Au restaurant
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 68 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Cello ont reçu un total de 902 617 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 50 826 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Au restaurant
-- Pendant le trajet, je t'ordonne : « Relève ta jupe sur tes cuisses et continue à te caresser au travers de ta culotte, te voir ainsi, aussi docile et salope m'excite terriblement ».
**** J'obéis honteuse, mais excitée de me livrer à vos désirs vicieux et de vous entendre parler de moi aussi crûment, je suis dans votre voiture, la jupe relevée en haut de mes cuisses, dévoilant celles-ci, mes bas et ma culotte toute mouillée au travers de laquelle je caresse mes lèvres et mon clitoris hyper sensible.
**** « Ho ! Monsieur le directeur je… Heu… Hum… J'ai honte, je… Heu… Je ne me suis jamais caressée devant un homme, surtout en voiture. Je… Hum… mon dieu ! Si mon mari me voyait ..."
-- Arrivé près du restaurant, je gare la voiture et fait le tour du véhicule pour t'ouvrir la portière. Je t'aide à descendre et te donne le bras pour nous rendre dans le restaurant.
**** Malgré ma soumission quasi forcée, je dois reconnaître que cette situation ne me déplait pas totalement, je suis même flattée que vous m'ouvriez la porte et m'accordiez de l'importance.
-- Lorsque nous rentrons dans la salle de restauration, ton arrivée ne passe pas inaperçu et le brouhaha de la salle fait place pendant quelques secondes à un silence pesant alors que les regards se tournent vers toi.
**** Je suis horriblement gênée mais bon, je me dis que ce n'est que dans ma tête, qu'avec ma veste, personne ne peut deviner que dessous j'ai un cache cœur léger sans soutien gorge tachée de foutre ! Au pire, les clients de ce restaurant peuvent-ils deviner que j'ai une poitrine forte.
-- Je te conduis vers une table légèrement à l'écart de la salle, puis je t'aide à ôter ta veste et te le donne en te disant : « Tu peux aller la mettre sur les portes manteaux là bas. » -- Ce qui t’obliges à traverser une partie de la salle montrant tes seins ballottés sous ton gilet maculé de sperme. Tu te sens observer et mater par tous ces males.
**** Honteuse, mais consciente que je n'ai pas le choix, je prends ma veste sur l'avant bras contre moi et je vais au porte manteau. A l'aller, je sens les regards sur moi mais je me sens protégée par la veste, mais au retour, je sens les regards sur ma poitrine ballotante et sur les auréoles de sperme séché qui collent le tissus sur ma peau... Je suis toute rouge, morte de honte, quand j'arrive à la table.
-- Alors que tu reviens t'asseoir face à moi et dos à la salle, afin que tu te sentes plus détendues, je te regarde et te dis : « Tu sais que tu es très bandante ainsi et que je suis en train de faire des jaloux »
**** « Je… Heu… Merci monsieur le directeur, cela me fait du bien de vous entendre dire cela. En temps normal j'aurais été choquée de vous entendre dire que je suis bandante, mais là je ne remarque même plus, et je… Heu… Je suis même flattée, même si je ne me sens pas très à l'aise de sentir les regards de ces hommes sur heu… Enfin vous voyez »****Vous me regardez intensément et comme pour me demander de préciser ; « Sur quoi Marie ? Sur vos gros ni... » « Sur mes gros nichons Monsieur le directeur... »Je baisse les yeux de honte et de soumission après avoir dit cela.
-- Je te propose alors : « Que penses tu d'une bouteille de champagne pour arroser ton contrat d'embauche et aussi ta nouvelle vie de salope qui commence ? »
**** « Je… Heu… Heu… Oui merci du champagne, c'est très gentil ... » Je fais semblant de ne pas avoir entendu le mot salope, mais vous ajoutez à nouveau : « Dites le aussi après moi, merci de fêter ainsi ma nouvelle vie de ... » Et moi morte de honte, humiliée je répète « Oui monsieur le directeur, merci de fêter ainsi ma nouvelle vie de… Heu… de salope qui commence »
-- Lorsque le serveur vient prendre la commande, je lui demande une bouteille de champagne. Le serveur reste les yeux fixer sur tes gros nichons, puis alors qu’il s’éloigne, je te dis : « Retire ta culotte et donne là moi »
**** « Ici Monsieur le directeur mais… Je… Heu ... Bien monsieur ... » **** Je me tortille tant bien que mal pour l'enlever sans attirer l'attention et les yeux mouillésde honte presque autant que l'est ma culotte, j'approche ma main contenant ma culotte vers vous.
