Éléa, bibliothécaire... espiègle (7ème partie)
Récit érotique écrit par Mysterious91 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Éléa, bibliothécaire... espiègle (7ème partie)
Pendant qu'Éléa prenait les choses en main au sens propre du propre, Lucas essayait une dernière fois de se raisonner et d'arrêter les choses pendant qu'il le pouvait encore.
Le désir et le plaisir étaient plus forts que tout à ce moment-là. Ça faisait un moment déjà, en réalité, que les dégâts étaient perpétrés.
Lucas savait que lorsque ce serait terminé, cette partie de jambes en l'air, lorsqu'il rentrerait, il sentirait la culpabilité poindre à l'intérieur de lui. Jusqu'à présent, oui, ça lui était arrivé d'être attiré par d'autres femmes que son épouse. Et oui, il avait su faire la part des choses. Jusqu'à aujourd'hui, il n'y avait eu que sa femme qui comptait pour lui plus que tout.
Et puis il y a eu ce soir-là, quand il s'est rendu à la bibliothèque pour la première fois. La rencontre avec la jeune et jolie bibliothécaire aux longs cheveux bruns a tout changé. Ça a été un coup de foudre pour Lucas, ce jour-là. Éléa n'a plus jamais quitté son esprit. Et voilà où il en est aujourd'hui...
Elle était là, à présent, cette jeune femme. À ses pieds. Il croyait rêver. Mais non, elle n'était ni un mirage, ni le fruit de son imagination, cette nana. Elle se tenait sur ses genoux, et elle avait la langue tirée. Après avoir pris en main le membre de son amant, la bibliothécaire a porté quelques coups de langue sur le gland décalotté.
Éléa, elle, n'a pas réfléchi une seconde, à ce moment-là, sur le pourquoi du comment.
On lui louerait le bon dieu sans confession... et sans souci, sans condition, à cette jeune femme, si on la voyait, comme ça, dans la vie de tous les jours. C'était ce que Lucas se disait au moment où cette jeune femme s'occupait de son sexe. Elle avait une main qui l'empoignait, son sexe. Et elle titillait son gland avec des coups de langue.
La couronne... Le prépuce... Le frein... Le méat...
Elle était méticuleuse, et elle ne négligeait aucun millimètre carré de cette queue qui lui donnait... très... envie. Et ça se voyait qu'elle en avait envie, de ce membre.
Lucas, lui, aimait ce qu'elle faisait, comment elle s'y prenait. Et pour ne rien arranger à l'affaire, elle était à croquer. Les hommes tueraient pour vivre un moment comme ça, avec cette fille. Mais à ce moment-là, c'était LUI, Lucas, qui était assis sur le rebord de cette table et qui se faisait sucer. Pas un autre mec.
Il n'y avait plus rien d'important qui comptait aux yeux de Lucas si ce n'étaient la jolie bibliothécaire et lui.
Oui. Le reste n'avait pas d'importance.
Quand Éléa a décidé d'utiliser ses lèvres pour procurer du plaisir à son bel usager, il s'est passé quelque chose au plus profond d'elle. Non seulement elle aimait ça, s'envoyer en l'air avec Lucas, mais elle a aussi surtout décidé de lâcher les chevaux et d'y aller de plus belle lorsqu'elle a entendu le bel homme émettre un râle de plaisir alors que sa bouche allait et venait sur le gland de son fantasme numéro un. Ça voulait tout dire pour la jeune femme. Si ce qu'elle faisait avait l'effet escompté, ça signifiait qu'elle s'y prenait bien. Plus ce sentiment s'imposait au plus profond d'elle, plus elle avait confiance et plus elle prenait de l'assurance.
Lucas, lui, se sentait bien. C'était agréable, ce qu'elle lui faisait, la jolie bibliothécaire. Si ça n'avait tenu qu'à lui, il se serait bien contenté de se faire sucer, ce soir, tellement c'était... bon. Et ce n'étaient que quelques centimètres de son membre qu'Éléa avait pris en bouche ! Si c'était... bon comme ça, déjà, qu'est-ce que ce serait si ça continuait ?
Lucas encourageait sa partenaire. Ça lui tenait à cœur. Elle était tellement à croquer comme ça, il faut dire.
