AU PARFUM - Partie 2
Récit érotique écrit par Mib14 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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AU PARFUM - Partie 2
AU PARFUM – Partie 2
Mariana s’habituait bien à son nouvel environnement. Il faut dire qu’elle était toujours chaude et ne refusait pas de prodiguer ses faveurs aux femmes qui l’entouraient. Elle avait des airs de petite fille de bonne famille, s’exprimait dans un français teinté d’un petit accent un peu surfait, et était toujours très polie avec tout le monde. En fait c’était une petite traînée qui avait déjà couché avec toutes ses collègues et une partie de la clientèle, et elle n’était là que depuis trois semaines. Elle avait la chatte en feu. Elle s’était faufilée dans la haute bourgeoisie lesbienne de Lyon grâce à Louise, son amie et collègue lyonnaise. En voici le récit partiel :« Aïe… » dit Louise« Qu’est-ce qu’il y a ? », demanda Mariana« C’est Madame de Girardin. Une amie de ma mère et celle qui m’a initiée », chuchota Louise« Bonjour Madame…comment allez-vous ? », demanda Louise avec un grand sourire« Je vais très bien, merci Louise chérie. Tu me présentes à ta collègue ? », demanda Madame de Girardin« Bien sûr. Voici Mariana, une étudiante en histoire de l’art. », dit Louise« Bonjour Mariana. Histoire de l’art ? Quelle spécialité fascinante. Je vous envie. Je vous inviterai très bientôt pour voir ma petite collection de tableaux. Elle vient en partie de ma famille, bien sûr, mais j’ai quand même ajouté de petites perles » dit Madame de Girardin.
« J’irai vous visiter volontiers…et votre collection aussi », répondit Mariana en fixant la dame dans les yeux.
Madame de Girardin avait près de 60 ans mais était bien conservée. L’argent ça conserve. Sa maison était dans les hauteurs du vieux quartier et occupait les trois étages situés au-dessus d’un restaurant. C’était le centre d’un réseau de lesbiennes de tous les âges et de toutes les classes sociales. Tout à son crédit, Madame de Girardin, elle n’était pas snob. Elle côtoyait aussi bien les baronnes que les putes.
En attendant son invitation, Mariana avait rendez-vous avec Éveline à son bureau. Les deux femmes s’étaient aperçues durant la semaine mais firent semblant de s’ignorer. La première rencontre était primordiale pour l’avenir de Mariana dans la boîte. Les deux jouaient bien la comédie devant les autres employées car elles s’étaient vues dans une chambre d’hôtel un samedi soir et avait passé la nuit ensemble.
« Elle vous attend », dit la secrétaire de la patronne à Mariana qu’elle n’avait plus besoin de déshabiller des yeux car elle l’avait déjà vue à poil à l’hôtel dans un trio avec Éveline.
« Tiens…suces », dit Éveline en donnant un bonbon à l’Italienne« J’aimerais mieux sucer ta moule », répondit MarianaLes deux femmes se dirigèrent dans l’arrière-bureau et se dévêtirent immédiatement.
Le secret du succès de Mariana c’est qu’elle était cochonne et qu’elle ne reculait devant rien pour satisfaire aux désirs les plus lubriques de sa partenaire. Spécialiste du parfum, Éveline avait une passion pour les odeurs, bien sûr les odeurs féminines. Les deux femmes commencèrent par se lécher les aisselles, puis elles se prenaient les chevilles et se léchaient les dessous des pieds puis suçaient les orteils.
« Je veux ton cul », dit Éveline« Et moi le tien », répondit MarianaAu lieu de se lécher l’orifice à tour de rôle, elle avait trouvé une façon de le faire en même temps en se plaçant tête-bêche sur le côté. Elles étaient de la même taille ce qui rendait le tout plus facile. C’était aussi le clou (ou le trou ?) de la rencontre car les deux étaient folles de fesses. Elles passèrent de longues minutes à se lécher le trou plissé, en poussant la langue le plus loin possible et en la faisant tourner et tourner. Elles insistaient pour se faire cette caresse avant la douche. C’était l’abandon total au plaisir. Enfin elles se firent gicler en se masturbant l’une l’autre avec les mains et les doigts. Mariana giclait fort et Éveline aussi, assez pour éclabousser son amante. On mêlait les deux sources de cyprine sur les ventres, les nichons et les fesses avant de se lancer dans un léchage en règle des deux corps.
