LA CROISIÈRE. Partie 2

- Par l'auteur HDS Mib14 -
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Récit libertin : LA CROISIÈRE. Partie 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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LA CROISIÈRE. Partie 2
LA CROISIÈRE – 2ième partie
Le navire, sur lequel voyageaient les deux couples que nous avons rencontrés dans la première partie, transportait également deux couples de femmes.
Le premier était formé de jeunes femmes qui avaient au début de la vingtaine. Cécile et Yvonne étaient cousines. Cécile étudiait dans une école privée pour filles de Zurich car ses parents avaient un grand hôtel dans les Alpes françaises et avaient fait beaucoup d’argent. La richesse dans cette famille était un évènement assez récent. L’autre partie de la famille, d’où était issue Yvonne, habitait un quartier ouvrier de Paris. Le père d’Yvonne était menuisier dans une usine et sa mère était enseignante à l’école du quartier. La famille n’était pas pauvre mais elle n’avait pas réussi financièrement comme celle de Cécile. Les deux filles avaient toujours été amies même quand les familles s’étaient éloignées et ne se déplaçaient pas dans la même société. Cécile avait invité Yvonne à faire la croisière avec elle pour son anniversaire. Elle partagerait la même cabine. Les deux cousines se ressemblaient physiquement. Les deux étaient blondes et délicates. Les petits seins de Cécile étaient à peu près de la même taille que ceux de sa cousine. En revanche Yvonne était plus athlétique et avaient des jambes et des cuisses plus rondes et musclées qui se prolongeaient dans les fesses. Les deux étaient très jolies.
L’autre couple qui nous intéresse était composé de la comtesse Ninon de Vaucluse, qui avait 25 ans, et qui était accompagnée pour le voyage par sa servante, Valérie, qui avait le double de son âge et l’avait vue grandir. Ninon pouvait utiliser son titre car il était authentique mais ne le faisait que rarement et que pour signer des transactions ou des achats de fonds. Elle n’avait pas besoin de travailler car elle vivait très bien de ses rentes et des nombreux héritages des membres de la famille qui disparaissaient rapidement. Ninon avait été avantagée non seulement par sa naissance mais aussi par la beauté de ses traits. Ses appâts naturels étaient bien définis sans être insolents. Elle était rieuse et détendue. Valérie était une femme pratique qui connaissait ses responsabilités, pouvait lire dans le cerveau de Ninon et profitait le plus possible de leur intimité. Elle avait une vie qui était bien supérieure en tous points à celle de la plupart des servantes. Elle ne portait pas de robes aussi modernes que la comtesse mais n’était pas habillée en deuil non plus. Son costume ne montrait en rien qu’elle était une servante mais plutôt une parente plus âgée.

Yvonne avait longtemps interrogé sa cousine Cécile sur la vie en Suisse et surtout sur son école réservée aux filles. Il ne faut pas croire que ces deux filles, surtout dans les années 1920, étaient complètement ignorantes de la vie et des mœurs de leur temps. Elles étaient également très curieuses et ne craignaient pas d’expérimenter de nouvelles sensations. Cécile avait l’avantage d’être assez loin de ses parents pour avoir une certaine liberté. Après sa deuxième année dans cette école, Cécile avait développé des amitiés particulières avec quelques-unes de ses compagnes et régalait Yvonne qui en mouillait de plaisir.
C’est au petit déjeuner que les deux couples se rencontrèrent et que la conversation s’engagea surtout entre Cécile et Ninon qui était presque du même âge. De son côté, Yvonne avait peu participé à l’échange entre sa cousine et la comtesse (elle ne connaissait pas son titre) mais était aussi un peu timide face aux questions et à la familiarité de Valérie. Celle-ci était bien entendu au courant des amours lesbiens de Ninon avec quelques femmes de bonne famille de la région parisienne. Valérie servait souvent d’intermédiaire entre les femmes plus jeunes et aussi avec les parents qui appréciaient sa discrétion. Elle ne se privait pas non plus de bénéficier des contacts qu’elle avait avec les autres servantes des grandes familles. Les chambres de bonnes devaient servir à quelque chose.
En résumé, on était en présence de deux jeunes lesbiennes qui faisaient leur classe, Ninon et Cécile; d’une servante avec beaucoup d’expérience dans le milieu lesbien de Paris et de nombreuses conquêtes à son crédit et d’une jeune femme, Yvonne, un peu timide mais qui se laissait séduire par ce milieu de femmes qui l’attirait de plus en plus.
Après le court repas, Cécile et Ninon voulurent faire une promenade sur le pont et continuer leur conversation. Valérie avait lu un livre sur les îles grecques et voulait le prêter à Yvonne. Les deux se dirigèrent vers la cabine de Valérie et de Ninon.
« Je ne suis pas très occupée. Je suis des cours de musique que j’aime beaucoup et aussi de jardinage. J’ai aussi suivi des cours dans des écoles pour filles mais en Italie, pour que j’apprenne la langue dont parle une partie de ma famille », dit Ninon en tenant Cécile par le bras.
