Marie ma nouvelle voisine - 48 - mardi après-midi

- Par l'auteur HDS Cello -
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Marie ma nouvelle voisine - 48 - mardi après-midi Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie ma nouvelle voisine - 48 - mardi après-midi
En début d 'après-midi, Marie vient retrouver Cello dans son bureau et lui donne la liste des achats à faire pour le repas du jeudi. Elle n'en dit pas plus, voulant pour l'instant faire la surprise même à son amant. Cello en prenant connaissance des achats, constate qu'ils devront aller chez le poissonnier, le marchand de fruits et légumes, le caviste, le volailler, l'apiculteur ou tout acheter dans une grande surface.

La décision est vite prise de faire les 5 petits commerces, ce qui donnaient plus de chance et de faciliter pour exhiber et d'humilier les deux femelles. Aussi, lorsque Christine réapparait reposée, dans le séjour, il leur demande de mettre leur imper et ils vont dans un petit quartier commerçant pour faire les courses.

Cello arrête l'automobile près d'une petite épicerie, réputée pour avoir des fruits et légumes de qualités. Le trio est acceuillit par un cinquagénaire, chétif mais souriant.

Marie : « Nous voudrions 2 beaux melons pour quatre personnes s'il vout plait »
L'épicier : « Oui c'est pour manger quand et quelle grosseur désirez-vous? »
Marie : « C'est pour jeudi soir, et pour la grosseur, je les désire de cette taille »
Et elle dénude la poitrine de Christine, montrant au commerçant les belles mamelles de son amie.

L'épicier : « Je vois, je vais avoir exactement ce que vous souhaitez »
Ils prends deux beaux melons les soupèse, et dit :
« La moitié de ceux-ci font axactement la taille des nichons de votre copine, et ils sont garantis juteux et très sucrés ».

Marie : « Il me faudrait aussi 8 beaux abricots bien juteux »
Le commercçant : « Pour jeudi soir aussi, je suppose ? »
Il s'éloigne et revient avec un sac papier contenant 9 beaux abricots bien dorés par le soleil. Il en prend un, sépare les oreillons et les tends à Cello et Marie :
« Goûtez, vous allez voir comme ils sont bien juteux ».

Marie et Cello mange les oreillons d'abricot et Cello retorque :
« L 'abricot de madame est lui aussi très juteux, vous voulez goûter? »
Christine debout, toujours dépoitraillée, laisse alors Cello ôter la ceinture de son imper et la mettre nue devant l'épicier. Elle ne dit rien et lorsque l'homme s'agenouille devant la brune, celle-ci écarte ses cuisses pour laisser le commerçant lui lécher la chatte.

L'homme se redresse au bout de quelques minutes et dit ;
« Effectivement l'abricot de madame est également très juteux et sucré.

Marie demande ensuite 2 pommes, 3 bananes et 8 carottes .

L'épicier prend trois sacs papiers et place les bananes, les pommes et les carottes en disant :
« Je ne vous demande pas ce que vous allez faire avec cela, car je crois que j'ai une petite idée »
Riant, sans attendre une réponse. Il va à la caisse, calculer le montant des achats du trio et précise :
« Je ne vous aie compter les abricots ».

Cello remercie l'épicier et règle le montant par carte bancaire.

En partant, l'homme dit :
« Au revoir, monsieur dames, revenez quand vous voulez, mais en fin de journée, je peux fermer la boutique plus vite, pour bien m'occuper de vous ».

Christine qui a renoué son imper, sort de la boutique les larmes aux yeux, d'avoir été humiliée de la sorte par le couple d'amis. Cello en voyant les larmes couler sur les joues de Christine, lui dit :
« Allez ma petite putain, ne dit pas que cela ne t'a pas plus, tu as écarté toi même tes cuisses pour te faire bouffer la chatte ».

Prise en flagrant délit de perversion, elle essuie ses larmes et esquisse un sourire, vaincue par l'argument de son amant.

Les deux femelles montent à l'arrière du véhicule, Marie prend un paquet de lingettes de la poche de son imper et nettoie l'intimité de son amie.