Elles avaient toutes les deux garder leur vessie pleine durant les amours et avaient bien calculé le moment pour s’étendre dans le bain vide. Elles n’eurent que le temps de se connecter de bouche à sexe avant que les jets de pisse les frappent en plein visage. Elles buvaient, crachaient ensuite, se fermant les yeux, les cheveux complètement mouillés. Le bain étant bouché pour l’évènement, elles se roulèrent dans le liquide chaud avant de tirer le bouchon.
Finalement la douche commune servit à calmer leurs désirs au moins pour le moment. C’était le temps de faire venir Annie, la secrétaire. La belle blonde était située entre les deux âges, autour de 35 ans, et était très féminine. Elle avait débuté comme vendeuse puis s’était abouchée avec Éveline quand elle devint directrice. Les deux n’étaient pas exclusives et ressemblaient, comme Mariana, plutôt à des chattes de ruelle que des partenaires d’un couple lesbien.
Annie fit son entrée mais ne se déshabilla pas. Mariana et Éveline ne remirent que leur string. Mariana fut la première à échanger un long baiser avec Annie. Annie n’enleva que ses souliers et se coucha sur le lit toute habillée. Éveline s’approcha du lit, seulement son string cachant son triangle poilu, et attendit qu’Annie remonte sa jupe serrée jusqu’à la taille. Elle portait un string blanc parsemé de surfaces amincies, presque transparentes et qui donnait l’impression d’être fait aux petits points. Éveline remonta encore un peu la jupe d’Annie qui ouvrit ses cuisses, une invitation qu’Éveline ne put résister. Elle monta sa secrétaire et les deux strings se frottèrent l’un contre l’autre, un blanc en coton et l’autre vert et en nylon. Les lèvres et le clito de l’une et de l’autre n’étaient séparés que par de très minces épaisseurs de tissu. En fait les mouvementes de hanches firent que la lisière avant du string fut aspirée par la vulve bien ouverte et les deux paires de lèvres boursouflées se frottèrent comme si les strings s’étaient volatilisés.
Mariana regardait la scène, les doigts glissés dans son minuscule string bleu qui couvrait à peine sa toison dont les poils pubiens formaient une couronne autour du triangle de coton. L’Italienne se caressait le clito pour le faire grossir le plus possible en attendant son tour avec Annie.
Éveline et Annie se frottaient les deux triangles l’un contre l’autre avec de plus en plus de rapidité. Elles s’embrassaient et gémissaient à plein poumon. Heureusement que l’étage était vide. Finalement des cris firent sourire Mariana et mit fin aux ébats des deux femmes sur le lit. Éveline enleva son string mouillé et le frotta contre le visage de Mariana qui le lui vola pour le mettre dans sa bouche. Elle s’élança entre les cuisses d’Annie qui recevait les assauts de celle qu’elle ne se lassait pas de baiser. Mariana garda une partie du string d’Éveline dans sa bouche et partagea l’autre partie avec son amoureuse. Elles s’embrassaient tout en suçant le string mouillé d’Éveline. Les deux lesbiennes se frottaient le triangle vaginal avec passion tout en se s’écrasant leurs petits nichons les uns contre les autres. Éveline qui n’était pas encore tout à fait rassasiée regardait le beau cul de Mariana et admirait les muscles des fesses qui poussaient sa motte contre celles d’Annie. Elle aurait aimé mettre sa langue entre les globes fermes mais les mouvements rapides du fessier rendaient la manœuvre impossible. Les ébats lesbiens durèrent encore moins longtemps que les précédents et les deux gouines durent cracher le string d’Éveline pour pouvoir crier leur plaisir et échanger leur salive qui dégoulinait du menton sur les nichons.
