AU PARFUM - Partie 9 - histoire érotique

AU PARFUM- Partie 9Pénélope habitait aussi dans le VIe arrondissement près du Jardin du Luxembourg. Elle était modiste et travaillait pour différents couturiers. Elle avait 40 ans et connaissait Nathalie depuis 15 ans au moins. Une grande brune aux yeux bruns pénétrants, elle avait beaucoup de succès avec les mannequins en particulier. Elle avait un beau corps mais sans excès. Pénélope connaissait le milieu de la mode comme personne et était d’une grande utilité à Nathalie qui lui renvoyait la balle en lui fournissant des contrats. Pénélope avait grandi parmi les mannequins, dans les salles d’habillage et de maquillage. Elle était lesbienne depuis toujours. Elle était chaude et cochonne. Elle avait demandé à voir Mariana depuis son arrivée à Paris, mais Nathalie lui tendait la perche pour obtenir des renseignements. Elle avait aussi des contacts dans le milieu de la politique.
Les trois femmes étaient nues et étendues sur le grand lit de Pénélope.
« Ta brune est arrivée à Paris il y a quelques semaines et est conseillère financière pour l’ambassade d’Allemagne. Elle est mariée mais une lesbienne notoire. Angèle ne l’avait jamais rencontrée avant aujourd’hui « raconta Pénélope« Tu me dis que je connais la personne responsable de leur rencontre ? » demanda Nathalie en fronçant les sourcils.
« En fait c’est Mariana qui la connaît mieux. C’est Lisa », dit Pénélope« Ça ne me surprend pas « , dit finalement Mariana, »Il y a trop de confusion dans son récit concernant Angèle. Une journée elle n’avait eu que la femme de la photo comme amante, puis une suite de rencontres avec des filles, mais elle avait aussi mentionné qu’il y avait eu une deuxième régulière.
« L’histoire de l’enveloppe que m’a racontée Nathalie est une fabrication », ajouta Pénélope« C’est Lisa qui prend les photos et les fait circuler dans le milieu » continua la modiste, »Elle agit comme une agence de rencontres et prend un cachet quand les deux femmes prennent contact, souvent pour la première fois à l’hôtel de Lisa ».
La modiste regarda Mariana avec envie. Nathalie s’éloigna du couple. Quand deux femmes se veulent, il est impossible de les tenir séparer bien longtemps. C’est ce qu’avait appris Nathalie depuis longtemps. Avant de parler de choses sérieuses, elle devait laisser les deux femmes se satisfaire.
Pénélope se jeta sur Mariana et la cloua au lit. Les deux femmes s’embrassaient avec passion. Deux chaudes lapines. Nathalie recula un peu mais voulait quand même assister à ces ébats. Pénélope montait Mariana avec fougue. Mariana était active dans son rôle de ‘bitch’. Elle releva les jambes et les croisa autour de la taille de Pénélope. Nathalie se masturbait lentement en regardant la baise entre deux de ses femmes favorites. Les belles fesses de Pénélope s’agitaient en cadence et Mariana en râlait. Les deux avaient des mottes assez poilues et on pouvait entendre les poils se frotter. Mariana jouit très fort et força Pénélope à lui retenir les bras sur le lit. La modiste avait eu trop d’ongles plantés dans le dos pour ne pas se méfier. Pénélope continua à se frotter contre l’Italienne jusqu’à ce qu’elle jouisse aussi. Les deux femmes avaient rêvé de cette baise depuis leur rencontre il y avait quelques heures.
Nathalie se plaça sur le dos et semblait préoccupée. Elle voulait reparler d’Angèle et de Lisa.
« Je suis contente des vidéos de la baise avec Angèle et la femme de l’ambassade », dit-elle, « Je te remercie beaucoup Pénélope de ces renseignements ».
Mariana et Pénélope étaient enlacées mais écoutaient les propos de Nathalie avec attention.
« L’important c’est que Lisa ne soit aucunement au courant de notre cinéma », dit-elle visant surtout Mariana. ‘D’autre part, je ne la considère pas comme une rivale. C’est une agence de rencontres pour lesbiennes esseulées. Moi je me sers des relations entre des femmes pour faire aboutir un projet ou une transaction. C’est différent. « , continua Nathalie.
« Mais les deux activités peuvent se chevaucher (sans jeux de mots)’, dit Mariana, « comme dans le cas d’Angèle et de l’autre femme ».
Le téléphone de Mariana sonna. Elle se releva et prit l’appel dans le salon.
« J’ai rendez-vous avec Angèle dimanche midi. Elle voudra probablement baiser. Je fais quoi ? », demanda Mariana à Nathalie.
« Coupe les ponts avec Angèle, c’est trop dangereux. En revanche, continue de baiser avec Lisa et recueille tous les renseignements que tu peux sur son réseau », répondit Nathalie------------------------------------------------------------------------------------------------------------Ce dimanche, Mariana avait rencontré Angèle au bistro, avait récupéré sa clé et avait dit à Angèle qu’il y avait une autre femme dans sa vie et qu’elle préférait ne plus la voir. Angèle masqua maladroitement sa joie de se séparer de Mariana et de se concentrer sur ses amours avec la femme de l’Ambassade.
Ce soir-là, Mariana revit Lisa mais dans un appartement de Montmartre près de l’hôtel. Mariana lui expliqua qu’elle avait rompu avec Angèle et qu’elle préférait ne pas la rencontrer à l’hôtel.
« Elle ne viendra probablement plus à l’hôtel. Elle a une régulière maintenant », dit simplement Lisa.
