AU PARFUM - Partie 6

- Par l'auteur HDS Mib14 -
Récit érotique écrit par Mib14 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : AU PARFUM - Partie 6 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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AU PARFUM - Partie 6
AU PARTUM – Partie 6Nathalie habitait une grande maison à Montreuil, en banlieue de Paris. Après l’orgie du bar, les deux femmes s’étaient rhabillées comme elles pouvaient, bien que Nathalie eût toujours un sac de secours dans la limousine. Heureusement un système de ventilation au parfum très subtile ne dévoilait pas ce qu’avaient pu faire ces dames. Nathalie était une pièce de femme. Elle n’était pas grosse mais avait un gabarit d’athlète, les chairs fermes, ainsi qu’un visage doux orné de deux pommettes saillantes. Ses cheveux noirs étaient d’un noir charbon et reluisants. Ses seins et ses fesses étaient pleines mais agréables à regarder, sans bourrelets. Ses vêtements laissaient voir une partie de ses appâts ou du moins les suggéraient. Elle était séduisante et elle le savait. Elle faisait des conquêtes même à son âge. Elle recherchait autant les femmes plus âgées que les jeunes.
« Tu as trois choix », lui dit Nathalie, « Tu peux prendre une douche et dormir dans la petite chambre toute seule; tu peux prendre une douche et dormir avec moi dans le grand lit de ma chambre ou tu peux te présenter comme tu es et dormir avec moi dans mon grand lit. »« Je vais choisir sans hésitation la troisième option », répondit Mariana qui voulait absolument coucher avec cette belle grande femme mature et élégante. Elle voulait aussi être entourée des odeurs du club. Elle ne le savait pas encore mais Nathalie était la propriétaire de ce club de lesbiennes qui s’affichait comme ‘La chatte noire », ce qui était devenu un peu le logo de Nathalie et de ses nombreux commerces.
Mariana se glissa la première dans le lit rond et énorme. Il avait certainement été témoin de plusieurs orgies féminines. Nathalie garda ses distances au début, jouant du pied avec sa nouvelle amie. Les deux femmes se taquinaient. Nathalie voulait sentir et lécher les aisselles de Mariana qui lui rendit la politesse. Ce n’est qu’après une dizaine de minutes que les deux lesbiennes adoptèrent une position classique pour se sucer la vulve mutuellement. Mariana aimait découvrir les recoins des nouvelles chattes qu’elle suçait. Elles étaient toutes différentes. Nathalie avait de grosses lèvres rouges et un trou de pisse qu’elle aimait faire lécher. Son clito était normal et, lors de cette rencontre, en érection continue. Nathalie travaillait la chatte de l’Italienne avec une précision et un minimum de mouvements que seules les lesbiennes très expérimentées pouvaient accomplir. Mariana était au septième ciel lorsqu’elle gicla dans le visage grimaçant de Nathalie.
Nathalie jouit lentement et presque secrètement, laissant entendre gentiment que Mariana avait du chemin à parcourir pour la faire grimper dans les rideaux. La femme mature gardait le meilleur pour la fin. Elle se montra plus agressive et attaqua Mariana de front. Nathalie lui souleva le haut du corps et la cloua au lit en la couvrant de son corps long et lourd. Mariana était excitée au plus haut point, simulant que Nathalie la voulait depuis longtemps et qu’elles allaient finalement s’accoupler vulve à vulve. Les deux bouches s’écrasèrent l’une contre l’autre et Nathalie, en maîtresse expérimentée, trouva la bonne position pour que les deux pubis poilus se frottent. Mariana l’aida en ouvrant les jambes toutes grandes et en les relevant pour qu’elles reposent sur les épaules de son amoureuse. Le contact intime était parfait. Mariana sentait le clito en érection de Nathalie lui labourer la fente puis remonter et frotter contre son bouton comme deux épées en duel. Les boules de Nathalie faisaient disparaître les petits seins pointus de l’Italienne. Mariana se faisait prendre par une belle femme mûre et elle gicla pour la seconde fois, cette fois-ci dans le poil pubien de Nathalie.