Annie était épuisée par ces deux sessions très chaudes. Les trois femmes prirent place sur le lit, entre les endroits mouillés, et se passèrent les strings, humant chacun ou les mettant dans leur bouche. Puis Annie se déshabilla. Elle avait un corps superbe. Les trois lesbiennes se retrouvaient dans le bureau comme durant leur séance à l’hôtel. Elles commencèrent par se rejoindre pêle-mêle dans le bain vide pour une bonne pisse à trois. Après dix minutes de ce cirque, elles étaient trempées et avaient bien goûté au nectar des autres femmes et au sien aussi. Elles remplirent ensuite le grand bain pour s’y délasser.
------------------------------------------------------------------------------------------------------Mariana avait reçu ce soir-là à son appartement l’invitation de Madame de Girardin. Elle était conviée dimanche après-midi à 14h. Elle se doutait bien qu’elle ne serait pas seule avec la propriétaire des lieux et elle commença à rédiger une liste de noms de lesbiennes qu’elle avait rencontrées dans deux soirées auxquelles elle avait été invitée probablement par l’entremise de la firme. C’était important pour elle de mettre un visage sur chaque nom. Elle était ambitieuse et avait bien l’intention de monter les échelons de la société lyonnaise en s’appuyant sur les nichons et les fesses des lesbiennes qu’elle connaissait intimement.
« Voyons….ah Madame Moustier…antiquaire réputée…spécialiste du 19e siècle. Divorcée, vit seule. Madame Nanterre, femme d’un industriel, mariage blanc, mari occupé avec des garçons. Ne pas inviter Madame Nanterre et Madame Moustier au même évènement. Elles ont déjà partagé, sans le savoir, une jolie secrétaire du bureau de Monsieur Nanterre. Elles ne craignent pas de se chamailler en public. « , et la liste continuait pendant deux pages.
Mariana avait réussi après sa première sortie dans une soirée à accompagner Madame Moustier, l’antiquaire, chez elle. La femme dans la cinquantaine l’avait clouée au lit et elles s’étaient frottées comme des adolescentes jusqu’à un orgasme retentissant. Jusqu’à maintenant, c’était Madame Moustier, une brune bien carrée avec une paire de nichons fermes et des fesses de gladiateurs, qui étaient au sommet de sa liste. Mariana ne se faisait pas d’illusions car l’antiquaire ne l’avait pas gardée toute la nuit prétextant un rendez-vous tôt le lendemain matin. Elle la soupçonnait d’attendre une autre femme car elle paraissait nerveuse et mit vers minuit Mariana à la porte assez fermement.
Il y avait aussi Madame de Girardin qui était un peu la reine invisible de ces réseaux de lesbiennes. Très discrète en public, elle était apparemment très coquine, et même dépravée durant ses fêtes privées. Certaines orgies faisaient partie du folklore lesbien de la ville. Louise lui avait raconté que Madame avait aussi l’habitude de se déguiser en homme et de séduire des putes sur le siège arrière de sa limousine. Certaines mauvaises langues, des rivales sans doute, lui attribuaient la direction d’un réseau d’escortes pour lesbiennes qui opérait à Paris et dont les bénéfices étaient acheminés à Lyon pour maintenir son train de vie.
Mariana prenait congé de ses amoureuses ce soir-là, mais elle n’était pas inactive pour autant. Louise lui avait demandé si elle aimait se faire pistonner par un gode-ceinture. Marianna avait, en effet, été baisée de cette façon mais pas encore à Lyon. Ce n’était pas sa position favorite mais Louise l’avait prévenu que plusieurs femmes plus âgées aimaient bien cette activité. Elle ajouta que certaines préféraient prendre leur jeune partenaire par derrière et dans le trou le plus haut. Mariana n’avait jamais été enculée par un gode-ceinture. Louise lui avait donné un gode régulier mais se promit de lui apporter un gode-cul.
Ce soir-là Mariana prit l’habitude d’utiliser le gode pour élargir lentement l’orifice que ces dames risquaient d’utiliser. Elle ne voulait certainement pas être prise au dépourvu et remercia Louise au téléphone. Louise offrit d’aller la rejoindre pour l’aider dans cette tâche. Finalement la soirée ne fut pas aussi calme que Mariana l’avait prévue.
