Arrivée de Justine. (Suite des Vacances d'Elise)

- Par l'auteur HDS Osiris -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Arrivée de Justine. (Suite des Vacances d'Elise) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Arrivée de Justine. (Suite des Vacances d'Elise)
Le lendemain, comme prévu, Justine arrive en pleine après-midi avec une grosse et une petite valise.
Coucou, bonjour les filles.
Elle m’embrasse en me prenant dans ses bras et s’adresse à Élise.
Eh bien, quel changement, tu es une femme maintenant.
Cela fait combien de temps ? Élise répond, au moins 5 ans. Je viens d’avoir mes 20 ans.
Que le temps passe. Tu es vraiment très belle. Tes petits copains doivent être à leurs aises avec toi.
Justine la regarde en la détaillant puis l’embrasse pour lui dire bonjour.

La journée se passe, on mange, on bavarde, puis arrive le moment de se coucher.

Je propose à Justine de venir avec moi dans ma chambre, car il y a deux lits et aussi pour « protéger » un peu Élise.
Élise, a sa chambre de l’autre côté du mobile home.
Justine accepte, et décide de prendre une douche. Elle commence à se déshabiller devant moi et se met complètement à poils.
Elle a encore de très beaux restes pour 45 ans. Elle est grande. Ses seins sont toujours fermes, une paire de fesses rebondies et un petit ventre légèrement bombé. Ce qui me surprend, c’est qu’elle n'a pas de poils, son sexe est entièrement lisse et l’on peut voir ses grandes lèvres facilement.
Bon, dit Justine, juste avant ma douche, je vais souhaiter une bonne nuit à la petite.
Je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit et la voilà déjà partie à poil chez Élise.
Elle frappe à la porte et rentre sans attendre l’autorisation.
Surprise de la nudité de Justine, la jeune fille lit une revue, assise, la poitrine à l’air, le drap étant tombé sur son basin.
Aussitôt, Élise laisse le livre, reprend le drap et le soutien sur ses seins.
Je viens te souhaiter une bonne nuit, dit Justine. Tu sais de tels trésors, en parlant des seins d’Élise doivent être montrés.
Justine s’assoit au bord du lit et, doucement, baisse le drap. Tu as de très jolis seins, ma puce.
Bonne nuit, mes petits trésors, à bientôt et elle dépose un baiser sur chaque téton qui se dresse sans attendre. Puis sa bouche se dirige vers le visage de la petite et dépose un tendre baiser au coin de sa bouche.
Justine se lève, bonne nuit, à demain mon poussin. Moi, je vais prendre ma douche.

Cela s’est passé tellement vite qu’Élise reste abasourdie.

Justine vient se coucher au pré de Julie et commence à lui dire que la petite est vraiment à son goût et que si je n’ai rien contre, elle va la manger toute crue. Après tout, elle est majeure.
Je m’en doutais, mais dès le premier soir, c’est quand même tôt.
Je ne lui dis rien de ce qui s’est passé entre Élise et moi.
Et tu vas faire quoi au juste avec elle ?
Justine me confirme qu’elle a emmené avec elle sa collection de godes de toute taille et forme dans sa petite valise.
Moi, je pense, qu'elle devient complètement maboul de sexe.
Elle se venge de ce qu’elle a connu avec ses deux anciens maris, mais sur les femmes.
Justine compte utiliser ses jouets sur et dans tous les orifices de la jeune fille.
Avec mon expérience, me dit-elle, je suis sûr que je peux rendre la mignonne complètement soumise à mes moindres caprices et lui
Si tu veux, tu pourras participer, depuis le temps que j’ai envie de te baiser et que tu me résistes.
Sa moule commence à s’humidifier, elle coule.
Julie, qui est dans la chambre voisine, entend des sons plaintifs et des gémissements. Elle comprend la situation.
Justine dit à la gamine, je ne vais pas te faire jouir maintenant, nous avons toute la journée pour ça.
Il va pleuvoir toute la journée et nous allons rester au mobile home.
Par contre, il faut que tu saches, qu’à partir de maintenant, tu m’appartiens et je ferai de toi ce que je veux. En échange, je te promets de te faire jouir toute la journée et pendant toutes ses vacances et de toutes les façons possibles.
Acceptes tu ce contrat, petite fille ?
En disant ses mots, le pouce de Justine titille et tourne autour du clitoris de la pauvre gamine qui ouvre sa bouche en grand et agite ses jambes.
Alors, j’attends ta réponse.
C’est oui, mais je veux Julie avec moi.
Allez, lève toi maintenant et dresse le petit-déjeuner.
Met simplement une culotte et reste torse nu.
Les rideaux sont fermés, on ne peut pas te voir de l’extérieur.
Justine s’assoit et appelle Julie, le petit-déjeuner est servi.
Julie arrive et découvre la situation, elle embrasse Élise et lui dit, si tu n’es pas d’accord, Justine arrête tout de suite, ce n’est qu’un jeu. Élise baisse les yeux.
Julie s’assoit sur la chaise en face de son amie.
Justine dit d’un ton sec à Élise, met toi sur le ventre sur les genoux de ta préférée, présente lui tes fesses. Tu mérites une fessée, tu as oublié le sucre.
En regardant Julie, la petite s’allonge au travers de ses genoux.
Maintenant, Julie, baisse lui sa culotte et donne lui une fessée, elle le mérite. Donne lui, dix bonnes claques, sur chaque fesse.
Julie s’exécute et regarde avec envie ce petit cul offert et imagine en son centre un petit trou secret qui ne se montre pas.
Tu es prête, dit Julie. Oui.
La main se lève et s’abat sur la fesse gauche, Élise sursaute et commence à crier de peur, plus que de douleurs.
Cette main si douce d’habitude, devient rude et recommence à s’abattre, mais sur l’autre fesse.
Au fur et à mesure de la fessée, les cris se transforment en complaintes et en gémissements.
La gamine finie par sangloter doucement.
Le quota des dix claques se termine. Les fesses sont maintenant d’un joli rouge carmin.
Élise veut se lever, reste dans cette position, je veux vérifier quelque chose lui dit Justine.