Une fois les orgasmes terminés et les respirations revenues à la normale, Nathalie commença la discussion non pas côte à côte sur l’oreiller mais en prenant Mariana dans ses bras et en lui parlant de bouche à bouche.
« Elle te plaît Jessie ? », demanda d’abord Nathalie« Oui…je l’aime bien..et je la trouve belle », répondit Mariana« Je t’ai vu profiter de sa rondelle…tu aimes cette caresse ? », demanda encore la femme mûre.
« Ah oui…je lui ai travaillé son trou avec plaisir…j’adore cette caresse », lui répondit Mariana sans ambages.
« On fera ça plus tard, toi et moi…et les jeux d’eau, tu aimes on me dit », questionna encore Nathalie.
« Oui …ça me plaît beaucoup. Comme tu vois, je suis passablement cochonne », admis Mariana« J’aime cochonne », dit Nathalie en embrassant sa jeune recrue.
Puis elle retourna aux choses sérieuses. Les deux femmes se levèrent et prirent un digestif, assises sur un canapé et recouvertes d’une robe de nuit légère et transparente.
Nathalie lui expliqua ce qu’elle faisait à Paris. Avec l’aide d’un héritage généreux, Nathalie avait investi dans l’immobilier haut de gamme avant que les étrangers, notamment des Émirats, ne s’intéressent à Paris. Elle avait rapidement compris que dans toutes les activités, surtout professionnelles, les contacts étaient essentiels. Nathalie était lesbienne depuis l’adolescence et avait accumulé des expériences surtout avec des femmes plus âgées. Ça lui avait ouvert des portes. Les services ne se payaient pas souvent en argent mais plutôt en nature. Elle avait réussi à augmenter sa fortune en se servant de ses contacts dans le monde lesbien pour faire des transactions immobilières, des voyages ou des acquisitions d’objets précieux qui l’avaient avantagée au lieu de la compétition. Un coup de fil à un employeur pour faire engager une amie pouvait lui valoir un voyage ou un tableau.
Cependant, Nathalie avait tellement de contacts qu’il était difficile de se souvenir de tout ce monde, de leurs déplacements, leur état de santé, etc…Il fallait aussi penser à la relève, et c’est là que des jeunes femmes comme Jessie et Mariana entraient dans les plans de Nathalie.
Voici une petite histoire qui donne un exemple de l’utilité d’une jeune lesbienne dans une transaction tout à fait indépendante de Nathalie ou de Mariana.
Une amie très proche de Nathalie avait un tableau à vendre, un tableau d’un petit maître italien qui valait quand même pas mal d’argent. Il y avait un seul musée en Italie qui avait une bonne collection de ce peintre. Nathalie connaissait la conservatrice du musée italien mais le problème était que la propriétaire parisienne du tableau et la conservatrice italienne étaient de grandes ennemies à cause d’une histoire de filles. Donc il fallait quelqu’un pour offrir le tableau à la conservatrice. Mariana était la personne désignée : histoire de l’art, Italienne et lesbienne. Nathalie produisit une façade crédible pour Mariana avec papier à lettres, cartes de visite, petit appartement cossu sur les quais et titre de « courtière en art ». Le contact fut fait avec Luciana, la conservatrice. Celle-ci était prête à venir à Paris rencontrer Mariana et voir le tableau en question (dont l’authenticité n’était pas solidement prouvée). Mariana avait envoyé sa photo avec la demande et Luciana avait mordu à l’appât. Seul l’italien pourrait décrire l’empressement avec lequel Luciana voulait rencontrer Mariana, le tableau étant, bien entendu, secondaire.
Le jour venu, Mariana se rendit à l’aéroport avec une limousine pour chercher Luciana. Le déjeuner était prévu dans un restaurant des Champs-Élysées, puis une visite à l’appartement fictif (il appartenait à Nathalie) pour voir le tableau. Luciana n’était pas une jeunesse et frôlait les 65 ans, mais elle avait conservé cette élégance et cette gestuelle qu’ont les Italiennes riches et cultivées. Son visage était osseux ce qui lui donnait un air sérieux mais son corps était encore très désirable. Elle avait encore plusieurs amoureuses à travers le monde et se promenait de l’une à l’autre prétendant que le voyage portait sur l’examen d’un tableau ou la visite d’une exposition.
