LA CROISIÈRE. 1ère partie
Récit érotique écrit par Mib14 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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LA CROISIÈRE. 1ère partie
LA CROISIÈRE. 1ère partie.
Note : La scène se passe sur un navire de croisière dans les années 1920.
Les croisières en Méditerranée étaient à la mode dans les années 1920. Les mœurs des gens riches étaient assez dissolues et on cherchait toujours des lieux et des environnements différents pour se rencontrer entre hommes et entre femmes, loin des regards indiscrets des ménages habituels.
Le comte Robert de Blois avait demandé à sa cousine Anne de Langlet de l’accompagner à bord d’un luxueux navire de croisière qui partait de Marseille et qui se rendait dans les îles grecques. Celle-ci, qui s’ennuyait à mourir à Paris, avait accepté avec empressement. Ce n’était pas la première fois qu’ils voyageaient ensemble et ils se connaissaient depuis l’enfance. Robert était svelte, avec des cheveux blonds roux et une moustache mince. Il avait de grands yeux et quelquefois des gestes qui pouvaient passer pour efféminés mais sa voix était normale sauf dans les situations de plaisir. Anne avait le même âge mais avait l’air un peu plus âgée car elle ne suivait pas tellement la mode et était habillée comme une femme du début du siècle. Elle portait souvent des robes longues et serrées qui lui faisaient faire de petits pas, ou des uniformes comme celui des infirmières de la dernière guerre dont elle avait fait partie. Elle portait ses cheveux noirs assez longs. Elle prenait du poids facilement mais elle était très attirante avec de belles fesses bien rondes. Les deux affichaient leur préférence sexuelle en présence de l’autre mais la gardait cachée à leur famille. Ils pouvaient se voir nus sans se désirer mais aimaient bien épier les ébats de l’autre en y prenant du plaisir. Leur famille les faisait vivre et ils s’ennuyaient souvent.
Gérard Renault et sa femme Louise étaient en situation financière et en goûts assez semblables au couple dont nous venons de parler, mais appartenaient à la haute bourgeoisie parisienne plutôt qu’à la petite noblesse. Gérard était dans le domaine des importations de produits de luxe et sa femme appartenait au monde de la mode de haut niveau. Leur mariage n’était qu’une apparence. Gérard avait dans la quarantaine et Louise une dizaine d’années en moins. Ils partageaient le même grand appartement sur les Champs-Élysées mais n’avaient aucune relation physique. Comme Robert et Anne, ils aimaient bien les partouzes à quatre ou plus et se plaisaient à la vue de leur compagne ou compagnon dans les bras d’une personne de leur sexe. Gérard était mince comme Robert et assez beau garçon. Louise s’habillait de robes légères et portait des vêtements à la mode qu’elle recevait des modistes où elle travaillait en échanges de faveurs intimes. Elle était blonde et mince mais avec des appâts qu’elle ne montrait qu’aux femmes qui lui plaisaient.
Gérard et Louise voyageaient sur le même navire que Robert et Anne. Au départ de Marseille, les deux couples étaient à quelques mètres de distance, penchés au bastingage, admirant le Vieux Port qui disparaissait dans le brouillard du matin. Les deux femmes furent les premières à échanger un sourire et un battement de cils. Anne tira sur la manche du veston de Robert pour lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Louise se contenta de donner du coude à son compagnon. Les deux couples se saluèrent. Si les deux femmes s’étaient vu les premières, les deux hommes n’hésitèrent pas à s’avancer l’un vers l’autre pour se serrer la main.
Une discussion sur le luxe des cabines et sur les risques de mal de mer sur ce navire amena les deux hommes à s’approcher l’un de l’autre. Il était de mise pour ce genre de couples de ne pas présenter l’autre moitié. Ça donnait, dans le cas qui nous occupe, l’occasion aux femmes d’engager une conversation sans avoir à se préoccuper des hommes. Anne complimenta Louise sur sa robe qui en profita pour lui remettre sa carte d’affaire sur laquelle elle griffonna « à Anne bien tendrement ».
