Anton Ep 14 En ivoire de Dentosaure
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Anton Ep 14 En ivoire de Dentosaure
Anton Ep 14 En ivoire de Dentosaure
Et voilà, c'est donc le dernier épisode de cette histoire qui, il faut bien le dire, est un peu loufoque … ( toute similitude ou ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé est absolument fortuite )
C'est seulement quelque pas derrière Guss que Tooni arrivait. Il avait l'enfant dans ses bras et c'est là que le drame s'est produit ...
Je ferais remarquer aux lecteurs que mon histoire ne manque pas de rebondissements … ( Note de l'auteur )
Avec soin, les grottes étaient nettoyées avant le départ de la caravane mais un radis avait été oublié. Un tout petit radis de rien du tout. Il était à peine plus gros que le pouce et encore un petit pouce … Et là Tooni posait son pied dessus, il arrivait à pleine vitesse et il glissait dessus.
Zip …
Le pied de Tooni est parti en avant mais le reste du corps est resté en arrière lui, Guni lui échappait des bras et s'envolait, pris de terreur de voir son enfant ainsi, il hurlait son nom. Guss qui avait des réflexes le rattrapait et le bébé qui marchait à peine retombait dans les bras de son père en rigolant. Décidément il n'aurait peur de rien ce gamin !
Tooni se retrouvait allongé sur le dos, sonné. Il ne bougeait plus.
Il sentait que quelqu'un le touchait du bout du pied. Il entendait parler autour de lui …
– Il ne bouge plus. Disait l'un.
– Bon ça c'est ballot. Répondait un autre.
– Il ne dit plus rien … – Par contre ça c'est bien … – Mais pourquoi tu dis ça ?
– Bein hier il a râlé toute la journée !
–Traînez pas les mecs, il n'y aura pas de chocolat chaud pour tout le monde. Qu'est-ce qu'il fait par terre celui là ?
Anton ouvrait les yeux, il ne reconnaissait pas tout de suite ce visage qui se penchait sur lui.
– Ou est mon fils, il n'a rien ? Demandait Anton.
– Alors toi, tu es prêt à faire n'importe quoi pour te faire remarquer. Lui répondait le moniteur.
– Il va bien, dites moi qu'il va bien, ou es mon mari Guss ?
– Arrête de dire n'importe quoi, il n'y aura pas de chocolat pour tous le monde. Tu devrais te remuer le cul un peu au lieu de dire des conneries.
Le moniteur repartait en râlant.
Anton se relevait, retrouvait ses esprits, ses camarades était pliés de rire.
– Et qui c'est ce Guss ? Lui demandait une voix qu'il ne reconnaissait pas.
Anton avait déjà oublié cette phrase qu'il avait prononcée quelques secondes plus tôt. Voyant qu'il était réellement sonné ... ou abruti ... rapidement plus personne ne s'occupait de lui. Anton retrouvait ses esprits, il reconnaissait tout le monde et ne gardait qu'une vague impression d'avoir fait un rêve dont il avait tout oublié. Il savait seulement que le rêve avait été intense.
Il suivait en traînant et arrivait en dernier aux tables ou on leur avait préparé le petit déjeuner. Le chocolat, il y en avait pour tout le monde, si le moniteur avait dit le contraire, c'est juste pour qu'ils se remuent tous. Jean François avait gardé une place à Anton. Jean François, vous vous souvenez de Jean François ? C'est l'étudiant avec qui Anton avait passé la nuit, il complétait l'équipe des moniteurs … Non ? … Bon reprenez au premier épisode alors !
Ensuite tout le monde s'habillait, Anton gardait son short, et rajoutait juste un T-shirt et ses chaussures. Ils partaient tous aux différentes activités qui leur avaient été préparées, une chasse au trésor dans la nature. Tout se passait bien, Anton avait récupéré de son accident … Vous vous souvenez ? Le gland qu'il avait reçu sur la tête .
