Anniversaire 01 le matin

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Anniversaire 01 le matin Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Anniversaire 01 le matin
Anniversaire 01 le matin

J'ai un frère qui a un peu plus de deux ans de moins que moi. Deux ans c'est à la fois court et long. C'est long parce pour moi ça fait déjà deux ans … C'est court parce que c'est déjà son tour.

J'ai dix huit ans passé il va donc en avoir seize. Et à seize ans, on enfile un dispositif de chasteté, c'est la tradition. Moi, c'était donc il y a deux ans.

C'est long ça deux ans, on ne dirait pas mais c'est long. Surtout qu'il n'y a pas de date limite, oh il y en a bien une, enfin le plus souvent, mais on ne la connaît pas. Il y en a même plusieurs possibles.

La date de fin d'étude et donc la réussite au diplôme de fin d'étude. Ça en général c'est la première. En plus, chose surprenante, ce n'est pas rédhibitoire sur la durée des études, par exemple, moi j'en ai pour, jusqu'à mes vingt cinq ans … Ensuite il y a la deuxième date, celle du mariage. Si on se marie avant d'avoir terminé ses étude, et bien on termine ses études et on reste sage ! Ça calme !

Il y a même une troisième date, c'est celle de la PK, vous savez la société qui fabrique ces dispositifs et qui exige que ses collaborateurs en portent un pendant toute leur carrière … Donc là, c'est à perpétuité. Pas cool ! Mais là encore ne n'est même pas rédhibitoire, il y a des candidats, et ils sont nombreux !

Pour le moment je portais le dispositif depuis un peu plus de deux ans. Mon petit frère allait en mettre un à son tour et je ne sais pas s'il faisait le mariole pour dissimuler une certaine inquiétude ou juste parce qu'il était un peu excité.

Depuis quelques temps il me posait plein de questions. Si c'est facile à supporter, si ça ne me manque pas de ne pas pouvoir me branler, si ça ne fait pas mal, si ça ne gène pas les mouvements …
Le branleur …
Je répondais au mieux mais sans entrer dans les limites de la vie privée. Je lui laisserais découvrir les plaisirs autorisés, ceux dont on ne parle pas. On évitait d'aborder le sujet avec les plus jeunes, mais il avait déjà commencé à me poser des questions, si ça fait mal, quand on se glisse un doigt dans le cul. Et en disant cela il ne pensait pas un doigt. Il avait certainement déjà essayé.

C'est une période pénible quelquefois. Moi j'étais l'aîné et ce genre de question je n'ai jamais osé la poser à notre père … Il ne faut pas exagérer tout de même. Mais Mathias est moins intimidé avec moi …
Le branleur …
Un jour je lui ai fait tout un speech pour lui expliquer qu'il était trop jeune et que mon âge avancé m'autorisait à lui expliquer qu'il y avait des choses que je ne pouvais pas lui expliquer … Il avait réfléchi un moment en fronçant les sourcils et avait laissé tombé. Mais ça c'était il y a déjà longtemps.

Pour moi j'ai tout découvert avec le temps. Il fera pareil !

Ça ne veut pas dire que je ne lui donnerai pas de conseil. Je me souviens de ce jour là. Je m'en souviens très bien. C'est un jour qui marque dans la vie. Dans notre société et surtout dans ma famille on a l'habitude de se voir nu. L'été sur la plage ou aux alentours, à la piscine, en famille on ne ferme jamais la porte de la salle de bain … On est naturistes, et j'ai toujours vu mon père avec son dispositif de chasteté sur la plage, ou au camping ou dans tout un tas d'autres endroits ou la nudité est permise. Ma mère aussi, à part qu'elle ne porte pas de cage de chasteté, c'est uniquement pour les garçons. Et ça je vous jure que les femmes ne vont pas nous le piquer. Elles nous ont déjà tout pris, le droit de vote, le permis de conduire, le droit de parler en société … Oui ça remonte à longtemps et j'exagère peut être un peu, c'est vrai et ce n'était que justice mais ça, la cage de chasteté on va pas la leur laisser … !

