Marie ma nouvelle voisine - 42 - samedi
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie ma nouvelle voisine - 42 - samedi
Ce matin, Marie et Cello se sont levés plus tôt, car c'est la seconde journée de travail de Marie dans le sex-shop. Comme pour sa première journée, Marie revêt juste son imper, son employeur lui offrant une tenue tous les samedis.
Cello la dépose devant le magasin et Marie contourne celui-ci pour pénétrer par l'arrière de la boutique. En arrivant, elle ôte son imper et fait la bise à son patron, qui en profite pour la peloter. Puis, il font un petit tour dans l'entrepôt pour choisir la tenue du jour pour la vendeuse.
Marie opte pour une combinaison résille ouverte à l'entrejambe. Elle va dans la cabine numéro une pour enfiler ce vêtement extensible. Lorsqu'elle ressort de la cabine, elle se regarde dans la miroir et apprécie son image dans ce vêtement qui ne cache rien de son anatomie.
En ce début de journée, il n'y a encore pas de client, et Marie en profite pour mettre de l'ordre dans les rayons et remettre des articles qu'elle va chercher dans la réserve. Le premier client, un petit vieux, fait un tour dans le magasin, juste pour se rincer l'oeil en suivant parfois la vendeuse, car un ami lui a dit que le samedi, il y avait une belle vendeuse sey. Malgré l'annonce du gérant, l'homme n'achète rien et quitte la boutique au bout d'un quart d'heure environ.
Quelques minutes plus tard, quelle n'est pas sa surprise en voyant entrer dans le magasin, Bernard et Christine. Marie va les acceuillir, leur fait la bise, et remarque que Christine à une robe mi-cuisse comme elle était en début de semaine.
Elle regarde Marie des pieds à la tête et lui demande :
« Cela ne te gène pas de t'exposer aux regards de ton patron et des clients ? »
Marie : « Non au contraire, ça m'excite, mais vous que faites vous ici? »
Bernard : « C'est Cello qui m'a donné l'adresse et qui m'a dit que tu travaillais ici dorénavant le samedi et comme Christine veux des vêtements plus sexy, nous avons pensé que tu pourrais la conseiller ».
Christine fière d'elle, annonce à sa nouvelle amie :
« Tu sais que je n'ai pas remis de culotte depuis je t'ai rencontré lundi dernier. Au début, Bernard m'accompagnait et depuis jeudi, j'ose même sortir seule pour faire quelques petites courses à la boulangerie, l'épicerie ou le tabac journaux »
Marie : « Félicitations ma belle, tu vois qu'on s'y habitue »
Christine : « Oui quand je rentre, je suis tellement excitée que Bernard en profite, aussi il m'encourage à être encore plus cochonne ».
Le gérant passe alors son annonce, annonce qu'il a modifié, car il souhaite que son hôtesse soit le plus possible dans la boutique, pour inciter les chalands à acheter.
« Aujourd'hui, sur présentation de votre ticket de caisse à notre vendeuse d'un montant supérieur à 100 euros, celle-ci se fera une joie de se laisser caresser dans la cabine N°1, pendant 5 mn, 300 euros/10 minutes, 500 euros/15 minutes et 20 minutes au dessus de 1000 euros ».
Christine est choquée par l'annonce qu'elle vient d'entendre :
« Comment peux-tu accepter cela ? »
Marie : « Mais ma belle, cela fait décollé le chiffre d'affaires et je touche 10% du chiffre du samedi en plus de mon salaire. Bref, par quel rayon voulez-vous commencer? »
Bernard : « On veut tout voir, j'ai dis à Christine - budget no limit - mais pourquoi pas le rayon robe ! »
Ils suivent Marie et lorsque celle-ci leur montre certains modèles, ils trouvent les tenues trop courtes mais Marie en bonne vendeuse, persuade le couple en disant que Christine peut toujours mettre un imper ou un manteau dessus. Après avoir flaner dans divers rayons, Bernard a les bras chargé de robes, guêpières, jupes courtes, chemisier et sous-vêtements. Marie propose ensuite des accessoires et ils choisissent un plug anal, un œuf vibrant télécommandé, un collier et une laisse.
Lorsqu'il passe à la caisse, le montant est exorbitant. Le gérant annonce une note de 1190 euros. Bernard règle sans sourciller les achats et le gérant leur annonce que pour ce montant ils ont droit à 20 minutes en compagnie de la charmante vendeuse. Pendant ce temps, Marie s'offre aux caresses manuelles et buccales de Bernard, devant Christine, qui a enlevé sa robe pour se caresser. Lorsque la lumière de la cabine s'éteint quelques secondes, Marie explique au couple qu'il ne reste qu'une minute et que Christine doit se rhabiller.
