringuer. Je suis sur le point de sortir de la chambre quand ça sonne. Clara fonce pour me devancer et ouvrir à nos invités.
Comme moi, Adam n’est pas connu pour son élégance, et s’il a une chemise repassée et un jean propre, il ne faut pas s’attendre à plus. Par contre, Farida…C’est la troisième fois qu’ils viennent chez nous en couple. A chaque occasion auparavant elle a les cheveux couverts et une longue robe couleur boue depuis le col fermé bien haut, jusqu’aux mollets où on voit un pantalon dessous. Aucune trace de maquillage. Pas ce soir.
Elle a de beaux cheveux ondulés noirs et brillants qui lui tombent sur les épaules. Son décolleté est relativement modeste, mais laisse deviner ces superbes seins que j’ai vus au naturel…en photo seulement, hélas. Son chemisier multicolore met en valeur sa peau café au lait, et sa jupe, qui lui arrive à cinq centimètres au dessus du genou, est blanche, style portefeuille. Ses jambes nus et de jolis petits escarpins brodés complètent la transformation. Elle est sensationnelle, mais c’est Clara qui siffle en admiration.
“Ouah ! Comme tu es belle, Farida ! Si j’avais su, j’aurais fait un plus grand effort !
- Arrête ton char, Ben Hur ! dit Farida qui affiche son sourire éclatant. Tu es très belle, et tu le sais. Cette robe te va très bien. Au fait, tiens. Une petite contribution. Elle tend une bouteille de Champagne à Clara. Je n’ai pas besoin de regarder de près pour reconnaître la marque.
Clara rosit et me passe la bouteille pour que je la mette au frigo.
- Un apéro ? dit-elle. Yves, tu ramènes les deux demi-bouteilles ? Elles doivent être bien fraîches…parce que moi, aussi, j’ai du Champagne ! Du sec et du demi-sec, selon les goûts.
Adam et Farida se regardent. Il est évident qu’ils ont du mal à ne pas pouffer de rire . Moi je garde une figure strictement neutre, mais mon cerveau danse un tango effréné dans ma tête. Que peut bien manigancer ma femme ? Où est-ce mon esprit mal-tourné qui crée une liaison robe-Champagne-sexe ?
Au salon, Clara nous sert à boire. Je ne me suis pas trompé, si elle n’a certainement pas pu nous payer le vin de l’autre fois, celui de ce soir est de la même marque et la bouteille a la même forme. On trinque, on boit et les petites bouteilles sont bientôt vides.
Clara retourne à la cuisine chercher la bouffe, et Farida l’accompagne. On les entend qui rigolent ensemble. Adam et moi, on cause foot. On passe à table, où Clara nous présente une sélection de petits plats épicés. Pour boire elle sort encore une bouteille de Champagne très sec, et je remarque que ma belle et notre invitée ne se gênent pas pour en reprendre. Quand on quitte la table, d’après les yeux qui brillent de ma femme, elle est bien partie…mais vers quoi ? Un sourcil levé d’Adam me dit que Farida, aussi, a un petit coup dans l’aile.
On s’installe dans le salon à nouveau. Clara et moi sur le sofa, nos invités en face de nous dans les fauteuils. Ceux-ci sont assez mous et profonds, et la petite Farida s’y engouffre, ce qui fait monter sa jupe de manière intéressante.
- Tu as fini de lorgner sous la jupe de Farida ? me demande Clara à haute voix.
- Qui sait quand j’aurai la chance de la voir habillée de façon aussi appétissante ? Autant profiter un max de l’occasion, non ? Je parie que si ta robe était remontée aussi haut que la jupe de Farida, Adam regarderait avec énormément de plaisir !
- Tu crois ? Alors tiens, Adam, regarde !
Et Clara remonte sa robe jusqu’à révéler son slip préféré, en dentelle verte, qui cache la fente de son minou et très peu d’autre. De là où il est assis, mon ami à une belle vue sur l’entrejambe de ma femme et il s’y donne à cœur joie. Clara rougit, mais elle ne se démonte pas.
