Bon anniversaire
Récit érotique écrit par Lexdepenny [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Bon anniversaire
Un cadeau d’anniversaire
L’histoire « Notre toute première exhibition. » (référence: 37111|a3301) d’Arsenne, publiée en Septembre 2020, a fait surgir l’idée qu’une première suppose une suite. Cela me semblait tout aussi inévitable qu’à souhaiter. Voici donc ce qui se passe quelque temps plus tard, à mon avis...
« Madame ? Votre mari a laissé un paquet pour vous ». C’est la secrétaire du lycée qui l’appelle.
Le cœur de Chantal se met à battre plus fort.
C’est donc aujourd’hui qu’il le réclame, son cadeau d’anniversaire ? Quelle idée, d’avoir offert trois souhaits à Arsène ! Comme dans un conte de Grimm…
Elle prend le paquet, remercie la secrétaire machinalement et sort du bahut.
Il y a une enveloppe collée sur le paquet. Elle l’ouvre :
Montmartre. Place du Tertre. Au café qui s’appelle « au cadet de Gascogne » tu rentres, tu prends une consommation (que je te laisse choisir…(c’est le seul choix que tu auras aujourd’hui !) Tu mets ce qui est dans le paquet. Au bar ils auront une enveloppe pour toi, adressée à Madame X, mais tu te changeras dans les toilettes avant de la demander.
Chantal soupire. Heureusement que sa journée n’a pas été trop chargée. Et, finalement, ce n’est pas plus mal si ce qui va se passer se déroule loin du boulot. Tel qu’elle connaît son mari, ce cadeau qu’elle lui a offert aura un élément sexuel prononcé. Au moins dans le centre de Paris elle sera anonyme. Moins de chance de tomber sur un parent d’élève…ou encore pire, sur un de ses éleves de terminale qui la biglent sans arrêt ! Et il fait beau, 22 degrés et du soleil.
Dans Paris elle sort du Métro et cherche le café en question. Elle commande une tisane pour se calmer, puis descend au sous-sol chercher les toilettes. Elle s’enferme et ouvre le paquet. Dedans, elle trouve sa robe portefeuille bleue…mais.. le salaud ! Il l’a faite raccourcir ! Elle lui arrive à mi cuisse au lieu de longueur genou. Elle se déshabille et met la robe. Un coup d’œil dans la glace ne la rassure pas. La robe est vraiment très courte, pas mini mini, mais courte quand même. Elle remonte et demande au barman s’il y a une enveloppe pour Madame X. L’homme lui tend une petite enveloppe. Elle l’ouvre et lit :
Ah non ! Je te connais ! Tu mets ce qu’il y a dans le paquet ET RIEN D’AUTRE ! Pas de soutif, pas de slip, pas de collant. La robe et tes chaussures, c’est tout.
Chantal soupire et retourne aux toilettes. Quand elle remonte, vêtue uniquement de la robe, elle sent les yeux des serveurs qui la toisent, comme si elle était nue. (Sont-ils au courant ou est-ce ma tête qui me donne cette impression ?)
« Madame. Il y a une deuxième enveloppe pour vous »
Elle lit :Tu descends le grand escalier et tu prends le métro. Tu descends à Trocadéro. Tu traverses le pont et pas loin du musée Rodin, tu me verras en vitrine d’un salon de thé. Devant la vitrine, tu fais semblant de trouver un caillou dans ta sandale. Tu te penches pour l’enlever pendant minimum 30 secondes. Tu rentres et tu me rejoins prendre un English Tea, pour fêter mon anniversaire.
La descente de l’escalier célèbre paraît interminable à Chantal. Elle a l’habitude qu’on la regarde. Elle sait qu’avec ses beaux yeux, ses cheveux foncés toujours bien coupés, et sa silhouette fine, elle ne passe pas inaperçue. Mais là, hyper-consciente que seuls quelques centimètres cachent son ventre nu, et que ses tétons essaient de percer des trous dans le tissu fin de la robe, sans oublier le mouvement naturel de ses seins libres de toute contrainte, elle sait qu’elle a les joues roses. Elle tente d’éviter le contact oculaire, mais les yeux abruptement écarquillés d’un jeune homme qui remonte, prouvent à Chantal que son état a été remarqué. Il y a dix marches entre Chantal et lui, et elle sait qu’il a dû tout voir. Elle se sent mouiller, mais fait très attention de regarder ailleurs.
