Cathy, la belle au réveil... émoustillant (1ère partie)
Récit érotique écrit par Mysterious91 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Cathy, la belle au réveil... émoustillant (1ère partie)
Cathy me sourit. Qu'est-ce qu'elle est belle... C'est ELLE, la femme que j'aime, la femme de mes rêves, la femme de ma vie. Notre amour est beau. Et c'est beau, lorsque nous faisons l'amour. Il suffirait de demander à Cathy. Ce sont les premières lueurs du matin, et la journée ne peut pas mieux commencer.
Cathy est tout pour moi. C'est ELLE, la femme que j'aime, la femme de mes rêves, la femme de ma vie. Au quotidien, elle est ma petite amie, ma meilleure amie, ma confidente, ma maîtresse. Et jusqu'à ce que la mort nous sépare, elle est ma princesse, ma reine. C'est ce que j'espère au plus profond de mon cœur.
Cathy est sexy. Elle l'est d'autant plus quand elle a les seins nus et qu'elle a ce sexe factice entre les jambes. C'est notre petit secret, notre péché mignon. Qu'est-ce que je raffole de ces moments où elle me pénètre et me fait l'amour... Je n'aurais pas pu rencontrer plus belle et meilleure compagne que Cathy.
Toujours est-il que je ne peux pas mieux commencer la journée. Je viens de faire l'amour avec la femme avec qui je me lève le matin et m'endors le soir. Je veux et j'espère vivre chaque jour qu'il me reste à ses côtés.
Tout a commencé lorsque j'ai ouvert les yeux. Une fois encore, j'ai passé une nuit des plus agréables. Est-ce parce que tous les voyants sont au vert dans ma vie ? Est-ce parce que je peux dormir sur mes deux oreilles, par conséquent ? Ou bien est-ce parce que la femme que j'aime rend mes nuits à la fois calmes et apaisantes, érotiques et chaudes ? Je crois que c'est un mélange de ces différentes raisons. Ce que je sais, c'est que j'aime savoir qu'elle est là, près de moi. Elle, elle s'appelle Cathy et elle a dû ouvrir ses prunelles avant moi car ce qui m'a réveillé, ça a été quelque chose de tiède et d'humide sur ma joue. Mon sommeil ne devait plus être profond car ça a eu le don d'éveiller mon attention. Ça se faisait insistant. Et plus ça allait, plus je sentais ma joue mouillée. Ça ne s'arrêtait pas. Curieux et intrigué à la fois, j'ai fini par ouvrir les yeux. Et là, la plus belle des visions m'est apparue. J'ai pris Cathy sur le fait.
Des réveils comme celui de ce matin, mais j'en demande... et en redemande !
Cathy était là, tout près de moi, et elle m'embrassait sur la joue. C'était typique Cathy, ça. Elle a eu raison de me réveiller comme elle l'a fait. Ça a été ce qu'elle devait faire. Ça a été efficace. Et oui, c'est typique Cathy.
À présent que j'avais les yeux ouverts, il n'était pas question de retomber dans les bras de Morphée même si c'était source de tentation. Cathy était là, et elle semblait avoir décidé de rendre mon réveil... savoureux...
Ma belle... était belle. Et elle ne pouvait pas rendre mon réveil meilleur. Cathy m'excitait de fou, déjà, comme ce n'était pas permis. Ça peut paraître cliché, mais voilà... Je suis toujours aussi fou d'elle. Le soir où nous nous sommes embrassés pour la première fois, j'ai su que c'était ELLE, la femme de mes rêves, la femme de ma vie. Elle, elle était avec des amis. Quand je l'ai remarquée, elle était sur la piste de danse. Oui, ça a été aussi simple que ça: dès que je l'ai vue, je n'en ai eu plus que pour elle. ELLE, c'était Cathy. Dans toute sa splendeur. Elle avait ses longs cheveux bruns qui étaient lâchés. Elle, elle se déhanchait. Limite, c'était ELLE, la reine de la piste de danse, ce soir-là. Moi, en tout cas, j'ai flashé définitivement sur elle. Et j'ai osé. Je suis allé à sa rencontre. Bien m'en a pris. Je l'ai invitée à prendre un verre avec moi. Nous nous sommes isolés de nos connaissances respectives avec qui nous nous étions rendus dans cette boîte, ce soir-là. De fil en aiguille, nous avons appris à avoir confiance l'un en l'autre. Et de fil en aiguille, nous avons appris à nous connaître, l'un l'autre.