- Ça ne te suffit pas, Adam ? Regarde ! Ils ne sont pas gros mais ils sont mignons, non ?
Elle prend l’ourlet de sa robe à deux mains et la soulève carrément, ce qui expose sa poitrine nue aux regards d’Adam, mais aussi à ceux de Farida, qui semble fascinée par les petits seins de ma femme. Je remarque qu’elle se tortille un peu, comme si quelque chose la démangeait dans sa culotte.
- Tu vois comme ils sont petits, par rapport aux tiens, soupire Clara, sa voix un peu voilée par les effets du Champagne qu’elle a bu. Toi, tu as une vraiment belle poitrine. Je comprends tout à fait pourquoi tu te fais si discrète au lycée. Tu te ferais bigler à longueur de journée.
- Exactement. Tu as bien compris, répond Farida. Même en robe ou jupe normale, certaines de mes collègues se font bigler tout le temps. Je me vois mal me pointer avec une robe comme la tienne !
- Si tu le faisais un jour, je retournerais à l’école, je blague.
- Moi, aussi, déclare Clara. Ce n’est pas juste. Vous deux, vous m’avez vue en photo dans une position et une situation des plus… Elle s’arrête. Elle ne trouve pas le mot, le Champagne aidant.
- Libres ? suggère Adam.
Farida rigole, un rire alcoolisé chez elle aussi.
- Plutôt occupée , dit- elle, derrière comme devant !
Clara est rouge pivoine.
- Allez-y. Moquez-vous de moi si vous voulez. Mais moi, j’y a pris un pied merveilleux, et ça même avant de me soumettre aux désirs de monsieur que voici.
- Vous faites des photos comme ça depuis longtemps ? me demande Adam.
- Non, c’est récent. Et ce ne sont que des Polaroïd. Tes photos de Farida étaient nettement supérieures du point de vu technologique.
- Quand il les a apportées à développer, je n’étais pas du tout tranquille, dit Farida. Même qu’on était aux Caraïbes, et qu’il n’y avait qu’une seule photo où j’étais topless. Des photos comme celle que j’ai vue de Clara, jamais on ne pourrait les faire développer dans le commerce !
- Elles ne sont pas toutes comme ça ! s’exclame Clara. Les autres sont des photos sexy, c’est tout.
- Prouve-le ! répond Farida.
- Chiche ! dit Clara qui se lève et va les chercher. Adam me regarde, je le regarde, aussi perdus l’un que l’autre. Nos femmes nous ignorent. Clara revient et va partager le fauteil de Farida pour montrer les photos. Elles rigolent comme des écolières.
- Là, tu es très belle, dit Farida, en regardant une photo qu’elle fait bien attention à ne pas montrer à son mari. Moi je connais l’ordre de ces photos par cœur. C’est celle où elle cache sa figure mais montre ses seins et son slip. Farida feuillète la petite collection attentivement. Elle passe une minute au moins sur chaque cliché en faisant des commentaires à voix très basse à Clara. Adam et moi faisons semblant d’écouter la musique que j’ai mise, et en finissant et en rechargeant nos verres.
- Elle est où, la fameuse photo porno ? demande Farida enfin.
- Tu es sûre de vouloir la revoir ? dit Clara. Elle n’est pas flatteuse pour moi.
- Quand même, oui.
Clara repart la chercher et revient une minute plus tard.
- Elle a l’air d’avoir été souvent regardée, dit Farida. Il faudra faire attention ou on ne verra plus l’image. Si j’avais une photo de moi dans cette position, je la garderais précieusement, plutôt que de laisser mon lascar la partager avec ses copains. Et elle serait unique. Je ne me verrais pas prendre cette pose plus d’une fois !
- Tu n’as jamais essayé ça, Farida ? C’est Clara qui demande.
- Dans mon…. ? Une bouteille ? Un tournevis ? Les deux ? Non, jamais. Ça t’a fait quoi comme effet ?