Mais ça devait forcément arriver, à un moment Anton a eu envie de faire pipi … Bein oui c'est obliger, il se trouvait donc un arbre sympathique, large et accueillant et il ouvrait son short et c'est là qu'il a découvert ce truc qui ne pouvait pas s'expliquer.
Il y avait tout un dispositif autour de son sexe, un anneau à la base de son sexe, faisait le tour juste derrière les testicules, sur la partie supérieure il y avait comme une sorte de tube recourbé et très aéré recouvrait sa queue qu'il ne pouvait absolument pas sortir. Il n'y avait aucun dispositif d'ouverture, l'objet semblait scellé, il ne gênait pas, il ne gênait tellement pas qu'il n'avait pas remarqué à quel moment on le lui avait mis. L'objet était même plutôt confortable, doux et chaud, Anton pouvait uriner sans difficulté, il regardait le truc sous tous les angles.
Dans sa tête ça ne percutait pas. Il a fallu un bon moment pour qu'il en arrive à se demander … '' MAIS C'EST QUOI CE TRUC ? '' … C'est vrai que quelquefois il est un peu lent.
Déjà il commençait à bander et ça l'inquiétait. Il ne savait comment ça allait se passer … Là je ne parle pas uniquement de ' Bander ' mais de bander avec ce truc autour de la queue. Ce truc qu'il n'avait jamais vu et qui était apparu comme ça sans prévenir. Non, pour ce qui est de bander ce n'était pas une première, ça lui était déjà arrivé plus d'une fois.
Pas plus tard que la nuit dernière par exemple, et la il n'était pas seul, il était avec Jean François et ils s'étaient bien amusés tous les deux …
''Jean François ! C'est une farce de Jean François '' se disait Anton, ''il va m'entendre râler celui-là''. Ça ne changerait pas grand chose vous allez me dire, depuis la veille tout le monde l'entendait râler, ce n'est pas par hasard d'ailleurs si plus personne n'écoutait ce qu'il disait.
Dans sa tête c'était le grand écart, il était à la fois zen, très zen et totalement paniqué.
'' Ouai c'est cool … Il ne faut surtout pas que quelqu'un s'en rende compte.
Mais c'est que c'est confortable ce truc … Mais je ne vais pas rester comme ça c'est pas possible.
Je me demande qui est au courant … Pourvu que personne ne s'en rende compte.
Et si on me demande pourquoi je … Comme si je le savais moi-même ! ''.
Bref, ça restait un peu confus dans sa tête. Et c'est là qu'il comprenait tout ! On l'avait drogué, Jean François l'avait drogué, ensuite il avait abusé de lui d'une manière inqualifiable, puis il lui avait installé ce truc alors qu'il était inconscient … Objet qu'il trouvait très joli d'ailleurs totalement discret et très confortable … ''Mais c'est pas une raison ! '', se disait-'il !
Tout concordait, sauf peut être le mot '' Abusé '', il lui semblait bien se souvenir qu'il avait été très volontaire et très demandeur. Bon à part ça, peut être que Jean François n'avait pas abusé de lui, pour le reste c'était tout bon.
Quelqu'un l'appelait, en rapport à la chasse au trésor, il se retrouvait avec Jean François mais il avait déjà oublié toutes ses réflexions. C'était pas encore tout à fait en ordre dans sa tête.
On arrivait rapidement au repas de midi que tout le monde préparait ensemble. Dans sa tête Anton se posait des questions …
– Il me semble que j'ai oublié quelque chose ! Il avait peut être pensé tout haut.
– Tu disait quoi Anton ? Lui demandait Jean François qui était à côté de lui.
– Moi j'ai rien dit.
– Alors tu as bien dormi ?
– Oui mais je n'arrive pas à me réveiller ce matin.
– On est l'après midi mais c'est pas grave. Ça doit être à cause de l'accident …– Tu te moques de moi là …– Oui mais avec tellement de tendresse.