Anne prit le bras de Louise et les deux femmes entamèrent une promenade vers la poupe du navire et abandonnèrent leur compagnon de voyage.
« Je préfère vous avouer tout de suite que mon mari n’est qu’un ami, si vous voyez ce que je veux dire, et que je suis entièrement libre », chuchota Louise à l’oreille de sa compagne.
« J’aime votre sincérité. En ce qui me concerne, vous devez savoir que Robert est mon cousin et que nous partageons certaines choses mais que nous nous rejoignons jamais au lit », répondit Anne« Je suis contente de vous entendre le dire car j’aurais eu du mal à cacher mon attirance et j’aurais été très déçue d’entendre que votre mari avait des intimités avec vous que j’aimerais avoir moi-même », répliqua Louise qui approchait son visage de celui de sa nouvelle amie, en prétextant se protéger du vent du large.
« Je suis certaine qu’en ce moment Gérard et votre cousin sont en train de tenter de cacher aux autres passagers la bosse qui se forme dans leur pantalon », dit Louise en ricanant.
« Je peux vous dire par expérience, que si votre Gérard lui plaît comme je pense qu’il le fait, Robert est déjà nu avec lui dans notre cabine », dit Anne en rougissant un peu pour la forme.
Arrivées à la poupe du navire, les deux femmes se retrouvèrent seules dans ce grand espace.
« Ça te dit ? », demanda Louise, profitant du moment d’intimité et entamant le tutoiement comme si elles étaient déjà nues et enlacées.
« Bien sûr, je te désire depuis que je t’ai vue », chuchota Anne à la belle Louise« Je ne sais pas ce que tu en penses – et dis-le-moi franchement --- mais nous faisons ça souvent dans la même chambre. Mais dis-moi si ça te va ou si on va dans la chambre inoccupée », demanda Louise« Nous aussi on fait souvent ça à quelques mètres de distance. Ça m’excite de voir Robert avec un autre homme », avoua Anne« Et ça doit le faire bander de te voir avec une autre femme, Gérard lui il aime bien ça », ajouta Louise.
Les deux femmes bras dessus bras dessous se dirigèrent vers les cabines.
Les femmes trouvèrent une carte « occupée » sur la porte de la cabine d’Anne et de Robert. Anne sortit sa clé et ouvrit la porte lentement. Les deux femmes se regardèrent en riant et en haussant les épaules quand elles entendirent les gémissements.
Les femmes entrèrent dans la cabine à deux lits comme si de rien n’était. Robert et Gérard étaient soudés en 69 et se suçaient avec passion. Les deux corps très différents attirèrent les regards des femmes un instant, le corps tout blanc et imberbe de Robert et celui basané et poilu de Gérard.
Les femmes se déshabillèrent rapidement tout en prenant quelques secondes pour échanger des baisers et se tâter les nichons à travers leur corsage. Louise avait peu de vêtements mais Anne avait du mal à enlever sa culotte car elle avait mis quelques kilos récemment. La culotte des deux femmes montrait un petit cercle foncé dans l’entre-cuisse. Toutes nues finalement, elles commencèrent pour humer leur culotte respective. L’odeur de chatte mouillée les excitait au plus haut point. Les deux hommes se jouirent dans la bouche au même moment où les deux lesbiennes se placèrent en 69 à leur tour.
La bouche pleine, les deux hommes regardèrent leur partenaire qui se préparait à une sucette en règle.
« Elles vont se gouiner à fond les deux salopes », murmura Gérard« C’est un beau spectacle », dit Robert qui recommençait à bander après sa jouissance.
Anne et Louise se placèrent sur le côté et s’agrippèrent par les fesses. Elles n’étaient pas à leur première expérience entre femmes. Louise n’avait qu’à se pencher pour trouver une modiste ou une couturière pour se prendre aux fesses avec elle. Anne avait plus de mal à trouver dans son entourage sans éveiller les soupçons. Elle préférait se rendre dans les quartiers chauds sous un déguisement et se faire des filles qui se faisaient payer.
