Benoît à la plage Ep02 L'île déserte
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Benoît à la plage Ep02 L'île déserte
Benoît à la plage Ep02
L'île déserte
Ah ça ils allaient me le reprocher, quelle histoire. Bon finalement tout se terminait bien, à part moi, il n'y avait pas de blessé et le bateau était en cale sèche. Bon d'accord on était quelque part, on ne savait pas ou mais ça ne devait pas être bien loin de notre route.
Et puis je me disais que de toutes façons c'était pas ma faute si le GPS à boussole m'indiquait la plage droit devant moi, moi j'avais suivi. Je finissais par m'endormir, j'ai fait des rêves un peu agités.
J'étais Robinson Crusoé, j'avais fait naufrage sur une île déserte, il y avait Mardi et Jeudi qui arrivaient à la nage pour … Je ne sais pas trop pourquoi d'ailleurs. Ils sortaient de l'eau, ils étaient nus, ils étaient beaux avec leur air sauvage, mois j'avais ma bouée canard autour du ventre. Mardi et Jeudi me faisaient bizarrement penser à mes copines Zaza et Gégé, je ne sais pas ce qu'ils faisait dans mon rêve ces deux là … Je me disais qu'il faudrait qu'ils m'expliquent quand je serai réveillé, pourquoi il sont venu rêver avec moi.
Ils me regardaient avec un air farouche et commençaient à me faire peur, ils étaient nus et quand ils m'ont vu ils ont bandé. Et moi sans défense avec ma bouée canard autour du ventre, je finissais par constater que j'étais nu, j'étais nu et confus.
Je les regardais sortir de l'eau et s'approcher de moi, plus ils s'approchaient plus ils s'approchaient vite, ils finissaient même par courir vers moi et j'ai un peu paniqué, j'ai voulu m'enfuir, mais je me suis pris les pieds dans ma bouée, surtout ne me demandez pas comment j'ai fait, j'ai pas tout compris.
Je retombais donc le nez dans le sable et eux me tombaient dessus. Désespérément je me débattais pour me dégager.
– Au secours, on m'agresse, on veut me violer !
Heu … Je l'ai pas dis fort ça remarquez, vous imaginez bien ? En fait c'est pas du tout ce que je voulais dire … Ça aurait plutôt été quelque chose du genre.
– ON VEUT ME VIOLER … OUI ENCORE, ENCORE …
Mais là je me sens un peu obliger d'avoir honte, ou au moins de le dire.
Ils me soulevaient et me sortaient du trou, tient, il n'y avait plus de bateau … Il avait du couler. Non c'est pas impossible, c'est pas parce qu'il était sur le sable qu'il n'aurait pas pu couler … Ça se voit tous les jours, la mer monte et quand elle redescend elle embarque le bateau avec elle, voilà .
C'est à ce moment que tout en me déplaçant, Mardi a glissé sa main sur mes couilles. Là j'ai couiné ! C'était un peu cavalier et familier. Non mais c'est vrai quoi, on ne se connaissait que depuis quelques instants et même si ça ne faisait aucun doute sur le fait que nous devrions devenir plus intimes dans les minutes qui venaient que … C'est vrai quoi, je ne suis pas une fille facile !
Et ça vous fait rire quand je dis ça ? Espèce de lecteur-voyeur ! Pfff !
Ils me transportaient un peu plus haut sur la plage et pour ça me tenaient par ce qu'ils pouvaient attraper . La main de l'un m'écrasait les couilles, et en plus ça semblait l'amuser l'animal.
Il finissaient par me laisser tomber sans ménagement sur un coussin de verdure, j'étais surpris. De la verdure sur la plage, je regardais autour de moi, on n'était plus sur la plage, il y avait des arbres un peu partout autour ne nous, on voyait encore la plage, on n'était pas remonté si haut que cela.
Ma bouée canard était toute dégonflée. Ils me regardaient de haut, j'étais allongé, ils étaient debout. Ils bandaient et ils me mettaient leurs bites sous le nez.
– Moi Mardi ! Disait l'un. Montre moi ce que tu sais faire.