Le soir Anton se retrouvait dans sa tente, il avait oublié plusieurs fois qu'il portait ce truc et de nouveau il ne s'en souvenait plus. En fait le truc était tellement confortable qu'il ne le sentait pas sur lui.
Jean François arrivait et se glissait juste à côté d'Anton. Doucement il passait sa main sur son torse.
– Et si on reprenait là ou on s'était arrêté la nuit dernière.
Anton se retournait vers Jean François, le prenait dans ses bras et l'embrassait.
– C'est une très bonne idée mais il faut que je dise un truc …– Vas y, je t'écoute.
– Je sais plus ça va me revenir.
Suivait un nouveau baiser, un nouveau câlin. Les mains de Jean François se promenait sur le corps d'Anton.
– Tu as quoi dans ta poche ? Lui demandait Jean François.
– Rien ! A ouai c'est de ce truc que je voulais parler.
– C'est quoi ? Insistait Jean François.
Anton baissait son short, Jean François lui caressait les couilles, il avait l'air très amusé de découvrir de truc, visiblement très surpris aussi. '' Et ça vient d’où ce truc, tu l'a mis quand ?''.
– Je ne sais pas, je ne l'ai pas mis, je l'avais ce matin, c'est tout. C'est de l'ivoire de Dentosaure …– De quoi ? Qu'est ce que tu dis ? Dentosaure, c'est quoi ça ? Tu ne le portais pas ce matin quand je t'ai laissé.
Là Anton réalisait que ce n'était pas Jean François qui le lui avait mis. L'objet venait d'ailleurs, mais il n'en savait pas plus.
Jean François le prenait dans ses bras en s'allongeant sur lui. Il repoussait son T-shirt et son short puis l'embrassait partout sur le corps. Anton ne se posait plus de questions. La situation lui plaisait, il se sentait bien. Jean François lui relevait les jambes et les lui écartait. Il lui posait les chevilles sur ses épaules, s'appuyait de tout son poids sur Anton qui se retrouvait replié sur lui-même, les genoux au niveau de ses côtes.
Bien en position, Jean François ouvrait son pantalon et lui enfonçait sa queue dans le cul en un mouvement rapide. Anton s'est retenu de crier de plaisir. L'action était rapide et violente mais Anton en redemandait, Avec ses mains il caressait les bras et retenait Jean François tout contre lui.
Ils respiraient fort et ne faisait surtout pas de bruit. Ils ne voulaient pas se faire remarquer et une tente n'est pas vraiment un isolant acoustique.
Jean François donnait des coups de bassin violents, il accélérait et augmentait encore en violence. Anton sentait le plaisir monter en lui. C'était cent fois mieux que la nuit précédente, c'était comme s'il était habitué à ce genre de traitement, c'était comme si tous les jours il se faisait défoncer le cul, c'était tellement bon. Il jutait rapidement, il jutait abondement.
Jean François se donnait et donnait à fond, il se penchait vers l'oreille d'Anton. '' Tu peux pas savoir comment ça m’excite ton truc, je sais pas ou tu l'a pris mais j'adore''. Il continuait à lui limer le cul. Anton faisait une grimace monstrueuse, il serrait les dents pour ne surtout pas faire de bruit.
Quand Jean François lâchait enfin les chevilles d'Anton, celui-ci les refermait rapidement dans le dos de son partenaire, lui passait les bras autour du cou et le tirait fortement vers lui.
Jean François s'écroulait de tout son poids sur Anton mais continuait a lui limer le cul en bougeant son bassin. Il bougeait son bassin avec force, il appuyait de toutes ses forces contre les fesses d'Anton qui jouissait éjaculait mais ne faisait aucun bruit.
Jean François se retirait pour faire une pause. Il écartait son pantalon qui était resté sur ses cheville. Il tirait vers lui son jeune camarade.
– Tu m'as l'air encore plus chaud que la nuit dernière dis donc.
