Antoine et Patrice (11)
Récit érotique écrit par Sylvainerotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Antoine et Patrice (11)
Une fois rentré à Paris, je repense souvent aux vacances. Des vacances différentes, intenses, remplies de nouvelles expériences. Ma relation avec Patrice en sort renforcée.
Je suis épanoui. Cela se ressent dans mon travail, et dans mes relations avec ma famille et avec mes amis. Ceux qui connaissant nos pratiques sexuelles font vite le lieu. Les autres non, même s’ils savent que mon couple avec Patrice marche très bien et que cela contribue à mon épanouissement.
Une chose a changé à notre retour de vacances : le retour de la cage de chasteté. Patrice ne l’avait pas utilisé pendant les vacances, plutôt placée sous le signe « vanilla ». Pas de cuir, pas d’accessoire. Dès notre retour à Paris je suis mis en cage.
Patrice me baise un peu au début. Classique, dans la chambre et une fois dans le donjon, mais sans jamais retirer la cage. Je ne bande pas, et ne suis pas autorisé à jouir. Je mouille quand même et ressens du plaisir, sans toutefois être autorisé à atteindre l’orgasme.
Puis a peu près trois semaines après notre retour, plus rien. Au début, je ne dis rien. Mais une semaine, puis deux, finissent par s’écouler sans que Patrice ne me baise pas. Je commence à être très frustré. Jusqu’à présent j’avais toujours été habitué à une fréquence élevée dans nos rapports, sous des formes et avec des intensités diverses. Mais il y avait toujours quelque chose. Et là plus rien. Je me doute qu’il a quelque chose en tête. Cependant j’ai du mal à cacher ma frustration.
Un soir, alors que je suis nu et en collier dans l’attente de son retour à la maison, je mets à genoux dès qu’il ouvre la porte. Et je le supplie : « baise moi, Thor, défonce-moi, je t’en prie ». Je m’étonne moi-même. Je n’aurais jamais pensé dire ça. Mais la frustration est bien là. Elle m’envahit. Je sais très bien qu’il a un plan en tête et que je n’ai pas d’autre choix que d’attendre. Mais c’est plus fort que moi. Je ne peux pas m’empêcher de le supplier. Il reste sans réaction, gardant son air sévère. Même si un léger mouvement du coin de ses lèvres trahit un énorme plaisir à me voir ainsi. Pour s’amuser il me conduit des fois dans le donjon, et me fait attendre nu, en collier et cage, mains menottées dans le dos. Je tressaille. Je me dis que ça y est, enfin, il va se passer quelque chose. Il me laisse languir une heure avant de me remonter à l’étage. Il a manifestement décidé de jouer avec mes nerfs.
Un samedi soir, alors qu’il m’a remis dans le donjon, là encore, nu, en collier, en cage, menottes dans le dos, et que je m’attends à ce que cela ne soit qu’un jeu, je finis par attendre du bruit dans l’escalier. Patrice pénètre dans le donjon avec quatre mecs musclés, en cuir et bottes, harnais. Leurs sexes sont apparents, et de belle taille. Les voyant s’approcher, je baisse les yeux
- Alors c’est lui ? lance l’un
- Mmh, pas mal, poursuit l’autre. Il a l’air à point
- Ça fait un mois que je le prépare, ajoute Patrice
Je suis très excité. Mon sexe se tend dans la cage. J’ai mal. Dans l’élan de mon excitation, je redresse la tête pour mieux voir à qui je vais me soumettre. J’ai à peine posé les yeux sur les complices de Patrice qu’une gifle me fait presque basculer
- Baisse les yeux, on t’a pas autorisé à mater
Une main m’agrippe par les cheveux
- Regardez cette belle gueule d’ange. Trop beau et trop rare de voir un minet pareil, aussi jeune dans le SM
Un crachat atterrit sur ma joue. Un autre dans mon œil.
- Mais bon, sa gueule on s’en fout. C’est sa bite et son cul qui nous intéressent
Un mec sort une cagoule de cuir et me la met sur la tête. Je m’attends à être aveugle, mais des trous sont fait pour les yeux et la bouche. On m’enlève les menottes et m’allonge sur une table en bois, les bras en croix. Des mains me palpent, comme pour apprécier la chair fraiche et docile qui s’offrent à eux. L’offrande de mon corps. Ça tire sous la cage car j’aimerais bander mais je ne peux pas.
Dans cette position allongée je peux à peine voir ce qui se trame. Je vois soudain un mec avec de la mousse à raser sur les doigts et je ressens aussitôt de la chaleur sous mes aisselles. Ils commencent à me raser. Puis il s’attaque à mon pubis ensuite. Et finissent par les jambes. Plus un poil ne reste en dessous du cou. Un mec s’approche avec un gros feutre et commence à inscrire quelque chose sur mon torse. Je devine les lettres. Puis le même type s’approche de moi, me serre la mâchoire dans sa main et me dit : « tu sais ce que je viens d’écrire ». Je fais oui de la tête, trop soumis pour parler.
- Dis-le à voix haute
- Esclave sexuel
- Bien… très bien
Il garde ma bouche ouverte en pressant ses doigts sur ma mâchoire et dépose un énorme crachat dans ma bouche.
