Black is beautiful
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Black is beautiful
C'était la dernière année avant le bac. J'étais jeune, je vivais dans une petite ville ou je connaissais tout le monde, mes camarades de cours m'avaient suivi depuis la maternelle, ou alors c'est moi qui les suivais, enfin, on se connaissait depuis toujours quoi.
Il n'y avait rien de nouveau dans ce monde, dans mon monde. L'avenir était déjà prévu, trois ou quatre ans de fac puis je reprendrais l'affaire de papa, une petite entreprise qui fabriquait des pâtes artisanale, enfin pas si petite que ça. Mon père roulait quand même en Mercedes …
Bref tout allait bien. Je n'avais pas de copine et je devais être le seul garçon de mon âge dans ce cas. Mais ça ne me manquait pas, en fait je n'y pensais même pas. Je ne me posais pas de questions, et encore moins une question de ce genre …
C'est cette année là qu'il est arrivé dans notre ville, dans notre vie, dans notre école.
Il avait de l'allure, quand il est arrivé, quand on nous l'a présenté, je n'aurais pas aimé être à sa place. Tout le monde le regardait. Moi je crois que je serais devenu tout rouge mais lui, c'était peut être le cas remarquez mais, ça ne se voyait pas. Il était black.
Il avait de l'allure, mince et relativement grand, mince mais musclé. Il portait un jeans qui lui allait vraiment bien et une chemise crème, un peu dans le genre, chemise militaire. Il était sexy comme ça.
Son visage avait les traits fins. Un nez un peu aplati mais le front clair, enfin quand je dis clair, un peu plus clair … En tous cas c'est comme ça que je le voyais et je ne pouvais pas détourner mon regard. Il avait le regard noir, enfin il avait les yeux noir, ce qui lui donnait un air sérieux et grave. Au moment ou son regard se posait sur moi, il me lançais un sourire éclatant. Un flash, j'étais sonné et je ne pouvais pas lui répondre, j'étais tétanisé.
Il prenait place. Là encore je ne pouvais pas détourner mon regard, il était tellement beau. Quand il bougeait, chacun de ses gestes se transformaient en un mouvement de danse. Je n'étais pas seulement sous le charme, j'étais mordu. Il me plaisait, je ne savais pas ce qui m'arrivait, c'était la première fois que je me trouvais autant intimidé par un garçon.
C'était peut être la couleur de sa peau, ou alors c'était son allure sexy. On distinguait nettement une bosse tout en haut entre ses cuisses.
Je finissais par me rendre compte que je ne parvenais pas à détourner le regard. Au bout de quelques jours, nos regards s'étaient croisés à de nombreuses reprises et je me sentais un peu gauche. Qu'allait-il penser de cette manière d'agir de ma part. Je détournais les yeux, c'était pas facile, mon regard revenait vers lui. Il était tellement beau.
J'avais peur qu'il ne me remarque, qu'il ne remarque mon jeu de regard et qu'il ne me trouve un peu bizarre. En fait il m'avais déjà remarqué. Quand nos yeux se croisaient ce n'était pas lui qui détournait le regard ou baissait les yeux.
Puis il y avait le sport, la piscine c'était l'enfer, on se voyait tous torse nue. Jusque là ça ne m'avait jamais gêné mais … Sa peau prenait tellement bien la lumière, elle était douce ou en avait l'air, il avait un grain de peau très fin, des muscles clairement dessinés, une tablette de chocolat au niveau de son ventre. C'était une merveille et je l'aurais volontiers croquée. Mais timidement je préférais détourner le regard et ne le regardait plus de face.
Son regard envers moi devenait plus sévère. J'avais l'impression qu'il me faisait la gueule, mais même quand il faisait la gueule il était beau. Il avait les cheveux très courts et c'était comme un tapis plein de petites boucles qu'il avait sur la tête, ça donnait envie de lui toucher la tête. Pas pour le taquiner, juste pour le plaisir.