À SUIVRE
Mariana s’habituait bien à son nouvel environnement. Il faut dire qu’elle était toujours chaude et ne refusait pas de prodiguer ses faveurs aux femmes qui l’entouraient. Elle avait des airs de petite fille de bonne famille, s’exprimait dans un français teinté d’un petit accent un peu surfait, et était toujours très polie avec tout le monde. En fait c’était une petite traînée qui avait déjà couché avec toutes ses collègues et une partie de la clientèle, et elle n’était là que depuis trois semaines. Elle avait la chatte en feu. Elle s’était faufilée dans la haute bourgeoisie lesbienne de Lyon grâce à Louise, son amie et collègue lyonnaise. En voici le récit partiel :« Aïe… » dit Louise« Qu’est-ce qu’il y a ? », demanda Mariana« C’est Madame de Girardin. Une amie de ma mère et celle qui m’a initiée », chuchota Louise« Bonjour Madame…comment allez-vous ? », demanda Louise avec un grand sourire« Je vais très bien, merci Louise chérie. Tu me présentes à ta collègue ? », demanda Madame de Girardin« Bien sûr. Voici Mariana, une étudiante en histoire de l’art. », dit Louise« Bonjour Mariana. Histoire de l’art ? Quelle spécialité fascinante. Je vous envie. Je vous inviterai très bientôt pour voir ma petite collection de tableaux. Elle vient en partie de ma famille, bien sûr, mais j’ai quand même ajouté de petites perles » dit Madame de Girardin.
« J’irai vous visiter volontiers…et votre collection aussi », répondit Mariana en fixant la dame dans les yeux.
Madame de Girardin avait près de 60 ans mais était bien conservée. L’argent ça conserve. Sa maison était dans les hauteurs du vieux quartier et occupait les trois étages situés au-dessus d’un restaurant. C’était le centre d’un réseau de lesbiennes de tous les âges et de toutes les classes sociales. Tout à son crédit, Madame de Girardin, elle n’était pas snob. Elle côtoyait aussi bien les baronnes que les putes.
En attendant son invitation, Mariana avait rendez-vous avec Éveline à son bureau. Les deux femmes s’étaient aperçues durant la semaine mais firent semblant de s’ignorer. La première rencontre était primordiale pour l’avenir de Mariana dans la boîte. Les deux jouaient bien la comédie devant les autres employées car elles s’étaient vues dans une chambre d’hôtel un samedi soir et avait passé la nuit ensemble.
« Elle vous attend », dit la secrétaire de la patronne à Mariana qu’elle n’avait plus besoin de déshabiller des yeux car elle l’avait déjà vue à poil à l’hôtel dans un trio avec Éveline.
« Tiens…suces », dit Éveline en donnant un bonbon à l’Italienne« J’aimerais mieux sucer ta moule », répondit MarianaLes deux femmes se dirigèrent dans l’arrière-bureau et se dévêtirent immédiatement.
Le secret du succès de Mariana c’est qu’elle était cochonne et qu’elle ne reculait devant rien pour satisfaire aux désirs les plus lubriques de sa partenaire. Spécialiste du parfum, Éveline avait une passion pour les odeurs, bien sûr les odeurs féminines. Les deux femmes commencèrent par se lécher les aisselles, puis elles se prenaient les chevilles et se léchaient les dessous des pieds puis suçaient les orteils.
« Je veux ton cul », dit Éveline« Et moi le tien », répondit MarianaAu lieu de se lécher l’orifice à tour de rôle, elle avait trouvé une façon de le faire en même temps en se plaçant tête-bêche sur le côté. Elles étaient de la même taille ce qui rendait le tout plus facile. C’était aussi le clou (ou le trou ?) de la rencontre car les deux étaient folles de fesses. Elles passèrent de longues minutes à se lécher le trou plissé, en poussant la langue le plus loin possible et en la faisant tourner et tourner. Elles insistaient pour se faire cette caresse avant la douche. C’était l’abandon total au plaisir. Enfin elles se firent gicler en se masturbant l’une l’autre avec les mains et les doigts. Mariana giclait fort et Éveline aussi, assez pour éclabousser son amante. On mêlait les deux sources de cyprine sur les ventres, les nichons et les fesses avant de se lancer dans un léchage en règle des deux corps.