Gérard embrassa Robert et voulait reprendre les ébats car son engin était très attiré par le trou de fesses de Robert. Ils avaient convenu avant de s’étreindre une première fois dans la cabine que les deux désiraient l’accouplement et que Gérard serait le mâle.
Louise fut la première à jouir dans la bouche de son amoureuse suivie de près par Anne qui aimait particulièrement les 69. Les deux femmes avaient conservé leur toison mais elle n’était pas très fournie ce qui facilitait l’accès au clito et aussi aux quelques gouttes de pisse que chacune avait transportées depuis le matin.
Louise et Anne s’embrassaient, se léchant le visage couvert de cyprine, et se chuchotaient des mots d’amour. Puis Louise, qui était étendue sur sa compagne, regarda l’autre lit :« Regarde, ma belle. Ils se préparent, les deux bougres. « « Mon cousin va se faire ramoner », dit Anne« Oh…vas-y Gérard lèche-lui l’orifice », ajouta Louise qui voyait le visage de son « mari » disparaître entre les petites fesses de Robert.
Même si les hommes avaient commencé avant elle, ils s’étaient donné un répit pour se refaire une érection après la suce. Les deux couples étaient maintenant en synchronisme.
« Tu m’acceptes pour diriger la baise ? », demanda Louise qui commençait lentement son mouvement des hanches« Oui…je suis ta salope…ta soumise… Frottons-nous », répondit Anne en crachant sur les nichons de son amoureuse.
Anne ouvrit les cuisses et Louise s’y glissa jusqu’à ce que les triangles poilus se touchent-- les poils mouillés s’entremêlant -- et se frottent.
De l’autre côté de la petite cabine, Gérard introduisait lentement sa bite en érection dans l’orifice de Robert qui gémit. Sa queue disparut petit à petit dans Robert puis il la ramena presqu’entièrement puis la rentra de nouveau. Les deux hommes avaient commencé leur accouplement.
Louise avait tourné son regard vers Anne qui était toute molle sous elle. Les deux femmes se regardaient maintenant les yeux dans les yeux. Puis ce fut le baiser mais un baiser tout en bouche et en langue qui mêlait encore une fois leur cyprine issue de leur première sucette. Les lèvres roses et gonflées à bloc se pliaient les unes contre les autres. Le trou de chatte de Louise était béant et recouvrait celui d’Anne, prêt à recevoir le jet de celui de Louise. Elles n’entendaient même plus les gémissements des hommes qui s’enculaient comme des étalons, les petites fesses de Robert frappant la chair un peu molle des cuisses de Gérard.
Louise était en contrôle et faisait tourner son clito trapu et dur comme fer autour de celui d’Anne, un petit cône sortant de son capuchon. Louise ne voulait pas briser leur baiser et coordonnait ses coups de langue avec les mouvements circulaires de son pubis. Louise était une experte et Anne était au septième ciel. La fille de bonne famille, qui avait eu peu de partenaires, se promettait déjà de se donner régulièrement à cette Louise rencontrée par hasard.
Les deux hommes avaient terminé et se reposaient, étendus sur le côté, encore accrochés l’un à l’autre, regardant le spectacle des deux femmes qui se frottaient la moule et s’embrassaient à tout fendre.
Louise releva le haut de son corps ce qui brisa finalement le baiser interminable. Elle donnait des coups de reins qui faisaient crier Anne de plaisir. Elles avaient oublié qu’elles avaient des spectateurs. Finalement les deux trous de chatte, face à face, tirèrent leur coup de cyprine presqu’en même temps, éclaboussant secrètement leur bas-ventre.
Sur le banc arrière de la voiture qui la ramenait à la maison, Anne retrouva dans son sac à main la carte que lui avait remise Louise avec les mots « À Anne bien tendrement ». Anne avait invité Louise à venir passer une semaine avec elle sur la Côte d’Azur, qui devenait le rendez-vous à la mode. Anne avait loué une petite villa ! Elles seraient seules toutes les deux.
Pendant cette même semaine, Gérard avait invité Robert à un séjour à Tunis. On y trouvait apparemment ce que les deux hommes recherchaient. Dans la vie, il s’agit souvent de choisir les bonnes cabines sur les bonnes croisières.
