Belle, collègue... émoustillante (2ème partie)
Récit érotique écrit par Mysterious91 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Belle, collègue... émoustillante (2ème partie)
Les seins de Belle sont jolis. La glace a pour effet d'en rendre les tétons plus durs. Ils dardent et ainsi, ça les rend plus alléchants. Attendrissants. Oui. Les seins de Belle me donnent envie. J'ai perdu tout contrôle de la situation depuis que ma jeune collègue a décidé de retirer son soutien-gorge pour qu'ils soient nus. Belle se mord la lèvre. Moi aussi, je voudrais bien la moindre, cette lèvre. Que Belle ne m'y pousse pas ou bien...? Ou bien je ne répondrai de rien si je le fais. Quelque chose me dit que... Ce ne serait pas pour lui déplaire. En attendant... C'est sa poitrine qui retient mon attention.
Le sang bouillonne dans mes veines. J'ai beau être fasciné par la beauté du spectacle qui s'offre à mes yeux... Il est de plus en plus difficile pour moi de réprimer mes envies. Les seins de Belle me plaisent. C'est bien beau de les titiller et d'en agacer les tétons avec des glaçons... J'ai désormais envie d'y goûter. Avec mes lèvres... Avec ma langue...
Ni une, ni deux, je cède à la tentation. Me voilà qui approche mon visage de la poitrine de ma collaboratrice. Les deux beaux nichons sont dans la ligne de mire de mes yeux. Limite, je n'ai d'yeux que pour ces seins, à présent. En comparaison, le reste n'a pas d'importance à l'instant-t, dans la petite cuisine de l'espace de travail. La bouche toute proche du sein gauche de la belle, de MA Belle, Belle, je ferme les yeux. J'entrouvre légèrement la bouche et tends la langue. Le bout de mes lèvres effleure et caresse la peau de la jeune femme. J'y dépose un petit baiser. Au contact de cette zone, je détecte quelque chose de plutôt pointu. Je n'ai pas à chercher midi à quatorze heures. Il s'agit du téton de Belle.
Je débranche mon cerveau et je ne pense plus à rien, si ce n'est à mon émoustillante collègue... et à son plaisir. Sans réfléchir, je pose mes lèvres sur le téton et je me mets à le suçoter. Un peu comme un nouveau-né, je m'en délecte. Et d'après ce que j'entends, ça ne laisse pas Belle indifférente.
Heureusement que nous sommes seuls dans la pièce. Nous serions dans de beaux draps si l'on nous prenait sur le fait, dans cette situation. Il n'y a que Belle que l'on entend. Il faut la comprendre. Ce doit être un délice pour elle de s'offrir comme elle le fait. Elle pousse des petits gémissements. Elle est toute sauf insensible à mes caresses. Avec mes lèvres, avec ma langue, je lui montre que je ne suis pas insensible à la beauté de ses seins. C'est comme si j'étais tombé sous leur charme. J'espère qu'elle le sent, que j'y prends du plaisir à le lui honorer, sa poitrine. La bouche entrouverte, Belle m'observe en train de m'occuper d'elle. Ça la rend curieuse, comment je lui donne du plaisir. Elle n'en perd pas une miette. Ma langue lape les tétons de la belle Belle pour les lui titiller. Ma collègue ne se retient plus et elle laisse exprimer le plaisir qu'elle a. Ça m'émeut, ça m'excite d'entendre ces sons féminins qui expriment le bien-être, qui traduisent avec bonheur ce qu'est le plaisir. Belle m'accorde sa confiance. Elle peut. La seule chose qui compte pour moi, là, c'est qu'elle se sente bien, qu'elle soit à l'aise. Mon cerveau bouillonne sans qu'il n'y ait des idées qui se coordonnent. Je ne fais qu'être à l'écoute de mon instinct. Mes lèvres suçotent les tétons de ma collègue et ça les fait s'allonger, je remarque. Avec mes mains, j'empaume délicatement ces deux jolis seins et je les presse l'un contre l'autre. Qu'est-ce qu'ils sont beaux, ainsi...