Vous devez vous en douter, même si je ne suis plus tout à fait vierge, je ne suis pas vraiment prude non plus … J'ai avalé sa queue sur toute la longueur, il n'a pas eu le temps de réagir, je l'ai pris de vitesse.
Mon nez s'écrasait sur son ventre et je repliais mes bras derrière ses cuisses pour mieux le tirer vers moi. On ne sais jamais, des fois qu'il aurait l'idée de se sauver. J'aime pas quand les mecs se sauvent, c'est déshonorant, ça pourrait laisser croire que je m'y prends mal et vous pouvez me croire, ce n'est pas le cas !
D'ailleurs ça ne m''est jamais arrivé et c'est sans doutes pas uniquement parce que, les mecs, je les cramponne et ne les lâche pas.
Il posait ses mains sur ma tête et tentais de me guider. Je sais ce que je fais et là, je ne le laissais pas faire. Il me cramponnais alors la tête me maintenait bien et me balançais de violents cous de bite dans la gorge, il reculais la tête et revenait avec force à la charge. Je sentais sa queue glisser dans ma gorge, elle s'ouvrait un passage, écartait la glotte et s'écrasait avec force dans ma gorge, et quand je dis dans ma gorge, là je n’exagère pas, je ne pouvais même plus respirer.
Il avait finalement le dernier mot, j'ouvrais grand la bouche et ne résistais plus. Avec ma langue je caressais tout ce qui passait, et ça passait, sa queue entrait et ressortait de plus en plus vite. Quand par moment il me laissait faire, j'en profitais pour lui caresser le gland et là, je ne vous dis pas mais … Enfin si je vous le dis, il gémissait, je le sentais se contracter. Les muscles de ses jambes se raidissaient, je savais qu'il aimait.
Je poussais comme un gémissement quand il se retirait, j'avais même le réflexe d'essayer de le retenir mais c'est la queue de Jeudi que je me prenais dans le nez, il en voulait lui aussi.
Moi, vous savez du moment que j'ai une belle queue à sucer, surtout le matin au réveil, le soleil était déjà haut et je n'étais plus totalement sûr qu'on était le matin.
Mais bon, je venais de me réveiller, c'est pareil, et en plus je me prenais une deuxième queue dans la bouche. Je faisais pareil, le premier m'avait mis en appétit et j'étais maintenant bien réveillé. J'avalais sa queue, comme le premier, sans prévenir. Il a sursauté, il s'y attendait, il m'avait vu faire juste avant mais il était surpris tout de même.
Par contre lui ne cherchait pas à se dégager, il m'enfonçait sa queue bien à fond en appuyant sur l'arrière de ma tête. En même temps il me balançait de violents coups de bassin sur ma figure.
Je m'étais bien sûr redressé, j'étais sur les genoux et je suçais, je suçais. Le premier gars que j'avais sucé glissait délicatement sa main entre mes cuisses, comme si je n'allais pas m'en rendre compte Il m'attrapait les couilles et me tirait. J'étais obligé de me relever et comme je continuais à sucer mon ''client'', je me retrouvais debout, les jambes écartées et penché en avant, toujours avec le queue du gars dans la gorge.
L'autre dans mon dos n'attendais pas bien longtemps avant de me défoncer le cul, il prenait position, salivait bien, généreusement même, puis appuyait tout doucement son gland contre mon cul.
Juste après il appuyait fort, très fort. J'aurais voulu gueuler mais j'avais la bouche pleine, il y en avait déjà un qui me bâillonnait avec sa bite. Là j'ai voulu me dégager. J'ai remué, j'ai gigoté et mes mouvements aidaient la queue du second à me pénétrer. Déjà qu'il appuyait fort, là c'est rentré. C'est rentré bien à fond même. Son ventre s'est écrasé contre mes fesses.
Le premier Me retenait avec force, c'est lui qui imprégnait le mouvement. Moi je tentais de tenir debout, et dans ma situation c'était pas gagné. Si je tombais en avant, pour rigoler je suppose, celui qui était devant moi avançait son bassin et m'enfonçait sa queue bien à fond, ça me retenais et je ne pouvais pas tomber plus.