« Donc vous connaissez le milieu des écoles de filles ? », dit Cécile en se tournant pour la regarder dans les yeux.
« Oui bien sûr. J’y ai passé quatre ans à l’âge où les filles comprennent l’effet de leurs charmes sur les autres….filles », dit Ninon en souriant.
« Vous êtes très belle », dit soudainement Cécile« Je vous remercie, mais vous n’avez rien à m’envier et vous êtes plus jeune », répondit Ninon en faisant semblant de rougir.
« Je pense que Madame Valérie s’intéresse à ma cousine et entreprendra de lui montrer les îles grecques », dit Cécile pour détendre l’atmosphère.
« Valérie est une personne que je connais bien et depuis toujours. Soyez assurée, chère amie, qu’elle ne se permettra pas de gestes inconvenants sauf si votre cousine lui signifie que ceux-ci seront les bienvenus et réciproques », dit Ninon avec toute la délicatesse et la sexualité que cachaient ses paroles.
« Ma cousine est une grande fille mais a beaucoup à apprendre. Je pense que l’influence de Madame Valérie sera bénéfique », répondit Cécile avec un petit rire qui en disait long.
Il était temps pour les deux femmes de mettre cartes sur table. Ninon, la plus âgée de quelques années, sentit que c’était son rôle de découvrir son jeu. Elle arrêta Cécile en lui retenant le bras et la regardant droit dans les yeux, elle lui dit :« Est-ce que tu veux jouer au chat et à la souris comme ça toute la journée ou est-ce que tu veux qu’on fasse plus ample connaissance à poil dans ma cabine ? »« Ma cabine serait plus appropriée car je pense que la tienne est présentement occupée par Valérie et Yvonne qui se bouffent probablement la moule sur mon lit ». répondit Cécile du tac au tac.
Quelques têtes se retournèrent sur leur passage lorsque les deux jeunes femmes se rendirent d’un pas décidé à la cabine de Cécile.
« Je crois que ces deux femmes ont très envie de se sucer », chuchota un homme mûr à sa femme qui le tenait par le bras.
« Oh…Alain…Chuutttttttt…..tu es vulgaire. Elles ont peut-être seulement une envie de pisser », dit la femme en se cachant la bouche avec son gant blanc.
Cécile était tellement excitée qu’elle eut du mal à tourner la clé dans la porte de la cabine.
‘Calme-toi », dit Ninon qui pressait sa cuisse gauche sur la fesse de la pauvre Cécile.
« Arrête, salope, tu vas me faire jouir dans ma culotte », qui se tourna et embrassa Ninon rapidement sur la bouche.
Aussitôt dans la cabine, les chemisiers, corsages, souliers, robes, et culottes se retrouvèrent un peu partout sur un lit, le plancher, les petites étagères à souvenirs, et même dans les WC.
Enfin nues, les deux femmes se jetèrent l’une sur l’autre avec une telle vigueur qu’elles ratèrent le petit lit et se retrouvèrent enlacées sur le plancher. Les baiser initiale ne dura que quelques secondes puisque, comme attirées par un aimant, les deux bouches rejoignirent les moules mouillées. Roulant à gauche jusqu’aux valises sous un lit puis roulant jusqu’à l’autre lit, les deux femmes, soudées l’une à l’autre, bouche à sexe, continuèrent à se sucer les lèvres et le clito. Les bassins se soulevaient à l’occasion, ce qui faisait que les bouches glissaient sur une cuisse puis revenaient rapidement vers le triangle poilu, la langue se frayant un chemin parmi la broussaille odorante et mouillée.
Les deux jeunes lesbiennes étaient tellement occupées à se manger le bouton qu’elles n’entendirent pas l’intrusion rapide de la femme de chambre venue pour faire les lits.
« Oh pardon… », dit-elle par habitude et referma la porte sans bruit.
La cyprine coulait à flot et les deux visages en étaient couverts. Plus tard, Cécile était certaine d’avoir joui deux fois et Ninon ne l’avait pas démentie. La première pause fut courte. Ninon étant un peu plus grande, releva le bassin de Cécile qui étendit ses jambes sur les épaules de sa compagne. Cécile qui présentait ses fesses à la comtesse qui les ouvrit et lécha le trou plissé qui apparut soudainement et sortit de sa cachette. Cécile gémissait sous la langue expérimentée de son amoureuse qui la masturbait d’une main. La petite étudiante gicla de nouveau comme un geyser.
Une fois soulagée, Cécile chercha à rejoindre les belles fesses de Ninon qui s’était mise en position pour se faire lécher. Cécile n’était pas aussi expérimentée que sa compagne dans cette caresse qui devenait assez habituelle entre femmes. La langue de Cécile faisait certainement du bon travail car la comtesse gémissait et glissa sa main entre ses cuisses pour se masturber. Cécile la conquérante eut le dessus sur le combat de mains qui se déroulait entre les cuisses de Ninon qui fut satisfaite de recevoir deux caresses de Cécile. Les plancher de bois verni était devenu glissant ce qui permit à Ninon de propulser Cécile sur le dos lorsque qu’elle voulut se relever. Ninon la plaqua au sol, ses mains sur ses épaules, et s’étendit de tout son long sur son amoureuse qui joua le rôle de soumise, ce qui lui allait bien.