« Tu la connais ? » hasarda Mariana« Oui. En fait elle est venue ici pour faire prendre sa photo. Je l’ai faite circuler et Angèle m’a rappelée pour un rendez-vous avec Constance » dit Lisa qui démontra qu’elle ne se doutait pas du cinéma de Nathalie.
Lisa sortit la photo de la brune. Mariana revit la brune de l’ambassade toute nue.
« Une belle femme. Constance ? », demanda Mariana.
« Oui c’est une Polonaise qui vivait en Allemagne depuis longtemps mais qui est arrivée à Paris récemment », dit LisaLisa se dirigea vers le bidet et plaça ses fesses molles à une extrémité et invita Mariana à lui faire face. Dans le bidet, Lisa prit un petit gode double d’une dizaine de centimètres et qui avait un petit gland aux deux extrémités. Son usage était assez simple à comprendre. Le gode disparut dans la vulve des deux femmes qui se rapprochèrent jusqu’à ce que le pénis ne se voyait presque plus. Elles s’embrassaient et se massaient les nichons tout en ondulant les hanches. C’était une nouveauté pour Mariana qui se cessait d’apprendre de nouvelles choses de Lisa.
Après un orgasme assez prometteur, les deux femmes changèrent de position pour que les fessiers se touchent. Lisa, qui ne faisait pas cela pour la première fois, inséra un bout du gode dans son trou de fesses et Mariana, pour qui s’était la première fois, reprit l’autre bout pour le faire disparaître dans son trou plissé.
La baise anale fut particulièrement appréciée. Les deux femmes gémissaient en cœur et elles n’avaient pas besoin de se toucher pour sentir le degré de plaisir qui augmentait. Seulement dans les derniers instants, elles se frottèrent le clito avec leurs doigts pour gicler dans le bidet ou au moins tout près.
Ce fut Lisa qui ramassa le gode et plaça un bout entre ses dents. Mariana hésita un instant avant de mordre l’autre bout. Les deux bouches se touchèrent un instant dans un rapide baiser.
« Tu veux que je prenne ta photo à poil et que je la fasse circuler ? », offrit Lisa, « C’est gratuit pour toi bien entendu ».
« Ah je ne sais pas…peut-être…laisse-moi y penser », répondit Mariana qui n’excluait pas devenir publique.
Après un 69 endiablé et une pisse bien méritée, Mariana quitta Lisa pour le moment et se retrouva au bureau de Nathalie qui n’avait pas lâché Pénélope de la journée.
----------------------------------------------------------------------------------D’abord l’Italienne dévoila le prénom de la brune de l’Ambassade et fit part de la confession de Lisa au sujet de la photo.
Mariana sortit le gode double de son sac.
« C’est un cadeau de Lisa’, dit fièrement MarianaPénélope connaissait bien le bidule. Elle était encore nue et invita Mariana à une baise anale.
Nathalie proposa de déménager le cirque dans le bain vide. Mariana et Pénélope s’installèrent comme l’Italienne l’avait fait avec Lisa. Nathalie attendit que les deux lesbiennes se frappent fesses contre fesses et s’installa pour les asperger toutes les deux de la tête aux pieds. L’orgasme des deux femmes fut bien senti et le bouche à bouche qu’avait expérimenté Mariana avec Lisa, se répéta avec succès avec Pénélope. Le ménage à trois se déroula entièrement dans le bain et dura une bonne heure.
Après une douche, les trois femmes nues se retrouvèrent sur le lit.
‘Lisa m’a offert de prendre ma photo et de la faire circuler », dit Mariana, « Qu’en pensez-vous ? »« Moi je ne le ferais pas », dit Pénélope, à moins de chercher l’âme sœur. »« Je suis d’accord’, dit Nathalie, « et tu deviens connue ce qui t’exclut de tout travail d’espionnage pour moi et pour d’autres. Qui va te faire vivre ? Lisa ? »« Vous avez probablement raison », dit Mariana, « Je vais réfléchir à tout cela ».
Maintenant c’était au tour de Nathalie d’être l’agresseur. Mariana et Pénélope se couchèrent sur le dos, côte à côte. Mariana commença avec Pénélope et couvrit son corps du sien avant de débuter des mouvements de hanches. Mariana et Pénélope se donnèrent des baisers pendant qu’elles avaient encore l’occasion. Puis Nathalie et la modiste se soudèrent chatte à chatte, se frottant comme elles l’avaient fait une partie de la journée. Mariana resta couchée mais se glissa un peu pour leur donner plus d’espace. Nathalie s’arrêta, roula sur le côté en abandonnant Pénélope et monta Mariana qui écarta les jambes pour se préparer à l’assaut de Nathalie. Après quelques minutes, Nathalie laissa Mariana pour reprendre avec Pénélope. Quand elles étaient seules, les deux passives se frottaient le clito pour demeurer mouillées et prêtes. Nathalie continua ce va-et-vient jusqu’à ce que les deux femmes fussent satisfaites. Nathalie partagea son orgasme avec les deux. Nathalie n’était pas la plus jeune mais elle avait encore ce qu’il fallait pour garder ses amoureuses dans son giron. Ou c’était peut-être pour voir laquelle des deux lui resterait fidèle ?
Mariana s’habilla sans prendre une douche et retourna chez elle. Elle avait bien pris son pied. Trois femmes dans la même journée. Elle se sentait comme une pute, une machine à jouir. Mais elle était où elle voulait être. Elle avait quitté Lyon pour grimper dans la hiérarchie. Elle était confuse. Elle devait réfléchir à tout cela.
Elle avait l’impression que Nathalie, dans un sens, venait de lui faire ses adieux.
A SUIVRE