Elles avaient toutes les deux garder leur vessie pleine durant les amours et avaient bien calculé le moment pour s’étendre dans le bain vide. Elles n’eurent que le temps de se connecter de bouche à sexe avant que les jets de pisse les frappent en plein visage. Elles buvaient, crachaient ensuite, se fermant les yeux, les cheveux complètement mouillés. Le bain étant bouché pour l’évènement, elles se roulèrent dans le liquide chaud avant de tirer le bouchon.
Finalement la douche commune servit à calmer leurs désirs au moins pour le moment. C’était le temps de faire venir Annie, la secrétaire. La belle blonde était située entre les deux âges, autour de 35 ans, et était très féminine. Elle avait débuté comme vendeuse puis s’était abouchée avec Éveline quand elle devint directrice. Les deux n’étaient pas exclusives et ressemblaient, comme Mariana, plutôt à des chattes de ruelle que des partenaires d’un couple lesbien.
Annie fit son entrée mais ne se déshabilla pas. Mariana et Éveline ne remirent que leur string. Mariana fut la première à échanger un long baiser avec Annie. Annie n’enleva que ses souliers et se coucha sur le lit toute habillée. Éveline s’approcha du lit, seulement son string cachant son triangle poilu, et attendit qu’Annie remonte sa jupe serrée jusqu’à la taille. Elle portait un string blanc parsemé de surfaces amincies, presque transparentes et qui donnait l’impression d’être fait aux petits points. Éveline remonta encore un peu la jupe d’Annie qui ouvrit ses cuisses, une invitation qu’Éveline ne put résister. Elle monta sa secrétaire et les deux strings se frottèrent l’un contre l’autre, un blanc en coton et l’autre vert et en nylon. Les lèvres et le clito de l’une et de l’autre n’étaient séparés que par de très minces épaisseurs de tissu. En fait les mouvementes de hanches firent que la lisière avant du string fut aspirée par la vulve bien ouverte et les deux paires de lèvres boursouflées se frottèrent comme si les strings s’étaient volatilisés.
Mariana regardait la scène, les doigts glissés dans son minuscule string bleu qui couvrait à peine sa toison dont les poils pubiens formaient une couronne autour du triangle de coton. L’Italienne se caressait le clito pour le faire grossir le plus possible en attendant son tour avec Annie.
Éveline et Annie se frottaient les deux triangles l’un contre l’autre avec de plus en plus de rapidité. Elles s’embrassaient et gémissaient à plein poumon. Heureusement que l’étage était vide. Finalement des cris firent sourire Mariana et mit fin aux ébats des deux femmes sur le lit. Éveline enleva son string mouillé et le frotta contre le visage de Mariana qui le lui vola pour le mettre dans sa bouche. Elle s’élança entre les cuisses d’Annie qui recevait les assauts de celle qu’elle ne se lassait pas de baiser. Mariana garda une partie du string d’Éveline dans sa bouche et partagea l’autre partie avec son amoureuse. Elles s’embrassaient tout en suçant le string mouillé d’Éveline. Les deux lesbiennes se frottaient le triangle vaginal avec passion tout en se s’écrasant leurs petits nichons les uns contre les autres. Éveline qui n’était pas encore tout à fait rassasiée regardait le beau cul de Mariana et admirait les muscles des fesses qui poussaient sa motte contre celles d’Annie. Elle aurait aimé mettre sa langue entre les globes fermes mais les mouvements rapides du fessier rendaient la manœuvre impossible. Les ébats lesbiens durèrent encore moins longtemps que les précédents et les deux gouines durent cracher le string d’Éveline pour pouvoir crier leur plaisir et échanger leur salive qui dégoulinait du menton sur les nichons.