Elle se lève et vient derrière se met à genoux et approche son visage.
Julie, écarte lui la raie et sa fente avec tes deux mains et regarde bien.
C’est bien ce que je pensais, regarde, dit la tortionnaire, elle est toute trempée et son sexe est gonflé.
Elle aime la fessée cette gamine.
Cela mérite une récompense, continue à lui écarter la raie. Justine colle son visage et son nez, sort sa langue et commence à lui lécher tout le sillon de son cul. Au passage, elle rentre sa langue pointue et dure dans le petit orifice.
La petite respire de plus en plus fort.
En plus de la langue, deux doigts pénètrent doucement son vagin, ils se positionnent en crochet et vont et viennent de plus en plus vite à l’intérieur.
Élise tourne la tête sur le côté, Julie peut voir maintenant les traits de son visage se déformer sous les caresses ainsi que sa bouche qui reste grande ouverte.
On entend, dans la pièce, le bruit des clapotis de son sexe ainsi que ses beuglements.

Je crois qu’elle va jouir, dit Julie. Justine en profite pour enfoncer son index de sa main droite d’un seul coup dans son anus.

Cela suffit pour déclencher un orgasme profond et bruyant. Ses fesses se lèvent et se contractent, ses jambes sont prises de terribles tremblements puis elles se calment doucement.
Elle reste un moment dans cette position, épuisée.

La tortionnaire, elle, se lève avec un grand sourire de satisfaction, se tourne vers son amie et lui dit, tu as vu comment c’est facile de faire plier une femme. Avec des caresses et de l’autorité, tout est possible.
Puis Justine s’approche de Julie, la regarde droit dans les yeux et lui dit, maintenant, c’est à ton tour de jouir.
Je pense que tu en as besoin et surtout très envie, après ce magnifique spectacle.
Lève-toi Élise, laisse mon amie se lever et viens avec nous dans la chambre, tu vas nous regarder.
Justine prend la main de Julie et l’emmène presque de force dans la chambre.
Elle la couche d’autorité, lui enlève sa culotte et son soutien-gorge. Oh, quelle touffe ma belle, laisse moi voir ce qu’elle cache en dessous.
Écarte bien les jambes, de deux doigts, elle entrouvre les lèvres déjà humides et aperçoit son bouton d’amour.
La bouche de Justine se colle littéralement comme une ventouse sur le sexe ouvert de son amie qui lui prend la tête entre ses mains, pour mieux la diriger.
Elle la broute, l’aspire, c’est une véritable vorace.
Des bruits de sucions ainsi que des gémissements se font entendre dans la pièce sous le regard désabusé d’Élise qui se masturbe devant cette scène.

