Au revoir virilité V - le jouet de Sarah
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 48 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Minpass ont reçu un total de 385 005 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 9 076 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Au revoir virilité V - le jouet de Sarah
J’ai le pantalon autour des chevilles, le string que ma copine m’a laissé à mi cuisse et surtout un grand brun derrière moi, son bassin se plaquant au mien au rythme de ses coups de reins puissants. Son sexe est au plus profond de moi. La verge n’est pas énorme mais d’une bonne taille tout de même. Je sens son gland se glissant en moi. Je gémis, lui grogne. L’homme a la trentaine. Il est beau, avec un visage fin et des traits marqués. Ses yeux sont d’un bleu clair, sa coupe courte. Il est gay, je m’en suis aperçu au premier contact. Il n’a pas la même façon de me toucher que Philippe ou les autres que j’ai pu fréquenter, tous bi. Il m’embrasse tendrement. En temps normal je n’aime pas, mais là je me laisse faire. Sa langue parcours ma bouche. Il est rasé et sa peau est douce contre la mienne. Tandis qu’il m’embrasse il me sert contre lui, ses mains venant se faufiler dans mon jean, contre la peau de mes fesses. Il aime ce qu’il y trouve. Il les palpe, les caresses, laisse glisser un doigt le long de ma raie. Il aime également le string qu’il remonte entre mes cuisses.
Rapidement nous nous retrouvons dans le salon. Je l’aide à se déshabiller, sans un mot, seulement son regard plein de désire. Tandis que je lui défais son jean, il me caresse la tête, fait pression. Je comprends et me met à genoux. Il tend le bassin en avant. Son membre raide se dessine à travers le tissu de son boxeur. Je le sors. La verge se dresse raide devant moi. Je commence à lui titiller le gland du bout des lèvres et de ma langue mais rapidement il me fait comprendre qu’il souhaite que je le prenne entièrement en bouche. J’exécute, écartant mes lèvres et le laissant se faufiler entre. Tandis que je le suce, de plus en plus rapide, sa queue vient taper au fond de ma gorge. Il a défait mon jean. De sa position dominante il doit pouvoir voir mon string qui en dépasse. Il me lime la bouche à présent. Je commence à me demander si il ne souhaite pas jouir ainsi. Mes mains l’accompagnent, lui malaxant les boules. Mes yeux sont levés vers l’homme. Il me sourit, ses deux mains placées sur ma tête. Mais il ne jouit pas. Il me relève, me pousse contre le mur. Mon jean tombe et je sens son regard sur mes fesses. Il me les caresses, puis baisse lentement le string.
« Attends. » Ca voix est grave.
Je reste donc contre le mur, cambré à l’attendre. Il prend un tube – du lubrifiant – posé sur le bar de la cuisine. Il s’en étale sur l’index puis, lentement le pose contre mon anus. Le liquide est froid et je tremblote, mais c’est aussi l’envie que me fait frissonner. Il s’attarde sur mon trou. Il le titille, le pénètre. Je sens son doigt en moi. Enfin il positionne son gland entre mes cuisses. Je suis raide également, en anticipation. Il se frotte contre moi. Je ressers les fesses.
« Hmm, t’en as envi on dirait. »
Je fais oui de la tête. Alors il se saisit de ma hanche de sa main gauche et avec l’autre se guide de nouveau contre mon trou. Je sens son gland qui entre en moi, peu à peu. Comme lors de la fellation les vas et viens deviennent rapidement rapides et profonds. Chaque mouvement me fait gémir de plaisir tandis qu’il me stimule. Je pense à Sarah, malgré moi, mais la pensée d’elle dans les bras d’un autre ne fait que m’exciter d’avantage. Je jute contre ma cuisse droite. Le liquide chaud coule le long de ma jambe. Puis c’est à son tour. Son éjaculation est saccadée mais puissante au fond de moi. Je me sens emplir. Il vient se coller à moi, son corps moite contre le mien. Alors qu’il se retire, je sens le sperme qui coule de mon trou. Il me retourne et m’embrasse à nouveau. Ses mains me malaxent les fesses et je glisse la mienne contre son sexe. Il est encore dur. Je récompense la performance de son membre avec mes caresses. Nous nous embrassons et caressons longuement. Je le sens de nouveau excité. Cette fois c’est moi qui le guide contre le canapé. Je le pousse et il s’assoit. Puis je me place à califourchon sur lui et enjambe son sexe sur lequel je viens m’asseoir à l’aide de ma main. Il glisse en moi aisément, aidé par la semence toujours présente en moi. Je commence à monter et descendre tandis que ses mains m’accompagnent dans le mouvement, autour de ma taille. Il dure plus longtemps cette fois. Je m’emballe, accélérant le mouvement. Il vient saisir mon membre raide de sa main droite. Il me branle. Je sens qu’il souhaite que l’on finisse ensemble. Rapidement je sens mon plaisir toucher au comble alors je fais en sorte qu’il arrive également au climax. Je me ressers autant que possible sur lui, me contractant, j’accélère encore le mouvement, travaillant son gland. Nous jutons presque au même moment, lui en moi et moi sur son ventre.