Annie était épuisée par ces deux sessions très chaudes. Les trois femmes prirent place sur le lit, entre les endroits mouillés, et se passèrent les strings, humant chacun ou les mettant dans leur bouche. Puis Annie se déshabilla. Elle avait un corps superbe. Les trois lesbiennes se retrouvaient dans le bureau comme durant leur séance à l’hôtel. Elles commencèrent par se rejoindre pêle-mêle dans le bain vide pour une bonne pisse à trois. Après dix minutes de ce cirque, elles étaient trempées et avaient bien goûté au nectar des autres femmes et au sien aussi. Elles remplirent ensuite le grand bain pour s’y délasser.
------------------------------------------------------------------------------------------------------Mariana avait reçu ce soir-là à son appartement l’invitation de Madame de Girardin. Elle était conviée dimanche après-midi à 14h. Elle se doutait bien qu’elle ne serait pas seule avec la propriétaire des lieux et elle commença à rédiger une liste de noms de lesbiennes qu’elle avait rencontrées dans deux soirées auxquelles elle avait été invitée probablement par l’entremise de la firme. C’était important pour elle de mettre un visage sur chaque nom. Elle était ambitieuse et avait bien l’intention de monter les échelons de la société lyonnaise en s’appuyant sur les nichons et les fesses des lesbiennes qu’elle connaissait intimement.
« Voyons….ah Madame Moustier…antiquaire réputée…spécialiste du 19e siècle. Divorcée, vit seule. Madame Nanterre, femme d’un industriel, mariage blanc, mari occupé avec des garçons. Ne pas inviter Madame Nanterre et Madame Moustier au même évènement. Elles ont déjà partagé, sans le savoir, une jolie secrétaire du bureau de Monsieur Nanterre. Elles ne craignent pas de se chamailler en public. « , et la liste continuait pendant deux pages.
Mariana avait réussi après sa première sortie dans une soirée à accompagner Madame Moustier, l’antiquaire, chez elle. La femme dans la cinquantaine l’avait clouée au lit et elles s’étaient frottées comme des adolescentes jusqu’à un orgasme retentissant. Jusqu’à maintenant, c’était Madame Moustier, une brune bien carrée avec une paire de nichons fermes et des fesses de gladiateurs, qui étaient au sommet de sa liste. Mariana ne se faisait pas d’illusions car l’antiquaire ne l’avait pas gardée toute la nuit prétextant un rendez-vous tôt le lendemain matin. Elle la soupçonnait d’attendre une autre femme car elle paraissait nerveuse et mit vers minuit Mariana à la porte assez fermement.
Il y avait aussi Madame de Girardin qui était un peu la reine invisible de ces réseaux de lesbiennes. Très discrète en public, elle était apparemment très coquine, et même dépravée durant ses fêtes privées. Certaines orgies faisaient partie du folklore lesbien de la ville. Louise lui avait raconté que Madame avait aussi l’habitude de se déguiser en homme et de séduire des putes sur le siège arrière de sa limousine. Certaines mauvaises langues, des rivales sans doute, lui attribuaient la direction d’un réseau d’escortes pour lesbiennes qui opérait à Paris et dont les bénéfices étaient acheminés à Lyon pour maintenir son train de vie.
Mariana prenait congé de ses amoureuses ce soir-là, mais elle n’était pas inactive pour autant. Louise lui avait demandé si elle aimait se faire pistonner par un gode-ceinture. Marianna avait, en effet, été baisée de cette façon mais pas encore à Lyon. Ce n’était pas sa position favorite mais Louise l’avait prévenu que plusieurs femmes plus âgées aimaient bien cette activité. Elle ajouta que certaines préféraient prendre leur jeune partenaire par derrière et dans le trou le plus haut. Mariana n’avait jamais été enculée par un gode-ceinture. Louise lui avait donné un gode régulier mais se promit de lui apporter un gode-cul.
Ce soir-là Mariana prit l’habitude d’utiliser le gode pour élargir lentement l’orifice que ces dames risquaient d’utiliser. Elle ne voulait certainement pas être prise au dépourvu et remercia Louise au téléphone. Louise offrit d’aller la rejoindre pour l’aider dans cette tâche. Finalement la soirée ne fut pas aussi calme que Mariana l’avait prévue.
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