-- Alors que je prends ta culotte que tu me tends, je la porte à mon visage et dit : « Elle sent la chienne en rut ». Puis, je dépose celle-ci sur le milieu de la table dans le but que le serveur la voit.
**** « Ho ! Mon dieu je… Heu… S'il vous plait, je… Heu… Le serveur, il va… Heu… Il va la voir ... »
-- Lorsque celui-ci reviens avec la bouteille et les coupes, il ne manque pas de remarquer ton sous vêtement sur le milieu de la table et dit : « Je vois que madame c'est mise à l'aise »
**** L'humiliation fait place à la honte et je n'ose le regarder, la tête baissée
-- Je prends alors le tissus léger et le lui tends en disant : « Qu’en pensez vous ? »« elle est trempée » Et la portant à son nez, il ajoute : « Elle sent la chienne en chaleur »
**** La tête baissée, je sens une larme couler sur ma joue. Mon dieu, qu'est ce qui m’a pris de me fourrer dans un guêpier pareil, moi si prude et coincée je passe pour une salope auprès de ce serveur ... Non en fait, mon nouveau patron a fait de moi une salope ! Non seulement je l'ai sucé, j'ai reçu une éjaculation plus forte que je n'aurais jamais imaginé qu'il en soient possible et je suis avec un autre homme que mon mari nue sous ma jupe et mon cache coeur taché de sperme dans un restaurant dont le serveur dit que je suis une chienne en chaleur et je ne réponds rien ...
-- A la fin du repas, je te propose de prendre un dessert, il n'y a plus grand monde dans le resto et après avoir passé commande des desserts je te dis : « Dénude une de tes grosses outres et caresse ton téton »
**** Je devrais pourtant être habituée à vos désirs pervers, mais je pensais être allée au bout de vos fantasmes (je suis vraiment naïve et vais progressivement devenir sans m'en rendre compte votre esclave sexuelle, de la viande à plaisir) mais là, je suis estomaquée.
**** « Je… Heu… Mais monsieur je… Heu…, que je montre un de mes seins »
-- « ts ts ts, tu n'as plus de seins, mais des outres, des mamelles ou des pis comme tu veux, utilise le bon vocabulaire quand tu me parles »
**** « Je… Heu… Bien…Je… Pardon je… Mais que je montre un… Heu… Une outre au serveur mais je heu ... Comme vous voudrez monsieur... »**** Les larmes me coulent sur les joues et j’écarte l’un des pans du gilet cache cœur dénudant et libérant totalement un de mes seins, honteuse mais docilement résignée puis suivant la suite de vos consignes, je caresse doucement mon téton qui durcis comme une framboise sur mon mamelon gonflé.
-- Le serveur revient quelques minutes plus tard alors que tu as un nichon à l’air et que ton téton pointe fièrement, il dépose les desserts et dis : « Je vois que madame a déjà sortie la moitié du dessert »-- Je souris et dis ; « Oui, elle était impatiente »-- et j'ajoute : « Marie si tu montrais la totalité de ce que tu as à offrir ».
**** Résignée j'obéis en écartant l’autre pan du vêtement pour dévoiler totalement mes deux mamelles sous les yeux du serveur, qui ricane en ajoutant : « Monsieur aime la quantité... » Avant de s'éloigner.
-- Je le rappelle et lui dit : « Vous apporterez 3 cafés ! » Et ajoute : « Vous prendrez bien le café en notre compagnie » -- « Volontiers ! Répond t-il satisfait »
-- Lorsqu’il revient avec les cafés, je lui propose de s’asseoir près de toi, « Ainsi vous verrez mieux les grosses mamelles de madame et pourrez les pétrir à loisirs »
**** Je suis toute rouge, honteuse, mais je n'arrive pas à trouver ce que je pourrais faire pour me sortir de cette situation. Je garde les yeux baissés laissant le serveur s'asseoir à mes côtés. De votre coté, vous sortez votre téléphone pour filmer la scène, je suis trop préoccupée par le pelotage qui s'annonce pour remarquer que vous commencez à filmer.
