Marie ma nouvelle voisine - 49 - Mercredi

- Par l'auteur HDS Cello -
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Marie ma nouvelle voisine - 49 - Mercredi Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie ma nouvelle voisine - 49 - Mercredi
Marie – Je me réveille doucement dans le lit de mon maître et sent une main, qui emprisonne mon sein droit. Mais en ouvrant les yeux, je constate que ce n'est pas, monsieur Cello, qui est près de moi, mais Christine, elle dort toujours à poing fermé. Doucement avec délicatesse, je retire sa main de mon nichon, et me libère, puis je me glisse en dehors du lit, en prenant soin de ne pas réveiller la complice de mes turpitudes sexuelles.

Lorsque j'arrive dans la cuisine, mon amant et maître est attablé devant une tasse de café. Je vois qu'il a préparé le petit déjeuner, café, jus d'orange et qu'il est même allé acheter des viennoiseries.
Habillé d'un short et d'un t'shirt, il me sourit et dit :
Cello : « Ah voilà la première de mes petites chiennes qui émerge enfin des bras de Morphée ».

Marie : « Bonjour monsieur Cello, vous avez bien dormi? »
Cello : « Oui très bien, et apparemment toi aussi, vu l'heure tardive de ton lever ».

Marie - Je regarde l'horloge de la cuisine, il est déjà 10 heures.

Marie : « Merci monsieur Cello d'avoir préparé le petit-déjeuner, voulez-vous que je m'occupe de vous, avant que je prenne mon petit-déjeuner ? »
Cello : « Oui Marie ! Viens me sucer, car j'ai envie de ta bouche et toi de ma crème ».

Marie – Je suis heureuse que mon maître me demande de le sucer, car je vais pouvoir profiter seule de mon amant, en espérant ne pas voir apparaître Christine avant que monsieur Cello est déversé sa crème dans ma tasse de café. Je m'agenouille entre ses jambes et sort son sexe déjà en érection. Après quelques coups de langue sur le gland, je lèche le sexe de mon homme sur toute sa longueur avant de le prendre en bouche.

Cello – Je pose ma main sur la tête de Marie, l'obligeant à me faire une gorge profonde, puis je la maintiens ainsi, quelques secondes avant de relacher ma pression et la laisser reprendre sa respiration. Je receuille sa bave avec une cuillière et la verse dans la tasse.Après avoir obligé Marie a prendre en totalité ma bite dans sa bouche de pompeuse, et receuillis à chaque fois sa bave de pute, et lorsqu'elle a un haut le cœur, je lui dis :
« Si tu vomis, tu dois le faire dans ta tasse, si tu ne veux pas être privée de sexe pendant plusieurs jours ».

Marie – Je ne veux surtout pas de cette sentence, aussi je m'applique, mais mon maître me maintient plus longtemps, jusqu'à ce que j'ai envie de cracher. Je prends ma tasse et crache dans ma tasse, avant que monsieur Cello éjacule dans mon récipient.

Cello – Je propose à Marie de prendre un croissant et de déguster celui-ci après l'avoir imbibé de sa mouille.

Marie : « Oh oui monsieur Cello, avec un croissant imbibé de ma mouille »
Cello - Elle saisit une viennoiserie, écarte ses lèvres, et commence à se branler avec, alors que de l'autre main, elle me masturbe. Je jouis dans la tasse de ma salope. Marie à l'aide d'une petite cuillière, mélange le tout et sort la viennoiserie de sa chatte pour la trempée dans son café-crème.

Après le petit déjeuner, Marie débarrasse la table et fait un peu de ménage, lorsqu'elle s'inquiète de l'absence d'Alban. Cello lui annonce qu'il a donné quelques jours de congé à son employé. Marie semble ravie de la nouvelle, s'imaginant que son maître, va se consacrer totalement à elle. Marie se rend ensuite dans la salle de bain, se doucher. Lorsqu'elle revleient coiffée, se maquillée et parfumée, Cello lui dit :
« Oh ! Tu es encore plus belle que d'habitude ce matin. Mais dis-moi, Marie, je ne trouve pas que la taille de ta poitrine a augmenté et apparemment tu n'as pas de lait dans tes mammelles ».

