Amélie, février 2016

- Par l'auteur HDS Mysterious91 -
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Récit libertin : Amélie, février 2016 Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Amélie, février 2016
Amélie et moi, nous nous regardons. Ce que nous venons de vivre, ce soir, nous l'assumons. Ça faisait depuis le début de l'année universitaire que nous nous tournions autour, elle et moi. À un moment ou à un autre, il aurait fallu que ça se produise, ce moment. Ce moment s'est produit. Il ne pouvait pas... plus... en être autrement. Non. Il ne pouvait pas... plus... en être autrement, à nos yeux. Ce soir, après cette journée longue, harassante à la fac, nous avions hâte de nous retrouver, seule à seul. Après quelques courses à la supérette du coin, on s'est retrouvés chez elle. Et.. Une fois chez elle... Nous nous en sommes donnés à coeur joie, dans cette complicité qui nous est propre et qui n'appartient qu'à nous.

Ça a été une journée de cours de plus. Une journée de plus où, Amélie et moi, nous avons été inséparables. Une journée de plus où nous nous sommes assis l'un à côté de l'autre dans la salle de classe. Une journée de plus où notre complicité n'a fait que se renforcer. Une journée de plus où nous avons compris que quelque chose de particulier se passait entre nous. Et ce soir, il s'est vraiment passé quelque chose de particulier entre nous.

Arrivés chez elle, nous avons posé nos sacs de cours et nous nous sommes assis. Ma camarade de promotion m'a proposé un verre à boire. Vu que j'avais la gorge sèche, je ne me suis pas fait prier pour accepter. Amélie a ouvert le petit frigo de son studio d'étudiante. La jeune femme s'est tournée vers moi et elle m'a demandé ce que je voulais. De l'eau? Du jus d'orange? Du thé glacé à la pêche? J'avais l'embarras du choix. On a beau être en février... J'avais très envie d'un verre de thé glacé. Amélie m'a adressé un clin d'œil. Je savais ce que ça voulait dire. Le mois dernier, quand Amélie avait dîné puis dormi chez moi chez moi, avec moi, nous nous étions désaltérés avec du thé glacé à la mangue. Ensuite, nous avions mangé du saumon, avec des pâtes. Mes colocataires nous avaient laissés tranquilles. Amélie et moi, nous avions alors pu dîner rien que tous les deux. Après un délicieux repas, nous étions repus, le ventre bien rempli. Nous avions ensuite fait le peu de vaisselle que nous avions utilisé. Nous avions fini la soirée en regardant un petit peu un film mais fatigués par notre longue journée à la fac, nous avions dû nous résoudre à nous endormir. Une autre, nouvelle longue journée nous attendait, le lendemain. Nous nous étions endormis, l'un contre l'autre. Ça avait été la première fois que je partageais une pareille intimité avec une fille. Au beau milieu de la nuit, je m'étais réveillé en catastrophe. J'avais eu très chaud et j'avais été couvert de sueur. Ça m'avait fait beaucoup d'effet d'être dans mon lit, avec Amélie. La veille au soir, je m'étais masturbé sous la douche en pensant fort à ma jolie camarade de promotion. Le plaisir avait été renversant. Le sexe avec elle devait être... bon, j'avais pensé.
De fil en aiguille, notre relation a continué d'évoluer. Nous étions de plus en plus inséparables. Et désormais... Aujourd'hui...