Vous imaginez bien que je n'osais pas.
Et c'est ainsi, en pensant à ce garçon que je me rendais compte quelques semaines après son arrivée que je ne lui avais jamais parlé.
C'était à peine croyable, je le regardais de loin, de travers pour que ça ne se voit pas mais, je ne l'avais jamais abordé, je ne lui avais jamais adressé la parole. Il avait une voix douce et bien posée, bien masculine, bien virile mais pas sévère.
Oh pour ce qui est d'être sexy, il n'y avait pas que sa voix. Tout était sexy en lui, et j'avais presque honte de penser une telle chose. De nouveau je détournais le regard.
Quand on courait au sport, j'étais toujours derrière lui. Oui je sais, comme ça je pouvais le regarder, l'admirer sans qu'il ne risque de se vexer. Mais c'est uniquement parce qu'il était meilleur que moi, et si je devais le rattraper dans une course de vitesse, vous pouvez me croire là, je tirais la langue … Et là c'était sans arrière pensées.
Il avait les cuisses larges et fortes, les bras musclés et les mains … Je ne pouvais qu'imaginer mais ça ne faisait pas le moindre doute, elles devaient être douces et souvent je rêvais de les sentir sur mon corps.
Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, c'était la première fois que je ressentais un tel sentiment pour quelqu'un. J'étais mignon, on me l'avait dit et je savais que je n'avais qu'à claquer des doigts pour qu'une demie douzaine de filles ne se précipitent à mes pieds.
Il y avait des questions à se poser sur ce point de détail.
Un jour arrivait, nous avions un devoir, une sorte d'exposer à préparer à deux. La prof me lançait.
– Charly ! Si vous voulez bien vous ferez équipe avec notre ami Ali !
Mon sang se glaçait dans mes veines. Je m'angoissais, comment allais-je réussir à me contrôler. Là je sentais que j'allais craquer, il était tellement beau, tellement élégant, sexy, sa voix était tellement douce et masculine, et envoûtante, et charmeuse et …
Là c'était sûr, j'allais craquer.
Mais là j'ai pris une douche froide !
C'est à peine s'il me regardait, on a passé un long moment à préparer le plan de travail. Il était distant, ceci dit je ne l'avais jamais approché. De près il était toujours aussi beau, et plus même. Mais il était froid.
On se fixait un rendez-vous pour le lendemain à la bibliothèque. Je ne comprenais plus rien. Remarquez ça faisait un moment que je ne comprenais plus rien mais là. J'avais espéré qu'on se rapprocherais, mais je ne me rendais pas vraiment compte que s'il y avait un blocage, c'est moi et moi seul qui en était responsable.
On se retrouvait, comme prévu, on s'installait mais il y avait un malaise. Il finissait par s'énerver.
– Écoute Charly, tu ne t'imagines pas que je n'ai rien remarquer, ta manière de me regarder de travers, de détourner les yeux, aucun regard directe, honnête.
Un silence suivait.
– Je demanderai à la prof de changer les groupes, je prendrai tout sous ma responsabilité. Lui répondais-je, j'étais à la limite des larmes.
– Tu ferai bien. Répondait-il sur un ton sec.
– Pardonne moi, je ne voulais pas te mettre mal à l'aise, je ne voulais pas embarrasser. Là je le regardais dans les yeux. Mais tu .. tu es tellement beau.
Là je craquais. Je voyais de la surprise dans ses yeux.
– Tu peux me répéter ça, j'ai pas bien compris ?
– Tu es beau comme un dieu, dès que je t'ai vu j'ai craqué pour toi, ton élégance, ta manière de bouger ou de parler. À l'instant que je t'ai vu j'ai eu envie de toi …
Et là je fondais en larmes. On était dans un coin un peu isolé, et personne ne voyais ni n'entendait rien. Il me regardait, il n'avait pas l'air malin à cet instant, la bouche à moitié ouverte.