« Bella ! Ma troppo bella ! » murmure-t-il en la croisant.
Chantal se permet un sourire en continuant sa descente.
Le métro, c’est autre chose. C’est une ligne très touristique et les passagers sont serrés comme des sardines. Chantal est coincée, debout au milieu d’un groupe de jeunes japonais. Elle sait qu’ils n’ont pas raté ses seins sans support et une vague de plaisir mélangée de gêne l’atteint. Le rame démarre et elle doit lever un bras pour s’accrocher a une poignée, ce qui fait remonter sa robe. De l’autre main elle tire sur l’ourlet pour se sentir moins exposee, mais ses ongles frôlent sa toison à nouveau et la font frissonner. (Cette robe est véritablement limite, du moins pour moi ! Je n’ai plus dix-huit ans !) Elle est déchirée entre la peur du scandale et une soudaine envie folle de relever sa robe et d’exhiber son sexe nu à tous ces inconnus. Comment réagiraient-ils ? Son cerveau tourbillonne, rempli d’images d’elle-même caressée, fouillée, amenée à un orgasme foudroyant par des mains étrangères…. Pour se calmer, elle récite, mentalement, le tableau des éléments.
Le trajet depuis le métro jusqu’au pont d’Iena n’est pas fait pour apaiser son esprit. Encore un escalier vers la rue, puis un autre pour descendre avec plein de monde qui monte. Elle a du mal, maintenant, à s’empêcher de se toucher. De nouveau elle fait semblant de tirer sur sa robe, alors qu’en vérité, son index tâte ses poils humides et met de la pression…(juste un tout petit peu, promis, sinon je risque de ne pas pouvoir m’arrêter).. .sur son minou enflé. Rien que ce toucher minime l’informe qu’elle est très…trop, même…près de jouir. Le passage du pont, où comme toujours souffle le “vent fripon”, risque à plusieurs reprises de soulever sa robe ou de l’ouvrir complètement, et révéler sa nudité au monde.
La vue de son mari qui la salue de l’intérieur du salon de thé lui rappelle ce qu’il lui reste à accomplir. Elle s’appuie contre une table de la terrasse et se penche. La vitrine lui renvoie son image. Ses seins nus sont en pleine vue, et son mari l’apprécie quand, très courageuse, Chantal relève l’ourlet de la robe pour qu’il sache qu’elle a rempli le contrat.
Les trente secondes qu’elle compte dans sa tête durent une éternité, avant qu’elle ne se remette droite et rentre pour rejoindre Arsène.
« J’ai déjà commandé » dit-il. « Comment te sens-tu ? »« Ouf ! Tout chose ! J’avais l’impression d’être toute nue »« Super ! C’est ce que je voulais pour toi. Tu mouilles ? »« Quelle question ! Mais oui, je mouille, et comment ! »« Touche toi. Glisse un doigt dans ta fente et montre-le-moi. »« Tu es fou ! »« Oui, fou de toi. Je t’aime. C’est le troisième et dernier des souhaits ».
Chantal approche sa chaise plus près de la table et, discrètement, passe un doigt dans sa fente trempée. L’ongle s’accroche à son clitoris dur. Un spasme fait contracter les muscles de son bas-ventre et elle manque tout juste de jouir. Elle tend son index vers Arsène. Il le porte à sa bouche et le suce. Pour Chantal cela a le même effet que s’il avait sucé son clitoris même et elle ne peut s’empêcher de jouir. Elle a un mal dingue de s’empêcher de crier son orgasme à haute voix. Son corps est tout en sueur. Elle se calme et sourit à son mari.