Belle émet des bruits de plaisir. Des soupirs, des gémissements. Mes baisers et mes caresses lui font du bien. Ils lui procurent du plaisir et c'est loin de la laisser indifférente. Belle m'émeut. Et j'aime ça, lui donner du plaisir. Je me suis laissé hypnotiser par la beauté de la vue de ses seins nus et voilà où nous en sommes, à présent. Je me délecte des mamelons tendus de ma collaboratrice émoustillante que je couvre de petits baisers et de fins coups de langue. Le plaisir a pour effet principal de rendre sa respiration plus rapide... et plus syncopée. Ses mots sont entrecoupés de bruits comme si elle manifestait son bien-être. Grâce à ces sons, je me rends compte qu'elle aime que l'on s'occupe d'elle. Très bien. Message reçu cinq sur cinq, alors. Et moi, j'aime m'occuper d'elle. L'idée même de lui donner du plaisir me plaît beaucoup. Quand elle jouira, elle fera de moi le plus fier des hommes. C'est ce que je veux : qu'elle jouira. En ce qui me concerne, je suis tombé sous son charme. J'ignore comment ça va se passer, au bureau, après ça. Ce qui est sûr, c'est que je ne vais plus voir Belle de la même manière. Et ce n'est pas ce que Belle fait qui va arranger l'affaire. La jeune femme s'accroupit. Elle pose une main sur mon entrejambe et elle tâte mon érection. Mon sang ne fait qu'un tour. Belle scelle mon sort lorsque ses doigts s'affairent à déboutonner mon jean puis à en baisser la fermeture éclair. Les yeux dans les yeux, elle abaisse mon jean d'un coup sec et il se retrouve à mes pieds. Avec sa main, Belle cajole et caresse ma queue qui n'en finit pas d'être dure.
Je suis immobile, comme si j'étais pétrifié. Belle ne fait que me masturber mais c'est déjà beaucoup. J'en ai des frissons qui me prennent au corps. Elle s'y prend bien. Mais ce qui rend le moment particulièrement délicieux, c'est la manière dont elle me regarde. Elle a le sourire. Son sourire est éloquent et ça me montre que ça lui plaît autant qu'à moi, ce moment que nous sommes en train de vivre, rien qu'elle et moi. Le lieu et le contexte sont incongrus, cocasses. Peut-être que Belle attendait que nous soyons enfin seuls pour me dévoiler cette facette intime d'elle... Si c'est le cas, il aura effectivement mieux fallu qu'elle prenne son mal en patience. Le résultat en vaut la peine : ça me plaît et je suis conquis. Belle peut faire de moi ce qu'elle veut, je le veux. Alors... Qu'elle n'hésite pas.
Les événements se décantent et c'est ainsi que Belle se décide à passer à la vitesse supérieure. Toujours avec des gestes délicats, elle empoigne mon sexe tout dur et elle le porte à sa bouche. Sa bouche, elle l'entrouvre juste ce qu'il faut puis sa langue en surgit. Si je bandais déjà bien, si Belle m'excitait déjà beaucoup, la jeune femme me porte le coup décisif. Le bout de sa langue s'amuse avec mon gland et m'annonce le plaisir à venir.
Belle sait y faire, avec sa bouche. Le glaçon qu'elle a sucé tout à l'heure lorsqu'on jouait contraste avec la tiédeur de son haleine. L'effet est... intéressant. Je me contrains à me laisser faire. Les sensations sont délicieuses. Mais je n'en reste pas moins actif pour autant. Ce serait mal me connaître. Je caresse les cheveux de Belle, je donne des coups de rein légers. "Ma collègue est une petite coquine, en fait...': voilà ce que je me dis. Malgré son chignon, sa frange est libre alors que sa tête va puis vient sur mon pubis. Forcément que des mèches n'en font... qu'à leur tête, si je puis dire. Elle est concentrée et elle est consciencieuse. En quelque sorte, la vision qu'elle m'offre là, c'est le pendant intime de la Belle professionnelle avec qui je travaille au quotidien.