-- Le serveur ne se fait pas prier pour s’asseoir à tes côtés et immédiatement saisit un de tes pis qu’il malaxe et pétrit sans ménagement.
**** Oui il commence par me prendre un sein par en dessous le soupèse. « Hé ! Dites donc ce n’est pas étonnant qu'ils soient tombants, ils sont bien lourds, de vraies outres à pétrir ! »Puis il m'agrippe le second sein en tirant un peu dessus me forçant à me tourner un peu vers lui et ils me les malaxe lentement, mais vraiment fort. « Hum ! De la bonne chair à attendrir, moelleux à souhait, bien souples, dommage que je n'ai pas le temps elle me file la gaule votre putain, la prochaine fois si vous le voulez bien je me branlerais bien entre ! Allez c'est pas tout ça ! Mais j'ai encore beaucoup de travail, l'addition est pour moi ! » Et il s'en va me laissant honteuse et malgré moi excitée. De votre coté vous avez tout filmé et je m'en rends compte, si mon mari voyait ça ?!
**** Je le regarde faire puis te regarde le laissant faire sans aucune opposition ni désapprobation.
-- Une fois les cafés buent, je te dis : « En revenant au bureau, tu appelleras ton mari pour lui dire que tu as décrochée le contrat, mais tu devras mettre le haut parleur pour que j’entendre toute la conversation – ok ? » Puis j’ajoute : « Réajuste ton gilet sans trop le serré, et va chercher ta veste, nous allons retourner au bureau. »
**** Je ne réponds pas, et me lève rouge de honte, et traverse la salle, la tête baissée, sentant mes grosses mamelles ballottées à chaque pas.
-- Alors, que tu reviens vers moi, je te dis : « Garde ta veste sur le bras ». Puis, te prenant par la main, nous sortons du restaurant et regagnons la voiture.
-- Je t’ouvre la portière et profite que tu rentres dans la voiture pour mater ton entrejambe. Sur le chemin du retour, je te demande d écarter les pans de ton gilet et de rester ainsi les seins à l’air durant le trajet. Nous arrivons au bureau, ouvre celui-ci et te dis : « Tu es prête à téléphoner à ton mari ? »
**** J'obéis honteuse, mais excitée de me livrer à vos désirs vicieux et de vous entendre parler de moi aussi crûment, je suis dans votre voiture, la jupe relevée en haut de mes cuisses, dévoilant celles-ci, mes bas et ma culotte toute mouillée au travers de laquelle je caresse mes lèvres et mon clitoris hyper sensible.
**** « Ho ! Monsieur le directeur je… Heu… Hum… J'ai honte, je… Heu… Je ne me suis jamais caressée devant un homme, surtout en voiture. Je… Hum… mon dieu ! Si mon mari me voyait ..."
-- Arrivé près du restaurant, je gare la voiture et fait le tour du véhicule pour t'ouvrir la portière. Je t'aide à descendre et te donne le bras pour nous rendre dans le restaurant.
**** Malgré ma soumission quasi forcée, je dois reconnaître que cette situation ne me déplait pas totalement, je suis même flattée que vous m'ouvriez la porte et m'accordiez de l'importance.
-- Lorsque nous rentrons dans la salle de restauration, ton arrivée ne passe pas inaperçu et le brouhaha de la salle fait place pendant quelques secondes à un silence pesant alors que les regards se tournent vers toi.
**** Je suis horriblement gênée mais bon, je me dis que ce n'est que dans ma tête, qu'avec ma veste, personne ne peut deviner que dessous j'ai un cache cœur léger sans soutien gorge tachée de foutre ! Au pire, les clients de ce restaurant peuvent-ils deviner que j'ai une poitrine forte.
-- Je te conduis vers une table légèrement à l'écart de la salle, puis je t'aide à ôter ta veste et te le donne en te disant : « Tu peux aller la mettre sur les portes manteaux là bas. » -- Ce qui t’obliges à traverser une partie de la salle montrant tes seins ballottés sous ton gilet maculé de sperme. Tu te sens observer et mater par tous ces males.