Je quitte l’appartement une demie heure plus tard, après avoir prit une douche. Il m’a rejoins et je l’ai de nouveau stimulé sous l’eau chaude. Cette fois il m’a jouit en bouche et je prends plaisir à avaler sa semence épaisse. Nous nous quittons avec un baiser et une claque de sa part sur ma fesse droite.
Une fois dans le métro. Je repense à Sarah. Est elle encore avec Philippe ? Combien de fois l’a t’il prise ? Souhaite elle encore me voir ? Je suis encore entrain d’y penser quand je vois arriver sur le même quai une jolie brune. Je la regarde, c’est elle. La coïncidence n’est pas si frappante après tout, Philippe habite à côté. Ses cheveux sont défais mais elle sourit en me voyant. Quand je m’approche elle baisse un peu le regard – par honte ou pour dissimuler un regard moqueur, je n’en sais rien. J’arrive en face d’elle mais je ne sais quoi faire. Je suis frustré, énervé, excité et curieux à la fois. Je souhaite la toucher, l’embrasser, la secouer, l’étrangler même mais je reste figé. C’est elle qui parle la première.
« Alors, bien baisé ? »
« Et toi ? »
« Oui. » Sa réponse simple me dit tout. Elle affiche toujours un sourire.
« Je ne t’en veux pas tu sais. Ce matin oui, mais là je me dis qu’en fin de compte j’ai eu de la chance de te trouver. Tu es ouvert, sympa et tu as de très bons amis. » Avec cette dernière remarque son sourire et regard semblent prendre un air coquin, moqueur.
« Je ne te racontes pas les détails, enfin pas encore, mais on a aussi été faire quelques courses avec Philippe. » Elle ouvre son sac et je regarde. J’aperçois une boite noir et rose en plastique. Puis je comprends – c’est un gode, un gode ceinture. Encore cette excitation pleine de honte au fond de moi. Je ne sais quoi dire. « On va s’amuser toi et moi. » Cette fois elle ne cache pas la nature coquine et émasculant de son sourire. Sarah, comme mes amants, va me baiser.
Rapidement nous nous retrouvons dans le salon. Je l’aide à se déshabiller, sans un mot, seulement son regard plein de désire. Tandis que je lui défais son jean, il me caresse la tête, fait pression. Je comprends et me met à genoux. Il tend le bassin en avant. Son membre raide se dessine à travers le tissu de son boxeur. Je le sors. La verge se dresse raide devant moi. Je commence à lui titiller le gland du bout des lèvres et de ma langue mais rapidement il me fait comprendre qu’il souhaite que je le prenne entièrement en bouche. J’exécute, écartant mes lèvres et le laissant se faufiler entre. Tandis que je le suce, de plus en plus rapide, sa queue vient taper au fond de ma gorge. Il a défait mon jean. De sa position dominante il doit pouvoir voir mon string qui en dépasse. Il me lime la bouche à présent. Je commence à me demander si il ne souhaite pas jouir ainsi. Mes mains l’accompagnent, lui malaxant les boules. Mes yeux sont levés vers l’homme. Il me sourit, ses deux mains placées sur ma tête. Mais il ne jouit pas. Il me relève, me pousse contre le mur. Mon jean tombe et je sens son regard sur mes fesses. Il me les caresses, puis baisse lentement le string.
« Attends. » Ca voix est grave.
Je reste donc contre le mur, cambré à l’attendre. Il prend un tube – du lubrifiant – posé sur le bar de la cuisine. Il s’en étale sur l’index puis, lentement le pose contre mon anus. Le liquide est froid et je tremblote, mais c’est aussi l’envie que me fait frissonner. Il s’attarde sur mon trou. Il le titille, le pénètre. Je sens son doigt en moi. Enfin il positionne son gland entre mes cuisses. Je suis raide également, en anticipation. Il se frotte contre moi. Je ressers les fesses.
