Bâtiment en Chantier (02) L'Intérimaire

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Bâtiment en Chantier (02) L'Intérimaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Bâtiment en Chantier (02) L'Intérimaire
Bâtiment en Chantier (02) L'Intérimaire

Ça m'a fait tout drôle, je ne vous dis pas ! Mais c'est vrai que je n'y pensais plus moi à cette histoire. Je n'étais plus stagiaire, comme tous mes camarades je devais porter un dispositif de chasteté PK.

Le secrétaire me proposait le modèle 'Céramique', il est beau, vraiment beau. On dirait qu'il est en porcelaine, il n'en a pas la fragilité, en fait il est en composite. Mais l'imitation est bien faite. On peut également changer les bouclier, c'est la partie avant du dispositif, histoire de mettre le dispositif à la mode … Il y en a de toutes les couleurs.

J'étais épaté, ils ont toutes les tailles. Le dispositif est vraiment bien étudié, j'avais eu tout le loisir de les regarder de près sur le chantier précédent mais là je n'en portais pas, j'étais stagiaire. Ce n'est plus le cas, maintenant j'ai mon diplôme, ma formation est terminée. Je ne suis plus dispensé, maintenant, pendant le chantier je serai obligé de suivre le règlement. Je vais devoir porter une dispositif PK . Dans la salle d'accueil il y a la photo de ce sportif très connu … Jérémy Brosso … ça vous dit quelque chose ? Oui voilà, c'est lui.

C'est de lui qu'on parlait un peu partout à la radio et à la télé, il s'est marié il y a peu avec l’héritière d'une des plus grosse fortune du monde. Il parait que c'est un mariage d'amour mais bon, la télévision n'est certainement pas neutre, c'est son frère Luc qui dirige la chaîne de télé …
Ils sont rigollots au secrétariat, on a le droit de retirer le dispositif quand on quitte le chantier, à chaque fois qu'on quitte le chantier ils disent ( enfin pour au moins une journée ) mais le chantier il est dans un endroit isolé, et quand je dis isolé, c'est simple. Il n'est même pas référencé sur les photos satellites de Gogol. Il n'y a pas plus isolé que ça ! Donc on ne quitte pas le chantier pendant au moins six mois ...

Ça m'a fait tout drôle, j'ai hésité une dernière fois avant de signer pour deux ans … C'était une expérience à faire, mes anciens camarades de chantiers ne semblaient pas en souffrir. J'ai pris une bonne respiration et j'ai signé. Ensuite j'ai enfilé le dispositif, c'était pas vraiment facile, je bandais. Pardi ma queue ne voulait pas y aller, elle. Ça m'a pris un peu de temps dans la salle d'habillage ( ils l'appelle pudiquement ainsi ), je me suis branlé, c'était le seul moyen que j'ai trouvé pour me calmer, on ne m'a pas fait la moindre réflexion bien que j'y sois resté trois quart d'heure ... Bon ils connaissent le problème, il parait que dans cette entreprise, tout le monde porte un tel dispositif.

Je travaille donc toujours pour une filiale de la société PK … et le bonhomme, oui, Brosso, c'est mon boss maintenant. Il y a peu de chances que je le rencontre un jour mais c'est mon boss tout de même.

Ce qui me surprenait le plus, au début, c'est le confort de ce dispositif. Je m'attendais à ce que ça gène, que ça gratte, que ça pince … Enfin au début, le temps de s'habituer. Mais pas du tout, dès le départ il était très confortable, et si par moment on le sent, on le sent bien même, ça ne gêne pas les mouvements et ça reste confortable.