Vous me le dites si j'ai dit une connerie là …
Je me souviens avant de mettre une cage de chasteté, je portais souvent un maillot de bain à la plage. C'était du à mon développement physique je suppose, en fait je ne contrôlais pas toujours mes érections et donc, de fait et par conséquent … Mon petit frère en était aux même point. Il était temps mais l'âge minimum était l'âge minimum. Il l'avait atteint.

Ça ne semblait pas le préoccuper, en tout cas il n'était pas inquiet. C'est une chose normale, personne n'aurait l'idée de dire le contraire. Après on est plus détendu, on ne porte plus de maillot de bain. Je n'en ai jamais remis un depuis.

Mais de là à vous dire que c'est anodin … non ! C'est tout sauf anodin. C'est vraiment un jours particulier dans la vie. Ensuite il y a les cadeaux, il va avoir un nouveau téléphone, une console de jeux, quelques vêtements. Oh il va être gâté.

Je me souviens, moi je m'étais branlé toute la nuit. J'avais éjaculé huit fois si je ne me trompe pas … Et je me trompe pas ! Après ça je n'avais pas eu besoin de la pommade pour débander. C'est un truc, c'est terrible, tu peux bander comme un malade, tu t'en poses une goutte sur le gland et tu débandes en un rien de temps. En plus tu ne risques pas de rebander pendant le reste de la journée … Alors ça c'est efficace. Il sont très bien organisés à la PK, ils ont tout prévu.

Bein, moi j'en avais pas eu besoin …
J'avais comme l'impression que mon petit frère avait fait comme moi. Lui non plus il n'en aurait pas besoin. J'avais comme l'impression qu'il avait mal dormi cette nuit.

– Alors Mathias, tu es prêt. Tu es toujours d'accord, pas de regret ?
– Non mais tu rêves. J'attends ce moment depuis le jour ou tu as mis ton dispositif.
– Et tu auras besoin de la pommade ?
– Alors là, ça m'étonnerait …
Là, j'ais compris, il avait fait comme moi.

Le branleur …
– Attrape ça bonhomme, on ne sais jamais, et va prendre une douche. Je lui lançais le tube de pommade.
– Je te dis que j'en aurai pas besoin. Me répondait-il en le rattrapant.

Il passait sous la douche. Par la suite il m'a dit finalement la pommade avait été efficace.

Le branleur ...

– Tu sais Terry, merci pour la pommade, c'était utile finalement.
– Mais je croyais que tu t'étais branlé toute la nuit.
– Oui mais ça n'a pas suffit.
– Et tu t'es branlé combien de fois ?
– Douze fois !
– Douze fois ! Mais c'est impossible ! M'exclamais-je en le regardant bizarrement.
– Bon sept peut être …– Moi c'était huit !
– Branleur ! Il me faisait rire en me disant ça.

Il portait un peignoir sur lui, rien d'autre.

– Oh et puis … s'exclamait-il en retirant son peignoir. De toutes façons, je dois rester nu pendant la cérémonie et je ne risque pas d'être inconvenant en me mettant à bander.
– Mais enfin mon trésor, c'est pas une tenue ça ! S'étonnait notre mère en le voyant. Mais enfin bon, au point ou on en est …– Et puis tu n'as aucune raison de rester nu pendant la cérémonie. Je te signale … Rajoutais-je !
– M'en fou ! Répondait-il.

Notre mère n'en disait pas plus. Comme je vous le disais, nous sommes naturistes et nous étions entre nous. Un peu plus tard, un ami de mon frère arrivait. Samy, il avait voulu partager ce moment avec son ami Mathias ( mon petit frère ).