Démarre ensuite une longe séance de torture. D’abord les pinces, bien serrées, un peu partout sur le corps, notamment sur les couilles et les seins. Puis la cire brulante. Enfin, et c’est une première pour moi, des étincelles d’allume gaz, qui me font sursauter à chaque fois.
Je suis ensuite retire, et place à quatre pattes, le ventre collé à un banc. Deux doigts graissés me rentrent dans l’anus, tandis qu’un accessoire est placé dans ma bouche pour la maintenir ouverte en permanence. Sans surprise, les bites commencent à glisser dans mon cul et dans ma bouche. Je ressens un énorme plaisir, presqu’un soulagement. Je n’ai pas été pénétré depuis si longtemps. Je suis prêt à tout. A tout leur offrir, à tout leur permettre. Plus que jamais je me sens soumis et prêt à me livrer. Ma nature soumise, frustrée, n’en est que décuplée. Les bites passent de mon cul à ma bouche, avec leur gout acre. Elles sont toutes très larges et me pénètrent très profondément. Certains me défoncent bien le cul.
Je sens ensuite le feutre dessiner des flèches sur mes fesses. Elles pointent vers mon anus. Puis, l’accessoire pour me maintenir la bouche ouverte est retiré et remplace par un tuyau, comme une tétine géante, terminée par un entonnoir. Chaque bourreau y passe tour à tour pour pisser, tandis qu’il y a toujours une bite dans mon cul pour m’enculer. J’avale. Je me donne. Malgré leurs brusqueries, je ressens un plaisir de dingue. J’offre mes trous, mon corps à tous leurs fantasmes. Le sperme commence à couler en moi, alors que j’avale la pisse en abondance.
Après que tous les maitres se sont vidés, l’entonnoir est retiré et remplace par une gag ball. Je sens ensuite un gode large presser contre mon anus. Mon sphincter s’ouvre. C’est large. J’ai un peu mal, mais ça rentre. Je suis habitue. Mais soudain, j’entends un léger bruit de moteur et le gode se met en mouvement. Il m’encule en avançant et en reculant automatiquement à un rythme parfaitement régulier. Je devine que c’est une « fuck machine ». Mes bourreaux admirent la scène. Puis ils quittent le donjon. Me voici livré à la machine en permanence. Sodomise sans interruption. Cela me plait. Cela dure longtemps. Je finis par perdre la notion du temps. Mon corps, mon cul en particulier, s’engourdissent. Je me sens livré. J’ai presque une expérience métaphysique. J’imagine ainsi mon corps, je l’observe comme une tierce personne. Je ne suis plus qu’un corps soumis. Que deux trous disponibles.
Mes bourreaux reviennent et me sortent de ma léthargie sans que je ne sache combien de temps s’est écoulé. Je suis détaché et place sur le sling. Attaché. Mes bourreaux m’enculent ensuite à la chaine, avec énormément d’énergie. Je sens encore du sperme s’accumuler dans mon rectum. Puis le travail de mon cul continue avec différents objets tout aussi originaux et ludiques. Je porte toujours le gag ball… il n’y a donc pas de mot de sécurité cette fois. Pas besoin… je vais tout et dirais oui a tout. Ça ne ne traverse pas l’esprit.
Mon anus est maintenant complètement ouvert. Bien souple. Je sais ce qui m’attend. La gag ball est retirée, puis quelqu’un retire ma cagoule. Je sais qu’ils veulent voir ma réaction pour la suite. Un maitre a enfilé un gant. Brulant de désir, rendu fou pour tout ce qu’ils m’ont déjà fait subir, et par des semaines de frustration, je me mets à gueuler : « fistez moi, fistez moi ».
Le travail des doigts ne durent pas longtemps avant que le premier poing ne rentre en moi. Je continue à gueuler de plaisir et à les encourager. Cela tourne en procession. Ils me fistent un par un, tandis qu’il y en a toujours un autre à côté de moi pour donner sa bite à sucer ou cracher dans ma bouche. Patrice s’approche et retire la cage alors que celui qui a le poing le plus large est en train de me fister en profondeur. C’est soudain une explosion incontrôlable. Une vague insurmontable. Un tsunami de plaisir. Déclenché par l’accumulation de plaisir de ces dernières heures et par la frustration des dernières semaines. Je gueule comme un fou alors que des jets de sperme sortent à la vitesse de la lumière de ma bite, atteignant mon visage et mon torse. Mon corps s’est cambré de plaisir. Les doigts de boucher ramassent le sperme et plongent dans ma gorge.
On me détache. Je tremble encore. Parcouru de frisson, je grelotte. Je prends une douche chaude devant tout le monde. Les bourreaux redeviennent vite des anges. Ils se rhabillent. Je reste nu, en collier et en cage. On partage un bon diner à la maison ensemble. L’ambiance est bonne. Une vraie conversation, sans parler de sexe. Je me montre docile, attentionné, serviable. Parlant peu, mais à bon escient.
Une fois les invités partis, Patrice me demande comment je vais. Je lui confie à quel point j’ai aimé l’expérience, même si la frustration a été un peu difficile à supporter. En tout cas, ça en valait la peine.
Dans les semaines qui suivent, il se montre très câlin. Comme toujours, il est soucieux d’avoir le bon équilibre dans nos jeux sexuels, entre le hard et le soft, les plans à deux et à plusieurs. On entame alors une belle série de baise uniquement à deux, plutôt soft.