Lucas souriait à sa partenaire. Il lui parlait. Il tendait la main vers la tête de la jeune femme puis glissait ses doigts dans ses cheveux pour les lui caresser. Non seulement il aimait ça, mais il le faisait tout autant pour guider la jeune femme. Elle, elle aimait ça. Non seulement il les aimait, ses cheveux, le bel usager, mais il la guidait pour qu'elle le suce comme il en avait envie. C'était probablement la première fois qu'un homme était en phase avec elle, et vice-versa, lorsqu'elle s'envoyait en l'air. Oui. Il se passait quelque chose de spécial avec cet homme. Elle se sentait bien. Elle avait confiance en son bel usager. Elle prenait du plaisir... à le lui en donner. Elle ne pensait à personne d'autre qu'à son fantasme numéro un. Elle ne pensait à rien d'autre qu'au plaisir de son fantasme numéro un. Elle était elle-même. Elle était feu follette. Elle était dans le feu de l'action.
Les lèvres d'Éléa étaient mouillées. C'était parfait, la façon dont sa bouche coulissait le long du sexe de son bel usager. Plus la jeune femme s'habituait à la taille et au diamètre de cette queue, plus sa bouche progressait le long de cette belle érection. La jeune femme ne faisait que ce qu'elle savait faire. Ce qui était important pour elle, c'était le plaisir que son partenaire avait parce que c'était ELLE qui le lui donnait. Elle, elle se sentait bien. Et elle espérait que son partenaire l'était tout autant, bien. Les amants s'entendaient à merveille et ce, sans dire un mot. Dans la réserve, en revanche, on pouvait entendre les bruits qu'ils faisaient. Lucas soupirait, gémissait, râlait de plaisir. Éléa, elle, râlait aussi de plaisir. On entendait le bruit de sa bouche qui allait et qui venait le long de ce pénis dont elle appréciait la taille, la grosseur, le goût, l'odeur. Et puis... C'était son fantasme numéro un, son bel usager, quoi ! Même si elle ne se mettait pas martel en tête, elle voulait que ce soit agréable pour lui. Si ça se trouvait, c'était la seule et unique fois qu'ils couchaient ensemble...
Les amants se regardaient dans le blanc des yeux dès que leurs regards se rencontraient. Dès lors, ils se souriaient.
Plus Éléa suçait Lucas, plus il se laissait aller. Le hic, c'était que c'était si bon, ce qu'elle lui faisait... qu'il sentait qu'il allait jouir à un moment où à un autre su elle continuait ainsi. Ça a été à contrecoeur qu'il a tendu ses deux mains vers elle de telle sorte qu'elle se relève. Elle, ça l'a étonnée. Ce n'était pas bon, ce qu'elle lui faisait ? Elle ne s'y prenait pas bien ? Le temps d'un instant, Éléa s'est posée des questions. Ses doutes ont été balayés d'un revers de main par son amant. Il lui a assuré qu'il aimait qu'elle lui taille une pipe. En revanche, il voulait prolonger ce moment qu'il passait avec elle, que ça dure le plus longtemps possible. En d'autres termes, il voulait la prendre. Il voulait continuer de lui donner du plaisir.
Lucas a alors repris les rênes.
Il a demandé à la bibliothécaire de reprendre position sur la table, comme lorsqu'il l'a léchée.
Éléa a hoché la tête et a pris place sur la table, sans dire un mot.
Lucas gardait les yeux sur sa partenaire. Ça lui tenait à cœur. Qu'est-ce qu'elle était belle... Il n'avait pas le souvenir qu'une fille lui ait plu comme la bibliothécaire. À l'exception de son épouse, bien sûr.
Son sexe, lui, parlait pour lui. Il était érigé, dur, long. Si Lucas prétendait qu'il n'avait pas envie d'elle, alors il mentait.
Elle, son sexe parlait pour elle. Il était épilé. Les lèvres intimes étaient gonflées et elles avaient rougi sous les effets combinés de l'excitation et du plaisir. Si l'on y prêtait attention, la jeune femme mouillait.
Elle avait les fesses posées sur le rebord de la table.
Elle était sur le qui-vive.
Elle retenait son souffle.
Elle aimait cette intimité qu'elle partageait avec son bel usager.
Elle avait vraiment envie qu'il la pénètre, désormais.
Lucas était excité. Il y avait de quoi. Elle était là, la jeune et jolie bibliothécaire et elle était nue.
Elle était assise sur la table et ses fesses reposaient sur le rebord. Elle avait les cuisses bien écartées et c'était une posture qui ne faisait pas de doute sur ses intentions, sur ce qu'elle voulait. L'invitation était implicite mais elle n'était pas équivoque. Elle était on-ne-peut-plus claire.
Pour ne rien arranger à l'affaire, elle a glissé l'une de ses mains entre ses jambes et elle s'est un peu caressée sous les yeux de son bel usager.
Lui, il a empoigné son sexe et il s'est masturbé sous les yeux de la bibliothécaire, histoire de se redonner un peu de vigueur. Puis, il s'est approché d'elle.