Pour seule réponse Anton l'embrassait avec passion et se blottissait contre lui. Suivaient des caresses, des baisers.
– Et ton truc, tu l'a mis quand alors ?
– Je ne sais pas ! Je ne me souviens de rien !
– Tu ne veux pas le dire ? C'est pas grave moi j'adore.
En disant cela il lui tripotait les couilles qui pendaient mollement, il lui tripotait la cage dans laquelle sa queue protestait avec autant de force que de confort...
– Ça ne te fait pas mal ?
Anton faisait signe que non et Jean François continuait à s'amuser avec ce qui pour lui finalement n'était qu'un nouveau jouet.
– Et tu le retires comment ?
– Je sais pas ! Finissait par répondre Anton. Je ne sais même pas si on peut le retirer …
Jean François rigolait.
– Bon d'accord, tu ne veux rien dire. C'est d'accord, moi j'adore et ça m'excite à mort. Garde le, moi je suis pour !
Et il était excité Jean François, sans prévenir il retournait Anton sur le ventre, les jambes jointes, s'allongeait sur lui et l'enfilait en un mouvement encore plus rapide que plus tôt. Avec les jambes jointe il était plus étroit et c'est tous les deux qu'ils trouvaient la position bien plus stimulante, bien plus jouissive. De nouveau Anton jutait puis éjaculait. De nouveau Jean François prenait son pied, le plus difficile était de ne pas se faire remarquer.
Jean François n'a jamais compris ce qui se passait, Anton pas d'avantage. Mais ce dispositif lui plaisait, il était doux et confortable et c'était tellement excitant pour lui comme pour son partenaire.
Il l'a gardé, il le porte encore. Simplement maintenant il a inventé une histoire invraisemblable sur l'origine de son dispositif. Il raconte qu'il a fait un voyage dans un autre monde, une sorte de monde parallèle ou les hommes vivaient d'un côté de la montagne et ou les femmes vivaient sur l'autre.
Ça excite beaucoup ses partenaires, autant que ça les amuse … Surtout que personne ne sait ce que c'est qu'un Dentosaure !
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Et voilà, c'est donc le dernier épisode de cette histoire qui, il faut bien le dire, est un peu loufoque … ( toute similitude ou ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé est absolument fortuite )
C'est seulement quelque pas derrière Guss que Tooni arrivait. Il avait l'enfant dans ses bras et c'est là que le drame s'est produit ...
Je ferais remarquer aux lecteurs que mon histoire ne manque pas de rebondissements … ( Note de l'auteur )
Avec soin, les grottes étaient nettoyées avant le départ de la caravane mais un radis avait été oublié. Un tout petit radis de rien du tout. Il était à peine plus gros que le pouce et encore un petit pouce … Et là Tooni posait son pied dessus, il arrivait à pleine vitesse et il glissait dessus.
Zip …
Le pied de Tooni est parti en avant mais le reste du corps est resté en arrière lui, Guni lui échappait des bras et s'envolait, pris de terreur de voir son enfant ainsi, il hurlait son nom. Guss qui avait des réflexes le rattrapait et le bébé qui marchait à peine retombait dans les bras de son père en rigolant. Décidément il n'aurait peur de rien ce gamin !
Tooni se retrouvait allongé sur le dos, sonné. Il ne bougeait plus.
Il sentait que quelqu'un le touchait du bout du pied. Il entendait parler autour de lui …
– Il ne bouge plus. Disait l'un.
– Bon ça c'est ballot. Répondait un autre.
– Il ne dit plus rien … – Par contre ça c'est bien … – Mais pourquoi tu dis ça ?
– Bein hier il a râlé toute la journée !
–Traînez pas les mecs, il n'y aura pas de chocolat chaud pour tout le monde. Qu'est-ce qu'il fait par terre celui là ?
Anton ouvrait les yeux, il ne reconnaissait pas tout de suite ce visage qui se penchait sur lui.
– Ou est mon fils, il n'a rien ? Demandait Anton.