– Nous sommes en retard ? S'inquiétait Samy en voyant mon frère à poil.
– Rassurez nous, nous ne sommes pas en retard ? Demandait le père de Samy qui arrivait quelques instants plus tard. Il était parti garer la voiture.
– Mais non ! Intervenait la mère de Samy, il a envie de se retrouver à poil pour la dernière fois avant longtemps. Tu avais fait pareil, tu te souviens … Faisait-elle remarquer à son mari.
– Vous vous connaissiez déjà à cette époque ? Demandait ma mère qui arrivait pour dire bonjour à nos hôtes.
– Mais c'est ce jour là que je l'ai rencontré.
– Tu ne le connaissais pas avant ?

Et patati et patata, les deux femmes partaient discuter de leur côté.

Bon il commençait à y avoir du monde là. Je refermais la porte quand j'entendais un cri.

– Merci pour l'accueil ! C'était Annie la sœur jumelle de Samy.
– Excuse moi Annie, je ne savais pas que tu viendrais.
– Enfin quand même ! Il est ou mon frère ?
– Il vient de monter il se prépare avec Mathias.
– Terry, attends j'arrive moi aussi … Là c'était Will, un ami à moi qui arrivait. Il s'invitait l'animal, il n'avait pas prévenu.
– Dis lui d'entrer, plus est de fous plus on rit … Me criait mon petit frère, il l'avait vu arriver par la fenêtre.

Bon c'est vrai qu'on commence à être nombreux, et j'en profitais pour faire le point. On était neuf, on avait prévu huit, Will n'était pas prévu au programme donc on était complet, il suffirait de rajouter une assiette.

Les parents préparaient les colis, les cadeaux d'anniversaires. On allait commencer, les deux gamins arrivaient, ils étaient à poil. La mère de Samy levait les yeux au ciel mais ne faisait aucun commentaire. Ils étaient à l'aise les deux petits. Je rigolais et mon pote Will rigolait aussi, il n'avait pas prévu ça. D'habitude on baisse son pantalon, ça on n'a pas le choix, au moment opportun, on ne passait pas la matinée à poil. Mais les deux gamins …
Enfin je dis gamins, ils avaient l'âge et ils étaient de jeunes hommes. Il n'étaient plus des enfants et ils bien formés, bien foutus, bien montés enfin bien quoi !

Ils écoutaient pieusement le petit discours de notre père, celui du père de Samy les commentaire de leurs mères, la mère de Samy versait une petite larme.

– Vous étiez des enfants, nos enfants et maintenant vous êtes des hommes … C'est là qu'elle se taisait et versait une larme.

On leur demandait de confirmer qu'ils étaient bien d'accord et on leur donnait alors l'anneau cock-ring qu'ils enfilaient alors à la base de leur sexe. Suivait aussitôt la cage à bite. Ils avaient choisi un modèle en titane, mon frère avait choisi le modèle céramique son copain avait choisi un modèle un peu plus fantaisie.

Ils étaient beaux tous les deux, ce n'était pas la première fois que je les voyais nus mais là, c'était la première fois que je les regardais comme des hommes. Avant, ça avait toujours été mon frère ou son copain. Mais là c'étaient deux hommes et je les trouvais sexy.

Il fallait voir les yeux d'Annie s'ouvrir et ses pupilles se dilater quand elle regardait mon frère. Elle était, elle aussi sous le charme. C'est vrai qu'il était beau mon frère et pour la première fois, j'avais envie de lui. Ils étaient tous les deux, lui et son ami là exposés à nos regards, ils s'exhibaient et je bandais.

Ils avaient passé la nuit à se branler tous les deux, histoire d'être décontracté au moment ou ils devraient enfiler ce dispositif. C'était fait et ils restaient très décontractés.

Les branleurs …
J'avais bien sûr gardé mes vêtements le contraire n'aurait pas été convenable, j'avais bien fait car je bandais, sous mes vêtements rien ne se voyait mais si j'avais été à poil mon dispositif se serait relevé rapidement. Rien de très spectaculaire mais ça aurait été très visible tout de même.

