Marie ma nouvelle voisine - 46 - lundi après-midi - histoire érotique

Bernard : « Oui tu as raison, après tout c'est le but de votre visite »
Cello : «  Comme toi et ta femme, semblez craindre que les clients du sex-shops la caressent, je pense à une autre manière d'exhiber Christine ».

Christine : « Vraiment, je ne risque pas d'être palpée, et subir les gestes déplacés des clients ».

Cello : «  J'ai remarqué dimanche matin que Christine dansait très bien, qu'elle savait parfaitement se trémousser, et bouger de manière sensuelle, aussi pourquoi ne ferait-elle pas un show avec une danse orientale et finir par un strip-tease intégral. Cela devrait durée une demi-heure environ et on pourrait demander une centaine d'euros au gérant, sachant que de son côté, il fera payé les voyeurs. Elle pourrait aussi enchainer avec un show lesbien. Un gain de 300 euros peut être envisager pour une durée totale d'une heure ».

Pendant qu'il soumettait son idée, Cello a remarqué que sa voisine avait écarté davantage ses cuisses et porté sa main sur son sexe.

Bernard : « Oui mais pour un show lesbien, il faut une seconde femme ! Et Christine n'a jamais fait de strip-tease, pas même avec moi ».

Cello sourit et dit :
« Bernard rassure toi, la seconde femelle, elle est à côté de toi, je suis certain que Marie se portera volontaire pour être la partenaire de Christine. Quant à faire un strip-tease, Christine est assez sensuelle pour nous faire bander en se trémousant ».

Christine : « L'idée est plutôt alléchante, car ainsi je ne risque rien, mais je ne voudrais pas être reconnu par d'éventuel voisins, commercants où connaissances »
Marie : « Il y a une tenue de danseuse du ventre au magasin, avec un voile qui cache le bas du visage, ainsi tu ne seras pas reconnue ».

Cello : « La recette de la prestation sera en totalité pour Christine et plutôt que d'avoir un forfait de 300 euros par exemple, on pourrait demander un poucentage, si c'est plus avantageux. J'ai même pensé à lui trouvé un nom d'artiste : Christal »
Bernard intéressé dès qu'on parle d'argent devient plus attentif à la discussion et demande :
« Oui c'est très bien comme pseudo et quand allez-vous rencontrer le patron de Marie ? »
Cello : « Le plus tôt possible, pourquoi pas cet après-midi ? Le magasin est fermé, mais il ouvrira à Marie et nous pourrons rentrer par la porte de derrière ».

Bernard : « Désolé, mais je ne pourrais pas venir, je dois préparer mon planning pour la semaine ».

Christine : « Mais tu sais mon chéri, on n'a pas besoin de toi, Cello sera là, pour défendre nos intérêts. Je sais qu'il s'occupera bien de moi, et je lui fais totalement confiance ».

Une nouvelle fois, Bernard ne comprend pas l'allusion de son épouse, et répond :
« Oui tu as raison, rejoint Marie et Cello vers 15 heures chez eux et vous pourrez rencontrer tous les trois, le gérant de la boutique.

Dans la voiture, Marie dit à son compagnon :
« Ce Bernard, il est vraiment naïf, il n'a pas compris les allusions de Christine »
Cello : « Oui, mais je te rappelle qu'Hervé n'était pas plus futé, et quand il a compris, il était trop tard, tu m'appartenais déjà ».

Marie : « Vous voulez me remplacer par Christine ? »
Cello : « Mais absolument pas, quelle idée. Mais deux salopes valent mieux qu'une, et vous pourrez vous motiver, voir même vous mettre en concurrence ».

Marie : « Oui, mais cela peut mettre beaucoup de temps »
Cello : « Ce sera plus rapide qu'avec toi et Hervé, car elle est déjà prête à cocufier son mari. Je te charge d'organiser un repas pour jeudi soir, pour fêter votre premier spectacle de la veille.

A 15 heures précises, Christine sonne à la porte. Cello ouvre et acceuille la brune. Elle est vêtue d'une robe courte et décolletée, mais toutefois assez sage. A peine est-elle dans le séjour, qu'elle pose son imper qu'elle avait sur son bras, ôte sa robe et explique en souriant :
« J'ai été obligée de mettre une robe, pour ne pas que Bernard ait des doutes ».