Son sexe bien en main, il l'a frotté contre le minou humide, éclos d'Éléa.
Ce n'était qu'une question de temps avant qu'il ne la prenne...
Le désir et le plaisir étaient plus forts que tout à ce moment-là. Ça faisait un moment déjà, en réalité, que les dégâts étaient perpétrés.
Lucas savait que lorsque ce serait terminé, cette partie de jambes en l'air, lorsqu'il rentrerait, il sentirait la culpabilité poindre à l'intérieur de lui. Jusqu'à présent, oui, ça lui était arrivé d'être attiré par d'autres femmes que son épouse. Et oui, il avait su faire la part des choses. Jusqu'à aujourd'hui, il n'y avait eu que sa femme qui comptait pour lui plus que tout.
Et puis il y a eu ce soir-là, quand il s'est rendu à la bibliothèque pour la première fois. La rencontre avec la jeune et jolie bibliothécaire aux longs cheveux bruns a tout changé. Ça a été un coup de foudre pour Lucas, ce jour-là. Éléa n'a plus jamais quitté son esprit. Et voilà où il en est aujourd'hui...
Elle était là, à présent, cette jeune femme. À ses pieds. Il croyait rêver. Mais non, elle n'était ni un mirage, ni le fruit de son imagination, cette nana. Elle se tenait sur ses genoux, et elle avait la langue tirée. Après avoir pris en main le membre de son amant, la bibliothécaire a porté quelques coups de langue sur le gland décalotté.
Éléa, elle, n'a pas réfléchi une seconde, à ce moment-là, sur le pourquoi du comment.
On lui louerait le bon dieu sans confession... et sans souci, sans condition, à cette jeune femme, si on la voyait, comme ça, dans la vie de tous les jours. C'était ce que Lucas se disait au moment où cette jeune femme s'occupait de son sexe. Elle avait une main qui l'empoignait, son sexe. Et elle titillait son gland avec des coups de langue.
La couronne... Le prépuce... Le frein... Le méat...
Elle était méticuleuse, et elle ne négligeait aucun millimètre carré de cette queue qui lui donnait... très... envie. Et ça se voyait qu'elle en avait envie, de ce membre.
Lucas, lui, aimait ce qu'elle faisait, comment elle s'y prenait. Et pour ne rien arranger à l'affaire, elle était à croquer. Les hommes tueraient pour vivre un moment comme ça, avec cette fille. Mais à ce moment-là, c'était LUI, Lucas, qui était assis sur le rebord de cette table et qui se faisait sucer. Pas un autre mec.
Il n'y avait plus rien d'important qui comptait aux yeux de Lucas si ce n'étaient la jolie bibliothécaire et lui.
Oui. Le reste n'avait pas d'importance.
Quand Éléa a décidé d'utiliser ses lèvres pour procurer du plaisir à son bel usager, il s'est passé quelque chose au plus profond d'elle. Non seulement elle aimait ça, s'envoyer en l'air avec Lucas, mais elle a aussi surtout décidé de lâcher les chevaux et d'y aller de plus belle lorsqu'elle a entendu le bel homme émettre un râle de plaisir alors que sa bouche allait et venait sur le gland de son fantasme numéro un. Ça voulait tout dire pour la jeune femme. Si ce qu'elle faisait avait l'effet escompté, ça signifiait qu'elle s'y prenait bien. Plus ce sentiment s'imposait au plus profond d'elle, plus elle avait confiance et plus elle prenait de l'assurance.
Lucas, lui, se sentait bien. C'était agréable, ce qu'elle lui faisait, la jolie bibliothécaire. Si ça n'avait tenu qu'à lui, il se serait bien contenté de se faire sucer, ce soir, tellement c'était... bon. Et ce n'étaient que quelques centimètres de son membre qu'Éléa avait pris en bouche ! Si c'était... bon comme ça, déjà, qu'est-ce que ce serait si ça continuait ?
Lucas encourageait sa partenaire. Ça lui tenait à cœur. Elle était tellement à croquer comme ça, il faut dire.
Lucas souriait à sa partenaire. Il lui parlait. Il tendait la main vers la tête de la jeune femme puis glissait ses doigts dans ses cheveux pour les lui caresser. Non seulement il aimait ça, mais il le faisait tout autant pour guider la jeune femme. Elle, elle aimait ça. Non seulement il les aimait, ses cheveux, le bel usager, mais il la guidait pour qu'elle le suce comme il en avait envie. C'était probablement la première fois qu'un homme était en phase avec elle, et vice-versa, lorsqu'elle s'envoyait en l'air. Oui. Il se passait quelque chose de spécial avec cet homme. Elle se sentait bien. Elle avait confiance en son bel usager. Elle prenait du plaisir... à le lui en donner. Elle ne pensait à personne d'autre qu'à son fantasme numéro un. Elle ne pensait à rien d'autre qu'au plaisir de son fantasme numéro un. Elle était elle-même. Elle était feu follette. Elle était dans le feu de l'action.