De mon côté, il m’arrive de penser à l’évolution de ma sexualité au cours des mois écoulés. Tout ce que j’ai expérimenté et ce que j’aimerais encore découvrir. Je me regarde parfois dans la glace, nu, et en collier, toujours fascine et excite par mon reflet. Le nouvel Antoine. J’ai aimé tout ce que j’ai expérimenté : la domination, le bondage, une touche de souffrance, les pénétrations extrêmes, l’uro, les orgies. Mais une chose m’excite encore plus : le fait d’être dominé, baise devant d’autre. Le fait d’être nu en public, sur la plage cet été avec Jean-Louis et Chantal. Oui, en me regardant dans la glace, je ne peux que le reconnaitre : je suis un exhibitionniste. Un désir me vient. Fou. Être dans un film porno. Mais je me l’interdis. Car une fois que c’est fait, tout est public et c’est le point de non-retour. Je sais bien que c’est impossible. L’idée me hante quand même. J’en parle à Patrice. Voici sa réponse.
- Tu as clairement une nature exhibitionniste, je l’ai remarqué moi aussi. Être observé est pour toi une forte source de plaisir. D’abord te montrer nu en public. Ensuite te faire baiser et dominer devant les autres. J’avoue que tu m’avais vraiment surpris la première fois ou je t’ai baisé devant mes amis. C’est venu très vite, et de toi-même. Maintenant tu as raison. Faire du porno, c’est un point de non-retour. Je suis comme toi. J’ai d’ailleurs reçu des demandes pour toi de quelques studios mais je les ai toutes rejetées. Par contre, on peut peut-être trouver une solution. Tu pourrais peut être faire quelque chose sur OnlyFans. Les vidéos ne fuitent jamais, contrairement aux studios. Tu pourrais y apparaitre sans aucun nom. C’est très sûr. Seuls les abonnés aux comptes te verront. Pas vraiment différent de ce qu’on fait entre nous et avec nos amis pour nos sex tapes d’ailleurs
Je suis excité
- Si tu es partant, je peux sélectionner le ou les bons partenaires. Mais ça sera plutôt du soft que du hard. Il n’y a pas vraiment de SM de bonne qualité sur OnlyFans
- Ça me va !
Je n’ai pas à attendre très longtemps. Patrice a sélectionné un couple et on les contacte ensemble. C’est un peu aléatoire car je ne suis pas sur Onlyfans, ni sur Twitter. Pas sûr que ce couple soit réceptif a une requête venue de nulle part.
« Salut,
Je m’appelle Antoine, j’ai 27 ans. Je suis sur Onlyfan en tant que spectateur, mais je recherche une première expérience sur Onlyfan en tant qu’acteur, et votre profil m’intéresse. Je n’ai pas d’expérience en tant qu’acteur, mais j’ai fait plusieurs sex tapes et baises en public. Je me sens prêt à être filmé, sans pour autant faire une carrière et être public. Je vous envoie quelques photos de moi (nudes) en pièce joint. »
Je ne m’attends pas à avoir de réponse, mais au bout d’une semaine, j’en reçois une
« Salut Antoine,
Merci pour ton message. Comme tu t’en doutes, nous recevons beaucoup de messages comme le tien, notamment de gens qui fantasment. Mais bon tes photos (si c’est bien de toi qu’il s’agit) sont bien… Je ne vais pas tourner autour du pot, pour ne pas perdre de temps. On ne baise pas avec des débutants. On peut faire une exception si tu nous en dis plus sur tes expériences et ce que tu es ok à faire. Et on se fait un Facetime pour s’assurer que tu es bien réel. Désolé, d’être aussi direct, mais on reçoit tellement de mails bidons.
Greg »
Je ne suis pas vraiment surpris. Le mec est cash, un peu sec, mais « fair ». Je réponds, avec l’aide de Patrice
« Salut Greg,
Je comprends parfaitement. Comme je te le disais, j’ai pas mal d’expérience. Je suis en couple depuis plus d’un an avec un mec plus âge, dominant. Je le suis soumis, 100% passif. Je me fais double pénétrer et fister régulièrement. On fréquente la scène BDSM, mais on se fait aussi des plans softs. Je me suis fait baise en public plusieurs, et fait plusieurs plans de groupes et partouzes. Je vous envoie une vidéo également. On peut se parler sur Facetime quand vous voulez
Antoine»
La vidéo que j’envoie a été faite il y a un moment. Patrice me baise dans notre chambre sur le lit. Une baise vanilla un peu agressive. Je suis juste en collier.
La réponse de Greg ne se fait pas attendre
« Merci Antoine – la vidéo est convaincante. On n’est pas du tout SM. Mais on est partant pour te baiser à deux. On veut juste se faire un Facetime avec toi samedi pour un dernier check. Ok pour toi ? »
Je comprends que Greg et son mec, Julian, veulent s’assurer que je ne suis pas un mytho qui a juste pique des vidéos sur internet. On se Facetime donc le samedi. Ils sont satisfaits. On se met aussi d’accord sur ce qu’on fera. C’est très « pro » en fait. Fellation, rimming, facial, anal et dp. Baise sans capote. Il me parle argent aussi. Mais j’accepte sans réfléchir. Je ne fais pas ça pour être payé. On va tourner chez eux, dans leur appartement, dans deux.
Patrice me laisse aller seul. C’est la règle, et pas sûr que Greg et Julian apprécie d’avoir un autre mec trainer et mater.