Soudain, Justine arrête tout contact et se lève. Frustration totale pour Julie.
Elle prend dans sa petite valise un gros code ceinture.
Elle l’installe sur elle, entre ses jambes et va rejoindre son amie sur le lit.
Allez, ma belle, en selle lui dit elle. Mets toi à quatre pattes, présente moi tes fesses bien hautes.
Je vais te baiser en levrette.
Julie se positionne en prenant les hanches à deux mains, et âpres deux trois claques sur le cul, le pieu en silicone s’enfonce dans l’intimité de la belle qui grogne de plaisir.
Inexorablement, la fausse bite glisse, s’enfonce profondément jusqu’à buté contre le col de l’utérus, ce qui provoque des cris de douleur et de surprise.
N’y tenant plus et sans demander la permission, Élise vient au secours de sa belle, lui caresse le dos, les fesses et glisse sa main en dessous jusque la fente de son amoureuse pour la masturber.

Les va-et-vient répétés en plus de la masturbation de sa figue finissent par avoir raison de la belle Julie.
Son sexe coule jusqu’à laisser tomber des gouttes de cyprine sur le lit.
Elle s’écroule sur le lit, son corps se convulse sous la puissance de son orgasme.
Un son terrible sort de sa bouche grande ouverte.
Maintenant, Justine se retire doucement et la bite en plastique apparaît toute luisante.

Elle insère une main entre les babines de son amie et recueille sur ses doigts une quantité de liquide qu’elle présente à la bouche de la gamine.
Ouvre la bouche et suce le nectar de ta protégée.
Mais sache que tu seras puni pour ta désobéissance, il fallait regarder, mais ne pas participer.
Sort et reste dans ta chambre, j’ai des choses à dire à Julie.
Julie se retourne et se remet de ses émotions. Son corps brille de sueur, tellement qu’il fait lourd dans la chambre.
Allez, viens avec moi sous la douche dit Justine.
C’est Julie qui la prend par la main, c’est elle-même qui lui roule un patin et qui lui dit, merci ma puce, c’est toi qui as raison d’aimer les femmes. C’est tellement différent.

Une foi sous la douche, Justine reprend le dessus et demande à sa compagne de se mettre à genoux.

Maintenant, lèche moi la moule, fais moi reluire, je veux mon orgasme.

Uniquement, avec la langue, Julie l’emmène au septième ciel en un temps record et lui donne son orgasme tellement demandé et attendu.

Après cette douche, les deux femmes discutent de la petite. Justine explique à Julie qu’elle a terriblement envie de sodomiser la petite et voir si elle aime ça. Elle a dans sa valise des codes adaptés à cette pratique.
Ce sera sa punition de t’avoir caressé tout a l’heure sans ma permission.
Tu sais, dit Julie, je ne t’ai pas tout dit.
Nous avons déjà fait l’amour avec la petite avant que tu n’arrives et je lui ai déjà mis deux doigts dans son petit trou. Je pense qu’elle aime ça.
Très surprise par cette déclaration, Justine jalouse, lui parle dans l’oreille à voix basse et lui dit.

Dans ce cas et pour ne m’avoir rien dit, je vais devoir te punir, demain, je vais t'enculer très profondément jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter. Ton cul sera tellement dilaté que je pourrai y rentrer ma main.

Reparlant normalement à voix haute, en attendant, c’est toi qui vas lui faire un lavement ce soir pendant sa douche, j’ai ce qu’il faut comme matériel.
Tu es d’accord ?
Oui, je suis d’accord.
Et pour la perforation de ton cul plus tard ?
Je ne sais pas.
Je veux une réponse immédiate.
C'est oui.
C’est très bien, je tiendrai compte de ta participation.

Alors, c’est décider, je la prendrai ce soir après le dîner.
Tu resteras dans ta chambre, je ne veux pas de toi dans mes pattes.
Tu pourras simplement entendre et imaginer son cul céder sous la pression de mon gode.
Cela te donnera une idée de ce qui t’arrivera plus tard.

C’est sur ses belles paroles que la journée se déroule sans embûche.
Lectures, apéro, repas.
Le temps est toujours très lourd avec cette eau qui n’arrête pas de tomber en plus de cette chaleur.
Vient le moment où Julie appelle Élise.
Élise, vient me voir dans les toilettes.
As-tu déjà eu un lavement ?
Euh, et bien non, répond Élise, cela sert à quoi ?
C’est pour faciliter le transit.
Mais je vais aux toilettes régulièrement, dit la gamine.
Tu me fais confiance, bien oui. Alors penche toi légèrement et écarte tes fesses.