Clara soupire. Elle se cale plus profondément dans les cousins, les yeux mi- clos. Sa voix se fait plus langoureuse…- C’était un de ces moments où plein de bonnes choses se réunissent, elle commence. Un super vin, un homme qui me dévore des yeux encore plus que d’habitude… Je me sentais belle, et aussi un peu, comment dire ? Louche, peut- être, ou polissonne ? Yves avait mis du Django Rheinhart, et ça donnait un air de boîte de nuit d’avant guerre. Il manquait la fumée et l’odeur de cigarette, mais on ne fume pas, et ç’aurait été trop. Je savais qu’il voulait des nues plus osées et j’étais partante pour ça. J’ai bu plus que ma part de la bouteille, donc adieu mes réticences !
- Et la dernière photo ? Farida veut savoir.
- J’etais hyper-excitée. Le fait de pouvoir me lâcher aussi totalement devant l’objectif, sans le souci de faire développer les photos dans le commerce, m’a allumée incroyablement. J’étais prête à n’importe quelle folie à ce moment-là.
Je l’interromps.
- C’est ce que j’ai ressenti aussi. Que Clara était disponible comme jamais. Dans la position où elle était, normalement j’aurais titillé sa rondelle avec ma langue.
- Oh oui ! j’adore ça !
- Mais c’était impossible avec la bouteille. Sa rondelle me faisait des clins d’œil, pour ainsi dire. Et voilà. Le tournevis était à portée de main…- Le choc quand Yves m’a enfoncé ça ! Mais qu’est- ce que c’était bon ! Être doublement pénétrée de la sorte… impossible a décrire à quelqu’un qui ne l’a jamais fait.
- A ton avis je devrais essayer ?
- Oh, Oui ! Au moins une fois dans ta vie.
- Chiche !
- T’es sûre, Farida ? demande Adam à sa femme, qui est décidément pompette.
- Tu crois que je me suis habillée comme ça pour mourir ignorante ? Faire quelques folies en vacances m’a plue. J’admets que ta photo m’a choquée, Clara. Je savais que tu étais belle et bien faite, mais te voir comme ça… c’est vrai que tu n’as pas été forcée de le faire ?
- Ah non ! C’était incroyablement bon…et comme j’ai dit, un de ces pieds ! Clara en a les yeux qui brillent de plus en plus.
- A toi de jouer, Rida, dit Adam. Si tu en as vraiment envie, vas- y.
- Si tu nous faisais un striptease ? suggère Clara. Ce serait chouette. Dis-moi ce que tu veux comme musique.
- Tu as du Raï ? Ma copine et moi, on s’enfermait dans sa chambre et on dansait, en s’imaginant devant des garçons admiratifs, dit Farida. Elle s’extirpe du fauteil, ce qui me vaut l’information qu’elle porte un slip noir.
- Désolée, je n’en ai pas.
- Il y a une cassette dans la voiture. Je la cherche ? dit Adam.
- Bonne idée. Ce sont mes chansons préférées.
Adam fait une grimace.
- Surtout ne la laissez pas chanter ! C’est une supplice quand on a des centaines de kilomètres à faire !
- Tais-toi et va me chercher ma musique, ou je change d’avis !
Il se lève et sort, presqu’en courant. Même pas une minute plus tard, il tend la cassette à Clara.
La bande démarre. Farida se met au milieu de la pièce, avec nous, son public, autour d’elle. Elle se perd dans le rhythme, on dirait. Elle se déhanche langoureusement, les yeux à moitié fermés. Elle défait la ceinture de sa jupe. Elle fait semblant de la laisser tomber par terre, mais à chaque fois le récupère au dernier moment. Finalement…- Oups !
Elle nous révèle son slip en dentelle noire. Sur la photo que j’avais vue, elle était seins nus, mais en short. Les fesses rebondies qu’elle dandine à un mètre de ma figure sont de la même qualité que la poitrine, fermes et musclées. Je jette un regard rapide vers Clara, qui a les yeux collés à ce joli popotin, à la peau lisse et tentante. Je vois même le bout de sa langue qui sort pour lécher ses lèvres.
