AU PARFUM- Partie 5

- Par l'auteur HDS Mib14 -
Récit érotique écrit par Mib14 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : AU PARFUM- Partie 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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AU PARFUM- Partie 5
AU PARFUM – PARTIE 5Colette Bourgeois savait où elle allait. C’est une des raisons qui faisait que Mariana en était amoureuse. C’était une idole, un modèle et une très belle femme qui se laissait aller complètement avec Mariana. L’Italienne n’avait encore rien vu. Colette Bourgeois semblait toujours en contrôle mais à poil avec d’autres femmes, elle pouvait être emportée par le plaisir qui devenait la seule chose qui comptait. Mariana semblait lui apporter cette présence qui lui permettait d’être vraiment elle-même, c’est-à-dire une lesbienne avec des désirs souvent incontrôlables et qui avait besoin d’une compagne pour l’accompagner où elle avait elle-même peur de se perdre.
Colette travaillait dans l’immobilier pour des compagnies qui achetaient et revendaient des maisons de luxe partout dans le monde. Elle ne voyageait pas beaucoup à comparer à certaines de ses collègues mais c’était un choix. Elle ne parlait que le français et l’anglais ce qui limitait ses contacts. Elle n’aimait pas les longs trajets en avion et préférait se limiter à la francophonie d’Europe de l’Ouest et à l’Angleterre.
À cause de ces problèmes matrimoniaux, elle préférait ne pas être vue prendre le train avec Mariana à Lyon. Elles prirent donc deux trains à Lyon puis se retrouvèrent à Paris. Pour Colette, même lors d’une fin de semaine, c’était en partie un voyage d’affaires. L’immobilier n’avait pas de jours fériés ni d’heures. Ça ne faisait rien, elle était totalement relax avec Mariana à ses côtés. Cette dernière découvrait aussi une autre Colette, moins rigide, moins brusque que dans leurs rencontres à la boutique. Elle ne se sentait pas comme un objet sexuel mais comme une amoureuse.
Mariana avait reçu des ordres de ne jamais montrer des signes d’affection à Colette en public. Colette lui avait assurer qu’elles pourraient se reprendre à l’hôtel et dans d’autres circonstances qu’elle lui réservait comme surprise. Mariana était étonnée et curieuse. Elle sentait qu’il y avait un volcan sous ce bel ensemble Chanel.
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------Une fois installées à l’hôtel, les deux femmes s’installèrent dans un somptueux restaurant libanais du centre-ville.
« T’as vu la serveuse ? », demanda Colette«Elle est mignonne », répondit Mariana« Oui, Libanaise. Je me souviens de l’avoir vue ici la dernière fois. On avait commencé à parler. Elle a une paire de fesses qui me rend folle », ajouta Colette, ce qui surprit un peu Mariana« Tu veux la ramener à l’hôtel ? », demanda l’Italienne« J’aimerais bien mais je ne sais pas du tout si elle est lesbienne. Ça t’ennuie ? », demanda-t-elle comme si la réponse ne changeait rien.
« Non…bien sûr que non….je pensais seulement qu’on serait enfin ensemble…mais si tu ne veux pas qu’on rate cette chance….je suis avec toi », bredouilla Mariana« Ah c’est bien…je ne veux pas que tu te sentes de trop…d’ailleurs je pense que c’est toi qu’elle veut…Tu me sers d’appât », dit Colette, surexcitée, ne réalisant pas ce qu’elle disait.
Mariana se disait que ce n’était rien. Qu’elle devait s’habituer à Colette qui, en voyage, semblait l’ignorer pour sauter sur les premières venues.
Même avant d’avoir pris connaissance des menus, Colette rejoignit la serveuse dans l’allée où elle prenait sa pause. Dans la réflexion de la vitrine, Mariana vit avec horreur Colette qui avait la main dans l’entrecuisse de la serveuse et qui la coinçait contre le mur pour l’embrasser. Puis des cris, une gifle.
« Viens vite, on s’en va. », cria Colette prenant le bras de Mariana.
Le patron du restaurant et une autre serveuse les invectivaient et Mariana, en se retournant, voyait la serveuse libanaise qui sanglotait contre le mur de la cuisine.
Une fois dans la rue, Colette éclata » Ah ces femmes qui font les vierges offensées. Je suis certain qu’elle s’est fait sucer par toutes les lesbiennes de la ville »Les gens se retournaient sur leur passage. Mariana était rouge de honte. Les deux femmes retournèrent à leur chambre d’hôtel. Colette commençait à se calmer.