De fil en aiguille, avec le temps, les premières relations sexuelles, les discussions sur l'oreiller après l'amour, ça a été ainsi que Cathy a appris mon penchant, mon péché mignon pour le plaisir prostatique.
Dès le départ, Cathy s'est révélée coquine. Le moins que je puisse dire, c'est que je n'ai pas été au bout de mes surprises...
Oui. Cathy a été coquine dès les balbutiements de notre histoire d'amour... et pas qu'un peu...
Quand Cathy est comme ça, telle qu'elle est à l'instar de ce matin, je ne réponds plus de rien.
J'ai eu immédiatement LE coup de foudre pour elle. Le soir de notre première rencontre, nous étions dans un pub à l'anglo-saxonne de notre ville. Moi, je n'ai vu qu'elle parmi la foule. J'étais avec des collègues de travail. On se faisait un afterwork. Cathy, elle, était avec des amies. Ça, je le sais à présent car elle me l'a dit entre temps. Nos chemins se sont rencontrés lorsque nous nous sommes retrouvés au bar du pub, tous les deux. Nous étions venus au bar pour la même raison, elle et moi. Nous étions venus pour passer de nouvelles commandes. Galant avec la gente féminine comme je suis, la bienséance a fait que j'ai laissé Cathy passer sa commande la première. Cathy m'a souri puis elle a remué les lèvres. Elle s'est exclamée que ça commençait à se faire rares, les hommes qui étaient galants. Je n'ai pas répondu sur le coup. Je n'y voyais pas la peine. Je me suis contenté de sourire à mon tour et j'ai fait une révérence. Dans le feu de l'action, je n'ai rien calculé du tout. Nous avons alors papoté un petit peu, Cathy et moi. Quelques minutes plus tard, nos consommations ont été préparées puis apportées. C'était le moment de prendre congé l'un de l'autre. Tout à coup, Cathy m'a surpris, pris au dépourvu. Elle m'a dit de but en blanc qu'elle me trouvait bel homme, avec de la conversation. Et... Qui plus est... galant. Elle avait passé un bon moment en ma compagnie. Elle a demandé un morceau de papier et un stylo au barman qui se trouvait de l'autre côté du bar. À la hâte, elle a écrit son prénom ainsi que son numéro de téléphone sur le papier. Puis, elle m'a mis le papier dans la poche droite de mon jean. Elle m'a fait la bise. Elle m'a laissé pour retrouver ses amies. Je respirais l'odeur de son parfum. Mes souvenirs de ce soir-là restent les mêmes, à savoir qu'il s'agissait d'une senteur capiteuse. Une senteur capiteuse... mais agréable.
J'avoue, avec le recul, que je ne m'étais pas attendu à ce que cette soirée-là prenne la tournure qu'elle a prise... et qu'elle bouleverse le cours de ma vie. Mais force a été de reconnaître que oui, j'avais eu LE coup de foudre pour cette femme qui m'avait abordé... et qui est aujourd'hui ma compagne. La femme de ma vie.
Ma vie ne peut pas être plus heureuse.
Ce matin, quand j'ai ouvert les yeux, Cathy était là, à côté de moi.
Il m'a fallu un tout petit peu de temps pour que mes yeux se dilatent et qu'ils s'habituent ainsi à la lumière du jour. Quand ça a été le cas, mes yeux se sont posés sur Cathy. Ma belle était là, allongée sur le côté, et elle me faisait face. Ses longs cheveux bruns, pour partie lui caressaient le visage, pour partie se déversaient sur l'oreiller sur lequel sa tête reposait.
Elle, elle était bien réveillée, contrairement à moi. Ses yeux étaient dilatés. Ils pétillaient. Elle avait le sourire aux lèvres. Elle me déposait baiser après baiser sur la joue.
Les baisers de Cathy sont des gourmandises, d'habitude. Ce matin, ça a été ce qui m'a réveillé. Et quand j'ai vu Cathy comme ça, j'ai eu envie d'elle.
