L'HÉRITAGE. 2ième partie
Récit érotique écrit par Mib14 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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L'HÉRITAGE. 2ième partie
L’HÉRITAGE. Partie 2
Après l’épisode du bar à Montparnasse, Isabelle et Rosa s’étaient encore rapprochées si cela était possible. Ce qui était différent c’est que les deux femmes ne cachaient pas le fait qu’elles étaient lesbiennes. Elles pouvaient sortir ensemble sans être gênées de rencontrer une ancienne liaison, une serveuse ou une étudiante (Isabelle était prof). Elles pouvaient aussi faire des commentaires sur les femmes qu’elles voyaient dans la rue ou assises sur un banc au Jardin du Luxembourg. Lorsque les circonstances exigeaient que les deux femmes se dénudent, elles gardaient leur distance mais il n’était pas interdit de s’admirer mutuellement.
Par un bel après-midi ensoleillé, elles firent une visite à Beaubourg puis remontèrent la rue Saint-Denis. Rosa était pendue au bras de sa mère. Elles portaient toutes les deux des robes d’été fleuries, sans soutien-gorge ni string. Tout cela flottait à la chaleur du soleil, bondissant ou frémissant au moindre accident du trottoir ou au balancement des hanches.
« Bonjour Isabelle », dit une des filles qui étaient alignées sur le trottoir.
« Bonjour…Marion je pense.. », répondit Isabelle« C’est ça. Tu as une bonne mémoire », répondit la femme d’âge mûr. Marion était une rousse frappante avec des appâts bien en vue. Elle avait l’accent parisien et faisait traîner les syllabes.
« Une fois avec toi…ça ne s’oublie pas. On ne veut plus recommencer », taquina Yolande, une collègue du même âge, mais blonde et plus mince.
« Jalouse….va », répondit Marion qui était habituée à ces taquineries« Je te présente ma fille Rosa », dit IsabelleLes deux filles parurent très troublées.
« Ah ne vous en faites pas. Elle est aussi gouine que moi », lança IsabelleRosa souriait et se collait à la partenaire de Marion.
« Alors tu viens ma belle Isabelle…c’est toujours gratuit pour toi…ou si tu préfères envoyer ta fille… » ricana Marion« Ah je ne dis pas non…ça me démange…. », dit Isabelle, « Allez je te suis…Rosa je te laisse en bonne compagnie ».
Isabelle et Marion traversèrent la rue main dans la main.
« Elle est chouette ta mère », dit Yolande à Rosa« Oui elle est très ouverte à tout le monde », répondit Rosa« Moi aussi j’ai l’âge de ta mère….mais si ça te dit…c’est gratuit pour toi aussi », dit Yolande.
« Je veux bien…surtout si tu as un gode-ceinture. J’aimerais essayer ça », répondit Rosa« Ne t’en fais pas, je viens tout équipée », dit Yolande qui mit son bras autour des épaules de Rosa et la conduisit vers une maison de chambres.
Marion amena Isabelle à son appartement. C’était petit mais propre et joli.
« C’est nouveau ça ? », demanda Isabelle« Oui, je travaille pour des photographes et pour des vidéos. C’est plus payant. Je vais arrêter la rue bientôt. », dit Marion avec fierté« Tu fais bien. Et puis avec Internet maintenant tu peux faire tes rencontres en restant chez toi », ajouta Isabelle« Oui c’est vrai mais il faut faire gaffe. Tu parles à quelqu’un à l’écran et le type qui arrive à ta porte c’est un maniaque », dit Marion« Tu devrais faire ton boulot avec les photographes et pour la baise tu devrais te limiter aux femmes, c’est moins dangereux », dit Isabelle« Tu as raison. Tu pourrais m’aider ? », demanda Marion« Oui..ne t’en fais pas…allez déshabilles-toi. Je ne veux pas faire attendre Rosa trop longtemps », ajouta IsabelleIsabelle enleva sa robe qui la laissa complètement à poil.
