LA CAGE
Récit érotique écrit par Mib14 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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LA CAGE
LA CAGE
Richard m’avait dit de porter le minimum. Pas de maquillage, pas de string, pas de soutien-gorge. Seulement une robe très courte. Je lui ai demandé pour l’autre fille. Il me répondit que je ne la connaissais pas. Une Noire de mon âge. La bourse était bonne donc il fallait de je donne un bon “show” si je voulais avoir d’autres contrats.
Richard me dit que c’étaient des clients japonais alors je m’attendais à beaucoup de paris. Ils étaient habituellement très corrects. J’ai pris un taxi et je me suis rendu à l’hôtel qu’il m’avait indiqué. Un des gros hôtels de la ville. Habituellement les plus gros sont les plus cochons. Richard m’attendait à l’entrée. Je l’aime bien. Il prend soin de moi et m’apporte de bons contrats. Et ne me touche pas. On a pris l’ascenseur jusqu’au penthouse. Une suite présidentielle…ou quelque chose comme cela. Une partie était à l’intérieur et l’autre à l’extérieur avec une piscine. Richard m’avait prévenu que les filles tenteraient de glisser leur main sous ma jupe mais que les hommes n’interviendraient pas. Ah oui..il m’avait prévenu aussi de la fumée de cigare. Ça ne me dérangeait pas. On arriva dans un grand salon sombre avec beaucoup de monde. Il y avait un peu de lumière et mes yeux prirent un certain temps à s’ajuster. Des Japonais en complet-cravate avec des putes, de toutes les couleurs, dans des robes de satin et en talons aiguilles. Une femme asiatique mit son bras autour de ma taille et m’embrassa sur la bouche. Elle était plus vieille mais très attirante. On était accroché l’une à l’autre et Richard prit un certain temps pour me tirer de là. Je retirai ma robe en la passant par-dessus ma tête. Des gens applaudirent quand je fus toute nue. J’avais quelques petits tatouages et ils aimaient ça. Richard me couvrit rapidement d’un peignoir. Il y avait des écrans aux murs qui montraient des couples de femmes ou d’hommes qui baisaient. Un écran qui attirait beaucoup de voyeurs montrait un combat à mains nues entre deux jeunes Japonaises.
Je traversais d’autres chambres plus petites avec des sofas, des matelas de caoutchouc et même une petite piscine pour enfants. Les gens étaient nus et s’amusaient bien. Je passais inaperçue. On s’arrêta devant une porte et j’entendis des cris. Richard me dit qu’on devait attendre notre tour. Il me massait les épaules. Il me dit que ça risquait d’être très rapide et que l’autre fille était une professionnelle dans le domaine des combats de chattes. Elle avait de bons coups pour débuter mais si je tenais ferme, je pouvais faire sauter son bouchon.
Les cris diminuèrent et la porte s’ouvrit. Deux Japonaises sortirent avec leur entraîneur. Elles étaient couvertes d’huile et semblaient très fatiguées. Je pouvais sentir le sexe de femmes et ça m’excitait. On traversa un épais nuage de fumée de cigare avant d’arriver à la cage.
On sifflait, criait des obscénités, et on me toucha à quelques reprises lorsque j’enlevai le peignoir. La Noire était déjà là et m’attendait dans la petite cage. Les barreaux étaient de plastique transparent pour que les voyeurs ne manquent rien du spectacle. J’en avais utilisé une auparavant. On ne pouvait pas se tenir debout dans la cage. Ça sentait le cigare cubain et le whisky. Ma rivale était une beauté. Elle avait de petits nichons relevés et un triangle de poils pubiens noirs et frisés. Je ne pouvais pas voir ses fesses mais je les devinais irrésistibles. Elle m’examina les tétons et la chatte d’un regard d’experte. Je crois que je lui plaisais. Un homme habillé se glissa dans la cage avec nous et nous plaça dans la position du ciseau. Il me fit glisser sur les fesses vers ma rivale qui se glissa aussi sur son petit cul. Il nous rapprocha jusqu’à ce que je puisse sentir ses poils pubiens contre mon entre-cuisses. Il ouvrit nos touffes et s’assura que nos lèvres étaient environ à deux ou trois centimètres les unes des autres. Il nous demanda de ne pas bouger avant qu’il ne soit sorti de la cage.