C'était un peu comme à l'armée, on nous équipait ! On pouvait bien sûr emporter des affaires personnelles, mais on aurait un paquetage parfaitement adapté à l'endroit ou nous devions aller, au climat par exemple. Ensuite sur place, c'était pas bien compliqué, on avait notre boulot, on savait ce qu'on avait à faire et le soir, on rentrait au foyer et on n'avait plus qu'à mettre les pieds sous la table, on ne s'occupait plus de rien, même notre lessive était prise en charge …
J'avais tout de même une petite boule au ventre en montant dans l'avion. Je ne connaissais personne mais c'était pas bien grave, je sentais, là, tout contre moi le dispositif de chasteté et je savais que je le porterais pendant au moins six mois, peut être deux ans. Je m'inquiétais de la manière dont mon corps allait réagir, si ça ne deviendrait pas … insupportable …
Dans l'avion des petits groupes se formaient, ceux qui se connaissaient déjà, Mais il y avait beaucoup de nouveaux comme moi. C'est là que je réagissais et m'inquiétais.

– Mince j'ai oublié de prendre mes bagages !

A côté de moi un ouvrier rigolait.

– Alors là mon gars, ça c'est impossible. Ton paquetage t'attendra sur place.
– Tu es sûr ?
– C'est la première fois que tu travailles pour la PK Compagnie ? Moi j'ai jamais vu une organisation pareille. Si tu oublies un truc, ne t'inquiète pas, eux ils ne l'oublieront pas.
– J'espère, en fait je ne me souviens pas à quel moment j'ai laissé ma valise personnelle.
– Ne t'inquiète pas, je te paris qu'elle t'attendra à l'arrivée !

C'était Gaétan, il était charpentier et avait une belle carrure, il faisait la même taille que moi, avait un large sourire, un visage carré mais sympathique, on faisait connaissance pendant le voyage.

Gaétan était intérimaire, il avait signé son contrat moins de trois jours plus tôt, il préférait organiser sa carrière de cette manière. Bien sûr il avait moins de choix sur les chantiers qui s'organisaient mais c'est une manière de gérer sa carrière professionnelle.

Pour ce chantier, nous serions dans un pays étranger, il n'y aurait pas de sorties le week-end et les vacances seraient au mieux six mois plus tard. Une prime serait toutefois accordée à ceux qui ne la prendraient qu'au bout d'un an et une prime supplémentaire pour ceux qui choisiraient d'attendre deux ans. Soit la fin de leur contrat.

Gaétan annonçait tout de suite la couleur !

– Pour moi, il n'y a pas de doutes, je reste deux ans s'ils renouvellent mon contrat et je repars avec le gros chèque...
– Deux ans, c'est chaud là … En disant cela je pensais à mon dispositif … C'est chaud moi je trouve !
– Tu verras, ça passe plus vite que tu ne le crois.

Il était tard dans la nuit quand on arrivait. Un bus climatisé venait nous prendre et nous amenait aux baraquements. Vu de l'extérieur ça ne ressemblait à rien. C'était du préfabriqué, enfin pour les parties qui n'étaient pas fabriquées avec des conteneurs. Mais vu de l'intérieur c'était top, grand confort et climatisation. Les chambres étaient petites, elles n'étaient là que pour dormir et c'était bien suffisant. Avec Gaétan on décidait de partager la même chambre, il y avait une petite douche par chambre.

– On nous laisse la matinée du lendemain, on se lève quand on veut. Moi je me prends une douche avant de dormir. Disait Gaétan.

Je vidais mon bagage, il avait raison dans l'avion. Ma valise était arrivée avant moi et m'attendait à la consigne ainsi que mon paquetage. J'installais tout ça dans mon placard. Gaétan était sous la douche.

– Ne prend pas toute l'eau chaude !
– C'est pas l'eau chaude, avec la température qu'il fait … Mais l'eau froide je ne sais pas s'il y en aura assez …– Bon OK, j'arrive.

Je décidais de le rejoindre sous la douche. Et puis de toutes façons, ça ne risquait pas de dégénérer. J'aurais bien aimé moi, mais, bon … Je me glissais dans la douche, on pouvait tenir à deux à condition de ne pas trop bouger. Mais ça tenait.