**** Honteuse, mais consciente que je n'ai pas le choix, je prends ma veste sur l'avant bras contre moi et je vais au porte manteau. A l'aller, je sens les regards sur moi mais je me sens protégée par la veste, mais au retour, je sens les regards sur ma poitrine ballotante et sur les auréoles de sperme séché qui collent le tissus sur ma peau... Je suis toute rouge, morte de honte, quand j'arrive à la table.
-- Alors que tu reviens t'asseoir face à moi et dos à la salle, afin que tu te sentes plus détendues, je te regarde et te dis : « Tu sais que tu es très bandante ainsi et que je suis en train de faire des jaloux »
**** « Je… Heu… Merci monsieur le directeur, cela me fait du bien de vous entendre dire cela. En temps normal j'aurais été choquée de vous entendre dire que je suis bandante, mais là je ne remarque même plus, et je… Heu… Je suis même flattée, même si je ne me sens pas très à l'aise de sentir les regards de ces hommes sur heu… Enfin vous voyez »****Vous me regardez intensément et comme pour me demander de préciser ; « Sur quoi Marie ? Sur vos gros ni... » « Sur mes gros nichons Monsieur le directeur... »Je baisse les yeux de honte et de soumission après avoir dit cela.
-- Je te propose alors : « Que penses tu d'une bouteille de champagne pour arroser ton contrat d'embauche et aussi ta nouvelle vie de salope qui commence ? »
**** « Je… Heu… Heu… Oui merci du champagne, c'est très gentil ... » Je fais semblant de ne pas avoir entendu le mot salope, mais vous ajoutez à nouveau : « Dites le aussi après moi, merci de fêter ainsi ma nouvelle vie de ... » Et moi morte de honte, humiliée je répète « Oui monsieur le directeur, merci de fêter ainsi ma nouvelle vie de… Heu… de salope qui commence »
-- Lorsque le serveur vient prendre la commande, je lui demande une bouteille de champagne. Le serveur reste les yeux fixer sur tes gros nichons, puis alors qu’il s’éloigne, je te dis : « Retire ta culotte et donne là moi »
**** « Ici Monsieur le directeur mais… Je… Heu ... Bien monsieur ... » **** Je me tortille tant bien que mal pour l'enlever sans attirer l'attention et les yeux mouillésde honte presque autant que l'est ma culotte, j'approche ma main contenant ma culotte vers vous.
-- Alors que je prends ta culotte que tu me tends, je la porte à mon visage et dit : « Elle sent la chienne en rut ». Puis, je dépose celle-ci sur le milieu de la table dans le but que le serveur la voit.
**** « Ho ! Mon dieu je… Heu… S'il vous plait, je… Heu… Le serveur, il va… Heu… Il va la voir ... »
-- Lorsque celui-ci reviens avec la bouteille et les coupes, il ne manque pas de remarquer ton sous vêtement sur le milieu de la table et dit : « Je vois que madame c'est mise à l'aise »
**** L'humiliation fait place à la honte et je n'ose le regarder, la tête baissée
-- Je prends alors le tissus léger et le lui tends en disant : « Qu’en pensez vous ? »« elle est trempée » Et la portant à son nez, il ajoute : « Elle sent la chienne en chaleur »
**** La tête baissée, je sens une larme couler sur ma joue. Mon dieu, qu'est ce qui m’a pris de me fourrer dans un guêpier pareil, moi si prude et coincée je passe pour une salope auprès de ce serveur ... Non en fait, mon nouveau patron a fait de moi une salope ! Non seulement je l'ai sucé, j'ai reçu une éjaculation plus forte que je n'aurais jamais imaginé qu'il en soient possible et je suis avec un autre homme que mon mari nue sous ma jupe et mon cache coeur taché de sperme dans un restaurant dont le serveur dit que je suis une chienne en chaleur et je ne réponds rien ...
-- A la fin du repas, je te propose de prendre un dessert, il n'y a plus grand monde dans le resto et après avoir passé commande des desserts je te dis : « Dénude une de tes grosses outres et caresse ton téton »
**** Je devrais pourtant être habituée à vos désirs pervers, mais je pensais être allée au bout de vos fantasmes (je suis vraiment naïve et vais progressivement devenir sans m'en rendre compte votre esclave sexuelle, de la viande à plaisir) mais là, je suis estomaquée.