« Ne t’inquiète pas pour ta fille. Yolande va lui faire voir des étoiles », répondit Marion en riantIsabelle se dirigea vers la salle de bain. Marion n’avait pas oublié les préférences de la blonde.
Isabelle s’étendit dans la baignoire vide. Marion la rejoignit. Isabelle lui pissa sur les seins puis en plein visage tandis que Marion vidait aussi sa vessie sur les contours d’Isabelle. La rousse aimait bien ces échanges qu’elle ne voulait pas faire avec ses clients.
Après une douche à deux, les lesbiennes se retrouvèrent sur le lit. La rousse était couverte de taches de rousseurs ce qui attirait beaucoup Isabelle. Ces belles fesses blanches et bien rondes étaient toujours un arrêt obligatoire lorsque ces deux-là se rencontraient. Marion prit la position et offrit son cul à Isabelle. La mère de Rosa n’hésita pas un instant et débuta par promener sa langue tout le long de la raie entre les globes blancs. Elle s’arrêta ensuite vis-à-vis la rondelle cachée entre les collines de chair mais qui ne lui échappait pas. Elle dût séparer légèrement les globes pour que sa langue puisse travailler à l’aise. Utilisant le bout de sa langue complètement étirée, la blonde taquinait la chair plissée puis en poussant bien son visage dans l’espace ouvert, elle réussit non seulement à rejoindre le petit orifice mais à le pénétrer. Marion était aux anges et le montrait à sa partenaire en gémissant comme une loutre. Marion écarta ses genoux et laissa le passage libre à la main d’Isabelle qui se mit à frotter la motte déjà dégoulinante de Marion. Marion faisait taire la légende qui voulait que les putes ne jouissent pas. Il faut rectifier qu’avec les femmes, elle jouissait régulièrement.
Yolande avait amené Rosa dans son petit appartement. La jeune femme enleva sa robe en la faisant remonter au-dessus de sa tête. Comme sa mère, elle était tout à fait nue. Yolande savait se défaire de ses vêtements en un temps record. L’habitude. Les deux femmes, séparées pour une bonne vingtaine d’années, s’embrassaient debout en se tripotant tout ce qu’elles pouvaient rejoindre. Yolande se tapait rarement des plus jeunes. Elle était très excitée.
« C’est la première fois avec une pro ? », demanda Yolande« Oui….on peut dire ça….mais je ne vois pas de différence entre toi et ma prof de musique », répondit Rosa en lui donnant de gros baisers sur les tétines.
« J’ai peu de clientes mais on fait ça surtout entre filles. Il y en a même qui sont en couple. « , dit Yolande.
« Je me demandais si tu avais des godes-ceinture » demanda Rosa.
« Bien sûr, j’ai tout un arsenal ici. Tu veux pour la chatte ou le cul ? », demanda la grande blonde.
« Dans ma chatte j’aimerais mieux ton clito. Alors disons un gode pour le cul », dit Rosa songeuse.
Yolande ouvrit quelques tiroirs et revint avec ce qu’elle appelait son « coffre à outils ».
Le gode-ceinture anal était plus court, plus mince et de forme ovale plutôt que ronde.
« Mais j’ai ça aussi si ça te tente. », dit Yvonne en montrant un gode assez long et courbé mais sans ceinture. L’usage était assez évident et Rosa le manipula avec admiration.
« Une copine appelle ça le « gode interactif ». dit Yvonne en riantL’engin plaisait aux deux femmes qui recommencèrent à se bécoter et à se prendre par les nichons.
« Je te laisse l’installer », dit Rosa comme si elle parlait d’un logiciel.
« L’intérêt de celui-là c’est qu’il nous permet de le faire disparaître », dit Yvonne« Alors on serait fesses contre fesses », dit Rosa en ouvrant grande la bouche.
« Voilà. Tu as tout compris », dit Yolande qui était aussi excitée, « Mais si tu as mal ou si tu n’aimes pas, tu le dis et on utilise l’autre ».