« Bon anniversaire à retardement, chéri ».
L’histoire « Notre toute première exhibition. » (référence: 37111|a3301) d’Arsenne, publiée en Septembre 2020, a fait surgir l’idée qu’une première suppose une suite. Cela me semblait tout aussi inévitable qu’à souhaiter. Voici donc ce qui se passe quelque temps plus tard, à mon avis...
« Madame ? Votre mari a laissé un paquet pour vous ». C’est la secrétaire du lycée qui l’appelle.
Le cœur de Chantal se met à battre plus fort.
C’est donc aujourd’hui qu’il le réclame, son cadeau d’anniversaire ? Quelle idée, d’avoir offert trois souhaits à Arsène ! Comme dans un conte de Grimm…
Elle prend le paquet, remercie la secrétaire machinalement et sort du bahut.
Il y a une enveloppe collée sur le paquet. Elle l’ouvre :
Montmartre. Place du Tertre. Au café qui s’appelle « au cadet de Gascogne » tu rentres, tu prends une consommation (que je te laisse choisir…(c’est le seul choix que tu auras aujourd’hui !) Tu mets ce qui est dans le paquet. Au bar ils auront une enveloppe pour toi, adressée à Madame X, mais tu te changeras dans les toilettes avant de la demander.
Chantal soupire. Heureusement que sa journée n’a pas été trop chargée. Et, finalement, ce n’est pas plus mal si ce qui va se passer se déroule loin du boulot. Tel qu’elle connaît son mari, ce cadeau qu’elle lui a offert aura un élément sexuel prononcé. Au moins dans le centre de Paris elle sera anonyme. Moins de chance de tomber sur un parent d’élève…ou encore pire, sur un de ses éleves de terminale qui la biglent sans arrêt ! Et il fait beau, 22 degrés et du soleil.
Dans Paris elle sort du Métro et cherche le café en question. Elle commande une tisane pour se calmer, puis descend au sous-sol chercher les toilettes. Elle s’enferme et ouvre le paquet. Dedans, elle trouve sa robe portefeuille bleue…mais.. le salaud ! Il l’a faite raccourcir ! Elle lui arrive à mi cuisse au lieu de longueur genou. Elle se déshabille et met la robe. Un coup d’œil dans la glace ne la rassure pas. La robe est vraiment très courte, pas mini mini, mais courte quand même. Elle remonte et demande au barman s’il y a une enveloppe pour Madame X. L’homme lui tend une petite enveloppe. Elle l’ouvre et lit :
Ah non ! Je te connais ! Tu mets ce qu’il y a dans le paquet ET RIEN D’AUTRE ! Pas de soutif, pas de slip, pas de collant. La robe et tes chaussures, c’est tout.
Chantal soupire et retourne aux toilettes. Quand elle remonte, vêtue uniquement de la robe, elle sent les yeux des serveurs qui la toisent, comme si elle était nue. (Sont-ils au courant ou est-ce ma tête qui me donne cette impression ?)
« Madame. Il y a une deuxième enveloppe pour vous »
Elle lit :Tu descends le grand escalier et tu prends le métro. Tu descends à Trocadéro. Tu traverses le pont et pas loin du musée Rodin, tu me verras en vitrine d’un salon de thé. Devant la vitrine, tu fais semblant de trouver un caillou dans ta sandale. Tu te penches pour l’enlever pendant minimum 30 secondes. Tu rentres et tu me rejoins prendre un English Tea, pour fêter mon anniversaire.
La descente de l’escalier célèbre paraît interminable à Chantal. Elle a l’habitude qu’on la regarde. Elle sait qu’avec ses beaux yeux, ses cheveux foncés toujours bien coupés, et sa silhouette fine, elle ne passe pas inaperçue. Mais là, hyper-consciente que seuls quelques centimètres cachent son ventre nu, et que ses tétons essaient de percer des trous dans le tissu fin de la robe, sans oublier le mouvement naturel de ses seins libres de toute contrainte, elle sait qu’elle a les joues roses. Elle tente d’éviter le contact oculaire, mais les yeux abruptement écarquillés d’un jeune homme qui remonte, prouvent à Chantal que son état a été remarqué. Il y a dix marches entre Chantal et lui, et elle sait qu’il a dû tout voir. Elle se sent mouiller, mais fait très attention de regarder ailleurs.