Mariana se savait pas quoi dire. Elle avait faim et était fatiguée. Les femmes décidèrent de commander à souper dans leur chambre. Le repas était bon et le vin aussi. Colette s’était calmée et Mariana était de bonne humeur.
« J’ai la motte en feu », dit soudainement Colette, « Allons à un club de lesbiennes que je connais ».
Les deux femmes mirent leurs vêtements les plus légers (c’était l’été) mais les plus dispendieux : un chemisier en soie mais sans soutien-gorge, une jupe courte tissée à la main d’Italie, et des souliers de marche de grande qualité. Elles prirent un taxi jusqu’à Montparnasse.
« C’est un club de lesbiennes très connus qui s’adressait surtout à des femmes mûres avec leur plus jeune. Si on est séparé, tu retournes à l’hôtel quand tu veux. », dit Colette qui lui avait donné la carte de l’hôtel.
Colette sonna et fut reconnue. Le club était vraiment chic. Sur deux étages il y avait un bar, une petite piste de danse, un salon avec divans et les murs couverts d’œuvres érotiques saphiques, une table de billard. La pénombre régnait. En tout il y avait probablement une vingtaine de femmes et des couples entraient et sortaient assez souvent. Les têtes se retournèrent au passage de Colette et de Mariana. Les femmes mûres regardaient Colette et les jeunes, Mariana. La compétition se toisait. Une blonde dans un pantalon jaune moulant s’approcha de Colette. Son pantalon ne dissimulait à peu près pas son gode en érection. Elle suivit Colette jusque dans la salle de billard. Elle était de l’âge et de la taille de Colette mais plus mince et avec des cheveux courts et frisés. Ses pommettes saillantes lui donnaient un air scandinave ou allemand. Les deux femmes faisaient un beau couple.
« Tu sais jouer ? », demanda la blonde en pantalon « Oui mais je ne suis pas très bonne », répondit Colette qui avait le dos contre le mur et faisait face à la blonde qui collait ses petits nichons sur ceux de Colette.
« Non..pas au billard. Je veux dire à ça », dit la blonde en faisant contact ventre contre ventre. Colette sentait le gode qui appuyait doucement sur sa vulve. Pendant ce temps, Mariana et une jeune Africaine étaient assises au bar et se faisaient les yeux doux.
« J’aime bien jouer à ça », dit Colette en faisant pression contre le gode.
« Suis-moi », dit la blonde en prenant Colette par la main et l’amenant vers la salle de bain à quelques pas de là.
Il y avait déjà de l’action dans deux des cabines. Comme les portes étaient ouvertes, on pouvait voir une jeune femme assise sur le siège de toilette se faisant sucer par une femme plus âgée. Dans l’autre cabine, un trio de femmes mûres se masturbait. Elles avaient gardé leur jupe mais les strings étaient autour de leurs chevilles. On s’embrassait et on se doigtait à une cadence rythmée.
Colette et la blonde se regardèrent avec un sourire. Elles entrèrent dans la troisième cabine. La blonde baissa son pantalon assez pour permettre à son gode de sortir. Elle n’avait que la moitié des fesses qui était à découvert. Colette releva sa jupe et laissa tomber son string. Elles se prirent en levrette. Colette était penchée avec les mains contre le mur. Elle montrait son cul et la blonde la pistonnait déjà, ses cuisses frappant contre les fesses de Colette. Deux femmes les regardaient de l’entrée de la cabine. Une avait déjà son gode qui pendait de ses hanches. Elles avaient déjà passé à l’acte, même si sensiblement différent, et attendait de se joindre à leurs consœurs.
Colette cria son orgasme, le visage aplati sur le mur, les yeux vitrés, la bave lui échappant des lèvres. La blonde avait eu un orgasme moins vocal mais semblait satisfaite et mordait dans le gras du dos de son amante.
Les deux femmes au gode se connaissaient. La blonde avait un gode vaginal et l’autre femme, une blonde aussi mais plus ronde et avec les cheveux longs, avait un gode anal. La nouvelle soumise était brune comme Colette mais plus jeune et très belle. La blonde la voulait et la brune s’approchait de Colette. Les « mâles » se mettaient en position et les « femelles » offraient leurs fesses et leur vagin. Les deux couples s’accouplèrent dans un bruit de cris, de chocs de chair tendue et d’orgasmes giclant. Colette ne s’était pas fait enculer depuis longtemps mais elle en avait visiblement très envie. La baise en double, les deux femelles côte à côte, ne dura que quelques minutes. Même des hommes expérimentés auraient eu du mal à faire jouir ces deux femmes si rapidement. Colette et la jeune brune s’embrassaient et, dégoulinantes, se frottaient les nichons en érection. Les godes disparaissaient dans les pantalons. Les jupes se rabaissaient mais les strings se faisaient piétiner ou ramasser par quelqu’un. Colette et la jeune femme se tenaient par la taille pour ne pas perdre l’équilibre et se dirigèrent vers le salon.