L'autre dans mon dos ne me retenais pas, je suppose qu'il devait trouver très drôle la situation dans laquelle j'étais. Je parvenait à me retenir à un tronc d'arbre, avec une main je parvenait, non sans mal, à m'appuyer et à tenir debout tout seul.
Par moment le mec dans mon dos me tirait vers lui et avançait en même temps son bassin et je sentais sa queue qui s'enfonçait douloureusement jusque dans mes entrailles. Et je ne pouvais toujours pas gueuler, j'étais obliger de subir en silence.
Les coups pleuvaient, oh ils ne me frappaient pas. Enfin ils me frappaient la figure et les fesses avec leurs ventres. Leurs queue aussi me frappaient. L'une me frappait le fond de la gorge, l'autre me donnait des coups quelque part, pas loin de mon estomac, mais en passant par derrière.
En articulant je parvenais à faire des bruits bizarres, et ça les faisait rire en plus. Leurs coups devenaient plus violents et plus violents encore. Ils me limaient, l'un me limait le cul, l'autre la bouche mais ils me limaient tous les deux à une vitesse vertigineuse, je ne contrôlais plus rien.
Par moments, moments très courts, ils faisait une vague pose pour que je puisse respirer. Ah il ne fallait pas louper son coup, j'essayais de tousser mais aucun des deux ne montrait la moindre pitié. J'en pouvais plus, j'allais suffoquer, je ne pouvais même pas crier '' Encore, encore … '' ou '' Non pitié … '' . Oui je sais mais je suis toujours comme ça .
Et c'est à ce moment que quelqu'un me secouait par le bras …
– Ça va pas Benoît, on dirait que tu fais un cauchemars.
C'était Mardi ! Pardon je voulais dire c'était Zaza. J'ouvrais les yeux, j'étais ratatiné au fond d'un petit trou de sable emmitouflé dans un sac de couchage. Surtout que si vous vous souvenez, moi et le camping sauvage, ça fait deux. Bein oui, j'aime mon confort.
– Bon on va prendre le petit déjeuner, tu montes sur le bateau. Me demandait Gégé.
– Tu n'as pas peur qu'il ne fasse couler le bateau ? Rajoutais Zaza.
– Mais non on est en cale sèche. Faisait remarquer Gégé.
– Et tu crois vraiment que ça peut l'arrêter … ?
– Très judicieux ça Zaza, j'avais oublié qu'on l'appelle aussi monsieur catastrophe.
– Ça va je vous entends les filles … Je suis là ! Répondais-je un peu agacé.
Je me levais, j'étais débraillé, pas présentable et ça c'est pas dans mes habitudes. Je ne ressemblais à rien, j'étais effondré.
– Non mais je rêve, nous sommes perdus au milieu de nulle part et vous ne pensez qu'à bouffer. Je vais aller à la pèche, pour essayer de trouver de la nourriture avant qu'il ne soit trop tard …
Tu sais Benoît. On avait des réserves et le congélateur marche encore.
Moquez-vous, moquez-vous … Mais nous arriveront à la famine, vous verrez vous serez content de pouvoir survivre garce à mon sang froid et à mon organisation …
Je m'éloignais alors en direction de la mer, la plage me semblait bien plus grande que la veille. C'est vrai que la mer monte et descend, je ne sais pas comment ça marche cette histoire, mais je vous jure c'est vrai, je l'avais déjà remarqué dans le passé.
J'entendais alors, des éclats de rire qui venaient du bateau, ils n'était tout de même pas en train de rire sur mon dos ? Les inconscients, les irresponsables. Ils ne comprenaient donc pas la situation dramatiques dans laquelle nous étions.
J'arpentais le sable humide et par moment je creusais, je n'avais rien, j'étais totalement démuni. C'était une question de survie et je voulais survivre, j'étais bien trop jeune pour mourir. Je le suis toujours remarquez. Mais bon vous avez devinez que nous devions survivre, sinon je serait pas là pour raconter cette terrible aventure qui m'était arrivée.