L’idée que deux femmes s’accouplent par le cul fascinait et excitait Rosa.
Rosa se mit à quatre pattes et Yolande la pénétra avec le gode. Lentement. Une fois enfoncé au tiers, le gode se tenait par lui-même. Yolande pris la position et plaça le bout du gode entre ses fesses et poussa lentement. Les deux femmes commencèrent un va et vient et après 5 minutes, le gode avait presque disparu. Les gémissements et les cris d’encouragement s’accompagnèrent d’une masturbation individuelle passionnée. Tel que promis, les deux paires de fesses se touchèrent et les deux lesbiennes se mirent à bouger pour que les globes se frottent de haut en bas. Yolande avait fait l’exercice assez souvent mais comme c’était la première fois pour Rosa, elle était en sueur. La jeune femme gicla la première suivie de près par Yolande. Les deux femmes avancèrent toujours à genoux et le gode se détacha et tomba sur le matelas. L’odeur de cyprine fraîche était trop pour les deux gouines qui se jetèrent l’une sur l’autre en 69. Les langues s’agitèrent et les mottes trempées reçurent un bain de langues vigoureux. Rosa jouit de nouveau mais Yolande dû attendre que Rosa s’attaque à sa rondelle pour laisser partir un autre jet de cyprine. Les deux amantes d’un jour, totalement épuisées, se laissèrent choir sur le côté comme deux baleines harponnées.
Marion était en sueur et sa peau collait sur celle d’Isabelle qui la montait. Après un léchage de cul mutuel, Isabelle voulut monter sa copine comme le faisaient ses clients. La grande différence c’est que Marion appréciait beaucoup sentir le clito d’Isabelle sur le sien plutôt qu’une bite dans son trou de chatte. Les deux femmes se frottèrent à leur goût, tantôt lentement en se disant des mots d’amour, tantôt rapidement en se crachant au visage. Les jets mutuels de cyprine augmentaient les liquides qui semblaient vouloir coller les deux femmes l’une à l’autre pour toujours.
Après une douche bien méritée, les quatre femmes rejoignirent la rue où les passants étaient maintenant plus nombreux.
« Tu me laisseras goûter à ta fille, la prochaine fois », dit Marion en frôlant les belles fesses de Rosa avec sa main.
« Bien sûr, si elle veut bien, mais elle voudra car elle plus cochonne que moi encore », répliqua Isabelle« Je l’ai initiée à quelque chose qu’elle ne connaissait pas », dit Yvonne avec une certaine fierté« Oh là là….je parie que tu l’as embrassée » , répondit Marion, toujours taquine avec sa collègue« Je ne dis rien. Tu en parleras à ta mère », dit Yvonne en embrassant RosaLe quatuor se sépara à regret car on sentait qu’elles étaient prêtes à recommencer avec une nouvelle partenaire.
« Alors ça t’a plu ? », demanda Isabelle en souriant« C’était magique, maman, je te raconterai. Tu devrais essayer ça », dit Rosa encore excitée« Pour l’amour du ciel, ne m’appelle jamais « maman » sur cette rue « s’exclama Isabelle ‘Désolé, ..je me laisse emporter…. », dit Rosa en prenant sa mère par la main.
Une fois chez Isabelle. Rosa raconta en détail l’épisode du double gode anal.
« Je t’avoue n’avoir jamais fait ça », dit Isabelle songeuse« Quand tu seras grande », dit Rosa en riant« Tu es toujours attirée par les Asiatiques ? », demanda Isabelle« Oui. Tu connais des femmes ? », demanda Rosa« Je connais un lieu de perdition qui est tenu entièrement par des femmes asiatiques », répondit Isabelle en baissant la voix.