Quand j’arrive chez eux, il m’accueille normalement. Ils sont sympas et cools mais pas excessivement amicaux. C’est assez pro en fait. Après une dizaine de minutes de papotages, ils passent aux choses sérieuses
- Bon on filme dans la chambre. On va démarrer à poil directement. Tu peux passer dans la salle de bains te préparer. Tu es déjà rasé là où il faut ?
- Oui
Quand je sors de la salle de bains à poil, ils sont déjà à poil eux aussi. Il y a deux cameras sur des trépieds. Pas énormes, mais ça fait quand même pro. Ils sont prêts. Je m’approche. Je suis un peu perdu
- Bon ça filme déjà, on démarre quand on veut. Les deux caméras vont tout filmer ici. On filmera de près à la main si besoin, et on bougera les cameras quand on passera sur le lit
Spontanément, Greg m’embrasse. Je bande. C’est presque mécanique. Mais ce n’est pas le fait qu’il m’embrasse et que Julian commence à me toucher. C’est le fait qu’ils fassent devant la caméra. Je me sens aussitôt excité. Prêt à baiser. A me donner en spectacle. Greg me fait me retourner et me pencher contre la fenêtre. Pour me bouffer le cul. Je réalise que les rideaux n’étaient pas tirés. On pourrait nous voir. De loin seulement. Cela ajoute du piment. J’offre mes fesses à Greg. Puis à Julian qui me lèche l’anus à tour de rôle. Bon démarrage… J’aime ça. Chaque minute je pense à la caméra qui tourne et je bande encore plus dur.
Mes amis me retournent et j’ai maintenant deux belles bites face a moi. Greg et Julien se collent l’un à l’autre, Greg posant sa main droite sur les fesses de Julian. Je me mets naturellement a genoux et commence à sucer Greg en lui caressant les fesses. Il y a beaucoup de complicité entre les deux. Ils savent manifestement comment s’occuper d’un troisième. Mon sexe pointe à la verticale à chaque succion. Je suis masqué par les fesses mais j’aperçois de temps en temps les cameras quand les corps s’écartent.
Je suce les deux à tour de rôle. Ils sont beaux, sexuels. Leurs bites sont belles et glissent bien dans ma bouche. Mes mains continuent à caresser leurs fesses. Je me répète dans ma tête : « ça y est je fais du porno ».
Mes complices ne perdent pas de temps et veulent me baiser. Je reste debout et Julien me fait me pencher légèrement en avant pour offrir mes fesses à Julian. Greg commence à me sucer. Julian me maintient bien en place en enroulant son bras sur mon torse. Nous sommes de profil devant la caméra. Lèche et suce, je kiffe énormément et mouille dans la bouche de Greg. Julien se redresse et vient glisser sa bite entre mes fesses. Je me fais maintenant enculer debout, par derrière, tandis que Greg continue à me sucer. Greg se retire et laisse Julian continuer. Mais il veut sa place dans mon cul lui aussi et se rapproche peu après
- Je vais le baiser sur le canapé.
Je m’allonge sur le dos et lève les jambes. Greg glisse très facilement son sexe, pourtant plus large en moi, et vient m’embrasser sur la bouche. Il commence alors à me baiser assez vivement mais je suis bien en place sur le canapé. Pour pimenter les choses, Julien vient se placer au-dessus de moi, fléchi sur ses jambes pour que je lui lèche le cul. Je l’entends soupirer sous mes coups de langue, puis j’entends des bruits de baiser, alors que Greg continue à m’enculer en rythme.
Julien se retire ensuite pour prendre la caméra en main pour filmer de près et en gros plan son mec qui m’encule. La tension monte assez vite. Greg se retire et me met à genoux. Pas le temps d’attendre et un geyser sort aussitôt de sa bite. J’ai juste le temps de tendre la langue pour récolter les jets. J’en reçois quand même, et sur les joues aussi. Julian immortalise la scène.
On fait une petite pause, mais Greg rebande assez vite. Comme convenu, ils veulent me faire une double pénétration et permettre à Julian de jouir en moi. Greg se place de dos. Je viens m’empaler et me penche en avant, tant pour embrasser Greg que pour faire de la place à Julian. Celui-ci rentre en moi assez facilement et commence la dp. Deux caméras nous filment sous deux angles différents. Greg et Julien me caressent et m’embrassent en permanence. Je kiffe bien. Ils sont doués. Ils prennent leur temps. Une des plus longues doubles pénétrations que j’ai faites. Julian finit par gémir et je sens son sperme se répandre en moi. Il se retire et s’écarte du champ de la caméra pour laisser filmer mes fesses et mon cul bien ouvert. Le sperme s’en écoule doucement…et j’expulse ce que je peux.
Certains vous diront qu’on oublie les caméras. Je ne dirais pas que j’y ai pensé en permanence, car je prenais mon pied et me concentrais sur ma partenaire… mais très souvent cela me revenait en tête et m’excitait davantage. Aucun regret d’avoir franchi le pas. Au contraire.
De retour à la maison, je raconte tout à Patrice. Et quand Greg m’envoie la vidéo montée peu après, on la regarde ensemble, nus en se branlant. Je suis excité, grisé de me voir ainsi. Dans quelques jours, des milliers de gens que je ne connais pas et qui ne me connaissent pas, me regarderont, moi Antoine, jeune blondinet aux yeux bleus de 27 ans, en train de baiser avec deux autres mecs.
