Marie ma nouvelle voisine - 45 - lundi matin - histoire érotique

Lorsque Marie rejoint Cello dans la cuisine, elle est de très bonne humeur, ravie de son week-end passé en compagnie de son amant, mais aussi de Christine et Bernard.

Cello est déjà attablé devant un café noir, et il sert sa princesse, qui passe sa main sur son bermuda.

Cello :« Toi, tu as envie d'un café crème ! »
Marie : « Oh oui monsieur Cello ! »
Elle s'étonne qu'il n'y ait pas de viennoiserie, Cello lui rappelle qu'ils sont invités à prendre le café chez Bernard et Christine et qu'il y aura certainement des croissants et qu'elle pourra en tremper un et même encourager sa nouvelle amie à y goûter.

Elle avale rapidement son café, elle se rend dans la salle de bain pour se préparer. Lorsqu'elle en ressort presqu'une heure plus tard, elle est coiffée, maquillée, parfumée. Sur le lit, elle trouve une robe hyper courte, décolletée jusqu'au nombril et très échancrée, ne couvrant à peine ses fesses et son sexe et les aréoles de ses seins.

Elle met son collier rouge en cuir et tend la laisse à son maître, et sorte de la maison. Cello met la laisse dans le vide-poche et ils partent en direction de la villa de leurs amis. En arrivant, Cello descend de voiture, ouvre la portière de Marie, attache la laisse au collier et ils font les quelques mètres jusqu'à la porte d'entrée de leurs amis. Cello sonne en espérant que des voisins ont vus leur arrivée, pour nuire à leur réputation de bourgeois bien comme il faut.

C'est Christine qui vient ouvrir, dans une robe très courte et décolletée, mais beaucoup moins que celle de Marie. Etonnée et choquée de voir Marie tenue en laisse, elle les fait vite entrée dans la maison, surprise que ses amis osent arrivée ainsi chez eux, mais évite de faire une remarque pour ne pas les fâcher.

Bernard les acceuille chaleureusement, et les invites à prendre un café et des viennoiseries. Marie s'approche de la table et avant de s'asseoir, elle retire sa robe pour se retrouver nue chez ses nouveaux amis. Christine s'approche de la table avec la cafetière et lorsqu'elle sert Cello, celui-ci profite que Bernard ne regarde pas, pour passer sa main sous la robe de l'hôtesse et caresse sa chatte. Elle sursaute :
« Oh ! »
Elle renverse un peu de café sur la table. Cello retire illico sa main, Bernard se retourne :
« Qu'est ce qu'il y a ma chérie »
Christine : « Je me suis heurté les orteils dans la chaise de Cello et j'ai renversé un peu de café sur la table ».

En mentant à son mari, elle pose la cafetière et va chercher une éponge et un torchon pour nettoyer la table. Cello encouragé par le mensonge de Christine en profite pour répéter son geste. Il constate que Christine reste en place plus longtemps qu'il ne faut pour essuyer la table et qu'elle écarte un peu plus ses cuisses.

Bernard s'est assis entre Marie et Cello et alors que Christine s'apprête à prendre place face à son mari, Cello lui dit :
« Par solidarité avec Marie, tu devrais retirer ta robe et te mettre nue comme elle ».

L'hôtesse ne regarde pas son mari, craignant probablement la désaprobation de celui-ci, et retire sa robe immédiatement, offrant son magnifique corps aux regards de ses amis et de son mari. Bernard est très géné que Cello ait autant d'influence sur son épouse.

Marie s'est aperçue de la gêne de Bernard, aussi pour changer de sujet, elle demande en désignant la corbeille de viennoiserie, qui se trouve sur le milieu de la table :
« Je peux prendre un croissant ? »
Bernard : « Bien sûr, Marie, ces viennoiserie sont là pour cela ».

Marie prend un croissant, ouvre davantage ses cuisses, écarte ses lèvres intimes et se pénétre avec la viennoiserie, sous le regard médusé de ses amis. Après quelques allers et retours dans sa chatte du croissant, elle sort la gourmandise et commence à la déguster.