Comment ne pas avoir envie d'une femme comme Cathy ? Moi, je ne lui résiste pas. C'est aussi simple que ça. Quand Cathy fait étalage de son sex-appeal, je ne réponds plus de rien. Quand elle exalte la sensualité qu'elle a en elle, là encore, je ne réponds plus de rien. Et ce matin, quand je l'ai vue, j'ai eu envie d'elle.
Il faut me comprendre.
Cathy était là, allongée sur le côté, et elle me faisait face.
Elle portait l'une de ses robes de chambre. Blanche. En satin. Avec des motifs floraux, dessus. Ce dont je me souviens particulièrement, c'est que la ceinture de cette robe de chambre était dénouée. Du coup, le vêtement était lâche sur le corps de Cathy. Si ma compagne bougeait, son corps se dénuderait, inévitablement.
Ça a été ce qu'il s'est passé.
À un moment donné, Cathy a modifié la posture de son corps pour pouvoir continuer de me donner des baisers sur la joue à sa guise.
La conséquence de ce mouvement, ça a été inévitable, irrémédiable. La robe de chambre de Cathy a fait des siennes.Du fait que la ceinture en était dénouée, les pans du vêtement se sont relevés. Le corps de Cathy s'est offert à mes yeux. Inutile de préciser, dès lors, que j'ai eu mes yeux braqués sur toute cette étendue de peau qui venait d'être mise à nu.
Ce que j'ai eu sous les yeux, ça m'a rendu fou.
Je venais d'ouvrir les yeux, il y avait peu, et là, involontairement... ou bien... volontairement, les formes et les courbes de Cathy se sont offertes à mes yeux.
Mon esprit a vrillé dès lors que j'ai vu les deux jolis seins de Cathy.
Ils ont beau ne pas être naturels... Moi, je les aime comme ils sont.
Cathy ayant été complexée par sa toute petite poitrine lorsqu'elle était plus jeune, elle a pris la décision de se faire opérer pour qu'ils soient un peu plus gros, juste ce qu'il faut.
Au jour d'aujourd'hui, Cathy est on-ne-peut-plus fière de ses seins. Elle n'hésite d'ailleurs pas à les mettre en valeur. Avec de la lingerie. Avec des décolletés. Ça, elle le faisait déjà, lorsque nous nous sommes rencontrés.
Au jour d'aujourd'hui, elle n'en finit pas d'être sexy, Cathy. Et ce matin, elle a tendu mon réveil... sensuel... Voluptueux...
Placé sous le signe du plaisir...
Cathy est tout pour moi. C'est ELLE, la femme que j'aime, la femme de mes rêves, la femme de ma vie. Au quotidien, elle est ma petite amie, ma meilleure amie, ma confidente, ma maîtresse. Et jusqu'à ce que la mort nous sépare, elle est ma princesse, ma reine. C'est ce que j'espère au plus profond de mon cœur.
Cathy est sexy. Elle l'est d'autant plus quand elle a les seins nus et qu'elle a ce sexe factice entre les jambes. C'est notre petit secret, notre péché mignon. Qu'est-ce que je raffole de ces moments où elle me pénètre et me fait l'amour... Je n'aurais pas pu rencontrer plus belle et meilleure compagne que Cathy.
Toujours est-il que je ne peux pas mieux commencer la journée. Je viens de faire l'amour avec la femme avec qui je me lève le matin et m'endors le soir. Je veux et j'espère vivre chaque jour qu'il me reste à ses côtés.
Tout a commencé lorsque j'ai ouvert les yeux. Une fois encore, j'ai passé une nuit des plus agréables. Est-ce parce que tous les voyants sont au vert dans ma vie ? Est-ce parce que je peux dormir sur mes deux oreilles, par conséquent ? Ou bien est-ce parce que la femme que j'aime rend mes nuits à la fois calmes et apaisantes, érotiques et chaudes ? Je crois que c'est un mélange de ces différentes raisons. Ce que je sais, c'est que j'aime savoir qu'elle est là, près de moi. Elle, elle s'appelle Cathy et elle a dû ouvrir ses prunelles avant moi car ce qui m'a réveillé, ça a été quelque chose de tiède et d'humide sur ma joue. Mon sommeil ne devait plus être profond car ça a eu le don d'éveiller mon attention. Ça se faisait insistant. Et plus ça allait, plus je sentais ma joue mouillée. Ça ne s'arrêtait pas. Curieux et intrigué à la fois, j'ai fini par ouvrir les yeux. Et là, la plus belle des visions m'est apparue. J'ai pris Cathy sur le fait.