FIN
Note : La scène se passe sur un navire de croisière dans les années 1920.
Les croisières en Méditerranée étaient à la mode dans les années 1920. Les mœurs des gens riches étaient assez dissolues et on cherchait toujours des lieux et des environnements différents pour se rencontrer entre hommes et entre femmes, loin des regards indiscrets des ménages habituels.
Le comte Robert de Blois avait demandé à sa cousine Anne de Langlet de l’accompagner à bord d’un luxueux navire de croisière qui partait de Marseille et qui se rendait dans les îles grecques. Celle-ci, qui s’ennuyait à mourir à Paris, avait accepté avec empressement. Ce n’était pas la première fois qu’ils voyageaient ensemble et ils se connaissaient depuis l’enfance. Robert était svelte, avec des cheveux blonds roux et une moustache mince. Il avait de grands yeux et quelquefois des gestes qui pouvaient passer pour efféminés mais sa voix était normale sauf dans les situations de plaisir. Anne avait le même âge mais avait l’air un peu plus âgée car elle ne suivait pas tellement la mode et était habillée comme une femme du début du siècle. Elle portait souvent des robes longues et serrées qui lui faisaient faire de petits pas, ou des uniformes comme celui des infirmières de la dernière guerre dont elle avait fait partie. Elle portait ses cheveux noirs assez longs. Elle prenait du poids facilement mais elle était très attirante avec de belles fesses bien rondes. Les deux affichaient leur préférence sexuelle en présence de l’autre mais la gardait cachée à leur famille. Ils pouvaient se voir nus sans se désirer mais aimaient bien épier les ébats de l’autre en y prenant du plaisir. Leur famille les faisait vivre et ils s’ennuyaient souvent.
Gérard Renault et sa femme Louise étaient en situation financière et en goûts assez semblables au couple dont nous venons de parler, mais appartenaient à la haute bourgeoisie parisienne plutôt qu’à la petite noblesse. Gérard était dans le domaine des importations de produits de luxe et sa femme appartenait au monde de la mode de haut niveau. Leur mariage n’était qu’une apparence. Gérard avait dans la quarantaine et Louise une dizaine d’années en moins. Ils partageaient le même grand appartement sur les Champs-Élysées mais n’avaient aucune relation physique. Comme Robert et Anne, ils aimaient bien les partouzes à quatre ou plus et se plaisaient à la vue de leur compagne ou compagnon dans les bras d’une personne de leur sexe. Gérard était mince comme Robert et assez beau garçon. Louise s’habillait de robes légères et portait des vêtements à la mode qu’elle recevait des modistes où elle travaillait en échanges de faveurs intimes. Elle était blonde et mince mais avec des appâts qu’elle ne montrait qu’aux femmes qui lui plaisaient.
Gérard et Louise voyageaient sur le même navire que Robert et Anne. Au départ de Marseille, les deux couples étaient à quelques mètres de distance, penchés au bastingage, admirant le Vieux Port qui disparaissait dans le brouillard du matin. Les deux femmes furent les premières à échanger un sourire et un battement de cils. Anne tira sur la manche du veston de Robert pour lui chuchoter quelque chose à l’oreille. Louise se contenta de donner du coude à son compagnon. Les deux couples se saluèrent. Si les deux femmes s’étaient vu les premières, les deux hommes n’hésitèrent pas à s’avancer l’un vers l’autre pour se serrer la main.
Une discussion sur le luxe des cabines et sur les risques de mal de mer sur ce navire amena les deux hommes à s’approcher l’un de l’autre. Il était de mise pour ce genre de couples de ne pas présenter l’autre moitié. Ça donnait, dans le cas qui nous occupe, l’occasion aux femmes d’engager une conversation sans avoir à se préoccuper des hommes. Anne complimenta Louise sur sa robe qui en profita pour lui remettre sa carte d’affaire sur laquelle elle griffonna « à Anne bien tendrement ».
Anne prit le bras de Louise et les deux femmes entamèrent une promenade vers la poupe du navire et abandonnèrent leur compagnon de voyage.