« J’ai lu pas mal sur l’Indochine et ça m’a l’air que les Françaises s’amusaient ferme là-bas », dit Rosa« C’est un peu dans cet esprit que les gens que je connais ont monté ce petit bordel indochinois en plein Paris », dit Isabelle« Ce sera notre prochaine sortie », ajouta Isabelle en prenant la main de sa fille
À SUIVRE
Après l’épisode du bar à Montparnasse, Isabelle et Rosa s’étaient encore rapprochées si cela était possible. Ce qui était différent c’est que les deux femmes ne cachaient pas le fait qu’elles étaient lesbiennes. Elles pouvaient sortir ensemble sans être gênées de rencontrer une ancienne liaison, une serveuse ou une étudiante (Isabelle était prof). Elles pouvaient aussi faire des commentaires sur les femmes qu’elles voyaient dans la rue ou assises sur un banc au Jardin du Luxembourg. Lorsque les circonstances exigeaient que les deux femmes se dénudent, elles gardaient leur distance mais il n’était pas interdit de s’admirer mutuellement.
Par un bel après-midi ensoleillé, elles firent une visite à Beaubourg puis remontèrent la rue Saint-Denis. Rosa était pendue au bras de sa mère. Elles portaient toutes les deux des robes d’été fleuries, sans soutien-gorge ni string. Tout cela flottait à la chaleur du soleil, bondissant ou frémissant au moindre accident du trottoir ou au balancement des hanches.
« Bonjour Isabelle », dit une des filles qui étaient alignées sur le trottoir.
« Bonjour…Marion je pense.. », répondit Isabelle« C’est ça. Tu as une bonne mémoire », répondit la femme d’âge mûr. Marion était une rousse frappante avec des appâts bien en vue. Elle avait l’accent parisien et faisait traîner les syllabes.
« Une fois avec toi…ça ne s’oublie pas. On ne veut plus recommencer », taquina Yolande, une collègue du même âge, mais blonde et plus mince.
« Jalouse….va », répondit Marion qui était habituée à ces taquineries« Je te présente ma fille Rosa », dit IsabelleLes deux filles parurent très troublées.
« Ah ne vous en faites pas. Elle est aussi gouine que moi », lança IsabelleRosa souriait et se collait à la partenaire de Marion.
« Alors tu viens ma belle Isabelle…c’est toujours gratuit pour toi…ou si tu préfères envoyer ta fille… » ricana Marion« Ah je ne dis pas non…ça me démange…. », dit Isabelle, « Allez je te suis…Rosa je te laisse en bonne compagnie ».
Isabelle et Marion traversèrent la rue main dans la main.
« Elle est chouette ta mère », dit Yolande à Rosa« Oui elle est très ouverte à tout le monde », répondit Rosa« Moi aussi j’ai l’âge de ta mère….mais si ça te dit…c’est gratuit pour toi aussi », dit Yolande.
« Je veux bien…surtout si tu as un gode-ceinture. J’aimerais essayer ça », répondit Rosa« Ne t’en fais pas, je viens tout équipée », dit Yolande qui mit son bras autour des épaules de Rosa et la conduisit vers une maison de chambres.
Marion amena Isabelle à son appartement. C’était petit mais propre et joli.
« C’est nouveau ça ? », demanda Isabelle« Oui, je travaille pour des photographes et pour des vidéos. C’est plus payant. Je vais arrêter la rue bientôt. », dit Marion avec fierté« Tu fais bien. Et puis avec Internet maintenant tu peux faire tes rencontres en restant chez toi », ajouta Isabelle« Oui c’est vrai mais il faut faire gaffe. Tu parles à quelqu’un à l’écran et le type qui arrive à ta porte c’est un maniaque », dit Marion« Tu devrais faire ton boulot avec les photographes et pour la baise tu devrais te limiter aux femmes, c’est moins dangereux », dit Isabelle« Tu as raison. Tu pourrais m’aider ? », demanda Marion« Oui..ne t’en fais pas…allez déshabilles-toi. Je ne veux pas faire attendre Rosa trop longtemps », ajouta IsabelleIsabelle enleva sa robe qui la laissa complètement à poil.