Marie rougit, baisse la tête et dit :
« Je vais vous expliquer... Je n'ai pris les cachets de Laurent que les 2 premiers jours... J'ai eu peur de déformer ma poitrine, que mes seins tombent et deviennent tout flasques, alors qu'ils sont encore droit et bien ferme. Je sais, j'aurais dû vous en parler, me confier, mais j'ai eu peur de votre réaction, et aussi de celle de Laurent ».

Cello : « Je savais que tu ne prenais pas tes cachets, car j'en ai trouvé le matin en vidant la poubelle de la cuisine. Mais tu sais que pour cela, je peux te punir très sévèrement... »
Marie : « Oui monsieur, vous avez raison, je mérite une punition, mais ne soyez pas trop sévère, si j'ai voulu préservé mes seins, c'est aussi pour vous plaire, car je sais que vous les aimez mes grosses mamelles, telles qu'elles sont ».

Cello : « A mon tour de te confier quelque chose, je me suis aperçu très vite que tu jetais les cachets dans la poubelle, tu aurais pu trouvé mieux comme cachette... Je ne peux pas t'en vouloir d'avoir voulu préserver la beauté de tes nichons, mais où je t'en veux, c'est de ne pas avoir eu confiance en moi, et de me l'avoir caché. Quand à Laurent, rassure-toi, il n'a aucun droit sur toi, je suis ton maître et le seul ».

Marie : « Merci monsieur Cello, je vous demande encore de me pardonner ».

Cello : « Ma chérie, tu sais que je n'aime pas les mensonges et les cachotteries, aussi je vais encore être obligé de prévoir une autre punition, alors que tu en as déjà une en attente. Mais qu'est-ce que je vais faire de toi, si tu continues ainsi ? ».

Marie : « Oh monsieur Cello ! Je vous en supplie, ne soyez pas trop sévère, pour cette seconde faute »
Cello : « Je ne vais pas être trop sévère pour cette faute, car avec les cachets tu ne risquais pas de déformer ta poitrine, j'avais fait changer tes cachets par des placebos à la pharmacie, pour préserver tes nichons, car tu as raison, j'aime ta poitrine telle qu'elle est ».

Marie : « Merci monsieur Cello, je vous aime fort, vous savez ».

Cello : « Tu te souviens que je t'ai promis une punition, pour t'être rebellée l'autre jour »
Marie baisse la tête, surprise du changement d'attitude de son amant :
« Oui monsieur Cello, et je vous prie encore de me pardonner ».

Cello : « Je t'ai déjà pardonné, mais tu seras tout de même punie sévèrement. J'hésite entre t'attacher sur ton lit comme l'autre jour, mais cette fois-ci, se sera pour te faire jouir, soit utiliser le martinet : 30 coups sur tes cuisses, 30 sur tes fesses, 10 sur chaque sein et sur ton sexe et je finirai peut être par quelques caresses avec des orties ».

Marie : « Je préfêrerais...

Cello : « Tu n'as rien à préféré, tu ne veux tout de même pas choisir ta punition »
Marie : « Ce n'est pas... Je voulais dire qu'aujourd'hui on aurait pu consacrer la journée au sexe».

Cello : « Oui je sais, mais j'ai déjà pris ma décision ! »
Marie debout cuisse ouverte et main dans le dos, attend la sentence avec une certaine appréhension.

Cello : « Ce sera les deux, 2 fois 2 heures attachée dans le noir avec une pause d'une heure pour ta seconde faute et ensuite le martinet pour la première ».

Marie abasourdie par la double sentence, n'ose protester sous peine de voir celle-ci augmentée, dit :
« Merci monsieur Cello, je vais tout de suite dans mon bureau »
Et elle quitte son amant, en direction du lieu de punition. Lorsque Cello la rejoint quelques minutes plus tard, il trouve Marie allongée sur le lit, bras et jambes écartés, attendant d'être menotter aux 4 pieds du lit.