– Alors toi, tu es prêt à faire n'importe quoi pour te faire remarquer. Lui répondait le moniteur.
– Il va bien, dites moi qu'il va bien, ou es mon mari Guss ?
– Arrête de dire n'importe quoi, il n'y aura pas de chocolat pour tous le monde. Tu devrais te remuer le cul un peu au lieu de dire des conneries.
Le moniteur repartait en râlant.
Anton se relevait, retrouvait ses esprits, ses camarades était pliés de rire.
– Et qui c'est ce Guss ? Lui demandait une voix qu'il ne reconnaissait pas.
Anton avait déjà oublié cette phrase qu'il avait prononcée quelques secondes plus tôt. Voyant qu'il était réellement sonné ... ou abruti ... rapidement plus personne ne s'occupait de lui. Anton retrouvait ses esprits, il reconnaissait tout le monde et ne gardait qu'une vague impression d'avoir fait un rêve dont il avait tout oublié. Il savait seulement que le rêve avait été intense.
Il suivait en traînant et arrivait en dernier aux tables ou on leur avait préparé le petit déjeuner. Le chocolat, il y en avait pour tout le monde, si le moniteur avait dit le contraire, c'est juste pour qu'ils se remuent tous. Jean François avait gardé une place à Anton. Jean François, vous vous souvenez de Jean François ? C'est l'étudiant avec qui Anton avait passé la nuit, il complétait l'équipe des moniteurs … Non ? … Bon reprenez au premier épisode alors !
Ensuite tout le monde s'habillait, Anton gardait son short, et rajoutait juste un T-shirt et ses chaussures. Ils partaient tous aux différentes activités qui leur avaient été préparées, une chasse au trésor dans la nature. Tout se passait bien, Anton avait récupéré de son accident … Vous vous souvenez ? Le gland qu'il avait reçu sur la tête .
Mais ça devait forcément arriver, à un moment Anton a eu envie de faire pipi … Bein oui c'est obliger, il se trouvait donc un arbre sympathique, large et accueillant et il ouvrait son short et c'est là qu'il a découvert ce truc qui ne pouvait pas s'expliquer.
Il y avait tout un dispositif autour de son sexe, un anneau à la base de son sexe, faisait le tour juste derrière les testicules, sur la partie supérieure il y avait comme une sorte de tube recourbé et très aéré recouvrait sa queue qu'il ne pouvait absolument pas sortir. Il n'y avait aucun dispositif d'ouverture, l'objet semblait scellé, il ne gênait pas, il ne gênait tellement pas qu'il n'avait pas remarqué à quel moment on le lui avait mis. L'objet était même plutôt confortable, doux et chaud, Anton pouvait uriner sans difficulté, il regardait le truc sous tous les angles.
Dans sa tête ça ne percutait pas. Il a fallu un bon moment pour qu'il en arrive à se demander … '' MAIS C'EST QUOI CE TRUC ? '' … C'est vrai que quelquefois il est un peu lent.
Déjà il commençait à bander et ça l'inquiétait. Il ne savait comment ça allait se passer … Là je ne parle pas uniquement de ' Bander ' mais de bander avec ce truc autour de la queue. Ce truc qu'il n'avait jamais vu et qui était apparu comme ça sans prévenir. Non, pour ce qui est de bander ce n'était pas une première, ça lui était déjà arrivé plus d'une fois.
Pas plus tard que la nuit dernière par exemple, et la il n'était pas seul, il était avec Jean François et ils s'étaient bien amusés tous les deux …
''Jean François ! C'est une farce de Jean François '' se disait Anton, ''il va m'entendre râler celui-là''. Ça ne changerait pas grand chose vous allez me dire, depuis la veille tout le monde l'entendait râler, ce n'est pas par hasard d'ailleurs si plus personne n'écoutait ce qu'il disait.
Dans sa tête c'était le grand écart, il était à la fois zen, très zen et totalement paniqué.