La canule préalablement huilée rentre facilement dans le petit trou.
Julie ouvre le robinet et le liquide tiède coule dans l’intestin.
Le ventre de la soumise se gonfle, et au bout de dix minutes, elle a un litre de liquide à l’intérieur.
La bouillotte est vide. La canule est retirée.
C’est bien, dit Julie, marche un peu. Le produit va faire de l’effet.
J’ai mal au ventre, dit la gamine.
Va-vite aux toilettes et libère toi, ensuite, vient dans la douche.
Julie prend son temps pour laver la petite, elle en profite au passage pour la peloter et la faire glousser.
Elle apporte un soin particulier pour sa raie ainsi que de son trésor caché sachant de ce qu’il va se passer plus tard.
Après un doux baiser sur sa bouche, tu peux aller te coucher, à demain princesse.
Bonne nuit, moi aussi, je me couche, je suis éreinté avec cette lourdeur. Prépare toi, tu vas recevoir la visite de Justine.
Effectivement, au bout de dix minutes, Justine rentre dans la chambre, elle est déjà équipée de son gode ceinture spéciale sodomie. La vision n’est pas spécialement belle. Imaginé une belle femme mature entièrement nue, avec un bout de latex de vingt cm au niveau du sexe.
Élise la regarde avec des yeux étonnés, Justine commence à lui parler. Mon petit chat, tu m’as désobéi tout à l’heure et c’est maintenant le moment de payer l’addition.
Mets toi sur le dos , et positionne sous tes reins ton oreiller. Je vais t’enculer ma chérie.
Tu vas m’offrir ta rondelle, ton petit trou du cul encore vierge. Je suis pratiquement sur que tu vas apprécier. Mais je ne veux pas, dit Élise.
Allez, ne discute pas, en position, offre moi ton cul. C’est ce que je veux.
À ce moment, le sexe de la gamine est fermé, on distingue à peine sa fente.
Justine se positionne devant la belle, lui lève les jambes à la verticale.
Elle prend le gode préalablement huilé dans sa main droite et le dirige au centre du petit cratère.
La tortionnaire pousse ses reins et l’objet en plastique rentre doucement dans l’orifice anal.
Élise sent son cul s’ouvrir et coulisser doucement autour de l’objet.
Ce n’est pas douloureux, c’est même très doux. Le gode est parfaitement lisse et souple, de plus, il n’est pas très gros.
Une drôle de sensation émeut la petite. Elle commence à gémir doucement en faisant des oh ! De temps en temps ainsi que des Ah !
Justine continue ses allées retour avec des grandes amplitudes en se basant sur les plaintes de la petite. Elle ne lui tient plus les jambes, elle remarque que les yeux de la gamine sont fermés et que les expressions de son visage se transforment partiellement en petites grimaces.
Son regard se porte plus bas et découvre une vulve ouverte et toute luisante.
Justine constate que son gode rentre de plus en plus facilement, sa victime facilite la pénétration en avançant son basin, la petite capitule. Son cul s’ouvre pour faciliter le passage.
Au bout d’un long moment, Élise demande un baiser à sa nouvelle compagne.
Justine se penche sur le visage et l’embrasse goulûment. Ses lèvres descendent et se posent sur chaque téton. Sa langue tourne autour et les mordille un par un, elle continue pendant ce temps de pénétrer le petit cratère.
Des sons rauques sortent de la bouche de la gamine, elle aime ça.
À côté, dans la chambre voisine, Julie entend tout, dans les moindres détails. Les gémissements, les oh et les ah, les plaintes, les sons rauques. Julie comprend que sa chérie capitule et prend du plaisir à se faire enculer.
Au bout d’un moment, Justine retire le gode du cul de la gamine. Elle se lève malgré les demandes de sa victime qui lui demande de continuer. Ne bouge pas, lui impose Justine, je reviens très vite.
Justine va dans la chambre commune avec Julie.
Tu as entendu, dit-elle à son amie, Élise adore mes caresses et en plus, elle adore se faire enculer, ce qui est rare pour une femme. Je n’en connais pas beaucoup, malgré mes innombrables conquêtes.
Je viens prendre un nouveau gode beaucoup plus gros et surtout, il vibre. Il vaut une fortune.
On va voir si elle fait toujours la maligne.
À plus, tard, ma chérie, prépare toi. Demain, je t’éclate ta rondelle, j’ai un modèle spécial pour toi.
Justine rentre à nouveaux dans la chambre d’Élise qui est toujours sur les dos.
Changement de programme, retire l’oreiller et met toi à quatre pattes sur le lit les fesses en l’air.
Puisque tu aimes ça en apparence, je change de modèle de gode, regarde celui-ci comme il est gros est dure comme un véritable sexe d’homme, en plus, il vibre.
À la vue de l’énorme tube, Élise refuse de se soumettre, elle proteste. C’est trop gros.
Sans réagir, Justine applique sur l’objet une grosse quantité de lubrifiant, puis sans attendre, elle donne deux fortes claques sur les fesses en lui disant de respecter sa parole.
La gamine se calme instantanément et commence à sniffer.
Le gland fictif se positionne. Justine pousse fort et le pauvre petit cul cède sous la poussée en prenant au moins cinq centimètres.
Élise gueule comme un âne. Arrête, c’est trop gros, j’ai mal.
Chut, dit Justine, décontracte toi. Je ne bouge plus.
C’est à ce moment que la tortionnaire enclenche le premier niveau de vibrations.