Cello donne le petit œuf vibrant et lui ordonne de le glisser dans son cul, puis il lui tend le plus gros et de forme ronde pour qu'elle le mette dans sa chatte. Ensuite, il attache Marie sans dire un mot. Il s'approche alors de son esclave et place un « aspire-téton » sur chaque tétine de Marie, afin de développer celles-ci et de les rendre encore plus sensible. Puis il la recouvre d'un drap et lui dit juste avant d'éteindre :
« Reposes toi, et penses à ta vie d'hier, d'aujourd'hui et de demain »
Il déclenche les 2 télécommandes en fixant les vibrations sur 5, puis il éteint la lumière et ferme la porte, laissant Marie seule attachée pour 2 heures.

Marie reste quelques minutes dans le noir, essayant de réfléchir à ce qu'à voulu dire son amant : Penses à ta vie d'hier, d'aujourd'hui et de demain . Mais la douleur de ses tétons et les vibrations dans sa chatte et son cul, l'empêche de se concentrer. Elle sent très vite sa chatte coulée et la douleur de ses tétons, se transforme progressivement en plaisir.

Elle repense tout de même à sa vie avec Hervé, où pendant près de 20 ans, elle a été une petite bourgeoise, naïve, complexée, attendant sagement son mari toute la semaine en s'occupant de son intérieur. Côté plaisir, Hervé étant loin d'être un étalon, elle devait souvent se contenter de lui faire une fellation pendant le week-end. Elle se demande alors, et pour la première fois, s'il ne la trompait pas durant ses tournées de VRP.

Ensuite, ce fut la rencontre avec son voisin, monsieur Cello. Il a profité de sa naÏveté, pour lui faire découvrir son corps, la convaincre de sa beauté naturelle et lui a fait percevoir les différents plaisirs qu'elle pouvait avoir. C'est vrai qu'elle est devenue une salope, une putain, mais elle éprouve de la jouissance plusieurs fois par jour, depuis cette rencontre.

Et demain ? Demain ! Que sera fait demain ? Aurait-il l'intention de m'abandonner ? Mais que deviendrais-je. Je n'ai plus rien, plus de mari pour subvenir à mes besoins, plus de maison pour m'abriter, même plus de vêtements décents pour chercher un petit appartement ou même un travail, moi, qui n'est jamais travailler.

Malgré l'inquiétude, qui s'installe dans son esprit, elle jouis une seconde fois.

Non, je dois me raisonner, et tout accepter de monsieur Cello, avec lui j'ai découvert l'exhibition, l'humiliation, la sodomie, le lesbianisme, la fessée, la douleur jusqu'au plaisir et je ne peux jeter cela juste parce que je réprouve un ordre. Je dois me soumettre, je suis faîte pour cela, pour obéir à mon mentor.

Marie a du mal à réfléchir, totalement perturbée, et exténuée par les jouissances cumulées. Au bout d'une heure, Cello revient dans le bureau, arrête les télécomandes des sex-toys et retire les aspire-tétons. Il s'assied sur le bord du lit et caline sa petite chienne, constatant que le lit est inondée de mouille. Avant de la laisser, il lui dit :
« Repose-toi, car je reviens dans une heure pour une seconde séance de jouissance »
Et il abandonne sa soumise.

Cello - Pendant ce temps, Christine se réveille et vient me retrouver dans la cuisine. Elle s'excuse d'avoir dormie si longtemps et vient m'embrasser. Alors que je lui sers un café, elle me demande :
« Marie n'est pas là, monsieur Cello ? ».

Cello : «  Marie est en train de subir une première partie de sa punition, qui était en suspend depuis plusieurs jours, d'ailleurs il va être l'heure que je lui accorde une pause. Finis ton croissant et ton café, je reviens dans 5 minutes ».

Cello – Christine comprend ainsi, que je ne souhaite pas qu'elle m'accompagne, elle baisse la tête un peu déçue, et continue son petit-déjeuner. Lorsque j'arrive dans le bureau de Marie, j'allume la lumière et elle semble épuisée par les divers orgasmes subis pendant sa première de châtiment.

Lorsque je reviens dans le bureau de Marie, je la trouve exténuée, stoppe les télécommandes et retire les aspires-tétons. Cette pause calme les sens de Marie. Après un rapide baiser sur ses lèvres je lui dis :
« Repose-toi, car la prochaine heure, sera encore plus sévère »
J'éteins la lumière et ferme la porte, la laissant une nouvelle fois seule dans le noir.

