Au revoir virilité II - histoire érotique

Nous sommes en Août, lors d’une soirée bien arrosée dans un bel immeuble des quartiers nord de Paris. . Ma copine m’accompagne. Nous sommes ensemble depuis deux mois à présent et je suis fou d’elle. Elle est brune, m’arrive aux épaules et est la fille la plus sensuelle que j’ai jamais connu. Ce soir là elle portait une robe taillée courte laissant ses jambes apparaître, longues et taquinantes. Toute la soirée je ne peux m’empêcher de la regarder. Je suis la courbure de sa croupe, ses fesses parfaites, son ventre puis ses seins, fermes et généreux. Ses cheveux bruns lui arrivent au milieu du dos. Elle est réellement resplendissante, me faisant oublier tout écart que j’ai pu avoir pour l’autre sexe.

La soirée s’annonce longue et ennuyeuse. Elle discute, sociabilise mais moi je n’y trouve pas mon compte. Je la suis d’ami en ami, de couple en couple. Vers onze heures je m’apprête à lui proposer de parler quand mon regard croise celui d’un homme plus âgé, chauve et musclé. Mon cœur s’arrête. Je n’y crois pas. Philipe me voit, un sourire se loge sur son visage. Il s’approche.

« James ! Quelle joie de te voir ici ! »

Je m’empresse d’étouffer tout risque, « Philipe je te présente ma petite amie, Sarah. »

Le sourire s’agrandi, « Mais bonsoir jeune damoiselle. James ne m’avait pas dit qu’il avait une si belle compagne. Remarque ça fait un petit moment qu’on ne s’est pas vu n’est-pas ?» Nous nous sommes revus deux fois après la soirée de notre rencontre. Puis j’ai rencontré Sarah et le contact a cessé. « Sans doute est-ce toi la coupable ! Il est trop occupé à te regarder pour penser à moi. » Philipe rit, un son grave, doté d’une touche de moquerie.

Sarah le regarde, un sourire surpris aux lèvres, « Et bien il ne m’a pas parlé de vous. Vous êtes un ami ? »

« Je t’en pris, tutoies moi ! Je sais que je ne suis pas de la même génération mais quand même ! Des amis, oui on pourrait dire ça. D’ailleurs nous nous sommes rencontrés lors d’une soirée très similaire à celle-ci, hein James ?»

Je fais oui de la tête, enfin mes mots me viennent, « D’ailleurs nous allions partir, il commence à être tard. »

Sarah me regarde, un air surpris toujours au visage, « A bon ? Mais je m’amuse moi, et il n’est qu’onze heures ! On peut rester s’il te plait. »

Philipe sourit de plus belle. Ses yeux sont rivés sur Sarah. Il la veut, je le sens. « Elle a raison James, en plus la dernière fois nous avons discuté bien plus longtemps, tu ne t’en souviens pas ? J’ai même du t’héberger quelques heures ! »

Sarah sourit « Ah, enfin la preuves que toutes tes soirées avant qu’on ne se rencontre, n’aient été passées à chercher la plus belle nana pour la ramener chez toi ! »

« Oh non, crois moi, ce soir là, James ne s’est pas servi de son sexe ! »

Sarah écarte les yeux, surprise et choquée. Je me réjouis. Il a réussi à la repousser ! Nous allons pouvoir partir. Mais j’ai tort, elle rompe le silence avec un rire aigue.

« C’est cru, mais vrai. Tu réfléchis trop souvent avec ta bite James ! » Elle est un peu bourrée à vrai dire et, plus perspicace que jamais, Philipe a su exactement comment se comporter. Je sens mes espoirs s’écrouler.

La soirée se déroule comme la première, mais cette fois s’est à Sarah que Philipe s’adresse, pas moi, mis à part quelques mots, ou même une ou deux demandes d’aller lui chercher un verre. Sarah est captivée. Elle rit, sourit et s’amuse. Philipe l’ensorcèle. Au moins nous ne nous trouvons pas prêt du Marais. Il ne pourra prétexter la proximité de son logement à fin de nous inviter à attendre le premier métro en sa compagnie.