– C'est parce que je te plais que tu m'évites depuis plus d'un moi ?
Je faisais oui de la tête.
– Excuse moi, je ne voulais pas te déranger, t’embarrasser. Je …
– Tu sais la première fois que je t'ai vu, je t'ai trouvé très mignon, très attirant, moi aussi je t'ai trouvé tellement attirant c'est pour ça que je t'ai lancé ce sourire mais tu ne m'as pas répondu.
– En fait j'étais sonné, aucun mec ne m'avait jamais fait cet effet.
– Et moi qui pensais que je te dégoûtais parce que je suis noir.
– Je crois que même blanc tu me plairais quand même. Répondais-je en séchant mes larmes.
Il refermait les livres, rangeait tout.
– Je pense que nous n'arriverons pas à travailler plus aujourd'hui. Tu me suis.
Je le suivais, je ne savais pas ou nous allions mais je le suivais sans poser de question. Je me sentais mieux, plus léger. Là je n'avais plus peur de le regarder et quand il tournait les yeux dans ma direction je lui souriais, je lui souriais enfin.
Il m'entraînait vers une grande maison, c'est là qu'il vivait. On entrait, il avait une chambre dans le garage, enfin un ancien garage, il était bien installé et en plus là, il était tranquille.
– Mes parents ne rentreront pas avant ce soir.
Il s'approchait de moi.
– Si je t'embrasse alors, tu ne me repousseras pas. Me demandait-il.
Je faisais non de la tête. Il posais ses lèvres sur les miennes, et m'embrassais. Je l'ai laissé faire, j'ai même participé. Et j'ai fait comme lui, j'ai refermé mes bras sur son corps. On s'enlaçait, on se caressait et il me faisait basculer sur son lit.
On se caressait on roulait l'un sur l'autre et comme on se chatouillait, on rigolait. Il me retournait sur le dos et me chevauchait. Il se redressait et en me regardant avec un large sourire, il ouvrait ma chemise. Je le laissais faire, et là enfin j'ai senti la douceur de ses doigts. Je le savais déjà, ses mains étaient douces.
Il me caressait le torse depuis mon cou jusqu'à mon nombril. Il s'attardait sur mes tétons, et je bandais. Je me sentais bien et totalement en confiance, je le laissais faire et quand j'intervenais de nouveau c'était juste pour vérifier si sa peau était aussi douce qu'il m'avait semblé.
Je glissais mes mains sous sa chemise, je le chatouillais et il se tortillait en rigolant. De nouveau il se penchait vers moi et de nouveau il m'embrassait … on s'embrassait. Et je découvrais que sa peau était merveilleusement douce.
Nous nous retrouvions torse nue. Sa peau glissait contre la mienne, j'étais dans un autre monde. Il semblait lui aussi apprécier mon contacte.
On s'embrassait, mais là on ne s'embrassait pas seulement sur les lèvres. Nos lèvres couraient sur le corps de l'autre, ses lèvres bien sûr mais aussi son cou, ses épaules, on s'attardait longuement sur les tétons, il me mordillait doucement, je faisais comme lui.
Pour moi c'était une première mais pas pour lui, il me guidait et je le suivais. Il me montrait, comme un exemple et je reproduisais avec un immense plaisir. Tout était beau chez lui.
Je lui caressais les cuisses et en remontant la main je ne parvenait pas à savoir s'il bandait. Mais je n'osais pas insister. Il était moins timide que moi. Il m'allongeait sur le dos et ouvrait mon pantalon, ma braguette suivait ensuite. Il passait ses mains sous mes fesses me soulevais, je ne restais pas amorphe je soulevais mon dos, il en profitait pour faire glisser mon pantalon et mon caleçon. D'un mouvement des jambes je me retrouvais totalement nu, offert à ses caresses.
Il me caressait la queue, il me massait les couilles. Je lui caressais la main. Il me masturbait lentement, ma main remontait sur son bras et redescendait sur son torse jusqu'à sa ceinture. Je glissais deux doigts dans son pantalon.