A suivre…
Je suis épanoui. Cela se ressent dans mon travail, et dans mes relations avec ma famille et avec mes amis. Ceux qui connaissant nos pratiques sexuelles font vite le lieu. Les autres non, même s’ils savent que mon couple avec Patrice marche très bien et que cela contribue à mon épanouissement.
Une chose a changé à notre retour de vacances : le retour de la cage de chasteté. Patrice ne l’avait pas utilisé pendant les vacances, plutôt placée sous le signe « vanilla ». Pas de cuir, pas d’accessoire. Dès notre retour à Paris je suis mis en cage.
Patrice me baise un peu au début. Classique, dans la chambre et une fois dans le donjon, mais sans jamais retirer la cage. Je ne bande pas, et ne suis pas autorisé à jouir. Je mouille quand même et ressens du plaisir, sans toutefois être autorisé à atteindre l’orgasme.
Puis a peu près trois semaines après notre retour, plus rien. Au début, je ne dis rien. Mais une semaine, puis deux, finissent par s’écouler sans que Patrice ne me baise pas. Je commence à être très frustré. Jusqu’à présent j’avais toujours été habitué à une fréquence élevée dans nos rapports, sous des formes et avec des intensités diverses. Mais il y avait toujours quelque chose. Et là plus rien. Je me doute qu’il a quelque chose en tête. Cependant j’ai du mal à cacher ma frustration.
Un soir, alors que je suis nu et en collier dans l’attente de son retour à la maison, je mets à genoux dès qu’il ouvre la porte. Et je le supplie : « baise moi, Thor, défonce-moi, je t’en prie ». Je m’étonne moi-même. Je n’aurais jamais pensé dire ça. Mais la frustration est bien là. Elle m’envahit. Je sais très bien qu’il a un plan en tête et que je n’ai pas d’autre choix que d’attendre. Mais c’est plus fort que moi. Je ne peux pas m’empêcher de le supplier. Il reste sans réaction, gardant son air sévère. Même si un léger mouvement du coin de ses lèvres trahit un énorme plaisir à me voir ainsi. Pour s’amuser il me conduit des fois dans le donjon, et me fait attendre nu, en collier et cage, mains menottées dans le dos. Je tressaille. Je me dis que ça y est, enfin, il va se passer quelque chose. Il me laisse languir une heure avant de me remonter à l’étage. Il a manifestement décidé de jouer avec mes nerfs.
Un samedi soir, alors qu’il m’a remis dans le donjon, là encore, nu, en collier, en cage, menottes dans le dos, et que je m’attends à ce que cela ne soit qu’un jeu, je finis par attendre du bruit dans l’escalier. Patrice pénètre dans le donjon avec quatre mecs musclés, en cuir et bottes, harnais. Leurs sexes sont apparents, et de belle taille. Les voyant s’approcher, je baisse les yeux
- Alors c’est lui ? lance l’un
- Mmh, pas mal, poursuit l’autre. Il a l’air à point
- Ça fait un mois que je le prépare, ajoute Patrice
Je suis très excité. Mon sexe se tend dans la cage. J’ai mal. Dans l’élan de mon excitation, je redresse la tête pour mieux voir à qui je vais me soumettre. J’ai à peine posé les yeux sur les complices de Patrice qu’une gifle me fait presque basculer
- Baisse les yeux, on t’a pas autorisé à mater
Une main m’agrippe par les cheveux
- Regardez cette belle gueule d’ange. Trop beau et trop rare de voir un minet pareil, aussi jeune dans le SM
Un crachat atterrit sur ma joue. Un autre dans mon œil.
- Mais bon, sa gueule on s’en fout. C’est sa bite et son cul qui nous intéressent
Un mec sort une cagoule de cuir et me la met sur la tête. Je m’attends à être aveugle, mais des trous sont fait pour les yeux et la bouche. On m’enlève les menottes et m’allonge sur une table en bois, les bras en croix. Des mains me palpent, comme pour apprécier la chair fraiche et docile qui s’offrent à eux. L’offrande de mon corps. Ça tire sous la cage car j’aimerais bander mais je ne peux pas.
Dans cette position allongée je peux à peine voir ce qui se trame. Je vois soudain un mec avec de la mousse à raser sur les doigts et je ressens aussitôt de la chaleur sous mes aisselles. Ils commencent à me raser. Puis il s’attaque à mon pubis ensuite. Et finissent par les jambes. Plus un poil ne reste en dessous du cou. Un mec s’approche avec un gros feutre et commence à inscrire quelque chose sur mon torse. Je devine les lettres. Puis le même type s’approche de moi, me serre la mâchoire dans sa main et me dit : « tu sais ce que je viens d’écrire ». Je fais oui de la tête, trop soumis pour parler.
- Dis-le à voix haute
- Esclave sexuel
- Bien… très bien
Il garde ma bouche ouverte en pressant ses doigts sur ma mâchoire et dépose un énorme crachat dans ma bouche.
Démarre ensuite une longe séance de torture. D’abord les pinces, bien serrées, un peu partout sur le corps, notamment sur les couilles et les seins. Puis la cire brulante. Enfin, et c’est une première pour moi, des étincelles d’allume gaz, qui me font sursauter à chaque fois.