Marie – Quand j'ai vu mon maître entrer dans la pièce, j'ai été soulagée, car je savais qu'il allait m'accorder une pause, afin que les vibrations cessent et laisser mes tétons respirés. Cela faisait trop longtemps que je subissais orgasme sur orgasme et j'étais épuisée.

Je pensais ensuite qu'il allait rester un peu de temps avec moi, à me câliner et me calmer, et quand il m'a abandonner pendant l'heure de pause, qui m'était accordé, j'ai ressenti comme une trahison. Je savais qu'il allait retrouvé Christine, qui devait être reveillée. Va-t-elle prendre ma place dans son cœur ? J'avais de plus en plus de doute et n'arrivais pas à trouver un peu de sérénité.

Cello – Quand je reviens une heure plus tard, je pose de nouveau les aspire-tétons sur la poitrine de Marie et déclenche les deux télécommandes en augmentant la puissance des vibrations en plaçant les curseurs sur 7. Puis j'abandonne une nouvelle fois, ma condamnée.

Marie – J'essais de ne penser qu'à mon plaisir. Plaisir que me donnent les deux œufs et les aspire-tétons. C'est une heure de jouissance totale, totalement épuissante où les orgasmes se succèrent sans discontinuer. Si au debut je crie mon plaisir, très rapidement je demande grâce, harassée par le plaisir. C'est une heure de jouissance totale, que prend Marie, qui crie sont plaisir sans discontinuer. Sa chatte n'est plus qu'une rivière de mouille, inondant ses cuisses, ses fesses et ses draps.

Cello - A la fin de la seconde heure, lorsque je viens libérer ma soumise, elle est totalement anéantie par la jouissance et met plusieurs minutes avant de se lever du lit. Je lui propose alors de boire un café, puis je l'accompagne dans ma chambre, pour qu'elle puisse réellement se reposer et récupérer.

Pendant ce temps, Christine, qui a fini le ménage dans la cuisine va dans la salle de bain.

Je profite d'être seul pour mettre des cartons dans le coffre de l'automobile et de la sortir du garage, pour la garer le long du trottoir.

Lorsque Christine sort de la salle de bain, je réveille Marie , qui se rend dans la salle de bain. Ne voyant pas de tenue de prévue pour elle, elle reste nue et va changer les draps et l'alèse dans le lit de Marie,en attendant que celle-ci soit prête, et va dans la chambre aérée celle-ci et faire un peu de ménage dans la pièce.

Quand Marie sort de la salle de bain, elle découvre sur son lit une petite robe de coton blanc, cachant ses fesses et son sexe, et se boutonnant sur le devant, une paire d'escarpins de 10cm. Si la robe est légèrement plus longue de 4 – 5 cm que celles qu'elle est habituées à porter depuis quelques jours, elle sait que les rayons du soleil, peuvent la rendre transparente à contre-jour.

Elle se chausse et enfile sa robe sans la boutonnée et rejoignant son amant, elle lui demande :
« Combien de boutons voulez-vous que je mette? »
Cello : « Aucun pour l'instant, tu en boutonneras trois en arrivant en ville ».

Au moment où le trio s'apprête à sortir, Christine prend son imper, mais monsieur Cello lui dit :
« Non Christine, tu n'en a pas besoin, tu sors à poil aujourd'hui ».

Christine : « Mais monsieur Cello, pourquoi moi, alors que pour Marie, vous avez prévu une robe ? »
Cello : « Je ne suis pas obligé de me justifier, mais je vais tout de même te dire que vous allez avoir deux activités différentes et comme la jalousie est un gros défault, tu seras punie prochainement ».

Le trio sort de la maison, et monte dans la voiture, pour se rendre en ville. Mais avant, il fait un détour et arrive devant chez Christine. Cello lui tend ses clé, qu'il avait pris dans son imper et dit à la brune soumise :
« Dans le coffre, il y a des cartons, tu les prends et tu les rempliras avec les achats que tu as effectuée au sex-shop samedi et avec les vêtements et sous-vêtements que tu aimes, s'ils ne sont pas assez sexy, Marie les transfomera comme elle a fait avec les siens . Je repasse te récupérer dans 2 heures environ ».