« Je préfère vous avouer tout de suite que mon mari n’est qu’un ami, si vous voyez ce que je veux dire, et que je suis entièrement libre », chuchota Louise à l’oreille de sa compagne.
« J’aime votre sincérité. En ce qui me concerne, vous devez savoir que Robert est mon cousin et que nous partageons certaines choses mais que nous nous rejoignons jamais au lit », répondit Anne« Je suis contente de vous entendre le dire car j’aurais eu du mal à cacher mon attirance et j’aurais été très déçue d’entendre que votre mari avait des intimités avec vous que j’aimerais avoir moi-même », répliqua Louise qui approchait son visage de celui de sa nouvelle amie, en prétextant se protéger du vent du large.
« Je suis certaine qu’en ce moment Gérard et votre cousin sont en train de tenter de cacher aux autres passagers la bosse qui se forme dans leur pantalon », dit Louise en ricanant.
« Je peux vous dire par expérience, que si votre Gérard lui plaît comme je pense qu’il le fait, Robert est déjà nu avec lui dans notre cabine », dit Anne en rougissant un peu pour la forme.
Arrivées à la poupe du navire, les deux femmes se retrouvèrent seules dans ce grand espace.
« Ça te dit ? », demanda Louise, profitant du moment d’intimité et entamant le tutoiement comme si elles étaient déjà nues et enlacées.
« Bien sûr, je te désire depuis que je t’ai vue », chuchota Anne à la belle Louise« Je ne sais pas ce que tu en penses – et dis-le-moi franchement --- mais nous faisons ça souvent dans la même chambre. Mais dis-moi si ça te va ou si on va dans la chambre inoccupée », demanda Louise« Nous aussi on fait souvent ça à quelques mètres de distance. Ça m’excite de voir Robert avec un autre homme », avoua Anne« Et ça doit le faire bander de te voir avec une autre femme, Gérard lui il aime bien ça », ajouta Louise.
Les deux femmes bras dessus bras dessous se dirigèrent vers les cabines.
Les femmes trouvèrent une carte « occupée » sur la porte de la cabine d’Anne et de Robert. Anne sortit sa clé et ouvrit la porte lentement. Les deux femmes se regardèrent en riant et en haussant les épaules quand elles entendirent les gémissements.
Les femmes entrèrent dans la cabine à deux lits comme si de rien n’était. Robert et Gérard étaient soudés en 69 et se suçaient avec passion. Les deux corps très différents attirèrent les regards des femmes un instant, le corps tout blanc et imberbe de Robert et celui basané et poilu de Gérard.
Les femmes se déshabillèrent rapidement tout en prenant quelques secondes pour échanger des baisers et se tâter les nichons à travers leur corsage. Louise avait peu de vêtements mais Anne avait du mal à enlever sa culotte car elle avait mis quelques kilos récemment. La culotte des deux femmes montrait un petit cercle foncé dans l’entre-cuisse. Toutes nues finalement, elles commencèrent pour humer leur culotte respective. L’odeur de chatte mouillée les excitait au plus haut point. Les deux hommes se jouirent dans la bouche au même moment où les deux lesbiennes se placèrent en 69 à leur tour.
La bouche pleine, les deux hommes regardèrent leur partenaire qui se préparait à une sucette en règle.
« Elles vont se gouiner à fond les deux salopes », murmura Gérard« C’est un beau spectacle », dit Robert qui recommençait à bander après sa jouissance.
Anne et Louise se placèrent sur le côté et s’agrippèrent par les fesses. Elles n’étaient pas à leur première expérience entre femmes. Louise n’avait qu’à se pencher pour trouver une modiste ou une couturière pour se prendre aux fesses avec elle. Anne avait plus de mal à trouver dans son entourage sans éveiller les soupçons. Elle préférait se rendre dans les quartiers chauds sous un déguisement et se faire des filles qui se faisaient payer.
Gérard embrassa Robert et voulait reprendre les ébats car son engin était très attiré par le trou de fesses de Robert. Ils avaient convenu avant de s’étreindre une première fois dans la cabine que les deux désiraient l’accouplement et que Gérard serait le mâle.