'' Ouai c'est cool … Il ne faut surtout pas que quelqu'un s'en rende compte.
Mais c'est que c'est confortable ce truc … Mais je ne vais pas rester comme ça c'est pas possible.
Je me demande qui est au courant … Pourvu que personne ne s'en rende compte.
Et si on me demande pourquoi je … Comme si je le savais moi-même ! ''.
Bref, ça restait un peu confus dans sa tête. Et c'est là qu'il comprenait tout ! On l'avait drogué, Jean François l'avait drogué, ensuite il avait abusé de lui d'une manière inqualifiable, puis il lui avait installé ce truc alors qu'il était inconscient … Objet qu'il trouvait très joli d'ailleurs totalement discret et très confortable … ''Mais c'est pas une raison ! '', se disait-'il !
Tout concordait, sauf peut être le mot '' Abusé '', il lui semblait bien se souvenir qu'il avait été très volontaire et très demandeur. Bon à part ça, peut être que Jean François n'avait pas abusé de lui, pour le reste c'était tout bon.
Quelqu'un l'appelait, en rapport à la chasse au trésor, il se retrouvait avec Jean François mais il avait déjà oublié toutes ses réflexions. C'était pas encore tout à fait en ordre dans sa tête.
On arrivait rapidement au repas de midi que tout le monde préparait ensemble. Dans sa tête Anton se posait des questions …
– Il me semble que j'ai oublié quelque chose ! Il avait peut être pensé tout haut.
– Tu disait quoi Anton ? Lui demandait Jean François qui était à côté de lui.
– Moi j'ai rien dit.
– Alors tu as bien dormi ?
– Oui mais je n'arrive pas à me réveiller ce matin.
– On est l'après midi mais c'est pas grave. Ça doit être à cause de l'accident …– Tu te moques de moi là …– Oui mais avec tellement de tendresse.
Le soir Anton se retrouvait dans sa tente, il avait oublié plusieurs fois qu'il portait ce truc et de nouveau il ne s'en souvenait plus. En fait le truc était tellement confortable qu'il ne le sentait pas sur lui.
Jean François arrivait et se glissait juste à côté d'Anton. Doucement il passait sa main sur son torse.
– Et si on reprenait là ou on s'était arrêté la nuit dernière.
Anton se retournait vers Jean François, le prenait dans ses bras et l'embrassait.
– C'est une très bonne idée mais il faut que je dise un truc …– Vas y, je t'écoute.
– Je sais plus ça va me revenir.
Suivait un nouveau baiser, un nouveau câlin. Les mains de Jean François se promenait sur le corps d'Anton.
– Tu as quoi dans ta poche ? Lui demandait Jean François.
– Rien ! A ouai c'est de ce truc que je voulais parler.
– C'est quoi ? Insistait Jean François.
Anton baissait son short, Jean François lui caressait les couilles, il avait l'air très amusé de découvrir de truc, visiblement très surpris aussi. '' Et ça vient d’où ce truc, tu l'a mis quand ?''.
– Je ne sais pas, je ne l'ai pas mis, je l'avais ce matin, c'est tout. C'est de l'ivoire de Dentosaure …– De quoi ? Qu'est ce que tu dis ? Dentosaure, c'est quoi ça ? Tu ne le portais pas ce matin quand je t'ai laissé.
Là Anton réalisait que ce n'était pas Jean François qui le lui avait mis. L'objet venait d'ailleurs, mais il n'en savait pas plus.
Jean François le prenait dans ses bras en s'allongeant sur lui. Il repoussait son T-shirt et son short puis l'embrassait partout sur le corps. Anton ne se posait plus de questions. La situation lui plaisait, il se sentait bien. Jean François lui relevait les jambes et les lui écartait. Il lui posait les chevilles sur ses épaules, s'appuyait de tout son poids sur Anton qui se retrouvait replié sur lui-même, les genoux au niveau de ses côtes.