« Bella ! Ma troppo bella ! » murmure-t-il en la croisant.
Chantal se permet un sourire en continuant sa descente.
Le métro, c’est autre chose. C’est une ligne très touristique et les passagers sont serrés comme des sardines. Chantal est coincée, debout au milieu d’un groupe de jeunes japonais. Elle sait qu’ils n’ont pas raté ses seins sans support et une vague de plaisir mélangée de gêne l’atteint. Le rame démarre et elle doit lever un bras pour s’accrocher a une poignée, ce qui fait remonter sa robe. De l’autre main elle tire sur l’ourlet pour se sentir moins exposee, mais ses ongles frôlent sa toison à nouveau et la font frissonner. (Cette robe est véritablement limite, du moins pour moi ! Je n’ai plus dix-huit ans !) Elle est déchirée entre la peur du scandale et une soudaine envie folle de relever sa robe et d’exhiber son sexe nu à tous ces inconnus. Comment réagiraient-ils ? Son cerveau tourbillonne, rempli d’images d’elle-même caressée, fouillée, amenée à un orgasme foudroyant par des mains étrangères…. Pour se calmer, elle récite, mentalement, le tableau des éléments.
Le trajet depuis le métro jusqu’au pont d’Iena n’est pas fait pour apaiser son esprit. Encore un escalier vers la rue, puis un autre pour descendre avec plein de monde qui monte. Elle a du mal, maintenant, à s’empêcher de se toucher. De nouveau elle fait semblant de tirer sur sa robe, alors qu’en vérité, son index tâte ses poils humides et met de la pression…(juste un tout petit peu, promis, sinon je risque de ne pas pouvoir m’arrêter).. .sur son minou enflé. Rien que ce toucher minime l’informe qu’elle est très…trop, même…près de jouir. Le passage du pont, où comme toujours souffle le “vent fripon”, risque à plusieurs reprises de soulever sa robe ou de l’ouvrir complètement, et révéler sa nudité au monde.
La vue de son mari qui la salue de l’intérieur du salon de thé lui rappelle ce qu’il lui reste à accomplir. Elle s’appuie contre une table de la terrasse et se penche. La vitrine lui renvoie son image. Ses seins nus sont en pleine vue, et son mari l’apprécie quand, très courageuse, Chantal relève l’ourlet de la robe pour qu’il sache qu’elle a rempli le contrat.
Les trente secondes qu’elle compte dans sa tête durent une éternité, avant qu’elle ne se remette droite et rentre pour rejoindre Arsène.
« J’ai déjà commandé » dit-il. « Comment te sens-tu ? »« Ouf ! Tout chose ! J’avais l’impression d’être toute nue »« Super ! C’est ce que je voulais pour toi. Tu mouilles ? »« Quelle question ! Mais oui, je mouille, et comment ! »« Touche toi. Glisse un doigt dans ta fente et montre-le-moi. »« Tu es fou ! »« Oui, fou de toi. Je t’aime. C’est le troisième et dernier des souhaits ».
Chantal approche sa chaise plus près de la table et, discrètement, passe un doigt dans sa fente trempée. L’ongle s’accroche à son clitoris dur. Un spasme fait contracter les muscles de son bas-ventre et elle manque tout juste de jouir. Elle tend son index vers Arsène. Il le porte à sa bouche et le suce. Pour Chantal cela a le même effet que s’il avait sucé son clitoris même et elle ne peut s’empêcher de jouir. Elle a un mal dingue de s’empêcher de crier son orgasme à haute voix. Son corps est tout en sueur. Elle se calme et sourit à son mari.
« Bon anniversaire à retardement, chéri ».
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