On aura beau dire... C'est important d'être dans un cadre agréable lorsque l'on travaille. Ce qu'il est en train de se passer, ça doit rester entre Belle et moi. En l'absence ponctuelle de nos collègues, nous nous en donnons à coeur joie. Moi? Je suis bien. Je me fais sucer et le contexte est insolite. Si c'est comme ça, là... La suite ne peut être que meilleure. Je le souhaite...
Le sang bouillonne dans mes veines. J'ai beau être fasciné par la beauté du spectacle qui s'offre à mes yeux... Il est de plus en plus difficile pour moi de réprimer mes envies. Les seins de Belle me plaisent. C'est bien beau de les titiller et d'en agacer les tétons avec des glaçons... J'ai désormais envie d'y goûter. Avec mes lèvres... Avec ma langue...
Ni une, ni deux, je cède à la tentation. Me voilà qui approche mon visage de la poitrine de ma collaboratrice. Les deux beaux nichons sont dans la ligne de mire de mes yeux. Limite, je n'ai d'yeux que pour ces seins, à présent. En comparaison, le reste n'a pas d'importance à l'instant-t, dans la petite cuisine de l'espace de travail. La bouche toute proche du sein gauche de la belle, de MA Belle, Belle, je ferme les yeux. J'entrouvre légèrement la bouche et tends la langue. Le bout de mes lèvres effleure et caresse la peau de la jeune femme. J'y dépose un petit baiser. Au contact de cette zone, je détecte quelque chose de plutôt pointu. Je n'ai pas à chercher midi à quatorze heures. Il s'agit du téton de Belle.
Je débranche mon cerveau et je ne pense plus à rien, si ce n'est à mon émoustillante collègue... et à son plaisir. Sans réfléchir, je pose mes lèvres sur le téton et je me mets à le suçoter. Un peu comme un nouveau-né, je m'en délecte. Et d'après ce que j'entends, ça ne laisse pas Belle indifférente.
Heureusement que nous sommes seuls dans la pièce. Nous serions dans de beaux draps si l'on nous prenait sur le fait, dans cette situation. Il n'y a que Belle que l'on entend. Il faut la comprendre. Ce doit être un délice pour elle de s'offrir comme elle le fait. Elle pousse des petits gémissements. Elle est toute sauf insensible à mes caresses. Avec mes lèvres, avec ma langue, je lui montre que je ne suis pas insensible à la beauté de ses seins. C'est comme si j'étais tombé sous leur charme. J'espère qu'elle le sent, que j'y prends du plaisir à le lui honorer, sa poitrine. La bouche entrouverte, Belle m'observe en train de m'occuper d'elle. Ça la rend curieuse, comment je lui donne du plaisir. Elle n'en perd pas une miette. Ma langue lape les tétons de la belle Belle pour les lui titiller. Ma collègue ne se retient plus et elle laisse exprimer le plaisir qu'elle a. Ça m'émeut, ça m'excite d'entendre ces sons féminins qui expriment le bien-être, qui traduisent avec bonheur ce qu'est le plaisir. Belle m'accorde sa confiance. Elle peut. La seule chose qui compte pour moi, là, c'est qu'elle se sente bien, qu'elle soit à l'aise. Mon cerveau bouillonne sans qu'il n'y ait des idées qui se coordonnent. Je ne fais qu'être à l'écoute de mon instinct. Mes lèvres suçotent les tétons de ma collègue et ça les fait s'allonger, je remarque. Avec mes mains, j'empaume délicatement ces deux jolis seins et je les presse l'un contre l'autre. Qu'est-ce qu'ils sont beaux, ainsi...