Farida joue avec les boutons de son chemisier. Une fois qu’ils sont tous ouverts, elle le garde fermé à deux mains. Elle se penche en avant, d’abord vers Adam puis vers moi. La vallée entre ses seins est profonde et alléchante. Quand c’est au tour de Clara, tout d’un coup Farida se met bien droite et ouvre les deux pans du chemisier en grand. Les yeux exorbités de ma femme montrent son étonnement et son plaisir. Que porte Farida comme soutif ? Elle me fait encore attendre. Pour Adam ça ne doit être nouveau de voir sa femme en lingerie, mais pour moi, le seul à ne pas avoir profité de la vue, l’attente semble longue.
Finalement elle me fait face. De nouveau elle tient le chemisier fermé , avant de me révéler une épaule nue, puis les deux. Toujours en suivant le rhythme de la musique, elle me tourne le dos et laisse glisser le chemisier le long de ses bras et de son dos. Elle le balance à la figure de son mari et se retourne vers moi. Quelle vision ! Une paire de seins ô combien plus sexy que dans la photo ! Le soutien- gorge est style balconnet, et ses seins nus reposent sur, mais ne sont pas du tout cachés par cette armature. Je comprends maintenant pourquoi Clara a eu l’air de les bouffer des yeux. Farida, qui ne porte plus que ce slip minime, est superbe. Ses tétons, larges de deux centimètres, ont les bouts comme des raisins sultanes secs. Superbe.
Sans un mot, Clara enlève le papier d’argent de la bouteille vide et pose celle-ci sur le parquet. Farida regarde ma femme, puis la bouteille. La chanson finit et elle arrête de danser. Le morceau suivant commence. Il est lent et sensuel. Farida commence à descendre son slip et nous montre un minou aux poils noires courtes et bien entretenues. Du bout du pied, elle m’envoie sa culotte à la figure en riant. Je la mets sur ma tête en couvre-chef, ce qui la fait rire encore plus, les autres aussi. Elle aspire profondément et se met à genoux. Elle est nettement plus petite que Clara, et dans cette position il lui sera difficile de rentrer la bouteille dans son vagin.Elle se relève et s’accroupit. En fléchissant les genoux, elle arrive à la bonne hauteur, où le goulot est à un centimètre de son sexe aux lèvres charnues.
- Attention ! C’est parti ! crie Farida. Elle se laisse descendre et la bouteille pénètre dans son vagin.
- Aïe, c’est froid ! annonce- t- elle. Cela ne l’empêche pas de commencer une montée et descente qui ont l’air de lui procurer un immense plaisir.
- Mmm, c’est bon. Je suis une éhontée, vous ne trouvez pas ?
- Si ! Ça c’est Clara. C’est aussi ce que j’ai ressenti moi, dit- elle. Et c’est ça qui est encore plus excitant. Être à la fois une femme adulte et mariée, et en même temps une garce qui se fait plaisir avec de petites perversions sexuelles.
- Oui ! Oui ! C’est ça ! Oh, que c’est bon !
- Mais tu n’as pas encore fini, dit Clara d’un ton mesquin. Attends que je cherche la boîte à outils.
- Pas la peine, dit Adam. Il prend une des demi- bouteilles de la table et la tend à sa femme. Celle-ci a réussi à faire pénétrer la première bouteille assez loin pour lui permettre d’être agenouillée. Elle fait des montées et descentes, très lentement, et l’effet se voit sur sa figure.
- Je ne bouge pas, annonce- t- elle. C’est trop bon. N’hésite pas,Clara, si tu veux vraiment me voir imiter ta photo, tu devras me le faire. Chiche ?
Sans un mot, Clara se lève. Elle prend la bouteille des mains d’Adam, et va se mettre debout devant Farida, les jambes écartées . Elle soulève le devant de sa robe et en fait une tente qui enferme la tête de Farida. J’arrête de respirer. Le sexe de ma femme doit être à des millimètres de la bouche de Farida ! Quatre, cinq, dix secondes s’écoulent et les deux femmes restent apparemment immobiles. Cependant, je vois que Clara lutte pour ne pas sourire. Puis elle rit et se défait de sa robe complètement, ce qui révèle la figure de Farida. Le recul involontaire de celle-ci me suggère que les millimètres ont dû être franchis, et je bande encore plus fort.