Les deux femmes se mirent à se frotter immédiatement après le contact initial des deux pubis. C’était la position d’accouplement que les deux avaient cherchée depuis le début, augmentant leur désir mutuel en explorant les endroits secrets de l’autre. La rencontre des deux clitos, la source du plaisir pour la femme, se fit avec la même souplesse et la même volupté que les autres positions. Le baiser fut presque sans interruption pendant le frottement. Les petits seins étaient libres de se toucher et de se blottir contre une chair chaude. L’orgasme fut très fort. On pouvait se demander où ces lesbiennes prenaient la quantité de cyprine qu’elles giclaient à droite et à gauche. La jeunesse faisait certainement partie de la réponse mais aussi le désir qui avait été si fort entre les deux femmes depuis leur rencontre initiale. Il y a plusieurs niveaux de désir et ces deux jeunes lesbiennes avaient atteint le maximum.
Pendant que Ninon et Cécile s’aspergeaient de cyprine, la cousine Yvonne était nue et assise sur le petit lit dans la cabine que partageaient Valérie et Ninon. Valérie sortait de la douche en s’essuyant un corps qui n’était plus parfait mais dont les appâts étaient encore attirants pour la jeune lesbienne qui l’attendait. Aussitôt arrivées, les deux femmes s’étaient déshabillées et s’étaient retrouvées dans le bain vide. Le but était de soulager leur vessie l’une sur l’autre, ce qui fut fait avec beaucoup d’entrain. Chacune avait bien goûté à l’autre.
Valérie n’avait pas eu besoin de chanter fleurette à Yvonne pendant des heures. La jeune femme était prête. L’excuse du livre était une perche qu’Yvonne avait interprété correctement comme une invitation à une séance de cul.
Les deux pisseuses étaient passées sous la douche et Valérie en profita pour suggérer à sa jeune compagne que c’était le moment idéal pour se lécher le cul. Yvonne était partante car elle avait eu l’expérience avec une copine de classe. Même sans la douche, elle avait adoré. Valérie se mit en position sur le lit et Yvonne commença par lécher autour de la large rondelle plissée et mauve de la femme mûre. Sa copine de classe avait une rondelle beaucoup plus petite. Valérie tremblait de plaisir en recevant les petits coups de langue dure de sa nouvelle conquête. Yvonne continua en plantant littéralement sa langue dans l’orifice de Valérie et en poussant le plus loin possible. Valérie gémissait et encourageait Yvonne à l’enculer au maximum. Yvonne commença un va et vient qu’accompagnait un tripotage de la moule bien ouverte de Valérie. Le trou de Valérie se referma partiellement autour de la langue d’Yvonne quand la femme mûre jouit sur la main de la jeune femme. Malgré son âge, Yvonne avait beaucoup de talent naturel.
C’était au tour de la « servante » de Ninon de brouter le petit trou d’Yvonne et de lui frotter ses lèvres déjà mouillées avec ses doigts. Valérie n’était pas une novice dans l’art de lécher un cul de fille et Yvonne se laissa masturber et lécher, sa tête contre le matelas et ses fesses bien ouvertes devant la langue experte de Valérie.
Le fait qu’elle avait l’âge de la mère d’Yvonne ne l’empêchait nullement de jouir de sa jeune compagne. Elle soupçonnait même son amoureuse d’être excitée, peut-être sans le savoir, par cette comparaison. Les deux femmes voulaient se frotter et Yvonne se mit sur le dos tout en écartant le plus possible les cuisses pour que le bassin assez large de Valérie puisse s’y glisser. En se tournant un peu vers la gauche, Valérie réussit à glisser son « V » dans celui d’Yvonne. Les deux petites forêts de poils frisés se frottèrent lentement en faisant un bruit de crépitement. Les grosses lèvres de la servante faisaient disparaître les petits bouts de chair rose de la petite cousine. Les deux trous s’alignaient. Les deux clitos étaient sortis de leur capuchon, l’un trapu et plus rond, l’autre en pointe et plus petit. Malgré leur forme différente, les deux nerfs étaient à fleur de peau. Le bassin de Valérie se mit en mouvement et les deux femmes échappèrent un cri de plaisir lorsque les deux trous s’inondèrent mutuellement de cyprine.


Ninon ouvrit la porte de la cabine avec sa clé et sourit à Cécile. Valérie et Yvonne venaient de terminer leur baise et étaient enlacées sur le lit de Valérie.
« Voilà ! On les laisse sans surveillance quelques minutes et ça se bouffe le cul », s’écria Ninon« Il nous reste 8 jours de croisière », dit Yvonne« Est-ce que le navire s’arrête à Lesbos ? » demanda Cécile« Si oui…je l’achète et on s’y établit », cria Ninon
FIN

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