Belle émet des bruits de plaisir. Des soupirs, des gémissements. Mes baisers et mes caresses lui font du bien. Ils lui procurent du plaisir et c'est loin de la laisser indifférente. Belle m'émeut. Et j'aime ça, lui donner du plaisir. Je me suis laissé hypnotiser par la beauté de la vue de ses seins nus et voilà où nous en sommes, à présent. Je me délecte des mamelons tendus de ma collaboratrice émoustillante que je couvre de petits baisers et de fins coups de langue. Le plaisir a pour effet principal de rendre sa respiration plus rapide... et plus syncopée. Ses mots sont entrecoupés de bruits comme si elle manifestait son bien-être. Grâce à ces sons, je me rends compte qu'elle aime que l'on s'occupe d'elle. Très bien. Message reçu cinq sur cinq, alors. Et moi, j'aime m'occuper d'elle. L'idée même de lui donner du plaisir me plaît beaucoup. Quand elle jouira, elle fera de moi le plus fier des hommes. C'est ce que je veux : qu'elle jouira. En ce qui me concerne, je suis tombé sous son charme. J'ignore comment ça va se passer, au bureau, après ça. Ce qui est sûr, c'est que je ne vais plus voir Belle de la même manière. Et ce n'est pas ce que Belle fait qui va arranger l'affaire. La jeune femme s'accroupit. Elle pose une main sur mon entrejambe et elle tâte mon érection. Mon sang ne fait qu'un tour. Belle scelle mon sort lorsque ses doigts s'affairent à déboutonner mon jean puis à en baisser la fermeture éclair. Les yeux dans les yeux, elle abaisse mon jean d'un coup sec et il se retrouve à mes pieds. Avec sa main, Belle cajole et caresse ma queue qui n'en finit pas d'être dure.
Je suis immobile, comme si j'étais pétrifié. Belle ne fait que me masturber mais c'est déjà beaucoup. J'en ai des frissons qui me prennent au corps. Elle s'y prend bien. Mais ce qui rend le moment particulièrement délicieux, c'est la manière dont elle me regarde. Elle a le sourire. Son sourire est éloquent et ça me montre que ça lui plaît autant qu'à moi, ce moment que nous sommes en train de vivre, rien qu'elle et moi. Le lieu et le contexte sont incongrus, cocasses. Peut-être que Belle attendait que nous soyons enfin seuls pour me dévoiler cette facette intime d'elle... Si c'est le cas, il aura effectivement mieux fallu qu'elle prenne son mal en patience. Le résultat en vaut la peine : ça me plaît et je suis conquis. Belle peut faire de moi ce qu'elle veut, je le veux. Alors... Qu'elle n'hésite pas.
Les événements se décantent et c'est ainsi que Belle se décide à passer à la vitesse supérieure. Toujours avec des gestes délicats, elle empoigne mon sexe tout dur et elle le porte à sa bouche. Sa bouche, elle l'entrouvre juste ce qu'il faut puis sa langue en surgit. Si je bandais déjà bien, si Belle m'excitait déjà beaucoup, la jeune femme me porte le coup décisif. Le bout de sa langue s'amuse avec mon gland et m'annonce le plaisir à venir.
Belle sait y faire, avec sa bouche. Le glaçon qu'elle a sucé tout à l'heure lorsqu'on jouait contraste avec la tiédeur de son haleine. L'effet est... intéressant. Je me contrains à me laisser faire. Les sensations sont délicieuses. Mais je n'en reste pas moins actif pour autant. Ce serait mal me connaître. Je caresse les cheveux de Belle, je donne des coups de rein légers. "Ma collègue est une petite coquine, en fait...': voilà ce que je me dis. Malgré son chignon, sa frange est libre alors que sa tête va puis vient sur mon pubis. Forcément que des mèches n'en font... qu'à leur tête, si je puis dire. Elle est concentrée et elle est consciencieuse. En quelque sorte, la vision qu'elle m'offre là, c'est le pendant intime de la Belle professionnelle avec qui je travaille au quotidien.
On aura beau dire... C'est important d'être dans un cadre agréable lorsque l'on travaille. Ce qu'il est en train de se passer, ça doit rester entre Belle et moi. En l'absence ponctuelle de nos collègues, nous nous en donnons à coeur joie. Moi? Je suis bien. Je me fais sucer et le contexte est insolite. Si c'est comme ça, là... La suite ne peut être que meilleure. Je le souhaite...
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