Je suis ensuite retire, et place à quatre pattes, le ventre collé à un banc. Deux doigts graissés me rentrent dans l’anus, tandis qu’un accessoire est placé dans ma bouche pour la maintenir ouverte en permanence. Sans surprise, les bites commencent à glisser dans mon cul et dans ma bouche. Je ressens un énorme plaisir, presqu’un soulagement. Je n’ai pas été pénétré depuis si longtemps. Je suis prêt à tout. A tout leur offrir, à tout leur permettre. Plus que jamais je me sens soumis et prêt à me livrer. Ma nature soumise, frustrée, n’en est que décuplée. Les bites passent de mon cul à ma bouche, avec leur gout acre. Elles sont toutes très larges et me pénètrent très profondément. Certains me défoncent bien le cul.
Je sens ensuite le feutre dessiner des flèches sur mes fesses. Elles pointent vers mon anus. Puis, l’accessoire pour me maintenir la bouche ouverte est retiré et remplace par un tuyau, comme une tétine géante, terminée par un entonnoir. Chaque bourreau y passe tour à tour pour pisser, tandis qu’il y a toujours une bite dans mon cul pour m’enculer. J’avale. Je me donne. Malgré leurs brusqueries, je ressens un plaisir de dingue. J’offre mes trous, mon corps à tous leurs fantasmes. Le sperme commence à couler en moi, alors que j’avale la pisse en abondance.
Après que tous les maitres se sont vidés, l’entonnoir est retiré et remplace par une gag ball. Je sens ensuite un gode large presser contre mon anus. Mon sphincter s’ouvre. C’est large. J’ai un peu mal, mais ça rentre. Je suis habitue. Mais soudain, j’entends un léger bruit de moteur et le gode se met en mouvement. Il m’encule en avançant et en reculant automatiquement à un rythme parfaitement régulier. Je devine que c’est une « fuck machine ». Mes bourreaux admirent la scène. Puis ils quittent le donjon. Me voici livré à la machine en permanence. Sodomise sans interruption. Cela me plait. Cela dure longtemps. Je finis par perdre la notion du temps. Mon corps, mon cul en particulier, s’engourdissent. Je me sens livré. J’ai presque une expérience métaphysique. J’imagine ainsi mon corps, je l’observe comme une tierce personne. Je ne suis plus qu’un corps soumis. Que deux trous disponibles.
Mes bourreaux reviennent et me sortent de ma léthargie sans que je ne sache combien de temps s’est écoulé. Je suis détaché et place sur le sling. Attaché. Mes bourreaux m’enculent ensuite à la chaine, avec énormément d’énergie. Je sens encore du sperme s’accumuler dans mon rectum. Puis le travail de mon cul continue avec différents objets tout aussi originaux et ludiques. Je porte toujours le gag ball… il n’y a donc pas de mot de sécurité cette fois. Pas besoin… je vais tout et dirais oui a tout. Ça ne ne traverse pas l’esprit.
Mon anus est maintenant complètement ouvert. Bien souple. Je sais ce qui m’attend. La gag ball est retirée, puis quelqu’un retire ma cagoule. Je sais qu’ils veulent voir ma réaction pour la suite. Un maitre a enfilé un gant. Brulant de désir, rendu fou pour tout ce qu’ils m’ont déjà fait subir, et par des semaines de frustration, je me mets à gueuler : « fistez moi, fistez moi ».
Le travail des doigts ne durent pas longtemps avant que le premier poing ne rentre en moi. Je continue à gueuler de plaisir et à les encourager. Cela tourne en procession. Ils me fistent un par un, tandis qu’il y en a toujours un autre à côté de moi pour donner sa bite à sucer ou cracher dans ma bouche. Patrice s’approche et retire la cage alors que celui qui a le poing le plus large est en train de me fister en profondeur. C’est soudain une explosion incontrôlable. Une vague insurmontable. Un tsunami de plaisir. Déclenché par l’accumulation de plaisir de ces dernières heures et par la frustration des dernières semaines. Je gueule comme un fou alors que des jets de sperme sortent à la vitesse de la lumière de ma bite, atteignant mon visage et mon torse. Mon corps s’est cambré de plaisir. Les doigts de boucher ramassent le sperme et plongent dans ma gorge.
On me détache. Je tremble encore. Parcouru de frisson, je grelotte. Je prends une douche chaude devant tout le monde. Les bourreaux redeviennent vite des anges. Ils se rhabillent. Je reste nu, en collier et en cage. On partage un bon diner à la maison ensemble. L’ambiance est bonne. Une vraie conversation, sans parler de sexe. Je me montre docile, attentionné, serviable. Parlant peu, mais à bon escient.
Une fois les invités partis, Patrice me demande comment je vais. Je lui confie à quel point j’ai aimé l’expérience, même si la frustration a été un peu difficile à supporter. En tout cas, ça en valait la peine.
Dans les semaines qui suivent, il se montre très câlin. Comme toujours, il est soucieux d’avoir le bon équilibre dans nos jeux sexuels, entre le hard et le soft, les plans à deux et à plusieurs. On entame alors une belle série de baise uniquement à deux, plutôt soft.