Christine sort de la voiture, gênée d'être nue dans sa rue devant chez elle et ouvre le coffre de la voiture.

Cello : « Marie aide ton amie, à mettre les cartons chez elle, et ensuite tu reviens »
En arrivant dans le centre, Cello se gare sur le parking de la mairie et il permet à Marie de mettre 3 boutons, mais jugeant qu'elle est trop couverte, il défait un bouton, afin d'accentuer son décolleté. Ils empruntent des rues très ensoleillées, probablement pour que les passants puissent admirer les formes de Marie. Après une demi-heure de marche, ils arrivent chez le photographe où son maître est venu la veille.

L'artisan reconnaît Cello et en apercevant Marie près de lui, il reconnaît également la belle femme qui sont sur les 3 photos que lui a confié son client.

Cello : « Bonjour monsieur, je vous amène ma voisine, pour que vous preniez ses mensurations, pour réaliser un portrait le plus réaliste possible ».

Marie, qui n'est pas au courant du projet de son amant, est étonnée par les propos de son voisin. Le photographe fait apparaître sur son ordinateur, la photo de Marie, où elle est en position de soumise, debout, cuisses ouvertes et les mains derrière la tête. Il explique alors à sa protégée son projet et Marie retire sa robe, avant même que son amant ne le lui demande.

Le photographe demande alors à Marie de prendre la même pose que sur la photographie. Il remarque que Marie porte les mêmes escarpins que sur la photo et il lui demande de venir sous la toise pour la mesurer, puis avec son mètre-ruban, il commence à prendre les mesures du modèle.

Il mesure la circonférence de ses seins, l'éloignement entre les tétons, en s'attardant suffisamment sur les mamelles de Marie pour les peloter et titiller ses tétons. Puis il mesure l'espace entre le sol et son sexe, qu'il caresse et pénètre même d'un doigt, il calcule également son cour de hanche, de taille et de cuisses. Constatnt que le belle est mouillée, il revient sur son sexe, pour la doigter de deux puis trois doigts jusqu'à ce qu'elle jouisse. Pour remercier l'artisan, elle s'agenouille pour lui prodiguer une pipe et le faire jouir dans sa bouche et avale son sperme.

Cello convient avec l'artisan du jour et de l'heure de livraison des 3 tableaux et le couple quitte le magasin.

Ils ne sont sortie du magasin que depuis une ou deux minutes, lorsqu'un orage s'abat surla ville. Marie avec ses ecarpins à talons ne peut marcher très vite, et au bout de 100 mètres, la petite robe de coton blanc de la petite chienne est trempée et est devenue quasiment transparente et colle à son corps, dévoilant celui-ci de manière indécente. Bien sûr, le retour jusqu'au parking de la mairie, ne passe pas inaperçu auprès des badauds, piétons, cycliste, et automobiliste.

En arrivant à la voiture, Cello étend une serviette sur le siège passager, pendant que Marie retire sa robe pour faire le voyage retour intégralement nue. Excitée par le mauvais tour que leur à jouer l'orage, elle se remémore l'épisode similaire lorsqu'ils avaient traversés les jardins pour une pause lors d'une journée de peinture. Ils repassent chez Christine pour la récupérer, ainsi que les cartons qu'elle a préparés.

Marie sort de la voiture, nue et va sonner chez Christine. Celle-ci ouvre dans la même tenue et les deux soumises font chacune 2 tours pour transporter les 4 cartons remplis par la salope nue, le plus naturellement possible, sans se soucier du voisinage. Quand ces 2 femelles reviennent dans la voiture, elles pensent rentrer à la maison pour une soirée en « amoureux ».

Mais Cello, en a décidé autrement. Il prend la route de la forêt et il s'arrête dans un petit chemin, à une centaine de mètres de la cabane que Marie connait bien maintenant. Cello ouvre le cabanon et les 2 soumises entrent entièrement nues. Ils ordonnent à Christine de s'asseoir sur le canapé et à Marie de prendre la position de soumission, c'est à dire, debout, cuisses ouvertes et les mains derrière la tête. Une fois en position, il annonce à la blonde qu'il va lui infliger la seconde punition.