- Passons aux choses sérieuses, dit ma femme. Elle se met à genoux face à Farida et avance, jusqu’à ce que leurs corps se touchent. La blonde et la brune, le contraste est des plus excitants. Étant plus petite de presque vingt centimètres, Farida se retrouve avec les seins de Clara près de ses lèvres. Ma femme ne réagit pas quand elle sent ces lèvres se refermer sur un téton. Elle fait glisser la demi- bouteille le long de la colonne vertébrale de Farida. La bouteille n’est pas tout à fait vide, et Farida frissonne au contact du vin froid et pétillant qui coule le long de son dos et disparaît entre ses fesses.
Je me lève et Adam m’imite. On passe derrière Farida, juste à temps pour voir que Clara lui a écarte les fesses et est en train de fourrer la petite bouteille entre elles.
- Doucement ! dit Farida. Laisse-moi me détendre et ça rentrera tout seul.
Clara obéit. Je vois sa surprise quand la bouteille glisse entre les fesses de Farida. D’après la profondeur, ça ne peut être que dans son cul.
- Attends ! dit Farida. Passe- moi l’autre demi-bouteille.
J’enlève le papier argent et je donne la bouteille à Farida. Elle sort le goulot de la grande bouteille de son sexe et la remplace par la petite.
- Voilà qui est mieux, dit- elle. Elle se soulève un peu et on voit que les deux bouteilles sont côte à côte sous son entrejambe. Elle nous regarde, et se laisse descendre, très lentement. Je vois celle de devant qui dilate son vagin. Les lèvres de sa vulve englobent le verre. Un coup d’œil vers Adam, qui est derrière sa femme, me confirme que la même chose se passe.
Farida continue à descendre. Presque la moitié de la bouteille a disparu. C’est plus difficile pour elle maintenant, et elle doit se forcer à les rentrer davantage.
Clara ? Tu veux appuyer sur mes épaules ? Je veux être pleine, pleine au possible.
Ma femme lui met les mains sur les épaules et pousse. Farida crie.
- Stop. C’est bon. Ça ne rentre plus.
Elle met une main devant et une derrière pour maintenir les intrus en place, puis, avec l’aide de Clara, elle imite la position de la fameuse photo, sauf que ses seins, beaucoup plus gros que ceux de mon épouse, pendent entre ses genoux écartés et la pouffe. Elle est magnifique et je regrette ne pas avoir de film pour l’appareil.
Clara lit mes pensées.
- Dans la chambre. Il y a un film sur le lit, elle me souffle. Je cavale chercher l’appareil. Heureusement je sais le manipuler bien mieux maintenant. De retour au salon, je prends la première photo, que je donne à Clara pour qu’elle compte les secondes. Un deuxième cliché, que je passe à Adam.
- Trente secondes, pas plus ni moins, lui dit Clara.
La troisième photo je m’en occupe.
- Fini, grogne Farida. Elle extrait les bouteilles et se met assise sur le pouffe.
- Je peux voir ? dit- elle.
On a trois superbes (pour des Polaroïd !) photos en noir et blanc, toutes très nettes. Les fesses de Farida forment un cadre pour les culs des bouteilles qui la pénètrent. On voit ses longs cheveux et, au- delà de ses cuisses largement écartées, ses magnifiques seins qui pendent, avec ses tétons en pleine erection.
- Bravo, dit Clara. Tu m’as dépassée de loin. Quelle chance d’avoir une si belle poitrine ! Je croquerais dedans, presque !
- Pourquoi presque ? demande Farida. Ma copine et moi, nous ne faisions pas que de danser quand on s’enfermait. Faute de garçons, il fallait quand même s’éduquer, non ? Ses yeux brillent. Fallait voir la tête d’Adam quand je lui ai raconté comment on s’embrassait et se caressait pendant des heures !
- Et pas que ma tête ! Je bandais comme un taureau, n’est- ce pas, Rida ?
- Oh Oui ! Une de ces nuits !

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