Bien en position, Jean François ouvrait son pantalon et lui enfonçait sa queue dans le cul en un mouvement rapide. Anton s'est retenu de crier de plaisir. L'action était rapide et violente mais Anton en redemandait, Avec ses mains il caressait les bras et retenait Jean François tout contre lui.
Ils respiraient fort et ne faisait surtout pas de bruit. Ils ne voulaient pas se faire remarquer et une tente n'est pas vraiment un isolant acoustique.
Jean François donnait des coups de bassin violents, il accélérait et augmentait encore en violence. Anton sentait le plaisir monter en lui. C'était cent fois mieux que la nuit précédente, c'était comme s'il était habitué à ce genre de traitement, c'était comme si tous les jours il se faisait défoncer le cul, c'était tellement bon. Il jutait rapidement, il jutait abondement.
Jean François se donnait et donnait à fond, il se penchait vers l'oreille d'Anton. '' Tu peux pas savoir comment ça m’excite ton truc, je sais pas ou tu l'a pris mais j'adore''. Il continuait à lui limer le cul. Anton faisait une grimace monstrueuse, il serrait les dents pour ne surtout pas faire de bruit.
Quand Jean François lâchait enfin les chevilles d'Anton, celui-ci les refermait rapidement dans le dos de son partenaire, lui passait les bras autour du cou et le tirait fortement vers lui.
Jean François s'écroulait de tout son poids sur Anton mais continuait a lui limer le cul en bougeant son bassin. Il bougeait son bassin avec force, il appuyait de toutes ses forces contre les fesses d'Anton qui jouissait éjaculait mais ne faisait aucun bruit.
Jean François se retirait pour faire une pause. Il écartait son pantalon qui était resté sur ses cheville. Il tirait vers lui son jeune camarade.
– Tu m'as l'air encore plus chaud que la nuit dernière dis donc.
Pour seule réponse Anton l'embrassait avec passion et se blottissait contre lui. Suivaient des caresses, des baisers.
– Et ton truc, tu l'a mis quand alors ?
– Je ne sais pas ! Je ne me souviens de rien !
– Tu ne veux pas le dire ? C'est pas grave moi j'adore.
En disant cela il lui tripotait les couilles qui pendaient mollement, il lui tripotait la cage dans laquelle sa queue protestait avec autant de force que de confort...
– Ça ne te fait pas mal ?
Anton faisait signe que non et Jean François continuait à s'amuser avec ce qui pour lui finalement n'était qu'un nouveau jouet.
– Et tu le retires comment ?
– Je sais pas ! Finissait par répondre Anton. Je ne sais même pas si on peut le retirer …
Jean François rigolait.
– Bon d'accord, tu ne veux rien dire. C'est d'accord, moi j'adore et ça m'excite à mort. Garde le, moi je suis pour !
Et il était excité Jean François, sans prévenir il retournait Anton sur le ventre, les jambes jointes, s'allongeait sur lui et l'enfilait en un mouvement encore plus rapide que plus tôt. Avec les jambes jointe il était plus étroit et c'est tous les deux qu'ils trouvaient la position bien plus stimulante, bien plus jouissive. De nouveau Anton jutait puis éjaculait. De nouveau Jean François prenait son pied, le plus difficile était de ne pas se faire remarquer.
Jean François n'a jamais compris ce qui se passait, Anton pas d'avantage. Mais ce dispositif lui plaisait, il était doux et confortable et c'était tellement excitant pour lui comme pour son partenaire.
Il l'a gardé, il le porte encore. Simplement maintenant il a inventé une histoire invraisemblable sur l'origine de son dispositif. Il raconte qu'il a fait un voyage dans un autre monde, une sorte de monde parallèle ou les hommes vivaient d'un côté de la montagne et ou les femmes vivaient sur l'autre.
Ça excite beaucoup ses partenaires, autant que ça les amuse … Surtout que personne ne sait ce que c'est qu'un Dentosaure !
Fin
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