Marie : « Voilà tu es de nouveau toute propre et fraîche »
Ils se rendent ensuite chez un apiculteur pour acheter du miel. Ils sont reçus par une jeune homme d'une trentaine d'année, le fils de la maison. Marie lui demande un très bon miel, précisant que c'est pour rôtir des oreillons d'abricots. Le jeune homme réfléchit quelques secondes et propose deux catégories de miel à la femme. Marie goûte les deux et choisis le miel de lavande et ouvrant une nouvelle fois l'imper de Christine pour la mettre à nue, elle enfouit deux doigts dans le sexe trempée de son amie et dit :
« Et que pensez-vous de celui-ci, il se rapproche plus de celui de lavande, vous ne trouvez pas ? »
Tendant les doigts trempés de mouille, vers le fils de la maison, qui ne résiste pas à lécher les doigts de la blonde. Marie avant que le jeune homme ne dise un mot, ajoute :
« Vous pouvez y goûter directement à la source, si vous désirez ».

Christine écarte ses cuisses, sans attendre, pour se faire bouffer la chatte une seconde fois. Puis Cello s'apprête à règler le pot de miel mais le jeune homme offre celui-ci pour les remercier.

Cello : « Tu sembles y prendre goût de te prostituer, même pour un pot de miel »
Christine humiliée, baisse la tête, n'osant répondre.

Ils se rendent ensuite chez le volailler pour acheter les cuisses de dindes. Acceuillis par un quinquagénaire bedonnant, celui-ci leur montrent 4 belles cuisses de volailles et donne même des conseilles pour les confire. Le commerçant demande alors s'ils désirent autre chose. Marie qui a une idée perverse, demande à l'homme s'il a des croupions de dinde et elle en prend également 4.

Cello demande au commerçant :
« Vous me les offrez, si je vous offre celui de madame? ».

L'homme accepte et Christine sans attendre, relève l'arrière de son imper, se penche en avant, pose ses mains sur ses fesses et écarte celles-ci pour offrir sa rondelle au volailler. Il s'agenouille et plonge son visage entre les deux globes de la brune. Il lèche sa raie culière, puis son oeillet enfouissant sa langue le plus profondément possible. Marie toujours aussi perverse dit :
« Vous pouvez la doigter, si cela vous fait plaisir ».

Le commercçant pénétre aussitôt le fondement de la belle de son index, suivi rapidement par son majeur et branle le fion de Christine pendant deux ou trois minutes avant de retirer ses doigts et de les lécher. Il se relève. Il donne alors le sac de provisions à Cello, qui règle les cuisses de dinde avant de partir.

Dans la voiture, Marie nettoie une nouvelle fois la chatte trempée et le cul de Christine pour se rendre chez un caviste. Clui-ci d'une trentaine d'année, suite à la demande de Cello, propose deux bouteille de Pinault et deux de calvados. Il propose au trio de goûter et sort 3 petits verres à dégustation et fait goûter ses clients. Hésitant sur le pinault d'égal valeur gustative, Cello regarde la forme des deux bouteilles, dont l'une est plus allongée mais moins large et dit à l'homme :
« C'est madame qui va choisir qu'elle bouteille, elle préfère ».

Marie ouvre l'imper de Christine, lui tend une des bouteilles et la pénêtre en enfançant le goulot dans la chatte de la brune, et la branle quelques secondes avant de faire la même chose avec la seconde sous le regard médusé du commerçant. Cello demande alors à Christine quelle bouteille elle préfère.

Christine : « … Je ne sais pas, monsieur Cello …Les deux sont bien, mais je crois.... Que je préfère la plus longue et la plus mince ».

Cello paye la bouteille de calvados et une de pinault, et ils quittent le magasin pour la dernière boutique, la poissonnerie. Marie nettoie une nouvelle fois la chatte trempée de son amie et il arrive déjà devant le magasin. C'est une femme d'une cinquantaine d'année qui les acceuille. Cello demande si elle a de la morue, la femme répond par l'affirmative et lui montre un gros filet de poisson bien épais.

Cello : « Votre morue est très belle, mais moins appétissante que ces deux là ».

Et il désigne ses accompagnatrices. La femme lui demande pourquoi il dit cela et il répond :
« Parce ce que c'est deux salopes, sont prêtes à tout par vices et perversions, si vous m'offrez la morue ».