Mariana et l’Africaine se tournaient toujours autour et personne ne prenait l’initiative. Jessie, l’Africaine, était nouvelle elle aussi au club et ceci expliquait les hésitations. Mariana vit Colette qui titubait sur ses talons hauts, le chemisier à moitié arraché, un sein complètement visible et l’autre en devenir, la jupe froissée, les jambes visiblement collantes et les cheveux en bataille. Les deux femmes en pantalon qui suivaient le premier couple donna à Mariana l’explication de l’état de son amoureuse.
« Oh la la, on a raté une grosse baise de gode à quatre », dit Jessie en souriant.
« Oui…et la femme qui s’étend sur le canapé, c’est ma compagne de voyage’, ajouta Mariana.
« Oh…excuse-moi…je ne savais pas », dit Jessie rougissant« Ce n’est pas grave. Elle était venue pour ça ! », répondit MarianaL’effet de l’arrivée des deux femmes ayant visiblement été ramonées à quelques reprises et des deux belles « butch » blondes changèrent immédiatement l’atmosphère du club. Terminé le club chic où les femmes craignaient de se toucher. L’odeur de mottes fraîches d’un côté et de cyprine séché de l’autre rapprochèrent des femmes qui ne se connaissaient pas mais qui se zieutaient depuis leur arrivée. Les embrassades et le tripotage de nichons et de fesses éclatèrent au grand jour.
Lisa, la serveuse du bar, avait vu ces scènes des centaines de fois. Elle observait Mariana et Jessie depuis leur rencontre et attendait le moment propice. Les deux femmes avaient finalement commencé à s’embrasser et à se prendre par les fesses. Lisa mit ses bras autour de la taille des deux filles et les invita à des ébats derrière le bar. Les strings au plancher et les jupes relevées, les trois filles cherchèrent à se placer en triangle pour se sucer. Le bar n’était plus en service (il y avait même une affichette qui le certifiait). Le trio occupait le plancher derrière le bar et était donc invisible au reste du club. Mariana suçait Jessie, Jessie suçait Lisa et Lisa suçait Mariana. Le premier orgasme vint rapidement et les filles changèrent de partenaire. Mariana faisait face aux belles fesses noires de Jessie et ne put se retenir. Elle plongea sa langue la première entre les deux globes et attaqua la rondelle mauve et plissée de l’Africaine. Lisa profita de la situation pour se coller le visage au cul de Mariana et attaqua à son tour la rondelle de l’Italienne.
Lorsque Mariana et Jessie refirent surface et observèrent le salon, elles virent que Colette était en train de se faire pénétrer en double par des femmes plus jeunes qu’elle et qui avait des godes sans ceinture. Mariana laissa ses partenaires et se dirigea vers Colette et tenta de lui parler mais celle-ci la repoussa et lui dit « fiche le camp ».
Mariana était désemparée et au bord des larmes. Elle revint vers le bar. Une femme grande et belle dans la cinquantaine, habillée que d’un string transparent, lui tendit un téléphone portable.
« Mariana…c’est Manon…Manon…Madame de Girardin, si tu veux. Je te supplie de sortir de ce club et de suivre la femme qui t’a donné le téléphone. C’est Nathalie, une très bonne amie, et qui est aussi amie avec Minou. Fais-moi plaisir. Laisse Colette où elle est et va avec Nathalie ».
« Colette m’a montré la porte…Je suis perdue… Je vais avec votre amie. Merci Manon ».
Lisa et Jessie étaient dans le coup et avaient reçu l’ordre de surveiller Mariana. Nathalie se rhabillait. Elle était superbe. Elle sentait le sexe.
« On va déposer Lisa et Jessie. Elles sont ensemble. » dit Nathalie, « et toi tu viens avec moi »Les filles se firent des bisous de fin de soirée.
« Tu vas demeurer avec moi le reste du weekend. On va parler. Je sais tout sur toi. J’aimerais que tu t’installes à Paris. Tu es la personne dont j’ai besoin’, dit Nathalie à Mariana, les deux femmes presque perdues sur le grand siège arrière de la limousine. Mariana se laissait transporter. Elle était ko. Elle n’entendait qu’à moitié ce que l’élégante femme lui disait. Une chose la rassurait : on s’occupait d’elle.
A SUIVRE

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