Terrible, oui, il ne faudrait pas oublier que c'était un naufrage … Et que maintenant notre survie ne tenait plus qu'à un fil, nous étions sur une île déserte …
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
L'île déserte
Ah ça ils allaient me le reprocher, quelle histoire. Bon finalement tout se terminait bien, à part moi, il n'y avait pas de blessé et le bateau était en cale sèche. Bon d'accord on était quelque part, on ne savait pas ou mais ça ne devait pas être bien loin de notre route.
Et puis je me disais que de toutes façons c'était pas ma faute si le GPS à boussole m'indiquait la plage droit devant moi, moi j'avais suivi. Je finissais par m'endormir, j'ai fait des rêves un peu agités.
J'étais Robinson Crusoé, j'avais fait naufrage sur une île déserte, il y avait Mardi et Jeudi qui arrivaient à la nage pour … Je ne sais pas trop pourquoi d'ailleurs. Ils sortaient de l'eau, ils étaient nus, ils étaient beaux avec leur air sauvage, mois j'avais ma bouée canard autour du ventre. Mardi et Jeudi me faisaient bizarrement penser à mes copines Zaza et Gégé, je ne sais pas ce qu'ils faisait dans mon rêve ces deux là … Je me disais qu'il faudrait qu'ils m'expliquent quand je serai réveillé, pourquoi il sont venu rêver avec moi.
Ils me regardaient avec un air farouche et commençaient à me faire peur, ils étaient nus et quand ils m'ont vu ils ont bandé. Et moi sans défense avec ma bouée canard autour du ventre, je finissais par constater que j'étais nu, j'étais nu et confus.
Je les regardais sortir de l'eau et s'approcher de moi, plus ils s'approchaient plus ils s'approchaient vite, ils finissaient même par courir vers moi et j'ai un peu paniqué, j'ai voulu m'enfuir, mais je me suis pris les pieds dans ma bouée, surtout ne me demandez pas comment j'ai fait, j'ai pas tout compris.
Je retombais donc le nez dans le sable et eux me tombaient dessus. Désespérément je me débattais pour me dégager.
– Au secours, on m'agresse, on veut me violer !
Heu … Je l'ai pas dis fort ça remarquez, vous imaginez bien ? En fait c'est pas du tout ce que je voulais dire … Ça aurait plutôt été quelque chose du genre.
– ON VEUT ME VIOLER … OUI ENCORE, ENCORE …
Mais là je me sens un peu obliger d'avoir honte, ou au moins de le dire.
Ils me soulevaient et me sortaient du trou, tient, il n'y avait plus de bateau … Il avait du couler. Non c'est pas impossible, c'est pas parce qu'il était sur le sable qu'il n'aurait pas pu couler … Ça se voit tous les jours, la mer monte et quand elle redescend elle embarque le bateau avec elle, voilà .
C'est à ce moment que tout en me déplaçant, Mardi a glissé sa main sur mes couilles. Là j'ai couiné ! C'était un peu cavalier et familier. Non mais c'est vrai quoi, on ne se connaissait que depuis quelques instants et même si ça ne faisait aucun doute sur le fait que nous devrions devenir plus intimes dans les minutes qui venaient que … C'est vrai quoi, je ne suis pas une fille facile !
Et ça vous fait rire quand je dis ça ? Espèce de lecteur-voyeur ! Pfff !
Ils me transportaient un peu plus haut sur la plage et pour ça me tenaient par ce qu'ils pouvaient attraper . La main de l'un m'écrasait les couilles, et en plus ça semblait l'amuser l'animal.
Il finissaient par me laisser tomber sans ménagement sur un coussin de verdure, j'étais surpris. De la verdure sur la plage, je regardais autour de moi, on n'était plus sur la plage, il y avait des arbres un peu partout autour ne nous, on voyait encore la plage, on n'était pas remonté si haut que cela.
Ma bouée canard était toute dégonflée. Ils me regardaient de haut, j'étais allongé, ils étaient debout. Ils bandaient et ils me mettaient leurs bites sous le nez.
– Moi Mardi ! Disait l'un. Montre moi ce que tu sais faire.