Marie : « Hum ! Quel délice ! J'adore »
Puis elle regarde son amie et lui demande :
« Tu veux goûter ? »
Christine : « … Je ne sais pas... Oui... Pourquoi pas ! »
Marie remet le croissant dans sa chatte, puis le ressort et le tend à Christine. Cello satisfait de la tournure des évènements et n'ayant aucun doute sur la suite du petit-déjeuner, jette un œil vers Bernard, qui semble ne plus reconnaître son épouse et la regarde bouche bée.

Christine prend le croissant et mord dedans :
« Mais c'est vrai que c'est bon ! Jamais je n'aurais pensé à cela ! »
Marie : « Prend en un et tu me feras goûter avec ta mouille »
Christine s'exécute et les deux femelles dégustent la viennoiserie avec gourmandise. Christine propose un autre café, se lève prend la cafetière et verse le café dans les tasses, en restant débout cuisses ouvertes près de Cello. Marie qui devine, ce que souhaite son maître, détourne l'attention de Bernard en lui demandant s'il veut goûter un croissant au jus de salope, mais il décline l'offre.

Pendant ce temps, Cello a passé sa main droite entre les cuisses de la brune, qui ouvre un peu plus les cuisses, surveillant que son époux ne remarque rien. Mais celui-ci est occupé par Marie, qui lui raconte comment elle a offert les fraises pour l'anniversaire de son mari. Cello a déjà introduit 2 doigts dans la fente de Christine. Elle retire les doigts de Cello et s'asseois immédiatement avant que Cello n'investisse une nouvelle fois sa chatte. Bernard n'a toujours rien remarqué. Christine rouge de confusion demande à Cello :
« Cello, est ce que je vous en ai mis assez ? »
Cello lèche ses doigts et répond :
« Ca va allez pour l'instant ma chère Christine, mais ne vous inquiétez pas, j'en reprendrais certainement encore, un peu plus tard ».

Christine comprend très vite l'allusion de son ami, et rougit, portant une main sur son sexe trempé.

Cello se lève et dit :
« Vous permettez que j'aille sur votre terrasse, fumer une cigarette ? »
Christine : « Bien sûr, je vais même vous accompagnez, car moi aussi j'en ai très envie ».

Bernard en voyant son épouse sortir nue sur la terrasse dit :
« Mais tu es folle, les voisins pourraient te voir, tu sais bien que la haie n'est pas encore bien haute »
Christine ne tient pas compte de l'observation de son mari et suis Cello dehors.

Bernard hausse les épaules et demande à Marie :
« Vous ne fumez pas ? »
Marie répond avec humour :
« Si mais seulement les très gros cigares et la pipe »
En rejoignant Cello sur la terrasse, Christine dit à voix basse :
« Vous êtes fou, Bernard aurait pu nous voir ».

Cello s'assoit sur un fauteuil et répond :
« Prend un fauteuil et viens près de moi, petite chienne, et ne t'occupe pas de ton mari, ma petite pute le distrait pour que nous soyons tranquille ».

Effectivement, lorsque la brune regarde vers le couple, Bernard et Marie plaisantent, rigolent et ne se préoccupent pas de leur conjoint. Elle écarte largement ses cuisses, prend la main de Cello et la pose sur sa chatte. Cello introduit 3 doigts dans le sexe de Christine et il commence à lui branler la chatte pendant le temps qu'il lui faut pour fumer sa clope. Puis, il retire ses doigts, les lèches et dit :
« Désolé, mais je ne peux te faire jouir ici, Bernard pourrait le remarquer, mais ne t'inquiète pas, bientôt comme Marie tu seras totalement à moi »
Ils regagnent l'intérieur de la maison, et Bernard reproche à son épouse d'être sortie entièrement nue, sachant que les voisins pouvaient la voir, craignant pour leurs réputations, dans ce quartier bourgeois. Marie lui répondant qu'elle était chez elle, et qu'elle se moquait des voisins et faisait ce qu'elle veut dans sa maison. Cello pour mettre fin à la querelle du couple dit  :
« Bien si nous abordions le sujet, pour lequel nous sommes ici ce matin ».