J’ignorais si on allait entreprendre le combat en se prenant aux cheveux. On s’est plutôt entrecroisé les doigts mais je ne me souviens pas des premières secondes. J’ai ensuite senti sa chatte qui se frottait contre la mienne car elle poussait ses hanches en avant. Ses fesses montaient et descendaient faisant du bruit contre la plancher de la cage. C’était l’attaque du début contre laquelle Richard m’avait prévenue. Je mordis ma lèvre inférieure quand nos deux clitos se touchèrent. Je l’excitais autant qu’elle m’excitait. On était amoureuse et on le montrait. On se prit par les tétons. Les siens étaient fermes avec des tétines longues et noires. Elle me tordit les tétines puis je fis de même. Je ne pouvais pas entendre les cris des spectateurs parce que j’étais concentrée mais je suis certaine qu’on les rendait fous. On serra notre position en ciseau de plus en plus. Son pied était à porter de ma tête et je suçai ses orteils. Elle commença à sucer mon gros orteil. On était pratiquement sur le dos, les deux moules étant écrasées l’une contre l’autre et on continuait à se sucer les orteils. Puis elle tenta de me monter mais j’ai réagi à temps et on termina face à face, les jambes de chaque côté de la taille. On se frottait comme des maladies. Elle avait les yeux fermés. J’approchai ma tête de la sienne, et je l’embrassai sur la bouche. Elle ouvrit les yeux et tira sa langue, m’invitant à un combat. On mit la main derrière la tête de l’autre et on engagea un violent combat de langues. La bataille se transformait en tournoi de baisers.
Je réussis à sucer sa longue langue et elle gémit. On se frottait et je voyais son clito qui se frottait contre le mien. Elle tenta un mouvement pour changer son angle de frappe. Elle voulait pénétrer mon vagin avec son clito mais j’ai bougé à temps et les deux organes raides et tendres continuèrent à se frotter. Je pense que c’est à ce moment-là que j’ai eu l’avantage. Je lui ai craché au visage et elle fit de même, on répandait notre salive sur le visage de l’autre avec nos bouches. Ça devenait cochon. J’ai tenté de rejoindre son dos avec ma main gauche pour lui agripper le cul mais elle bougea et son trou était directement sur le plancher et impossible à atteindre.
On était soudé l’une à l’autre. On bougeait assez pour qu’on puisse sentir nos clitos se toucher. Je tentai de lui sucer une tétine. Elle recula, un signe qu’elle était sensible à cette caresse. Je lui ai offert mon téton pour qu’on puisse se sucer mutuellement mais elle refusa. On résuma nos baisers de langue et je glissai encore une fois ma main gauche dans le bas du dos et je touchai le début de la raie de ses fesses. Elle me mordit la lèvre et s’excusa. Je pris sa main et la plaça sur le bas de mon dos. Je pense qu’elle regrettait son refus du suçage de tétons alors elle acquiesça quand je lui proposer de se caresser le cul. On ne pouvait rejoindre le trou de l’autre mais notre doigt descendit le plus loin possible dans la raie des fesses. Je pouvais sentir le duvet alors j’étais quand même assez près. On se battait depuis seulement quelques minutes mais on était épuisé. On suait toutes les deux à grosses gouttes. Elle tenta de frotter son aisselle sur mon visage et je eu droit à le sentir à plein nez. J’étais tellement près du but, je devais lui donner le coup de grâce. Quand elle abaissa son bras, je pris sa tétine dans ma bouche et le suça. Je retins le bout avec mes dents au cas où elle voudrait le retirer rapidement. Je l’entendis crier “Fuck” et elle commença à trembler un peu. C’est à ce moment-là que j’ai entendu la foule crier très fort. J’ai poussé mon clito contre le sien très fort et je suçai sa tétine. Finalement elle lança un cri et je sentis sa chatte s’ouvrir et asperger la mienne avec son jus. Son corps devint comme un chiffon dans mes bras. J’ai entendu la porte de la cage s’ouvrir et je sentis Richard qui me tirait de là. Il enveloppa mon corps en sueur d’un peignoir et me sortit de la chambre. Je pouvais à peine marcher. La femme asiatique que j’avais rencontrée en entrant m’embrassa encore une fois et chuchota quelque chose à mon oreille.
J’ai vu Richard noter un numéro dans son cahier. Elle me voulait c’est certain. Richard me posa sur une grande chaise et m’embrassa sur le front. Il s’occupa à noter des noms et des numéros de téléphone pendant que je me reposais.
Une grande pute blonde vint s’asseoir à côté de moi sur la chaise et mis ma tête sur son épaule. Je me suis presque endormie. Elle voulait faire des choses avec moi dans la piscine d’enfants mais je lui ai dit de parler à Richard.
La piscine était déjà occupée par deux Japonais de toute façon. Je remis ma robe et nous étions prêts à partir. J’ai demandé à Richard à propos de la Noire. Il m’a dit qu’il avait son numéro de téléphone. C’est bien. Je pense que je suis amoureuse.