Quand le trio sort de la cabine, le couple est ravi de l'aventure et Marie trempée est déjà épuisée par les caresses de son ami. Avant qu'il quitte le magasin, Marie les embrasse et dit à Christine :
« S'il te plait, ne prend pas de douche d'ici demain ».
Ils confirment leur venue le lendemain chez Cello et quittent le magasin.
Le gérant en voyant l'état d'excitation de sa vendeuse, entraîne Marie dans la réserve et la baise sur les cartons de vêtement, sans fermer la porte qui les sépare du magasin, car celui-ci est resté ouvert à ma clientèle.
Pendant la pause de midi, Marie suce son employeur avant de se reposer une petite heure, avant de reprendre le travail. L'après-midi n'est pas de tout repos pour Marie qui se rendra 4 fois dans la cabine pour se faire masturber entre 5 et 10 minutes et sera tétée une fois à chaque sein par le gérant.
A 19 heures, elle enfile son imper et va faire la bise à son patron qui lui tend une enveloppe avec ce qu'elle a gagné dans sa journée.
Cello lui demande : « Alors ma petite pute, as-tu passé une bonne journée ? »
Marie : « Oh oui monsieur, j'ai du gagné près de 1000 euros aujourd'hui »
Cello : « Tu exagères, petite ambitieuse ! »
Marie : « Non je vous le jure : 500 euros la journée, 2 tétée à 100 euros, le matin Bernard et Christine sont passés au magasin et j'ai gagné 119 euros et l'après midi 4 clients pour une soixantaine d'euros et cette jolie combinaison » et elle ouvre son imper pour montrer sa tenue.
Cello : « Bien jouer ma belle, tu vas très vite ruiner ton patron à ce rythme, mais tu as donc vu Bernard et Christine ? »
Marie : « Oui, ils m'ont confirmée leur venue demain et bonne nouvelle Christine est totalement lisse ».
Marie explique à Cello, comment elle est au courant de cela et dit que leur nouvelle amie n'a pas remis de culotte depuis leur rencontre.
Ils arrivent chez eux pour une soirée tranquille, car ils veulent être en forme le lendemain.
Cello la dépose devant le magasin et Marie contourne celui-ci pour pénétrer par l'arrière de la boutique. En arrivant, elle ôte son imper et fait la bise à son patron, qui en profite pour la peloter. Puis, il font un petit tour dans l'entrepôt pour choisir la tenue du jour pour la vendeuse.
Marie opte pour une combinaison résille ouverte à l'entrejambe. Elle va dans la cabine numéro une pour enfiler ce vêtement extensible. Lorsqu'elle ressort de la cabine, elle se regarde dans la miroir et apprécie son image dans ce vêtement qui ne cache rien de son anatomie.
En ce début de journée, il n'y a encore pas de client, et Marie en profite pour mettre de l'ordre dans les rayons et remettre des articles qu'elle va chercher dans la réserve. Le premier client, un petit vieux, fait un tour dans le magasin, juste pour se rincer l'oeil en suivant parfois la vendeuse, car un ami lui a dit que le samedi, il y avait une belle vendeuse sey. Malgré l'annonce du gérant, l'homme n'achète rien et quitte la boutique au bout d'un quart d'heure environ.
Quelques minutes plus tard, quelle n'est pas sa surprise en voyant entrer dans le magasin, Bernard et Christine. Marie va les acceuillir, leur fait la bise, et remarque que Christine à une robe mi-cuisse comme elle était en début de semaine.
Elle regarde Marie des pieds à la tête et lui demande :
« Cela ne te gène pas de t'exposer aux regards de ton patron et des clients ? »
Marie : « Non au contraire, ça m'excite, mais vous que faites vous ici? »
Bernard : « C'est Cello qui m'a donné l'adresse et qui m'a dit que tu travaillais ici dorénavant le samedi et comme Christine veux des vêtements plus sexy, nous avons pensé que tu pourrais la conseiller ».