Surpris, l’anus se décontracte et Justine en profite pour lui enfiler l’objet sur toute sa longueur, soit 25 bons centimètres.

Un cri bestial sort de la bouche de la suppliciée et elle s’affaisse complètement sur le lit, le ventre à plat sur le matelas, ce qui provoque la sortie du profanateur de son écrin.

Justine demande à la gamine de se remettre les fesses en l’air. Écarte les bien, avec tes deux mains, offre- moi ton cul. L’enculeuse observe avec délectation, le petit trou qui reste ouvert. Elle en profite pour injecter une dose de gel dessus et à l'intérieur puis recommence cette fois-ci avec une grande douceur une pénétration lente et profonde.

On entend dans la chambre, des plaintes répétitives ainsi que le ronronnement du gode.

Justine commence les allers-retours dans le fondement. Au début, elle sent une forte résistance de l’anneau. Elle doit pousser son ventre avec force.

Puis, au fur et à mesure, la rondelle s’habitue et se détend.

C’est à ce moment, qu’elle augmente les vibrations à leurs maximums.

Les vibrations irradient tous les organes internes du ventre d’Élise.

Elle ressent des picotements dans son vagin, sur son clitoris et sur toute l’intégralité de sa figue qui recommence à s’ouvrir et se gorge à nouveau de sang. Ses grandes lèvres s’ouvrent et se gonflent, laissant apparaître l’entrée de son vagin ouvert.

Elle coule de nouveaux avec abondance.

Bien évidemment, Justine remarque le changement de la belle enculée.

Elle décide alors de prendre les hanches entre ses mains et accélère le rythme de la pénétration.
Le ventre de Justine claque vigoureusement les fesses de la jeune fille.
La tête sur le côté et entre deux spasmes, Élise demande à sa tortionnaire de continuer.
Je sens que je vais jouir, ne t’arrête pas, je t’en prie dit elle, continue. Je t’aime.
Complètement surpris et ébahi par cette demande, Justine en sueur, accélère encore le mouvement.
Soudain, elle voit le corps de la jeune fille se tendre, la petite se cabre, crie, prononce des mots comme ; je suis ta chose, encule-moi fort, perce moi. Ahhhh.
Après cet orgasme fabuleux et rare pour une femme sodomisée, Élise s’écroule sur le lit comme une poupée désarticulée.
Justine se retire doucement, retourne la jeune fille sur les dos et l’embrasse goulûment. Elle lui enfonce deux doigts dans le vagin et un autre masse le méat urinaire qui s’ouvre de lui-même.
Ma chérie, laisse toi aller complètement, libère toi, pisse sur ma main.
Dans un abondons total, un gémissement grandiose sort de sa bouche, le méat s’ouvre et un jet d’urine continu, sort avec fracas du sexe d’Élise pour venir souiller le drap du dessous et la main qui la masturbe.

Pour ta gouverne, demain, j'encule ta copine jusqu'à ses derniers retranchements.
Elle va probablement jouir, mais elle va souffrir gentiment avant.
Pour son trou de cul, il y aura un avant et un après.
Au vu de ta performance d'aujourd'hui, tu pourras m'aider si tu veux.
Maîtresse, dit la petite, je suis a tes ordres.
C’est bien, tu peux dormir maintenant.

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