Enfin la soirée s’achève. Sarah est ivre. Philipe ne se gène pas, il la touche – parfois une main sur une épaule, son dos, même une fois ses reins, son ventre. Il lui sourit, la fait rire encore et encore. Nous quittons l’appartement et je laisse Sarah passer la première. Je me retourne vers Philipe. J’ai réussi à le coincer, dans un couloir au troisième étage.

« Tu fais quoi la ? »

Il sourit toujours, « Je m’amuse, pas toi ? »

« Non, tu me fais chier. Tu crois quoi, que je vais te laisser baiser ma copine ? »

« Oui, mais ne t’inquiète pas, tu seras de la partie. Aller, vous êtes jeunes, il faut profiter ! » Sur ce il me pousse, sans être violent, mais avec suffisamment de fermeté pour se frayer un chemin. Je le suis, dévalant les derniers étages à toute allure. Dans la rue, Sarah nous attend. Les autres invités sont partis, il ne reste que nous.

« Tu habites dans le Marais c’est ça Philipe ? On doit prendre la onze aussi, je pense que le métro est ouvert. Tu nous accompagnes ? »

« Le métro ? Absolument pas jeune femme ! Je suis garé à quelques mètres seulement. Je vous dépose ! »

Je suis horrifié. Il n’a aucune intention de nous déposer, ou alors c’est pour nous accompagner chez moi.
« Ecoutes – »

Sarah me coupe, me laissant pas l’occasion d’arrêter cette folie, « Oh oui ! Génial ! » Elle le suit, me laissant aucun choix que de faire de même.

Philipe possède une belle BMW. Elle est noire, à quatre places. « Honneur aux dames. » Il indique la place de devant, ouvrant la porte à Sarah. Je suis fou de rage mais je m’assieds tout de même. La voiture démarre avec un rugissement. S’est parti.

Philipe continu de s’adresser à Sarah et rapidement il pose une main sur sa cuisse. Au fur et à mesure de la conversation il la taquine de son sourie, la caresse de ses mots mielleux, fait remonter peu à peu sa robe avec ses longs doigts. Sarah ne résiste pas. Elle continue de rire et sourire. Je ne puis qu’observer. Malgré moi cependant, je ressens également une pointe d’excitation, un désire obscure de voir ma copine se faire tripoter par un autre. Mieux ! Un homme qui m’a également baisé.

Trop concentré sur l’action, je ne remarque même pas que nous sommes arrivé. Philipe était venu chez moi une fois. Il connaît l’adresse. Sarah est trop ivre pour s’en rendre compte. Il l’aide à descendre, et sans même me demander la permission s’introduit dans l’immeuble. Nous gravissons les deux étages. Les deux devant, moi derrière, confronté à une réalité qui se fait de plus en plus pressante. Philipe va la baiser.

La porte se referme. J’ai eu la bonne idée de passer ma clé à Sarah. Elle a ouvert sans me demander la permission. Ils s’assoient sur le lit.

« Tu sais Sarah, James a drôlement de la chance d’avoir une aussi belle copine. A son âge j’aurais été fou si je t’avais rencontré !»

Elle rit.

« Mais tu sais, vous êtes encore jeune, et une telle beauté ne doit pas être emprisonnée ! Tu dois la libérer, la partager ! Tu en penses quoi ? »

Sarah rit encore, « oui libérons la ! » Elle lève le bras en un geste fort.

Philipe sourit, puis d’un mouvement léger, il fait tomber l’une de ses bretelles. Elle ne porte pas de soutien gorge et un sein rond à la peau crémeuse se retrouve à l’air nu. Elle a toujours le bras levé. Philipe l’embrasse. Elle ne résiste pas.

« La liberté guidant le peuple. » Comme seule réponse elle l’embrasse à son tour. De sa main gauche elle s’empare de mon bras.

« Viens mon amour, il a raison, on est jeunes, profitons-en. » Ils s’embrassent à nouveau. Puis elle s’approche de moi. Elle sait me convaincre. Sa main esquisse de petites caresses le long de mon torse, puis contre mon membre dure au travers le tissu. Philipe nous regarde.