« Ne t’inquiète pas pour ta fille. Yolande va lui faire voir des étoiles », répondit Marion en riantIsabelle se dirigea vers la salle de bain. Marion n’avait pas oublié les préférences de la blonde.
Isabelle s’étendit dans la baignoire vide. Marion la rejoignit. Isabelle lui pissa sur les seins puis en plein visage tandis que Marion vidait aussi sa vessie sur les contours d’Isabelle. La rousse aimait bien ces échanges qu’elle ne voulait pas faire avec ses clients.
Après une douche à deux, les lesbiennes se retrouvèrent sur le lit. La rousse était couverte de taches de rousseurs ce qui attirait beaucoup Isabelle. Ces belles fesses blanches et bien rondes étaient toujours un arrêt obligatoire lorsque ces deux-là se rencontraient. Marion prit la position et offrit son cul à Isabelle. La mère de Rosa n’hésita pas un instant et débuta par promener sa langue tout le long de la raie entre les globes blancs. Elle s’arrêta ensuite vis-à-vis la rondelle cachée entre les collines de chair mais qui ne lui échappait pas. Elle dût séparer légèrement les globes pour que sa langue puisse travailler à l’aise. Utilisant le bout de sa langue complètement étirée, la blonde taquinait la chair plissée puis en poussant bien son visage dans l’espace ouvert, elle réussit non seulement à rejoindre le petit orifice mais à le pénétrer. Marion était aux anges et le montrait à sa partenaire en gémissant comme une loutre. Marion écarta ses genoux et laissa le passage libre à la main d’Isabelle qui se mit à frotter la motte déjà dégoulinante de Marion. Marion faisait taire la légende qui voulait que les putes ne jouissent pas. Il faut rectifier qu’avec les femmes, elle jouissait régulièrement.
Yolande avait amené Rosa dans son petit appartement. La jeune femme enleva sa robe en la faisant remonter au-dessus de sa tête. Comme sa mère, elle était tout à fait nue. Yolande savait se défaire de ses vêtements en un temps record. L’habitude. Les deux femmes, séparées pour une bonne vingtaine d’années, s’embrassaient debout en se tripotant tout ce qu’elles pouvaient rejoindre. Yolande se tapait rarement des plus jeunes. Elle était très excitée.
« C’est la première fois avec une pro ? », demanda Yolande« Oui….on peut dire ça….mais je ne vois pas de différence entre toi et ma prof de musique », répondit Rosa en lui donnant de gros baisers sur les tétines.
« J’ai peu de clientes mais on fait ça surtout entre filles. Il y en a même qui sont en couple. « , dit Yolande.
« Je me demandais si tu avais des godes-ceinture » demanda Rosa.
« Bien sûr, j’ai tout un arsenal ici. Tu veux pour la chatte ou le cul ? », demanda la grande blonde.
« Dans ma chatte j’aimerais mieux ton clito. Alors disons un gode pour le cul », dit Rosa songeuse.
Yolande ouvrit quelques tiroirs et revint avec ce qu’elle appelait son « coffre à outils ».
Le gode-ceinture anal était plus court, plus mince et de forme ovale plutôt que ronde.
« Mais j’ai ça aussi si ça te tente. », dit Yvonne en montrant un gode assez long et courbé mais sans ceinture. L’usage était assez évident et Rosa le manipula avec admiration.
« Une copine appelle ça le « gode interactif ». dit Yvonne en riantL’engin plaisait aux deux femmes qui recommencèrent à se bécoter et à se prendre par les nichons.
« Je te laisse l’installer », dit Rosa comme si elle parlait d’un logiciel.
« L’intérêt de celui-là c’est qu’il nous permet de le faire disparaître », dit Yvonne« Alors on serait fesses contre fesses », dit Rosa en ouvrant grande la bouche.
« Voilà. Tu as tout compris », dit Yolande qui était aussi excitée, « Mais si tu as mal ou si tu n’aimes pas, tu le dis et on utilise l’autre ».
L’idée que deux femmes s’accouplent par le cul fascinait et excitait Rosa.