Des réveils comme celui de ce matin, mais j'en demande... et en redemande !
Cathy était là, tout près de moi, et elle m'embrassait sur la joue. C'était typique Cathy, ça. Elle a eu raison de me réveiller comme elle l'a fait. Ça a été ce qu'elle devait faire. Ça a été efficace. Et oui, c'est typique Cathy.
À présent que j'avais les yeux ouverts, il n'était pas question de retomber dans les bras de Morphée même si c'était source de tentation. Cathy était là, et elle semblait avoir décidé de rendre mon réveil... savoureux...
Ma belle... était belle. Et elle ne pouvait pas rendre mon réveil meilleur. Cathy m'excitait de fou, déjà, comme ce n'était pas permis. Ça peut paraître cliché, mais voilà... Je suis toujours aussi fou d'elle. Le soir où nous nous sommes embrassés pour la première fois, j'ai su que c'était ELLE, la femme de mes rêves, la femme de ma vie. Elle, elle était avec des amis. Quand je l'ai remarquée, elle était sur la piste de danse. Oui, ça a été aussi simple que ça: dès que je l'ai vue, je n'en ai eu plus que pour elle. ELLE, c'était Cathy. Dans toute sa splendeur. Elle avait ses longs cheveux bruns qui étaient lâchés. Elle, elle se déhanchait. Limite, c'était ELLE, la reine de la piste de danse, ce soir-là. Moi, en tout cas, j'ai flashé définitivement sur elle. Et j'ai osé. Je suis allé à sa rencontre. Bien m'en a pris. Je l'ai invitée à prendre un verre avec moi. Nous nous sommes isolés de nos connaissances respectives avec qui nous nous étions rendus dans cette boîte, ce soir-là. De fil en aiguille, nous avons appris à avoir confiance l'un en l'autre. Et de fil en aiguille, nous avons appris à nous connaître, l'un l'autre.
De fil en aiguille, avec le temps, les premières relations sexuelles, les discussions sur l'oreiller après l'amour, ça a été ainsi que Cathy a appris mon penchant, mon péché mignon pour le plaisir prostatique.
Dès le départ, Cathy s'est révélée coquine. Le moins que je puisse dire, c'est que je n'ai pas été au bout de mes surprises...
Oui. Cathy a été coquine dès les balbutiements de notre histoire d'amour... et pas qu'un peu...
Quand Cathy est comme ça, telle qu'elle est à l'instar de ce matin, je ne réponds plus de rien.
J'ai eu immédiatement LE coup de foudre pour elle. Le soir de notre première rencontre, nous étions dans un pub à l'anglo-saxonne de notre ville. Moi, je n'ai vu qu'elle parmi la foule. J'étais avec des collègues de travail. On se faisait un afterwork. Cathy, elle, était avec des amies. Ça, je le sais à présent car elle me l'a dit entre temps. Nos chemins se sont rencontrés lorsque nous nous sommes retrouvés au bar du pub, tous les deux. Nous étions venus au bar pour la même raison, elle et moi. Nous étions venus pour passer de nouvelles commandes. Galant avec la gente féminine comme je suis, la bienséance a fait que j'ai laissé Cathy passer sa commande la première. Cathy m'a souri puis elle a remué les lèvres. Elle s'est exclamée que ça commençait à se faire rares, les hommes qui étaient galants. Je n'ai pas répondu sur le coup. Je n'y voyais pas la peine. Je me suis contenté de sourire à mon tour et j'ai fait une révérence. Dans le feu de l'action, je n'ai rien calculé du tout. Nous avons alors papoté un petit peu, Cathy et moi. Quelques minutes plus tard, nos consommations ont été préparées puis apportées. C'était le moment de prendre congé l'un de l'autre. Tout à coup, Cathy m'a surpris, pris au dépourvu. Elle m'a dit de but en blanc qu'elle me trouvait bel homme, avec de la conversation. Et... Qui plus est... galant. Elle avait passé un bon moment en ma compagnie. Elle a demandé un morceau de papier et un stylo au barman qui se trouvait de l'autre côté du bar. À la hâte, elle a écrit son prénom ainsi que son numéro de téléphone sur le papier. Puis, elle m'a mis le papier dans la poche droite de mon jean. Elle m'a fait la bise. Elle m'a laissé pour retrouver ses amies. Je respirais l'odeur de son parfum. Mes souvenirs de ce soir-là restent les mêmes, à savoir qu'il s'agissait d'une senteur capiteuse. Une senteur capiteuse... mais agréable.