De sa main droite, pendant qu’elle m’embrasse, Sarah se met à défaire la ceinture puis le bouton et braguette du jean de Philipe. Sans hésiter, elle plonge sa main dans le tissu, se met à explorer. Elle s’arrête de m’embrasser et se retourne.

« Et bien monsieur, que voilà ? S’est bien gros tout ça ! »

« Mais c’est James qui pourra te le confirmer, n’est-pas mon beau? » Je ne puis répondre, tellement la peur m’a frappé.

Sarah ne comprends pas, « Eu, attendez j’ai pas tout suivi la… »

« Et oui petite, avant que vous ne vous rencontriez, James m’a monté, chevauché, sucé et bien plus encore ! »

Elle se tourne vers moi, l’air totalement surpris. Je n’arrive pas à formuler une réponse. Je reste la, sans émettre un son. Puis elle sourit, « Non ! C’est pas vrai ! Oh mon cœur, petit coquin ! » Elle m’embrasse. C’est à moi d’être étonné.

Philipe sourit encore, l’air satisfait. « Ca te dirais qu’il te fasse découvrir mon gros engin petite ? »

Sarah est ravie, je ne sais d’où vient cette fascination, « Oh oui ! » Sans hésiter elle se met à genoux devant Philipe, me tirant par la main. Je me place à ses côtés. Sans perdre un instant elle sort la verge de Philippe de son caleçon. Elle la contemple un instant, la tenant dans sa main droite. Elle jette un rapide coup d’œil vers mon propre entre jambe. Je sais que dans sa tête elle compare les deux membres. Je ne peux douter de la conclusion à laquelle elle est arrivée. Philipe est bien mieux membré que moi. Sarah se met à lécher le long du phallus. Elle ne prête plus aucune attention à moi, seul ce beau sexe compte. Je bande. J’y peux rien. Philipe me regarde, sourit.

« Allez James, aide la. »

J’obéis. Je m’approche et Sarah s’écarte légèrement pour me donner de la place. Je me mets à lécher aussi. Tout deux nous parcourons ce membre raide, traversé de veines longues et impressionnantes.

« Les boules aussi mes petits. »

Sarah s’empresse de baisser un peu plus le pantalon de notre maitre. Elle taquine du bout de sa langue les deux testicules emplis. Je me charge de son gland. Je le suce pendant que Sarah m’observe, une fascination dans le regard. Elle se met sur le lit prêt de Philipe. Ils s’embrassent. L’homme la caresse, lui chatouille les tétons bien durs, la dénude peu à peu. Bientôt elle ne porte plus que son string en dentelle rouge.

« Et si nous demandions à James d’enfiler ce bas délicieux ? » Philipe est machiavel, ravi de cette nouvelle trouvaille. Sarah s’exclame d’un rire ivre de désire et d’alcool.

« Oh oui ! Allé James fait le ! » Elle s’empresse d’enlever la lingerie. Philipe la regarde, contemple son cul bombé, sa chatte parfaitement épilée.

Je me déshabille. Je bande toujours mais je sais que Sarah ne me regardera plus jamais de la même manière. Une fois nu, elle me tend le string que j’enfile. La dentelle me serre. Sarah rit à nouveau.

« Regarde ton copain petite, il est beau comme ça non ? » Elle fait oui de la tête, ravie.

« Et maintenant James à toi de regarder pendant que je baise ta copine. Tu vas adorer, j’en suis sur. » Sur ce il pousse délicatement Sarah contre le matelas, la plaquant sur le ventre. Il se positionne derrière elle, sur elle, son bassin venant se coller contre sa croupe. Elle sourit, l’anticipation évidente dans son regard. Elle me regarde pendant que Philipe se positionne puis la pénètre. Elle soupire. Et moi, à présent cocu, je me branle. Je n’ai d’autre choix. La jalousie et l’excitation se confondent. Je suis tiraillé entre le désire de tuer cet homme et à la fois de l’encourager.


A suivre...