FIN
Richard m’avait dit de porter le minimum. Pas de maquillage, pas de string, pas de soutien-gorge. Seulement une robe très courte. Je lui ai demandé pour l’autre fille. Il me répondit que je ne la connaissais pas. Une Noire de mon âge. La bourse était bonne donc il fallait de je donne un bon “show” si je voulais avoir d’autres contrats.
Richard me dit que c’étaient des clients japonais alors je m’attendais à beaucoup de paris. Ils étaient habituellement très corrects. J’ai pris un taxi et je me suis rendu à l’hôtel qu’il m’avait indiqué. Un des gros hôtels de la ville. Habituellement les plus gros sont les plus cochons. Richard m’attendait à l’entrée. Je l’aime bien. Il prend soin de moi et m’apporte de bons contrats. Et ne me touche pas. On a pris l’ascenseur jusqu’au penthouse. Une suite présidentielle…ou quelque chose comme cela. Une partie était à l’intérieur et l’autre à l’extérieur avec une piscine. Richard m’avait prévenu que les filles tenteraient de glisser leur main sous ma jupe mais que les hommes n’interviendraient pas. Ah oui..il m’avait prévenu aussi de la fumée de cigare. Ça ne me dérangeait pas. On arriva dans un grand salon sombre avec beaucoup de monde. Il y avait un peu de lumière et mes yeux prirent un certain temps à s’ajuster. Des Japonais en complet-cravate avec des putes, de toutes les couleurs, dans des robes de satin et en talons aiguilles. Une femme asiatique mit son bras autour de ma taille et m’embrassa sur la bouche. Elle était plus vieille mais très attirante. On était accroché l’une à l’autre et Richard prit un certain temps pour me tirer de là. Je retirai ma robe en la passant par-dessus ma tête. Des gens applaudirent quand je fus toute nue. J’avais quelques petits tatouages et ils aimaient ça. Richard me couvrit rapidement d’un peignoir. Il y avait des écrans aux murs qui montraient des couples de femmes ou d’hommes qui baisaient. Un écran qui attirait beaucoup de voyeurs montrait un combat à mains nues entre deux jeunes Japonaises.
Je traversais d’autres chambres plus petites avec des sofas, des matelas de caoutchouc et même une petite piscine pour enfants. Les gens étaient nus et s’amusaient bien. Je passais inaperçue. On s’arrêta devant une porte et j’entendis des cris. Richard me dit qu’on devait attendre notre tour. Il me massait les épaules. Il me dit que ça risquait d’être très rapide et que l’autre fille était une professionnelle dans le domaine des combats de chattes. Elle avait de bons coups pour débuter mais si je tenais ferme, je pouvais faire sauter son bouchon.
Les cris diminuèrent et la porte s’ouvrit. Deux Japonaises sortirent avec leur entraîneur. Elles étaient couvertes d’huile et semblaient très fatiguées. Je pouvais sentir le sexe de femmes et ça m’excitait. On traversa un épais nuage de fumée de cigare avant d’arriver à la cage.
On sifflait, criait des obscénités, et on me toucha à quelques reprises lorsque j’enlevai le peignoir. La Noire était déjà là et m’attendait dans la petite cage. Les barreaux étaient de plastique transparent pour que les voyeurs ne manquent rien du spectacle. J’en avais utilisé une auparavant. On ne pouvait pas se tenir debout dans la cage. Ça sentait le cigare cubain et le whisky. Ma rivale était une beauté. Elle avait de petits nichons relevés et un triangle de poils pubiens noirs et frisés. Je ne pouvais pas voir ses fesses mais je les devinais irrésistibles. Elle m’examina les tétons et la chatte d’un regard d’experte. Je crois que je lui plaisais. Un homme habillé se glissa dans la cage avec nous et nous plaça dans la position du ciseau. Il me fit glisser sur les fesses vers ma rivale qui se glissa aussi sur son petit cul. Il nous rapprocha jusqu’à ce que je puisse sentir ses poils pubiens contre mon entre-cuisses. Il ouvrit nos touffes et s’assura que nos lèvres étaient environ à deux ou trois centimètres les unes des autres. Il nous demanda de ne pas bouger avant qu’il ne soit sorti de la cage.