Marie, ne montre aucune réaction, et elle se tourne face à la table, et pose ses mains sur le meuble et se courbe offrant ses cuisses et ses fesses à son bourreau. Cello prend son martinet et commence à fouetter les fesses de Marie. Les coups sont précis, mais pas très appuyés, car il ne souhaite pas abimée sa petite chienne, juste la faire souffrir et rougir sa peau.

Après les fesses, Cello s'attaque aux cuisses puis Marie se tourne et se tient debout face à son maître alors que les larmes coulent sur ses joues. La poitrine de Marie rougis rapidement, puis elle s'allonge sur la table, ouvrant le plus possible ses jambes pour recevoir les derniers coups de martinet sur son sexe.

Avant de donner le premier coup sur sa chatte, Cello remarque que celle-ci est luisante et que ses cuisses sont trempée. Il décide donc de donner des coups un peu plus fort que jusqu'à présent. Les 10 derniers coups de martinet font rougir les lèvres et le pubis de la belle, qui sert les dents pour ne pas exprimer sa souffrance. Après le dernier coup de martinet, la chatte de Marie est devenue grenat.

Cello l'aide à se relever et à se mettre debout. Elle va s'asseoir près de la spectatrice de son calvaire, et Christine la prend dans ses bras pour la réconforter. Cello dit alors à Christine :
« T'inquiète pas, si c'est des larmes qui coulent de ses yeux, ce ne sont pas des larmes qui coulent de sa chatte, car cette salope si elle a souffert, elle aime ça et cela la fait mouillée »
Christine pose sa main entre les cuisses de sa complice et constate qu'exactement Marie est trempée.

Cello : « Christine, c'est à ton tour pour ta remarque de ce matin »
Cello-ci se lève tremblante à l'idée de recevoir la même punition que sa camarade. Elle se positionne lorsque son maître lui dit :
« Pour avoir fait preuve de jalousie ce matin envers Marie, tu mérites au moins la même sentence qu'elle, mais … Je vais faire preuve de clémence, ne sachant pas comment tu acceptes la souffrance. Tu recevras donc 10 coups de martinet sur tes cuisses, 10 sur tes fesses et 5 sur chaque seins et ton sexe »
Christine soulagée : « Merci monsieur Cello ! ».

Cello : « Je n'ai pas fini, tu auras droit aussi à ce que Marie trouve le plus dégradant de ce qu'elle a subit depuis qu'elle me connaît, et c'est elle même qui t'infligera cette humiliation ».

Cello saisit alors le martinet et commence à punir Christine. Les coups ne sont pas plus appuyés que pour sa complice et la brune sert les dents, voulant être aussi forte qu'elle. Lorsque le dernier coup de martinet frappe sa chatte, Christine est soulagée, car elle a fait preuve de courage, même si la punition n'était que la moitié de celle subit par Marie.

Cello s'approche de Christine, et posant sa main sur son sexe, il constate que si elle est humide, elle n'est pas aussi excitée que la blonde.

Cello la fait ensuite s'allonger sur la table, cuisse ouverte et bras derrière la tête. Elle attend, sans savoir ce que Marie lui réserve. Cello s'approche de Marie, lui glisse un mot dans l'oreille et Marie opinant de la tête, monte sur la table une jambe de chaque côté de Christine et s'accroupis sur le visage de son amie.

Christine commence à lécher le sexe de Marie, mais Cello intervient et lui dit :
« Tu n'est pas là, pour déguster la mouille de Marie, ouvre grand la bouche et avale tout ».

Marie attend à peine que son maître est fini sa phrase, pour expulser un jet puissant d'urine dans la gorge de Christine. Celle-ci, ne souhaitant pas une autre punition, se force d'avaler l'urine chaude et odorante de son acolyte.

Marie s'allonge ensuite sur Christine, l'embrasse à pleine bouche et frottant son corps contre le sien. Cello les regarde faire l'amour puis il les sépare avant qu'elles ne jouissent, et les ramène chez lui.

Une fois rentrée, il envoie les deux femmes se coucher chacune dans une chambre. Marie dans son bureau et Christine dans la chambre d'ami.

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