Vous devez vous en douter, même si je ne suis plus tout à fait vierge, je ne suis pas vraiment prude non plus … J'ai avalé sa queue sur toute la longueur, il n'a pas eu le temps de réagir, je l'ai pris de vitesse.
Mon nez s'écrasait sur son ventre et je repliais mes bras derrière ses cuisses pour mieux le tirer vers moi. On ne sais jamais, des fois qu'il aurait l'idée de se sauver. J'aime pas quand les mecs se sauvent, c'est déshonorant, ça pourrait laisser croire que je m'y prends mal et vous pouvez me croire, ce n'est pas le cas !
D'ailleurs ça ne m''est jamais arrivé et c'est sans doutes pas uniquement parce que, les mecs, je les cramponne et ne les lâche pas.
Il posait ses mains sur ma tête et tentais de me guider. Je sais ce que je fais et là, je ne le laissais pas faire. Il me cramponnais alors la tête me maintenait bien et me balançais de violents cous de bite dans la gorge, il reculais la tête et revenait avec force à la charge. Je sentais sa queue glisser dans ma gorge, elle s'ouvrait un passage, écartait la glotte et s'écrasait avec force dans ma gorge, et quand je dis dans ma gorge, là je n’exagère pas, je ne pouvais même plus respirer.
Il avait finalement le dernier mot, j'ouvrais grand la bouche et ne résistais plus. Avec ma langue je caressais tout ce qui passait, et ça passait, sa queue entrait et ressortait de plus en plus vite. Quand par moment il me laissait faire, j'en profitais pour lui caresser le gland et là, je ne vous dis pas mais … Enfin si je vous le dis, il gémissait, je le sentais se contracter. Les muscles de ses jambes se raidissaient, je savais qu'il aimait.
Je poussais comme un gémissement quand il se retirait, j'avais même le réflexe d'essayer de le retenir mais c'est la queue de Jeudi que je me prenais dans le nez, il en voulait lui aussi.
Moi, vous savez du moment que j'ai une belle queue à sucer, surtout le matin au réveil, le soleil était déjà haut et je n'étais plus totalement sûr qu'on était le matin.
Mais bon, je venais de me réveiller, c'est pareil, et en plus je me prenais une deuxième queue dans la bouche. Je faisais pareil, le premier m'avait mis en appétit et j'étais maintenant bien réveillé. J'avalais sa queue, comme le premier, sans prévenir. Il a sursauté, il s'y attendait, il m'avait vu faire juste avant mais il était surpris tout de même.
Par contre lui ne cherchait pas à se dégager, il m'enfonçait sa queue bien à fond en appuyant sur l'arrière de ma tête. En même temps il me balançait de violents coups de bassin sur ma figure.
Je m'étais bien sûr redressé, j'étais sur les genoux et je suçais, je suçais. Le premier gars que j'avais sucé glissait délicatement sa main entre mes cuisses, comme si je n'allais pas m'en rendre compte Il m'attrapait les couilles et me tirait. J'étais obligé de me relever et comme je continuais à sucer mon ''client'', je me retrouvais debout, les jambes écartées et penché en avant, toujours avec le queue du gars dans la gorge.
L'autre dans mon dos n'attendais pas bien longtemps avant de me défoncer le cul, il prenait position, salivait bien, généreusement même, puis appuyait tout doucement son gland contre mon cul.
Juste après il appuyait fort, très fort. J'aurais voulu gueuler mais j'avais la bouche pleine, il y en avait déjà un qui me bâillonnait avec sa bite. Là j'ai voulu me dégager. J'ai remué, j'ai gigoté et mes mouvements aidaient la queue du second à me pénétrer. Déjà qu'il appuyait fort, là c'est rentré. C'est rentré bien à fond même. Son ventre s'est écrasé contre mes fesses.
Le premier Me retenait avec force, c'est lui qui imprégnait le mouvement. Moi je tentais de tenir debout, et dans ma situation c'était pas gagné. Si je tombais en avant, pour rigoler je suppose, celui qui était devant moi avançait son bassin et m'enfonçait sa queue bien à fond, ça me retenais et je ne pouvais pas tomber plus.