Rosa se mit à quatre pattes et Yolande la pénétra avec le gode. Lentement. Une fois enfoncé au tiers, le gode se tenait par lui-même. Yolande pris la position et plaça le bout du gode entre ses fesses et poussa lentement. Les deux femmes commencèrent un va et vient et après 5 minutes, le gode avait presque disparu. Les gémissements et les cris d’encouragement s’accompagnèrent d’une masturbation individuelle passionnée. Tel que promis, les deux paires de fesses se touchèrent et les deux lesbiennes se mirent à bouger pour que les globes se frottent de haut en bas. Yolande avait fait l’exercice assez souvent mais comme c’était la première fois pour Rosa, elle était en sueur. La jeune femme gicla la première suivie de près par Yolande. Les deux femmes avancèrent toujours à genoux et le gode se détacha et tomba sur le matelas. L’odeur de cyprine fraîche était trop pour les deux gouines qui se jetèrent l’une sur l’autre en 69. Les langues s’agitèrent et les mottes trempées reçurent un bain de langues vigoureux. Rosa jouit de nouveau mais Yolande dû attendre que Rosa s’attaque à sa rondelle pour laisser partir un autre jet de cyprine. Les deux amantes d’un jour, totalement épuisées, se laissèrent choir sur le côté comme deux baleines harponnées.
Marion était en sueur et sa peau collait sur celle d’Isabelle qui la montait. Après un léchage de cul mutuel, Isabelle voulut monter sa copine comme le faisaient ses clients. La grande différence c’est que Marion appréciait beaucoup sentir le clito d’Isabelle sur le sien plutôt qu’une bite dans son trou de chatte. Les deux femmes se frottèrent à leur goût, tantôt lentement en se disant des mots d’amour, tantôt rapidement en se crachant au visage. Les jets mutuels de cyprine augmentaient les liquides qui semblaient vouloir coller les deux femmes l’une à l’autre pour toujours.
Après une douche bien méritée, les quatre femmes rejoignirent la rue où les passants étaient maintenant plus nombreux.
« Tu me laisseras goûter à ta fille, la prochaine fois », dit Marion en frôlant les belles fesses de Rosa avec sa main.
« Bien sûr, si elle veut bien, mais elle voudra car elle plus cochonne que moi encore », répliqua Isabelle« Je l’ai initiée à quelque chose qu’elle ne connaissait pas », dit Yvonne avec une certaine fierté« Oh là là….je parie que tu l’as embrassée » , répondit Marion, toujours taquine avec sa collègue« Je ne dis rien. Tu en parleras à ta mère », dit Yvonne en embrassant RosaLe quatuor se sépara à regret car on sentait qu’elles étaient prêtes à recommencer avec une nouvelle partenaire.
« Alors ça t’a plu ? », demanda Isabelle en souriant« C’était magique, maman, je te raconterai. Tu devrais essayer ça », dit Rosa encore excitée« Pour l’amour du ciel, ne m’appelle jamais « maman » sur cette rue « s’exclama Isabelle ‘Désolé, ..je me laisse emporter…. », dit Rosa en prenant sa mère par la main.
Une fois chez Isabelle. Rosa raconta en détail l’épisode du double gode anal.
« Je t’avoue n’avoir jamais fait ça », dit Isabelle songeuse« Quand tu seras grande », dit Rosa en riant« Tu es toujours attirée par les Asiatiques ? », demanda Isabelle« Oui. Tu connais des femmes ? », demanda Rosa« Je connais un lieu de perdition qui est tenu entièrement par des femmes asiatiques », répondit Isabelle en baissant la voix.
« J’ai lu pas mal sur l’Indochine et ça m’a l’air que les Françaises s’amusaient ferme là-bas », dit Rosa« C’est un peu dans cet esprit que les gens que je connais ont monté ce petit bordel indochinois en plein Paris », dit Isabelle« Ce sera notre prochaine sortie », ajouta Isabelle en prenant la main de sa fille
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