Une fois posés chez elle, loin des cours, loin de la méticulosité des préparations de nos simulations de visites guidées, Amélie et moi, nous avons décidé de nous détendre. Comme à notre habitude, notre modus operendi, ça a été de parler d'Histoire et d'Art. Ça a été d'échanger des références peut-être débiles pour certains, mais c'étaient des références qui nous plaisaient et qui nous faisaient marrer à chaque fois. Plus l'année avance, plus je me rends compte qu'il se passe quelque chose de spécial entre nous. Le mois dernier, j'ai lutté pour ne pas avouer mes véritables sentiments pour Amélie. Dès le début de l'année, elle m'a plu, la jeune femme d'Angers. J'avais apprécié la manière avec laquelle elle m'avait abordé puis adressé la parole, la première fois. Je me suis mis à m'attacher à elle.
À un moment donné, comme à notre habitude, notre modus operendi, ça a été de parler de sensualité et de volupté. D'érotisme et de sexe. Avec Amélie, il n'y a jamais de problème lorsque l'on vient à aborder ces sujets. C'est sans ambiguïté, sans gêne, sans équivoque. Que ce soit dans la peinture, dans la sculpture ou bien encore dans la littérature, c'est quelque chose que nous avons en commun: ça nous plaît. Et il a fallu qu'Amélie parle de la toile célèbre de Fragonard intitulée "Le Verrou". Je sais qu'elle aime particulièrement cette peinture. Quand Amélie se met à parler d'érotisme et de sensualité dans l'Art, je ne réponds plus de rien et je l'écoute avec attention. Je la regarde attentivement. Dans ces situations, Amélie a le sourire aux lèvres. Ses yeux sont espiègles et ils brillent particulièrement. Ça a été ce qu'il s'est passé tout à l'heure, ni plus, ni moins! Et quand elle a mentionné qu'elle a une technique spéciale et bien à elle de fellation, c'en a été fait de moi. Est-ce qu'elle m'a tendu une perche, Amélie? Est-ce qu'elle a glissé ça, comme ça, l'air de rien? Là, alors que nous reprenons notre souffle, je me pose la question. Ce que je sais, c'est que moi aussi, l'air de rien, j'ai saisi la balle au bond et, les yeux dans les yeux, je lui ai demandé de me faire une démonstration de ses talents de suceuse.
Sans se démonter le moins du monde, elle m'a souri et sans que je ne sache pourquoi, elle a rempli un mug d'eau et elle l'a fait chauffer dans son micro-ondes.

Et puis j'ai compris, juste après. Elle a bu quelques gorgées de thé. Puis, elle s'est mise à genoux et elle a posé ses deux mains sur mes jambes. Ses mains sont remontées sur mon jean et ses doigts ont baissé la fermeture éclair puis l'ont déboutonné, mon jean. Pantalon baissé, sur le sol, Amélie a libéré mon sexe et elle l'a pris en main pour commencer à me branler. C'était moi ou bien c'était pour de vrai, Amélie et moi? Non, je ne rêvais pas. C'était bien pour de vrai...

De fil en aiguille, Amélie s'est montrée... entreprenante. De fil en aiguille, elle a été chaude et j'ai pu véritablement me rendre compte de ces talents en matière de fellation et de sexe, de manière générale. Elle n'a pas fait les choses à moitié. Elle n'a pas fait semblant. Avec le recul, j'ai comme l'impression qu'elle en avait eu, qu'elle en avait mouru d'envie, Amélie. Et elle me l'a clairement montré, exprimé, ma mignonne camarade de promo.

Debout, j'ai été un peu comme un pacha. Amélie était agenouillée sur le sol de la pièce principale de son studio d'étudiante. Elle se cramponnait à moi en me saisissant fermement les fesses. Ainsi, ça a été elle qui a donné le tempo de cette pipe qu'elle m'a taillé. C'était pour de vrai, ce qu'il se passait avec Amélie. Il faut dire qu'elle y a mis beaucoup d'entrain. Depuis le début de l'année, mes pensées étaient pour Amélie. Depuis le début de l'année universitaire, il n'y avait plus qu'une seule nana dans mon coeur, dans mon corps et dans ma tête et c'était elle. Amélie.