Christine fière d'elle, annonce à sa nouvelle amie :
« Tu sais que je n'ai pas remis de culotte depuis je t'ai rencontré lundi dernier. Au début, Bernard m'accompagnait et depuis jeudi, j'ose même sortir seule pour faire quelques petites courses à la boulangerie, l'épicerie ou le tabac journaux »
Marie : « Félicitations ma belle, tu vois qu'on s'y habitue »
Christine : « Oui quand je rentre, je suis tellement excitée que Bernard en profite, aussi il m'encourage à être encore plus cochonne ».
Le gérant passe alors son annonce, annonce qu'il a modifié, car il souhaite que son hôtesse soit le plus possible dans la boutique, pour inciter les chalands à acheter.
« Aujourd'hui, sur présentation de votre ticket de caisse à notre vendeuse d'un montant supérieur à 100 euros, celle-ci se fera une joie de se laisser caresser dans la cabine N°1, pendant 5 mn, 300 euros/10 minutes, 500 euros/15 minutes et 20 minutes au dessus de 1000 euros ».
Christine est choquée par l'annonce qu'elle vient d'entendre :
« Comment peux-tu accepter cela ? »
Marie : « Mais ma belle, cela fait décollé le chiffre d'affaires et je touche 10% du chiffre du samedi en plus de mon salaire. Bref, par quel rayon voulez-vous commencer? »
Bernard : « On veut tout voir, j'ai dis à Christine - budget no limit - mais pourquoi pas le rayon robe ! »
Ils suivent Marie et lorsque celle-ci leur montre certains modèles, ils trouvent les tenues trop courtes mais Marie en bonne vendeuse, persuade le couple en disant que Christine peut toujours mettre un imper ou un manteau dessus. Après avoir flaner dans divers rayons, Bernard a les bras chargé de robes, guêpières, jupes courtes, chemisier et sous-vêtements. Marie propose ensuite des accessoires et ils choisissent un plug anal, un œuf vibrant télécommandé, un collier et une laisse.
Lorsqu'il passe à la caisse, le montant est exorbitant. Le gérant annonce une note de 1190 euros. Bernard règle sans sourciller les achats et le gérant leur annonce que pour ce montant ils ont droit à 20 minutes en compagnie de la charmante vendeuse. Pendant ce temps, Marie s'offre aux caresses manuelles et buccales de Bernard, devant Christine, qui a enlevé sa robe pour se caresser. Lorsque la lumière de la cabine s'éteint quelques secondes, Marie explique au couple qu'il ne reste qu'une minute et que Christine doit se rhabiller.
Quand le trio sort de la cabine, le couple est ravi de l'aventure et Marie trempée est déjà épuisée par les caresses de son ami. Avant qu'il quitte le magasin, Marie les embrasse et dit à Christine :
« S'il te plait, ne prend pas de douche d'ici demain ».
Ils confirment leur venue le lendemain chez Cello et quittent le magasin.
Le gérant en voyant l'état d'excitation de sa vendeuse, entraîne Marie dans la réserve et la baise sur les cartons de vêtement, sans fermer la porte qui les sépare du magasin, car celui-ci est resté ouvert à ma clientèle.
Pendant la pause de midi, Marie suce son employeur avant de se reposer une petite heure, avant de reprendre le travail. L'après-midi n'est pas de tout repos pour Marie qui se rendra 4 fois dans la cabine pour se faire masturber entre 5 et 10 minutes et sera tétée une fois à chaque sein par le gérant.
A 19 heures, elle enfile son imper et va faire la bise à son patron qui lui tend une enveloppe avec ce qu'elle a gagné dans sa journée.
Cello lui demande : « Alors ma petite pute, as-tu passé une bonne journée ? »
Marie : « Oh oui monsieur, j'ai du gagné près de 1000 euros aujourd'hui »
Cello : « Tu exagères, petite ambitieuse ! »
Marie : « Non je vous le jure : 500 euros la journée, 2 tétée à 100 euros, le matin Bernard et Christine sont passés au magasin et j'ai gagné 119 euros et l'après midi 4 clients pour une soixantaine d'euros et cette jolie combinaison » et elle ouvre son imper pour montrer sa tenue.
Cello : « Bien jouer ma belle, tu vas très vite ruiner ton patron à ce rythme, mais tu as donc vu Bernard et Christine ? »
Marie : « Oui, ils m'ont confirmée leur venue demain et bonne nouvelle Christine est totalement lisse ».
Marie explique à Cello, comment elle est au courant de cela et dit que leur nouvelle amie n'a pas remis de culotte depuis leur rencontre.
Ils arrivent chez eux pour une soirée tranquille, car ils veulent être en forme le lendemain.
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