Je sentais ma queue se relever, enfin tenter de se relever. Je la sentais prendre du volume, enfin tenter de prendre du volume. Je la sentais protester contre cette situation, enfin … Oui là elle protestait. Là elle ne faisait pas semblant. Et je sentait la queue de Gaétan qui appuyait contre ma cuisse. Il n'avait pas de dispositif de chasteté.

Mais c'est quoi ce truc. Tu ne portes pas de dispositif PK ?

– Bein il faut en profiter !

Ah il voyait les choses comme ça lui !

Il n'avait pas fini sa phrase que j'étais à genoux et que déjà sa queue terminait de prendre toute sa taille dans ma bouche. Je jetais un œil pour voir sa réaction. Il penchait sa tête vers moi, il avait un large sourire satisfait, il me caressait les cheveux, l'eau coulait fraîche sur nos corps, il faisait vraiment chaud dehors, il appuyait sur ma tête me forçant à avaler sa queue jusqu'à la garde sans prévenir et il me balançait en même temps un violent coup de bassin. J'étais pris de cours, je ne pouvais qu'encaisser.

Rapidement je posais mes mains sur ses cuisses. C'était pas vraiment pour le repousser … C'était seulement pour le retenir, calmer ses ardeurs, je m'en étais pris plein la gueule là. Il me caressais les cheveux avec une grande douceur, il me laissait faire. Je le sentais respirer plus fort. Je jetais un œil, il avait relevé la tête en arrière et s'appuyait contre le mur.

C'est avec ses deux mains qu'il guidait ma tête maintenant. Il avait de petits mouvements de bassin. C'était tout en douceur au point que j'arrivais même à avancer mon visage vers lui, même quand il avançait son bassin.

Il faut dire qu'il en avait une belle. Bien large, d'une belle longueur mais surtout bien large. On devait la sentir passer celle là ! En attendant j'arrivais presque à la prendre dans ma bouche en entier. Pas longtemps mais j'y arrivais.

Il faisait preuve d'une grande douceur, jusqu'au moment ou il se lâchait, encore un peu de douceur puis il me balançait deux ou trois violent coups de bassin en me retenant fermement la tête. L'endroit était étroit, je ne pouvais pas me dégager comme je le voulais. J'encaissais de nouveau !

Je ne parvenais pas à comprendre. Cette société avait une organisation irréprochable et elle avait oublié un employé. Voilà qui était étonnant ! Pour le moment j'en profitais. En plus il était bien monté. Il me laissait faire un long moment en gémissant.

Au bout d'un moment il me demandait de me relever et de me retourner contre le mur. Il me caressait alors le dos, me prenait dans ses bras et m'embrassait dans le cou.

– Tu me laisses faire !

Il n'attendait pas ma réponse. Il glissait une main entre mes fesses, il me lubrifiait efficacement le cul, il en profitait pour y glisser un puis deux doigts . Vous imaginez que je l'ai laissé faire. Je ne m'y attendait pas mais c'était génial, il les agitait dans mon cul avec vigueur et rapidement je sentais un plaisir qui montait en moi.

Là c'est moi qui gémissait, et je gémissait de plus en plus fort. Il m'embrassait dans le cou, me caressait le torse, une main descendait vers mes couilles, il me les tripotait avec force. Je l'ai laissé faire. Il me pouvait pas vraiment me masturber mais il pouvait me tripoter les couilles et il ne s'en privait pas.

Puis j'ai senti sa queue se placer juste contre mon cul. J'ai un peu paniqué. Il en avait une belle et surtout bien large. Pendant le chantier précédent, je n'avais pas vraiment joué le rôle du passif mais je me souvenais combien c'était le rôle que je préférais. J'avais un peu peur mais je le laissais faire.

Quand il à poussé je me suis détendu, j'ai senti une pression intense, une douleur, un plaisir, je ne savais plus. Mon anus s'est détendu et je l'ai senti glisser en moi. Sa queue était large et ouvrait le passage avec force. J'avais envie de gueuler, de hurler mais je serrais les dents, pas les fesses surtout pas les fesses. Dans cette situation il ne faut pas serrer les fesses.