Les deux femmes sympathisèrent immédiatement. Mariana portait un ensemble Chanel beige qu’elle avait emprunté à la garde-robe de Nathalie tandis que Luciana avait un ensemble noir d’un couturier italien. La conservatrice n’était pas dupe et savait très bien que Mariana serait une proie facile mais ça n’enlevait rien au plaisir de la conversation et de la séduction. C’était du théâtre et chaque actrice avait hâte à la scène finale mais n’avait aucune intention de sauter des étapes. Luciana était impressionnée par les connaissances en art de Mariana et était contente de pouvoir parler à cette élégante jeune femme en italien. Les mains se touchèrent à quelques reprises durant le déjeuner. Les sourires étaient coquins et nombreux. Mariana était véritablement attirée par cette femme plus âgée et lui montrait par de petits gestes, comme mettre sa main dans son dos pour la faire passer une porte, ou un geste pour lui enlever un cheveu fantôme sur la joue. Les compliments fusaient il va sans dire. Les strings étaient mouillés.
Enfin l’heure de la visite à l’appartement de Mariana arriva. Il était tout près du resto mais Rive Gauche et aussi voisin d’un musée d’art très couru. Luciana tenait le bras de Mariana tout le long du trajet. Les deux femmes sentaient leur parfum. L’appartement avait un petit salon, une chambre à coucher, une cuisine et une vue splendide sur le Louvre. Le tableau était sur un chevalet au milieu du salon, près de la fenêtre et de la lumière de l’extérieur. Mariana laissa la conservatrice seule avec le tableau pendant qu’elle se changea. Le scénario se déroulait comme prévu. Luciana enleva son veston et ses souliers. Mariana lui donna 10 minutes pour examiner le tableau mais aussi pour faire fleurir son désir pour la jeune Italienne. L’appartement était décoré de gravures du XIXe siècle, certaines un peu grivoises mais de bon goût. Tous les nus étaient féminins. Quand Mariana réapparut, elle était vêtue d’une longue robe tombante d’un coton mince et semi-transparent. Elle portait son string et on pouvait voir la nudité seulement où le tissu collait à la chair.
Mariana tendit un verre de vin rouge à la conservatrice. Elles trinquèrent à leur rencontre. Le tableau n’était déjà plus un sujet de conversation. Luciana posa son verre un instant et enleva son chemisier, son soutien-gorge et sa jupe, puis les posèrent sur une chaise. Elle reprit son verre et continua la conversation face à face avec Mariana. C’était un strip-tease qui excitait nos deux lesbiennes. Luciana était nue sauf pour son string bleu en soie. Mariana se pencha pour prendre le rebord de la robe et la remonta lentement le long de son corps et l’enleva. Elle était aussi en string. Luciana avait des seins en forme de poires avec de grosses tétines mauves tandis que Mariana avec des nichons moyens avec des tétines rouges en érection. Mariana servit un second verre à Luciana qui ne disait pas non. Les deux femmes remplissaient leur vessie pour plus tard.
Mariana enleva son string, le passa et repassa entre ses cuisses mouillées, s’approcha de Luciana et lui attacha autour du cou avec le V devant. Luciana avait le sourire aux lèvres. Elle fit de même avec son string et le mouilla en épongeant sa vulve trempée. Elle l’attacha aussi autour du cou de sa partenaire. Entre deux gorgées de vin, les deux femmes prenaient le string entre leurs doigts et le ramenaient à leur nez pour en respirer l’arôme enivrant. Luciana en tremblait de désir.
« Suce-moi », dit finalement Luciana à Mariana. C’est ce que cette dernière voulait entendreLuciana se coucha sur le côté du lit, les jambes pendantes, puis elle les ramena vers elle et les entoura de ses bras pour les presser contre ses nichons. Mariana avait un accès sans entrave aux deux trous de plaisir de son amoureuse du moment.