Plus rien n'a eu d'importance pour moi. J'avais beau y avoir pensé jusqu'à présent... J'avais beau avoir fantasmé sur le moment, sur la possibilité que ça se fasse... Maintenant que c'est arrivé, notre relation ne sera plus la même, entre Amélie et moi. Debout, sur mes appuis, les lèvres de ma camarade de promotion étaient des gourmandises, le long de mon érection. Plus Amélie me prenait dans sa bouche, plus c'était un supplice délicieux pour moi. Dieu sait qu'elle avait bien fait de boire du thé, avant de commencer à m'offrir cette fellation dont je vais me souvenir pour toujours. Sa bouche étant chaude, la sensation de va-et-vient était plus qu'agréable. Que c'était... bon.
Pour guider Amélie, pour orienter ses caresses de telle sorte que ça continue d'être agréable pour moi, tantôt je tendais une main dans ses cheveux. Tantôt je remuais du bassin et je donnais des petits coups de rein. Amélie et moi, nous nous sommes partagés l'esprit d'initiative. Tantôt je ne bougeais pas et je laissais Amélie me prendre. Tantôt je bougeais et je faisais en sorte qu'Amélie me prenne davantage, qu'elle me pompe plus qu'elle ne me suce. Au fur et à mesure que le plaisir prenait possession de moi, j'exprimais ce plaisir comme bon me semblait.
J'ai baissé les yeux afin de regarder Amélie. J'étais curieux d'observer la jeune femme m'offrir cette pipe. Elle s'y donnait corps et âme. Plus je connaissais Amélie, moins ça m'étonnait de sa part. Je savais que le sexe la rendait curieuse. Le moins que je puisse dire, c'est qu'aujourd'hui, elle m'en a donné la preuve par a+b. Amélie faisait la belle... et ça me plaisait. Elle a repris le dessus sur moi. Elle a intensifié le mouvement de va-et-vient de sa bouche sur mon membre. L'effet escompté par Amélie s'est rapidement révélé irrémédiable. Mon corps s'est mis à se crisper et sous l'effet du plaisir intense qu'Amélie me donnait et qui s'emparait de moi. J'ai fermé les yeux et je me suis allé dans sa bouche...
En effet... Un doigt plié en anneau autour de mon gland, Amélie a tiré la langue et les petits coups qu'elle m'a donné dessus ont eu un effet final dévastateur sur mon plaisir. Ce que j'ai ressenti au moment où j'ai joui dans la bouche d'Amélie, sur sa jolie petite langue, ça a été tout simplement incomparable. Normal. C'est la toute première fois que j'ai une intimité pareille avec une fille. Et c'est en compagnie d'Amélie, qui plus est. Cette fille qui m'a plu dès le début de l'année universitaire... Cette fille qui m'a abordé et qui m'a adressé direct' la parole... Cette fille qui m'a invité à partager un café gourmand avec elle afin que l'on fasse "plus ample connaissance".

J'ai rouvert les yeux. D'instinct, j'ai planté mes yeux dans ceux de ma camarade de cours... et désormais partenaire de jeux coquins, à priori. Toujours à genoux, elle m'a souri. Qu'est-ce qu'elle était belle... QU'EST-CE QU'ELLE EST BELLE! Elle a entrouvert la bouche puis elle a tiré la langue. J'y ai vu un peu de mon sperme. Toujours en me regardant et ne me quittant pas des yeux, elle s'est léchée les lèvres et elle a fini par avaler mon sperme. Ça m'a fait fondre, craquer, ce joli petit spectacle émoustillant qu'elle m'offrait là. J'ai fini par tendre les bras vers elle avant qu'elle se relève. Je voulais la serrer dans mes bras, retrouver cette étreinte particulière qui, je dois l'avouer, me manque depuis qu'on a dormi ensemble dans mon lit, le mois dernier. Ni une, ni deux, Amélie a reçu le message cinq sur cinq et elle est venue se blottir dans mes bras pour que je l'y cueille.

Qu'en sera t-il de nous, à compter d'aujourd'hui? Quel statut a désormais notre relation? Je ne sais pas. En revanche, ce que je sais, c'est que je savoure le moment présent, enlacé à ma jolie camarade de fac. Et ça, c'est le plus important. Je tiens plus que jamais à Amélie.

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Texte coquin : Amélie, février 2016
Histoire sexe : Une rose rouge
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