De mon côté, il m’arrive de penser à l’évolution de ma sexualité au cours des mois écoulés. Tout ce que j’ai expérimenté et ce que j’aimerais encore découvrir. Je me regarde parfois dans la glace, nu, et en collier, toujours fascine et excite par mon reflet. Le nouvel Antoine. J’ai aimé tout ce que j’ai expérimenté : la domination, le bondage, une touche de souffrance, les pénétrations extrêmes, l’uro, les orgies. Mais une chose m’excite encore plus : le fait d’être dominé, baise devant d’autre. Le fait d’être nu en public, sur la plage cet été avec Jean-Louis et Chantal. Oui, en me regardant dans la glace, je ne peux que le reconnaitre : je suis un exhibitionniste. Un désir me vient. Fou. Être dans un film porno. Mais je me l’interdis. Car une fois que c’est fait, tout est public et c’est le point de non-retour. Je sais bien que c’est impossible. L’idée me hante quand même. J’en parle à Patrice. Voici sa réponse.
- Tu as clairement une nature exhibitionniste, je l’ai remarqué moi aussi. Être observé est pour toi une forte source de plaisir. D’abord te montrer nu en public. Ensuite te faire baiser et dominer devant les autres. J’avoue que tu m’avais vraiment surpris la première fois ou je t’ai baisé devant mes amis. C’est venu très vite, et de toi-même. Maintenant tu as raison. Faire du porno, c’est un point de non-retour. Je suis comme toi. J’ai d’ailleurs reçu des demandes pour toi de quelques studios mais je les ai toutes rejetées. Par contre, on peut peut-être trouver une solution. Tu pourrais peut être faire quelque chose sur OnlyFans. Les vidéos ne fuitent jamais, contrairement aux studios. Tu pourrais y apparaitre sans aucun nom. C’est très sûr. Seuls les abonnés aux comptes te verront. Pas vraiment différent de ce qu’on fait entre nous et avec nos amis pour nos sex tapes d’ailleurs
Je suis excité
- Si tu es partant, je peux sélectionner le ou les bons partenaires. Mais ça sera plutôt du soft que du hard. Il n’y a pas vraiment de SM de bonne qualité sur OnlyFans
- Ça me va !
Je n’ai pas à attendre très longtemps. Patrice a sélectionné un couple et on les contacte ensemble. C’est un peu aléatoire car je ne suis pas sur Onlyfans, ni sur Twitter. Pas sûr que ce couple soit réceptif a une requête venue de nulle part.
« Salut,
Je m’appelle Antoine, j’ai 27 ans. Je suis sur Onlyfan en tant que spectateur, mais je recherche une première expérience sur Onlyfan en tant qu’acteur, et votre profil m’intéresse. Je n’ai pas d’expérience en tant qu’acteur, mais j’ai fait plusieurs sex tapes et baises en public. Je me sens prêt à être filmé, sans pour autant faire une carrière et être public. Je vous envoie quelques photos de moi (nudes) en pièce joint. »
Je ne m’attends pas à avoir de réponse, mais au bout d’une semaine, j’en reçois une
« Salut Antoine,
Merci pour ton message. Comme tu t’en doutes, nous recevons beaucoup de messages comme le tien, notamment de gens qui fantasment. Mais bon tes photos (si c’est bien de toi qu’il s’agit) sont bien… Je ne vais pas tourner autour du pot, pour ne pas perdre de temps. On ne baise pas avec des débutants. On peut faire une exception si tu nous en dis plus sur tes expériences et ce que tu es ok à faire. Et on se fait un Facetime pour s’assurer que tu es bien réel. Désolé, d’être aussi direct, mais on reçoit tellement de mails bidons.
Greg »
Je ne suis pas vraiment surpris. Le mec est cash, un peu sec, mais « fair ». Je réponds, avec l’aide de Patrice
« Salut Greg,
Je comprends parfaitement. Comme je te le disais, j’ai pas mal d’expérience. Je suis en couple depuis plus d’un an avec un mec plus âge, dominant. Je le suis soumis, 100% passif. Je me fais double pénétrer et fister régulièrement. On fréquente la scène BDSM, mais on se fait aussi des plans softs. Je me suis fait baise en public plusieurs, et fait plusieurs plans de groupes et partouzes. Je vous envoie une vidéo également. On peut se parler sur Facetime quand vous voulez
Antoine»
La vidéo que j’envoie a été faite il y a un moment. Patrice me baise dans notre chambre sur le lit. Une baise vanilla un peu agressive. Je suis juste en collier.
La réponse de Greg ne se fait pas attendre
« Merci Antoine – la vidéo est convaincante. On n’est pas du tout SM. Mais on est partant pour te baiser à deux. On veut juste se faire un Facetime avec toi samedi pour un dernier check. Ok pour toi ? »
Je comprends que Greg et son mec, Julian, veulent s’assurer que je ne suis pas un mytho qui a juste pique des vidéos sur internet. On se Facetime donc le samedi. Ils sont satisfaits. On se met aussi d’accord sur ce qu’on fera. C’est très « pro » en fait. Fellation, rimming, facial, anal et dp. Baise sans capote. Il me parle argent aussi. Mais j’accepte sans réfléchir. Je ne fais pas ça pour être payé. On va tourner chez eux, dans leur appartement, dans deux.
Patrice me laisse aller seul. C’est la règle, et pas sûr que Greg et Julian apprécie d’avoir un autre mec trainer et mater.