**** « Je… Heu… Mais monsieur je… Heu…, que je montre un de mes seins »
-- « ts ts ts, tu n'as plus de seins, mais des outres, des mamelles ou des pis comme tu veux, utilise le bon vocabulaire quand tu me parles »
**** « Je… Heu… Bien…Je… Pardon je… Mais que je montre un… Heu… Une outre au serveur mais je heu ... Comme vous voudrez monsieur... »**** Les larmes me coulent sur les joues et j’écarte l’un des pans du gilet cache cœur dénudant et libérant totalement un de mes seins, honteuse mais docilement résignée puis suivant la suite de vos consignes, je caresse doucement mon téton qui durcis comme une framboise sur mon mamelon gonflé.
-- Le serveur revient quelques minutes plus tard alors que tu as un nichon à l’air et que ton téton pointe fièrement, il dépose les desserts et dis : « Je vois que madame a déjà sortie la moitié du dessert »-- Je souris et dis ; « Oui, elle était impatiente »-- et j'ajoute : « Marie si tu montrais la totalité de ce que tu as à offrir ».
**** Résignée j'obéis en écartant l’autre pan du vêtement pour dévoiler totalement mes deux mamelles sous les yeux du serveur, qui ricane en ajoutant : « Monsieur aime la quantité... » Avant de s'éloigner.
-- Je le rappelle et lui dit : « Vous apporterez 3 cafés ! » Et ajoute : « Vous prendrez bien le café en notre compagnie » -- « Volontiers ! Répond t-il satisfait »
-- Lorsqu’il revient avec les cafés, je lui propose de s’asseoir près de toi, « Ainsi vous verrez mieux les grosses mamelles de madame et pourrez les pétrir à loisirs »
**** Je suis toute rouge, honteuse, mais je n'arrive pas à trouver ce que je pourrais faire pour me sortir de cette situation. Je garde les yeux baissés laissant le serveur s'asseoir à mes côtés. De votre coté, vous sortez votre téléphone pour filmer la scène, je suis trop préoccupée par le pelotage qui s'annonce pour remarquer que vous commencez à filmer.
-- Le serveur ne se fait pas prier pour s’asseoir à tes côtés et immédiatement saisit un de tes pis qu’il malaxe et pétrit sans ménagement.
**** Oui il commence par me prendre un sein par en dessous le soupèse. « Hé ! Dites donc ce n’est pas étonnant qu'ils soient tombants, ils sont bien lourds, de vraies outres à pétrir ! »Puis il m'agrippe le second sein en tirant un peu dessus me forçant à me tourner un peu vers lui et ils me les malaxe lentement, mais vraiment fort. « Hum ! De la bonne chair à attendrir, moelleux à souhait, bien souples, dommage que je n'ai pas le temps elle me file la gaule votre putain, la prochaine fois si vous le voulez bien je me branlerais bien entre ! Allez c'est pas tout ça ! Mais j'ai encore beaucoup de travail, l'addition est pour moi ! » Et il s'en va me laissant honteuse et malgré moi excitée. De votre coté vous avez tout filmé et je m'en rends compte, si mon mari voyait ça ?!
**** Je le regarde faire puis te regarde le laissant faire sans aucune opposition ni désapprobation.
-- Une fois les cafés buent, je te dis : « En revenant au bureau, tu appelleras ton mari pour lui dire que tu as décrochée le contrat, mais tu devras mettre le haut parleur pour que j’entendre toute la conversation – ok ? » Puis j’ajoute : « Réajuste ton gilet sans trop le serré, et va chercher ta veste, nous allons retourner au bureau. »
**** Je ne réponds pas, et me lève rouge de honte, et traverse la salle, la tête baissée, sentant mes grosses mamelles ballottées à chaque pas.
-- Alors, que tu reviens vers moi, je te dis : « Garde ta veste sur le bras ». Puis, te prenant par la main, nous sortons du restaurant et regagnons la voiture.
-- Je t’ouvre la portière et profite que tu rentres dans la voiture pour mater ton entrejambe. Sur le chemin du retour, je te demande d écarter les pans de ton gilet et de rester ainsi les seins à l’air durant le trajet. Nous arrivons au bureau, ouvre celui-ci et te dis : « Tu es prête à téléphoner à ton mari ? »
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Cello
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ça me donne envie d'avoir des grosses mamelles presque lol. Bises
vite la suite :)