La femme se dirige vers la porte de la boutique, ferme elle-ci à clé et pose une pancarte – absente quelques minutes – puis revient vers les deux filles, les prend par la main et les entraînes à l'arrière de la boutique avant de leur dire :
« Allez les salopes, à poil et si vous êtes obéissantes, je vous offre la morue ».

Les deux femelles ôtent leur imper et se retrouvent nues dans la arrière-boutique. La commerçante les prend chacune par un téton et les emmène dans le fond de la réserve en disant :
« Je vous promets que je vais vous éteindre le feu que vous avez au cul ».

Elle s'arrête devant un grand bac de glace pillée, servant sur les étals à tenir le poisson bien frais. Puis s'adresant à Marie, elle lui dit :
« Allez salope ! Monte dans le bac et allonge toi sur la glace, ça va te rafraîchir le cul ».

Marie, hésite un instant, et obéis, sachant qu'elle doit satisfaire la femme et aussi son maître, et ne pas lui faire honte, en refusant. Elle se hisse en s'accrochant au bord du bac et bascule dans la glace.
Elle frisonne et une fois allongée dans la glace sous les yeux de Christine, de la poissonière et de Cello, elle grelotte de froid, claquant des dents, tremblant de tous ses membres.

La femme appuie alors sur un bouton rouge, situé sur un appareil au dessus de Marie. Immédiatement une pellicule de glace, tombe de la machine et la recouvre d'une fine couche la soumise. Marie, sert les dents et les poings pour ne pas crier.

La poissonnière s'adresse alors à Christine et lui ordonne :
« Va rejoindre ta copine et allonge toi sur elle, pour la réchauffer ».

Christine obéis, monte dans le bac et s'allonge sur sa partenaire. Elle est très vite frigorifiée et ne peut réchauffer Marie, toujours tremblante de froid. Pendant ce temps, la commerçante à pris une boule de glace et la façonne jusqu'à obtenir un beau godemichet qu'elle enfonce dans sa totalite dans la chatte de Marie. Elle réitère l'opération, mais avec un plus petit, puis elle doigte le cul de Christine avec un, puis deux doigts et lorsqu'elle retire ceux-ci, elle les remplace par le petit god qu'elle place entièrement dans le fondement de la brune.

La poissonnière : « Allez ! sortez de là ! Vous allez salir la glace ».

Les deux femelles soumises, se dépêche d'évacuer le bac, alors qu'elles sentent la glace fonde sur leurs cuisses ouvertes. La femme leur ordonne de rester debout, cuisses ouvertes et mains derrière la tête. Grelottante, Elle obéissent, restant ainsi, alors que la commerçante retourne dans le magasin. Quand elle revient, elle a à la main, un beau filet de morue salée, et sans attendre commence à fouetter les seins et le ventre des deux femelles, le sel qui recouvre le poisson, cinglant la peau des deux putains en laissant des points rouges sur leurs peaux.

La femmeaprès avoir flagellé les deux soumises, d'une bonne dizaine de coups chacune, tend le filet de poisson à Christine et dit :
« Il est à vous, rhabillez-vous et dehors les salopes ! »
Elles ressortent du magasin satisfaite malgré la douleur endurée par le froid et les coups. En rentrant chez Cello, elles sortent les achats et les rangent. Les deux femelles se rendent dans la salle de bain prendre une douche bien chaude et ôter le sel et l'odeur de poisson.. Elles en ressortent près d'une heure plus tard, réchauffées et pomponnées. Christine prend alors son imper et Cello lui demande pour qu'elle raison, elle prend son vêtement. Elle annonce à son amant, qu'elle rentre chez elle.

Cello : « Personne ne t'attend chez toi, Bernard est absent, alors tu restes avec nous ce soir ».

Le ton est ferme et Christine ne discute pas l'ordre de Cello, mais en a-t-elle envie ? Elle repose son imper et embrasse son amant. Avec l'autorisation de leur maître, elles vont s'asseoir dans le canapé, pendant que Cello dresse le table.

Pendant le dîner, Cello et Marie humilie Christine, en lui démontrant qu'elle avait vendu son corps pour peu de chose. La brune reconnaît son nouveau statut de putain, puis, ils décident d'aller se coucher, les deux femelles dormant de chaque côté de leur maître.

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