Quand j’arrive chez eux, il m’accueille normalement. Ils sont sympas et cools mais pas excessivement amicaux. C’est assez pro en fait. Après une dizaine de minutes de papotages, ils passent aux choses sérieuses
- Bon on filme dans la chambre. On va démarrer à poil directement. Tu peux passer dans la salle de bains te préparer. Tu es déjà rasé là où il faut ?
- Oui
Quand je sors de la salle de bains à poil, ils sont déjà à poil eux aussi. Il y a deux cameras sur des trépieds. Pas énormes, mais ça fait quand même pro. Ils sont prêts. Je m’approche. Je suis un peu perdu
- Bon ça filme déjà, on démarre quand on veut. Les deux caméras vont tout filmer ici. On filmera de près à la main si besoin, et on bougera les cameras quand on passera sur le lit
Spontanément, Greg m’embrasse. Je bande. C’est presque mécanique. Mais ce n’est pas le fait qu’il m’embrasse et que Julian commence à me toucher. C’est le fait qu’ils fassent devant la caméra. Je me sens aussitôt excité. Prêt à baiser. A me donner en spectacle. Greg me fait me retourner et me pencher contre la fenêtre. Pour me bouffer le cul. Je réalise que les rideaux n’étaient pas tirés. On pourrait nous voir. De loin seulement. Cela ajoute du piment. J’offre mes fesses à Greg. Puis à Julian qui me lèche l’anus à tour de rôle. Bon démarrage… J’aime ça. Chaque minute je pense à la caméra qui tourne et je bande encore plus dur.
Mes amis me retournent et j’ai maintenant deux belles bites face a moi. Greg et Julien se collent l’un à l’autre, Greg posant sa main droite sur les fesses de Julian. Je me mets naturellement a genoux et commence à sucer Greg en lui caressant les fesses. Il y a beaucoup de complicité entre les deux. Ils savent manifestement comment s’occuper d’un troisième. Mon sexe pointe à la verticale à chaque succion. Je suis masqué par les fesses mais j’aperçois de temps en temps les cameras quand les corps s’écartent.
Je suce les deux à tour de rôle. Ils sont beaux, sexuels. Leurs bites sont belles et glissent bien dans ma bouche. Mes mains continuent à caresser leurs fesses. Je me répète dans ma tête : « ça y est je fais du porno ».
Mes complices ne perdent pas de temps et veulent me baiser. Je reste debout et Julien me fait me pencher légèrement en avant pour offrir mes fesses à Julian. Greg commence à me sucer. Julian me maintient bien en place en enroulant son bras sur mon torse. Nous sommes de profil devant la caméra. Lèche et suce, je kiffe énormément et mouille dans la bouche de Greg. Julien se redresse et vient glisser sa bite entre mes fesses. Je me fais maintenant enculer debout, par derrière, tandis que Greg continue à me sucer. Greg se retire et laisse Julian continuer. Mais il veut sa place dans mon cul lui aussi et se rapproche peu après
- Je vais le baiser sur le canapé.
Je m’allonge sur le dos et lève les jambes. Greg glisse très facilement son sexe, pourtant plus large en moi, et vient m’embrasser sur la bouche. Il commence alors à me baiser assez vivement mais je suis bien en place sur le canapé. Pour pimenter les choses, Julien vient se placer au-dessus de moi, fléchi sur ses jambes pour que je lui lèche le cul. Je l’entends soupirer sous mes coups de langue, puis j’entends des bruits de baiser, alors que Greg continue à m’enculer en rythme.
Julien se retire ensuite pour prendre la caméra en main pour filmer de près et en gros plan son mec qui m’encule. La tension monte assez vite. Greg se retire et me met à genoux. Pas le temps d’attendre et un geyser sort aussitôt de sa bite. J’ai juste le temps de tendre la langue pour récolter les jets. J’en reçois quand même, et sur les joues aussi. Julian immortalise la scène.
On fait une petite pause, mais Greg rebande assez vite. Comme convenu, ils veulent me faire une double pénétration et permettre à Julian de jouir en moi. Greg se place de dos. Je viens m’empaler et me penche en avant, tant pour embrasser Greg que pour faire de la place à Julian. Celui-ci rentre en moi assez facilement et commence la dp. Deux caméras nous filment sous deux angles différents. Greg et Julien me caressent et m’embrassent en permanence. Je kiffe bien. Ils sont doués. Ils prennent leur temps. Une des plus longues doubles pénétrations que j’ai faites. Julian finit par gémir et je sens son sperme se répandre en moi. Il se retire et s’écarte du champ de la caméra pour laisser filmer mes fesses et mon cul bien ouvert. Le sperme s’en écoule doucement…et j’expulse ce que je peux.
Certains vous diront qu’on oublie les caméras. Je ne dirais pas que j’y ai pensé en permanence, car je prenais mon pied et me concentrais sur ma partenaire… mais très souvent cela me revenait en tête et m’excitait davantage. Aucun regret d’avoir franchi le pas. Au contraire.
De retour à la maison, je raconte tout à Patrice. Et quand Greg m’envoie la vidéo montée peu après, on la regarde ensemble, nus en se branlant. Je suis excité, grisé de me voir ainsi. Dans quelques jours, des milliers de gens que je ne connais pas et qui ne me connaissent pas, me regarderont, moi Antoine, jeune blondinet aux yeux bleus de 27 ans, en train de baiser avec deux autres mecs.
A suivre…
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Tout aussi excitant qu'un vrai film porno.