J'avoue, avec le recul, que je ne m'étais pas attendu à ce que cette soirée-là prenne la tournure qu'elle a prise... et qu'elle bouleverse le cours de ma vie. Mais force a été de reconnaître que oui, j'avais eu LE coup de foudre pour cette femme qui m'avait abordé... et qui est aujourd'hui ma compagne. La femme de ma vie.
Ma vie ne peut pas être plus heureuse.
Ce matin, quand j'ai ouvert les yeux, Cathy était là, à côté de moi.
Il m'a fallu un tout petit peu de temps pour que mes yeux se dilatent et qu'ils s'habituent ainsi à la lumière du jour. Quand ça a été le cas, mes yeux se sont posés sur Cathy. Ma belle était là, allongée sur le côté, et elle me faisait face. Ses longs cheveux bruns, pour partie lui caressaient le visage, pour partie se déversaient sur l'oreiller sur lequel sa tête reposait.
Elle, elle était bien réveillée, contrairement à moi. Ses yeux étaient dilatés. Ils pétillaient. Elle avait le sourire aux lèvres. Elle me déposait baiser après baiser sur la joue.
Les baisers de Cathy sont des gourmandises, d'habitude. Ce matin, ça a été ce qui m'a réveillé. Et quand j'ai vu Cathy comme ça, j'ai eu envie d'elle.
Comment ne pas avoir envie d'une femme comme Cathy ? Moi, je ne lui résiste pas. C'est aussi simple que ça. Quand Cathy fait étalage de son sex-appeal, je ne réponds plus de rien. Quand elle exalte la sensualité qu'elle a en elle, là encore, je ne réponds plus de rien. Et ce matin, quand je l'ai vue, j'ai eu envie d'elle.
Il faut me comprendre.
Cathy était là, allongée sur le côté, et elle me faisait face.
Elle portait l'une de ses robes de chambre. Blanche. En satin. Avec des motifs floraux, dessus. Ce dont je me souviens particulièrement, c'est que la ceinture de cette robe de chambre était dénouée. Du coup, le vêtement était lâche sur le corps de Cathy. Si ma compagne bougeait, son corps se dénuderait, inévitablement.
Ça a été ce qu'il s'est passé.
À un moment donné, Cathy a modifié la posture de son corps pour pouvoir continuer de me donner des baisers sur la joue à sa guise.
La conséquence de ce mouvement, ça a été inévitable, irrémédiable. La robe de chambre de Cathy a fait des siennes.Du fait que la ceinture en était dénouée, les pans du vêtement se sont relevés. Le corps de Cathy s'est offert à mes yeux. Inutile de préciser, dès lors, que j'ai eu mes yeux braqués sur toute cette étendue de peau qui venait d'être mise à nu.
Ce que j'ai eu sous les yeux, ça m'a rendu fou.
Je venais d'ouvrir les yeux, il y avait peu, et là, involontairement... ou bien... volontairement, les formes et les courbes de Cathy se sont offertes à mes yeux.
Mon esprit a vrillé dès lors que j'ai vu les deux jolis seins de Cathy.
Ils ont beau ne pas être naturels... Moi, je les aime comme ils sont.
Cathy ayant été complexée par sa toute petite poitrine lorsqu'elle était plus jeune, elle a pris la décision de se faire opérer pour qu'ils soient un peu plus gros, juste ce qu'il faut.
Au jour d'aujourd'hui, Cathy est on-ne-peut-plus fière de ses seins. Elle n'hésite d'ailleurs pas à les mettre en valeur. Avec de la lingerie. Avec des décolletés. Ça, elle le faisait déjà, lorsque nous nous sommes rencontrés.
Au jour d'aujourd'hui, elle n'en finit pas d'être sexy, Cathy. Et ce matin, elle a tendu mon réveil... sensuel... Voluptueux...
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