« Hmm, t’en as envi on dirait. »
Je fais oui de la tête. Alors il se saisit de ma hanche de sa main gauche et avec l’autre se guide de nouveau contre mon trou. Je sens son gland qui entre en moi, peu à peu. Comme lors de la fellation les vas et viens deviennent rapidement rapides et profonds. Chaque mouvement me fait gémir de plaisir tandis qu’il me stimule. Je pense à Sarah, malgré moi, mais la pensée d’elle dans les bras d’un autre ne fait que m’exciter d’avantage. Je jute contre ma cuisse droite. Le liquide chaud coule le long de ma jambe. Puis c’est à son tour. Son éjaculation est saccadée mais puissante au fond de moi. Je me sens emplir. Il vient se coller à moi, son corps moite contre le mien. Alors qu’il se retire, je sens le sperme qui coule de mon trou. Il me retourne et m’embrasse à nouveau. Ses mains me malaxent les fesses et je glisse la mienne contre son sexe. Il est encore dur. Je récompense la performance de son membre avec mes caresses. Nous nous embrassons et caressons longuement. Je le sens de nouveau excité. Cette fois c’est moi qui le guide contre le canapé. Je le pousse et il s’assoit. Puis je me place à califourchon sur lui et enjambe son sexe sur lequel je viens m’asseoir à l’aide de ma main. Il glisse en moi aisément, aidé par la semence toujours présente en moi. Je commence à monter et descendre tandis que ses mains m’accompagnent dans le mouvement, autour de ma taille. Il dure plus longtemps cette fois. Je m’emballe, accélérant le mouvement. Il vient saisir mon membre raide de sa main droite. Il me branle. Je sens qu’il souhaite que l’on finisse ensemble. Rapidement je sens mon plaisir toucher au comble alors je fais en sorte qu’il arrive également au climax. Je me ressers autant que possible sur lui, me contractant, j’accélère encore le mouvement, travaillant son gland. Nous jutons presque au même moment, lui en moi et moi sur son ventre.
Je quitte l’appartement une demie heure plus tard, après avoir prit une douche. Il m’a rejoins et je l’ai de nouveau stimulé sous l’eau chaude. Cette fois il m’a jouit en bouche et je prends plaisir à avaler sa semence épaisse. Nous nous quittons avec un baiser et une claque de sa part sur ma fesse droite.
Une fois dans le métro. Je repense à Sarah. Est elle encore avec Philippe ? Combien de fois l’a t’il prise ? Souhaite elle encore me voir ? Je suis encore entrain d’y penser quand je vois arriver sur le même quai une jolie brune. Je la regarde, c’est elle. La coïncidence n’est pas si frappante après tout, Philippe habite à côté. Ses cheveux sont défais mais elle sourit en me voyant. Quand je m’approche elle baisse un peu le regard – par honte ou pour dissimuler un regard moqueur, je n’en sais rien. J’arrive en face d’elle mais je ne sais quoi faire. Je suis frustré, énervé, excité et curieux à la fois. Je souhaite la toucher, l’embrasser, la secouer, l’étrangler même mais je reste figé. C’est elle qui parle la première.
« Alors, bien baisé ? »
« Et toi ? »
« Oui. » Sa réponse simple me dit tout. Elle affiche toujours un sourire.
« Je ne t’en veux pas tu sais. Ce matin oui, mais là je me dis qu’en fin de compte j’ai eu de la chance de te trouver. Tu es ouvert, sympa et tu as de très bons amis. » Avec cette dernière remarque son sourire et regard semblent prendre un air coquin, moqueur.
« Je ne te racontes pas les détails, enfin pas encore, mais on a aussi été faire quelques courses avec Philippe. » Elle ouvre son sac et je regarde. J’aperçois une boite noir et rose en plastique. Puis je comprends – c’est un gode, un gode ceinture. Encore cette excitation pleine de honte au fond de moi. Je ne sais quoi dire. « On va s’amuser toi et moi. » Cette fois elle ne cache pas la nature coquine et émasculant de son sourire. Sarah, comme mes amants, va me baiser.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Minpass
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire ou les femmes ont le beau rôle nul
Yaura t'il une suite a cette histoire ??? :)
très belle histoire comme j'aimerai en réaliser.
très bon mais trop courte alors vivement la suite