Mariana s’agenouilla sur le tapis de la chambre, collant son ventre contre le lit. Elle déplaça un peu le corps de Luciana pour avoir un meilleur accès à ses appâts. Luciana avait ramené le string de Mariana dans sa bouche et avait les yeux fermés, attendant les caresses de la jeune femme.
Mariana lécha d’abord les grosses lèvres roses de la vulve puis pénétra le vagin de sa langue durcie. Elle pistonna lentement le trou mouillé et tourna sa langue plusieurs fois à l’intérieur. Luciana commençait à gémir tout doucement. La jeune lesbienne retira sa langue lentement pour la passer rapidement sur la pissette qui était sèche pour rejoindre le clito en érection de son amoureuse. Luciana avait un gros clito et il avait certainement beaucoup servi. Mariana le lécha à pleine langue, puis le prit entre ses lèvres et le pressa tout en bougeant sa bouche horizontalement dans un mouvement de va et vient. Luciana souleva son bassin et laissa échapper un petit cri. Mariana ralentit le rythme de ses caresses pour exciter davantage la conservatrice qui ne pensait plus du tout au tableau.
« Oui…suce-moi…suce-moi le clito…s’il-te-plait….je t’en supplie », gémit LucianaMariana s’exécuta et fit disparaître le clito de Luciana dans sa bouche et le suça comme un bonbon. En même temps, elle pénétra le vagin de son amoureuse avec un doigt et lui fit un va-et-vient rythmé avec sa sucette du clito. Luciana devenait folle et bougeait tellement le bassin que Mariana risquait de laisser échapper le clito à tout moment. Heureusement la lesbienne plus âgée se laissa aller complètement et gicla dans le cou et le visage de Mariana qui s’ajusta pour en recevoir le plus possible dans sa bouche ouverte.
« Salope », cria Mariana« Sale gouine », répondit Luciana « Je fais ton cul », annonça Mariana« Ah oui…s’il-te-plaît…travaille mon cul avec ta langue de magicienne », implora LucianaMariana était une femme à fesses et ce trou de belle femme qui était à quelques centimètres de sa bouche la rendait folle de désir. Elle le lécha avec plus de fougue qu’elle avait fait pour la vulve. Puis elle pénétra la rondelle plissée et la pistonna comme elle avait fait pour le vagin. Elle enculait Luciana avec sa langue.
« Frotte-moi le clito, cochonne », cria LucianaMariana s’exécuta et coordonna le tourbillon de sa langue dans le trou de fesses avec les mouvements rapides de sa main droite dont les doigts frottaient le gros bouton d’amour de Luciana. L’Italienne se laissa aller de nouveau et gicla cette fois sur la main de Mariana qui pouvait sentir sa langue compressée par les muscles des fesses de Luciana qui jouissait.
Mariana s’étendit sur le lit au côté de la femme.
« Tu aimes ça, me dit Nathalie, la pisse à deux, à tout casser’, murmura Luciana« Oui j’adore. Je te suggère un 69 dans le bain et un suce-pisse jusqu’à épuisement », répondit Mariana.
Les deux femmes s’installèrent dans la position habituelle dans le bain, avec Luciana en dessous, et se laissèrent aller à des épisodes de succion des lèvres et du clito entremêlés de pisse dans la bouche et le visage. C’était, pour les deux, le summum du plaisir lesbien, du moins pour une première rencontre.
--------------------------------------------------------------------------------------------« Le musée a acheté le tableau », dit Nathalie au bout du fil« Le tableau ? Ah oui…le tableau…j’oubliais », plaisanta Mariana« Tu as fait bonne impression ou bonne succion…je ne sais pas comment te dire », rigola Nathalie.
« Elle m’a dit qu’elle voulait me revoir en Italie’’, déclara Mariana, assez fière d’elle« Il y a plein d’échanges de tableaux prévus entre les musées de France et d’Italie pour les prochaines années », dit Nathalie, « et nous ferons partie des négociations ».
« En attendant, j’ai autre chose pour toi’, dit Nathalie« J’écoute », répondit Mariana.
A SUIVRE

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