J’ignorais si on allait entreprendre le combat en se prenant aux cheveux. On s’est plutôt entrecroisé les doigts mais je ne me souviens pas des premières secondes. J’ai ensuite senti sa chatte qui se frottait contre la mienne car elle poussait ses hanches en avant. Ses fesses montaient et descendaient faisant du bruit contre la plancher de la cage. C’était l’attaque du début contre laquelle Richard m’avait prévenue. Je mordis ma lèvre inférieure quand nos deux clitos se touchèrent. Je l’excitais autant qu’elle m’excitait. On était amoureuse et on le montrait. On se prit par les tétons. Les siens étaient fermes avec des tétines longues et noires. Elle me tordit les tétines puis je fis de même. Je ne pouvais pas entendre les cris des spectateurs parce que j’étais concentrée mais je suis certaine qu’on les rendait fous. On serra notre position en ciseau de plus en plus. Son pied était à porter de ma tête et je suçai ses orteils. Elle commença à sucer mon gros orteil. On était pratiquement sur le dos, les deux moules étant écrasées l’une contre l’autre et on continuait à se sucer les orteils. Puis elle tenta de me monter mais j’ai réagi à temps et on termina face à face, les jambes de chaque côté de la taille. On se frottait comme des maladies. Elle avait les yeux fermés. J’approchai ma tête de la sienne, et je l’embrassai sur la bouche. Elle ouvrit les yeux et tira sa langue, m’invitant à un combat. On mit la main derrière la tête de l’autre et on engagea un violent combat de langues. La bataille se transformait en tournoi de baisers.
Je réussis à sucer sa longue langue et elle gémit. On se frottait et je voyais son clito qui se frottait contre le mien. Elle tenta un mouvement pour changer son angle de frappe. Elle voulait pénétrer mon vagin avec son clito mais j’ai bougé à temps et les deux organes raides et tendres continuèrent à se frotter. Je pense que c’est à ce moment-là que j’ai eu l’avantage. Je lui ai craché au visage et elle fit de même, on répandait notre salive sur le visage de l’autre avec nos bouches. Ça devenait cochon. J’ai tenté de rejoindre son dos avec ma main gauche pour lui agripper le cul mais elle bougea et son trou était directement sur le plancher et impossible à atteindre.
On était soudé l’une à l’autre. On bougeait assez pour qu’on puisse sentir nos clitos se toucher. Je tentai de lui sucer une tétine. Elle recula, un signe qu’elle était sensible à cette caresse. Je lui ai offert mon téton pour qu’on puisse se sucer mutuellement mais elle refusa. On résuma nos baisers de langue et je glissai encore une fois ma main gauche dans le bas du dos et je touchai le début de la raie de ses fesses. Elle me mordit la lèvre et s’excusa. Je pris sa main et la plaça sur le bas de mon dos. Je pense qu’elle regrettait son refus du suçage de tétons alors elle acquiesça quand je lui proposer de se caresser le cul. On ne pouvait rejoindre le trou de l’autre mais notre doigt descendit le plus loin possible dans la raie des fesses. Je pouvais sentir le duvet alors j’étais quand même assez près. On se battait depuis seulement quelques minutes mais on était épuisé. On suait toutes les deux à grosses gouttes. Elle tenta de frotter son aisselle sur mon visage et je eu droit à le sentir à plein nez. J’étais tellement près du but, je devais lui donner le coup de grâce. Quand elle abaissa son bras, je pris sa tétine dans ma bouche et le suça. Je retins le bout avec mes dents au cas où elle voudrait le retirer rapidement. Je l’entendis crier “Fuck” et elle commença à trembler un peu. C’est à ce moment-là que j’ai entendu la foule crier très fort. J’ai poussé mon clito contre le sien très fort et je suçai sa tétine. Finalement elle lança un cri et je sentis sa chatte s’ouvrir et asperger la mienne avec son jus. Son corps devint comme un chiffon dans mes bras. J’ai entendu la porte de la cage s’ouvrir et je sentis Richard qui me tirait de là. Il enveloppa mon corps en sueur d’un peignoir et me sortit de la chambre. Je pouvais à peine marcher. La femme asiatique que j’avais rencontrée en entrant m’embrassa encore une fois et chuchota quelque chose à mon oreille.
J’ai vu Richard noter un numéro dans son cahier. Elle me voulait c’est certain. Richard me posa sur une grande chaise et m’embrassa sur le front. Il s’occupa à noter des noms et des numéros de téléphone pendant que je me reposais.
Une grande pute blonde vint s’asseoir à côté de moi sur la chaise et mis ma tête sur son épaule. Je me suis presque endormie. Elle voulait faire des choses avec moi dans la piscine d’enfants mais je lui ai dit de parler à Richard.
La piscine était déjà occupée par deux Japonais de toute façon. Je remis ma robe et nous étions prêts à partir. J’ai demandé à Richard à propos de la Noire. Il m’a dit qu’il avait son numéro de téléphone. C’est bien. Je pense que je suis amoureuse.
FIN
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