L'autre dans mon dos ne me retenais pas, je suppose qu'il devait trouver très drôle la situation dans laquelle j'étais. Je parvenait à me retenir à un tronc d'arbre, avec une main je parvenait, non sans mal, à m'appuyer et à tenir debout tout seul.
Par moment le mec dans mon dos me tirait vers lui et avançait en même temps son bassin et je sentais sa queue qui s'enfonçait douloureusement jusque dans mes entrailles. Et je ne pouvais toujours pas gueuler, j'étais obliger de subir en silence.
Les coups pleuvaient, oh ils ne me frappaient pas. Enfin ils me frappaient la figure et les fesses avec leurs ventres. Leurs queue aussi me frappaient. L'une me frappait le fond de la gorge, l'autre me donnait des coups quelque part, pas loin de mon estomac, mais en passant par derrière.
En articulant je parvenais à faire des bruits bizarres, et ça les faisait rire en plus. Leurs coups devenaient plus violents et plus violents encore. Ils me limaient, l'un me limait le cul, l'autre la bouche mais ils me limaient tous les deux à une vitesse vertigineuse, je ne contrôlais plus rien.
Par moments, moments très courts, ils faisait une vague pose pour que je puisse respirer. Ah il ne fallait pas louper son coup, j'essayais de tousser mais aucun des deux ne montrait la moindre pitié. J'en pouvais plus, j'allais suffoquer, je ne pouvais même pas crier '' Encore, encore … '' ou '' Non pitié … '' . Oui je sais mais je suis toujours comme ça .
Et c'est à ce moment que quelqu'un me secouait par le bras …
– Ça va pas Benoît, on dirait que tu fais un cauchemars.
C'était Mardi ! Pardon je voulais dire c'était Zaza. J'ouvrais les yeux, j'étais ratatiné au fond d'un petit trou de sable emmitouflé dans un sac de couchage. Surtout que si vous vous souvenez, moi et le camping sauvage, ça fait deux. Bein oui, j'aime mon confort.
– Bon on va prendre le petit déjeuner, tu montes sur le bateau. Me demandait Gégé.
– Tu n'as pas peur qu'il ne fasse couler le bateau ? Rajoutais Zaza.
– Mais non on est en cale sèche. Faisait remarquer Gégé.
– Et tu crois vraiment que ça peut l'arrêter … ?
– Très judicieux ça Zaza, j'avais oublié qu'on l'appelle aussi monsieur catastrophe.
– Ça va je vous entends les filles … Je suis là ! Répondais-je un peu agacé.
Je me levais, j'étais débraillé, pas présentable et ça c'est pas dans mes habitudes. Je ne ressemblais à rien, j'étais effondré.
– Non mais je rêve, nous sommes perdus au milieu de nulle part et vous ne pensez qu'à bouffer. Je vais aller à la pèche, pour essayer de trouver de la nourriture avant qu'il ne soit trop tard …
Tu sais Benoît. On avait des réserves et le congélateur marche encore.
Moquez-vous, moquez-vous … Mais nous arriveront à la famine, vous verrez vous serez content de pouvoir survivre garce à mon sang froid et à mon organisation …
Je m'éloignais alors en direction de la mer, la plage me semblait bien plus grande que la veille. C'est vrai que la mer monte et descend, je ne sais pas comment ça marche cette histoire, mais je vous jure c'est vrai, je l'avais déjà remarqué dans le passé.
J'entendais alors, des éclats de rire qui venaient du bateau, ils n'était tout de même pas en train de rire sur mon dos ? Les inconscients, les irresponsables. Ils ne comprenaient donc pas la situation dramatiques dans laquelle nous étions.
J'arpentais le sable humide et par moment je creusais, je n'avais rien, j'étais totalement démuni. C'était une question de survie et je voulais survivre, j'étais bien trop jeune pour mourir. Je le suis toujours remarquez. Mais bon vous avez devinez que nous devions survivre, sinon je serait pas là pour raconter cette terrible aventure qui m'était arrivée.
Terrible, oui, il ne faudrait pas oublier que c'était un naufrage … Et que maintenant notre survie ne tenait plus qu'à un fil, nous étions sur une île déserte …
A suivre
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