Le trio part ensuite voir le patron du sex-shop, qui les fait entrer dans sa boutique par la porte de derrière. Cello explique le but de leur visite. L'homme semble intéressé, et demande une démonstration. Marie demande quelques minutes au gérant, va chercher la tenue de danseuse du ventre qui se trouve en rayon et habille Christine.

Le haut en soie blanche moule parfaitement la poitrine de la belle, découvrant son ventre, le bas est constitué d'une ceinture en satin maintenant deux pans de tissus devant et derrière, dévoilant les jambes et les cuisses de la femelle. Pour finir la tenue, le bas de son visage est masqué par un moreaux de tissus de même matière. Marie met àlors la musique et Christine commence son numéro de charme, sensuel et langoureux. Elle danse ainsi pendant un quart d'heure, puis la musique change et un slow remplace la musique orientale. Christine se trémousse, offrant aux regards du gérant, Cello et son amie, ses cuisses, ses fesses, caresses sa poitrine, son cul et sa chatte. Puis elle retire le haut du vêtement, suivra le bas du costume. Nue à l'exception du masque et de ses talons hauts, elle se caresse, allant même jusqu'à se toucher le sexe nu et finit même par se doigter avant que la lumière du spot s'éteigne.

Cello rallume le spot ; L'homme est enthousiaste et dit :
« C'est ok, je prends le numéro et vous donne 300 euros pour chaque prestation. Quand pouvez-vous commencer ? »
Christine : « Mercredi soir, mais il nous faut aussi la tenue de danseuse, mais vous ne voulez pas voir notre show lesbien, même pas un échantillon? »
Le patron de Marie refuse d'offrir la tenue de danseuse, mais accepte de voir un échantillon du spectacle de Marie et Christine.

Les deux femelles hyper excitées d'avoir obtenu ce qu'elle désirait à l'exception de la tenue, font l'amour comme des folles, elles se lèchent, s'embrassent et se doigtent tous les orifices sans aucune retenue jusqu'à épuisement.

Le trio retourne à la voiture, et les deux femelles en chaleur, sortent de l'établissement totalement nue, leur imper sur le bras, se moquant d'être vues. Elles entrent chez Cello de la même manière. Elles déposent leur vêtement sur le dossier d'une chaise. Cello prend alors la main de Christine et l'entraîne dans la chambre.

Christine ; « Monsieur Cello, il faut que je rentre maintenant, Bernard va s'inquiéter si je rentre tard ».

Cello : « Oui tu vas aller retrouvez ton mari, mais avant je vais te prendre par tous les trous ».

Christine : « Mais je ne peux faire cocu Bernard ! »
Cello : « Pourtant tu étais prête à te faire baiser ce matin sur ta terrasse, alors ne me fait pas regretter de ne pas t'avoir prise ce matin devant lui ».

Cello bascule Christine sur le lit pour la baiser. Christine n'esquisse aucun geste de défense, au contraire, elle s'offre à son nouvel amant, l'encourageant même :
« Oh oui ! Encore ! Plus fort ! Oui oui oui faite moi jouir ! »
Cello se retire de la chatte de Christine après que celle-ci est jouit deux fois, la retourne et l'encule pour la faire jouir une nouvelle fois. Lorsqu'il se retire de son cul, il offre sa bite à Christine qui le prend en bouche. Cello baise la bouche de Christine, la forçant à lui faire une gorge profonde jusqu'à éjaculer dans son gosier et l'obliger à tout avaler, avant de lui nettoyer la queue.

Marie qui a assisté au spectacle, dit à Christine :
« N'oublies pas de remettre ta robe avant de partir, si tu ne veux pas que ton cocu ait un doute sur ta fidélité ».

Cello ajoute : « On t'attend demain matin, pour aller acheter du tissus afin que Marie te fasse une tenue de danseuse pour mercredi soir ».

Christine : « Elle saura faire cela ? »
Cello : « Marie est très douée en couture. Elle a transformé quelques vêtements et sous vêtements ordinaires en vêtements et sous-vêtements très sexy. Fais lui confiance ! Allez file salope tu vas être en retard ».

Quand Christine arrive chez elle, Bernard lui reproche d'avoir été absente très longtemps, elle lui explique qu'il a fallu parlementer avec le gérant, lui faire une démonstration et file dans la salle de bain prendre une douche, sous le prétexte qu'elle a transpirée en dansant, mais surtout pour éliminer l'odeur de sperme et de cyprine, avant que son époux sente ces mêmes odeurs.