Je gémissais, c'était la douleur autant que le plaisir. Ça faisait un moment que ne m'étais pas fait défoncé le cul comme ça. C'était le pied. Je profitais, de la situation surtout que je savais que ça ne durerais pas. Il n'avait pas encore reçu son dispositif de chasteté mais ça n'allait pas durer. J'ai vu des étoiles au moment ou il écrasait son ventre contre mon cul et ou il poussait avec force. Il me serrait contre lui. Il se retirait puis revenais avec force et commençait à me limer le cul.

Il commençait avec des mouvements amples et lents puis il continuait avec des mouvements plus rapides et courts. À chaque fois quand il arrivait bien à fond, il terminait par un mouvement violent et rapide avant de pousser … bien à fond.

Là il avait réussi son coup, il m'avait déboîte la rondelle, je râlais, je gémissais, je pleurais presque mais je jouissais. Je jouissais un peu dans la douleur mais surtout dans le plaisir. Un peu dans la panique mais j'en redemandais. Je tremblais, s'il ne m'avait pas retenu en me coinçant contre le mur, je crois que je serais tombé sur le sol.

Il faisait toujours aussi chaud et on ouvrait l'eau fraîche par moment.

Il respirait fort, il râlait, criait presque dans mon oreille. C'est à ce moment qu'il s'est lâché. Il à joui et juté dans mon cul, il à perdu son self contrôle à ce moment et ses mouvements sont devenus particulièrement violents. Là j'ai hurlé, là il y allait trop fort, là j'ai voulu me débattre pour me dégager mais c'était inutile, il avait éjaculé et il se calmait. Il ne bougeait plus et redevenait tendre et terriblement câlin. J'avais presque du mal à y croire, quelques instants plus tôt il était violent et brusquement il devenait si doux …
J'ai beaucoup aimé ce moment, quand on a terminé notre douche, quand chacun lavait le corps de l'autre en le savonnant. Quand je m'attardais sur ses parties intimes et quand lui me tripotait les couilles fautes de pouvoir me tripoter la queue.

On a terminé par un gros câlin.

Il était tard, on était épuisé, le voyage avait été long et on tombait de sommeil, on s'est couché, chacun dans son lit.

– Je crois qu'on va faire une bonne saison. Ce chantier va être très sympa. Me disait-il en fermant les yeux.
– Et ils vont te donner ton dispositif quand ?
– Mon dispositif ?
– Bein oui, on travaille pour la PK et tout le monde doit porter un dispositif de chasteté à la PK !
– Ah non, moi, on ne m'en donnera pas. C'est pas compris dans mon contrat ça. Rajoutait-il en rigolant !
– Je ne comprend pas là moi ?
– C'est pas compliqué je suis intérimaire … Les intérimaires ne portent pas de ce genre de dispositif.
– Et c'est quoi cette blague ?
– C'est simple, nous les intérimaires, on prend les postes qui n'ont pas pu être pourvu. La PK n'a pas le choix et elle ne nous demande rien … Voilà c'est tout. Par contre les contrats sons plus courts, et on ne sait pas si on pourra les renouveler … On n'a pas les même garantis.
– Donc ils peuvent te virer ?
– Non j'ai un contrat de six mois tout de même . Avec ces chantiers isolés la PK n'a pas trop le choix donc je ne perds rien en fait. C'est pas la première fois tu sais … – Je ne savais pas ça moi !
– En plus on trouve toujours plein de mecs qui n'en peuvent plus et qui comme toi et qui ne demandent qu'à de faire défoncer le cul …
Si j'avais su … Là j'avais un peu l'impression de m'être fait rouler moi. La prochaine fois je négocierai mieux mon contrat, je demanderai un contrat un peu plus précaire, un contrat d'intérimaire …


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