Les lèvres d'Éléa étaient mouillées. C'était parfait, la façon dont sa bouche coulissait le long du sexe de son bel usager. Plus la jeune femme s'habituait à la taille et au diamètre de cette queue, plus sa bouche progressait le long de cette belle érection. La jeune femme ne faisait que ce qu'elle savait faire. Ce qui était important pour elle, c'était le plaisir que son partenaire avait parce que c'était ELLE qui le lui donnait. Elle, elle se sentait bien. Et elle espérait que son partenaire l'était tout autant, bien. Les amants s'entendaient à merveille et ce, sans dire un mot. Dans la réserve, en revanche, on pouvait entendre les bruits qu'ils faisaient. Lucas soupirait, gémissait, râlait de plaisir. Éléa, elle, râlait aussi de plaisir. On entendait le bruit de sa bouche qui allait et qui venait le long de ce pénis dont elle appréciait la taille, la grosseur, le goût, l'odeur. Et puis... C'était son fantasme numéro un, son bel usager, quoi ! Même si elle ne se mettait pas martel en tête, elle voulait que ce soit agréable pour lui. Si ça se trouvait, c'était la seule et unique fois qu'ils couchaient ensemble...
Les amants se regardaient dans le blanc des yeux dès que leurs regards se rencontraient. Dès lors, ils se souriaient.
Plus Éléa suçait Lucas, plus il se laissait aller. Le hic, c'était que c'était si bon, ce qu'elle lui faisait... qu'il sentait qu'il allait jouir à un moment où à un autre su elle continuait ainsi. Ça a été à contrecoeur qu'il a tendu ses deux mains vers elle de telle sorte qu'elle se relève. Elle, ça l'a étonnée. Ce n'était pas bon, ce qu'elle lui faisait ? Elle ne s'y prenait pas bien ? Le temps d'un instant, Éléa s'est posée des questions. Ses doutes ont été balayés d'un revers de main par son amant. Il lui a assuré qu'il aimait qu'elle lui taille une pipe. En revanche, il voulait prolonger ce moment qu'il passait avec elle, que ça dure le plus longtemps possible. En d'autres termes, il voulait la prendre. Il voulait continuer de lui donner du plaisir.
Lucas a alors repris les rênes.
Il a demandé à la bibliothécaire de reprendre position sur la table, comme lorsqu'il l'a léchée.
Éléa a hoché la tête et a pris place sur la table, sans dire un mot.
Lucas gardait les yeux sur sa partenaire. Ça lui tenait à cœur. Qu'est-ce qu'elle était belle... Il n'avait pas le souvenir qu'une fille lui ait plu comme la bibliothécaire. À l'exception de son épouse, bien sûr.
Son sexe, lui, parlait pour lui. Il était érigé, dur, long. Si Lucas prétendait qu'il n'avait pas envie d'elle, alors il mentait.
Elle, son sexe parlait pour elle. Il était épilé. Les lèvres intimes étaient gonflées et elles avaient rougi sous les effets combinés de l'excitation et du plaisir. Si l'on y prêtait attention, la jeune femme mouillait.
Elle avait les fesses posées sur le rebord de la table.
Elle était sur le qui-vive.
Elle retenait son souffle.
Elle aimait cette intimité qu'elle partageait avec son bel usager.
Elle avait vraiment envie qu'il la pénètre, désormais.
Lucas était excité. Il y avait de quoi. Elle était là, la jeune et jolie bibliothécaire et elle était nue.
Elle était assise sur la table et ses fesses reposaient sur le rebord. Elle avait les cuisses bien écartées et c'était une posture qui ne faisait pas de doute sur ses intentions, sur ce qu'elle voulait. L'invitation était implicite mais elle n'était pas équivoque. Elle était on-ne-peut-plus claire.
Pour ne rien arranger à l'affaire, elle a glissé l'une de ses mains entre ses jambes et elle s'est un peu caressée sous les yeux de son bel usager.
Lui, il a empoigné son sexe et il s'est masturbé sous les yeux de la bibliothécaire, histoire de se redonner un peu de vigueur. Puis, il s'est approché d'elle.
Son sexe bien en main, il l'a frotté contre le minou humide, éclos d'Éléa.
Ce n'était qu'une question de temps avant qu'il ne la prenne...
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