Louise fut la première à jouir dans la bouche de son amoureuse suivie de près par Anne qui aimait particulièrement les 69. Les deux femmes avaient conservé leur toison mais elle n’était pas très fournie ce qui facilitait l’accès au clito et aussi aux quelques gouttes de pisse que chacune avait transportées depuis le matin.
Louise et Anne s’embrassaient, se léchant le visage couvert de cyprine, et se chuchotaient des mots d’amour. Puis Louise, qui était étendue sur sa compagne, regarda l’autre lit :« Regarde, ma belle. Ils se préparent, les deux bougres. « « Mon cousin va se faire ramoner », dit Anne« Oh…vas-y Gérard lèche-lui l’orifice », ajouta Louise qui voyait le visage de son « mari » disparaître entre les petites fesses de Robert.
Même si les hommes avaient commencé avant elle, ils s’étaient donné un répit pour se refaire une érection après la suce. Les deux couples étaient maintenant en synchronisme.
« Tu m’acceptes pour diriger la baise ? », demanda Louise qui commençait lentement son mouvement des hanches« Oui…je suis ta salope…ta soumise… Frottons-nous », répondit Anne en crachant sur les nichons de son amoureuse.
Anne ouvrit les cuisses et Louise s’y glissa jusqu’à ce que les triangles poilus se touchent-- les poils mouillés s’entremêlant -- et se frottent.
De l’autre côté de la petite cabine, Gérard introduisait lentement sa bite en érection dans l’orifice de Robert qui gémit. Sa queue disparut petit à petit dans Robert puis il la ramena presqu’entièrement puis la rentra de nouveau. Les deux hommes avaient commencé leur accouplement.
Louise avait tourné son regard vers Anne qui était toute molle sous elle. Les deux femmes se regardaient maintenant les yeux dans les yeux. Puis ce fut le baiser mais un baiser tout en bouche et en langue qui mêlait encore une fois leur cyprine issue de leur première sucette. Les lèvres roses et gonflées à bloc se pliaient les unes contre les autres. Le trou de chatte de Louise était béant et recouvrait celui d’Anne, prêt à recevoir le jet de celui de Louise. Elles n’entendaient même plus les gémissements des hommes qui s’enculaient comme des étalons, les petites fesses de Robert frappant la chair un peu molle des cuisses de Gérard.
Louise était en contrôle et faisait tourner son clito trapu et dur comme fer autour de celui d’Anne, un petit cône sortant de son capuchon. Louise ne voulait pas briser leur baiser et coordonnait ses coups de langue avec les mouvements circulaires de son pubis. Louise était une experte et Anne était au septième ciel. La fille de bonne famille, qui avait eu peu de partenaires, se promettait déjà de se donner régulièrement à cette Louise rencontrée par hasard.
Les deux hommes avaient terminé et se reposaient, étendus sur le côté, encore accrochés l’un à l’autre, regardant le spectacle des deux femmes qui se frottaient la moule et s’embrassaient à tout fendre.
Louise releva le haut de son corps ce qui brisa finalement le baiser interminable. Elle donnait des coups de reins qui faisaient crier Anne de plaisir. Elles avaient oublié qu’elles avaient des spectateurs. Finalement les deux trous de chatte, face à face, tirèrent leur coup de cyprine presqu’en même temps, éclaboussant secrètement leur bas-ventre.
Sur le banc arrière de la voiture qui la ramenait à la maison, Anne retrouva dans son sac à main la carte que lui avait remise Louise avec les mots « À Anne bien tendrement ». Anne avait invité Louise à venir passer une semaine avec elle sur la Côte d’Azur, qui devenait le rendez-vous à la mode. Anne avait loué une petite villa ! Elles seraient seules toutes les deux.
Pendant cette même semaine, Gérard avait invité Robert à un séjour à Tunis. On y trouvait apparemment ce que les deux hommes recherchaient. Dans la vie, il s’agit souvent de choisir les bonnes cabines sur les bonnes croisières.
FIN
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