Ensuite c'était la distribution des cadeaux. C'était amusant, je suivais la scène et je voyais bien qu'ils ne réalisaient pas vraiment ce qu'il leur arrivait. Je me disait que dans deux jours il verraient les chose tout autrement. Mais bon, le dispositif est confortable et totalement indestructible. Ils feront comme tout le monde, ils s’habitueront. Le temps passerait et ils auraient des moments de stimulation intense, des moments de doutes, de regrets, de colère, de manque.

Pour le moment tout allait bien, ils bandaient mais à peine. On les laissait ouvrir leurs colis, Samy était aussi gâté que mon petit frère et c'était un plaisir de les entendre exprimer leur joie. On les autorisait à rester à poil jusqu'au dîner.

Arrivé à l'heure du dîner on leur demandait de se rhabiller. La cérémonie était terminée. La matinée avait été bien remplie.

– Finalement il n'y avait vraiment pas de quoi en faire une histoire. Disait Samy en prenant place à table.
– Dis pas ça, il y avait les cadeaux. Rajoutait mon petit frère.

Je ne sais pas pourquoi je dis toujours mon petit frère, il a la même taille que moi maintenant et les deux ans d'écart ne se voient presque pas.

Moi je bandais, je revivais ce jour de ma vie, et je n'étais pas vraiment à mon aise. Les deux gamins, enfin les gamins … Les deux jeunes ne le ressentaient pas encore, ils étaient sous les effets de la pommade, pour eux tout allait bien. Mais demain ou dans la nuit, c'est là que les choses changent. Là on bande et là pour la première fois on ne peut pas. Pour la première fois on ressent l'étreinte métallique ferme et sans pitié de la cage autour de sa queue.

Je m'en souvenais bien, la première nuit avait été très désagréable, la fin de la nuit surtout. Et c'est à ce moment qu'on se pose des questions. C'est pas vraiment douloureux, le dispositif est parfaitement au point mais si on ne le sent pas durant la première journée, à la fin de la première nuit, on ne sent que ça.

Il était prévu que Samy passerait la nuit ici, ils dormiraient dans la même chambre. Ce qui leur permettrait de partager leurs impressions. J'avais passé la nuit seul moi … Nous avons une dépendance au fond de notre jardin.

Annie jetait régulièrement un regard à l'intention de mon frère. Il lui avait plu mon frère, c'est vrai qu'il était beau, particulièrement beau avec ce dispositif sur lui. Il s'était rhabillé pour le repas mais elle l'avait trouvé tellement beau. On était à table et je bandais en dégustant l'entrée. Je bandais en me faisant servir un beau morceau de poulet. Je bandais toujours au moment du dessert.

J'ai bandé tout le reste de la journée et Will me disait qu'il était dans même état que moi.

– Tu sais moi, j'adore ce genre de petite fête. Il n'y a pas plus sexy qu'un jeune qui passe à l'âge d'homme et qui enfile pour la première fois un dispositif de chasteté. Et ton frère il était sexy, je ne te dis pas dans quel état il m'a mis.
– Tu bandes ?
– Je ne te dis pas …– Moi pareil .

On parlait entre nous, mon petit frère et son copain parlaient entre eux.

– Tu crois que je pourrais passer la nuit ici ? Me demandait Will.
– Moi je veux bien mais je n'ai qu'un seul lit.
– Je sais mais ce ne sera pas la première fois.

Les parents n'y voyaient aucun inconvénient, au contraire, maman se disait que nous pourrions parler entre nous quatre, on avait tous le même âge, à peu de choses près, et les plus âgés pourraient partager leur expérience avec les plus jeunes. C'était réglé, Will passerait la nuit avec nous, on en profiterait pour donner une petite leçon à mon frère et à son copain, on pourrait ainsi les affranchir …
Ces branleurs.


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