Il se redressait alors, à genoux sur son lit, juste à côté de moi.
– Vas y, continue ! Me disait-il avec un large sourire.
J'hésitais un moment, je bandais ferme et je n'étais pas le seul, je pouvais voir très distinctement sa queue sous le tissus, elle semblait très grosse et se redressait sur le côté. J'étais bouleversé j'hésitais encore quelques instants, et finalement je lui ouvrais son pantalon. Il bandait ferme et sa queue était énorme.
A cette époque je n'avais pas vraiment de référence pour faire la comparaison mais maintenant je vous le confirme, elle était énorme. Mon cœur battait à tout rompre. Je lui baissait son pantalon, il avait une belle paire de couilles qui tombaient et se balançaient dans leurs bourses.
Il dégageait son pantalon et s'allongeait sur moi.
C'étaient alors deux corps nus qui se caressaient l'un l'autre. Il me faisait tourner dans ses bras puis il se penchait sur ma queue et sans rien demander me prenait ma queue dans la bouche.
Là c'était une surprise, c'était doux et humide. Je sentais sa langue qui passait et repassait sur mon gland.
Je pouvais enfin lui caresser les cheveux, c'était un peu rêche mais c'était agréable, il avait de toutes petites bouclettes et ses cheveux, en fait, étaient plus longs qu'on ne l'aurait cru.
Ma queue rentrait plus profond et sa langue me caressait la bite. J'ai bien cru que j'allais jouir mais je me retenais, je devinais que ce serait mieux, bien mieux de prendre son temps.
Il se redressait et me disais juste …
– A ton tour.
Je comprenais ce qu'il voulait et je m'exécutais. À mon tour je lui léchais le gland, il était circoncis. Je refermais mes lèvres sur sa queue, elle était grosse et je vous jure que c'était pas facile. Je m'appliquais, il me donnait des conseils et je faisais au mieux.
Il me caressait les fesses, et glissait rapidement un doigt entre mes fesses, je laissais faire et continuais à lui sucer la queue du mieux que je pouvais faire.
Il lubrifiais et me prodiguais un immense plaisir en glissant un doigt dans mon cul, de nouveau j'ai bien cru que j'allais jouir. Un deuxième doigt suivait, il les agitait.
Au bout d'un moment je fatiguais, sa queue était grosse et je n'étais pas habitué, pas encore. Il décidait donc de passer à autre chose.
– Tu veux que je t'encule ?
Oui ! Mais … Répondais-je.
Avec une immense douceur il me retournait et me guidais en position a genoux. Je m'abandonnais à lui, ne résistais pas et prenais la position qu'il m'indiquait avec les mains.
J'en menais pas large, vous avez deviné que j'étais puceau à cette époque. Mon cœur battait fort et je ne lui aurais rien refusé, à cet instant il pouvait me demander tout ce qu'il voulait.
Sans rien dire il me lubrifiait le cul, j'allais suffoquer, il prenait position et s'appuyait sur mon dos. Il plaçait sa queue et je sentais alors une pression intense contre mon cul. Je respirait fort, il m'embrassait avec une grande douceur l'épaule puis terminais en me mordant. J'ai crié, mon cul s'est relâche en même temps et sa queue est entrée.
J'ai hurlé, c'était la panique, dans ma tête, dans mon cul, dans tout mon corps, sur toute ma peau, c'était la panique.
C'était douloureux mais c'était ce garçon que je regardais depuis des semaines et que j'avais déjà dans la peau qui m'enculait. Maintenant, je ne l'avais plus dans peau, je l'avais dans le cul, je l'avais en moi. Il me faisait mal mais je voulait le laisser terminer, j'ai serré les dents.
– Ça va ? Me demandait-il.
Je répondais ' Oui ! ' d'une mâchoire crispée. Il s'enfonçait complètement. J'ai hurlé de nouveau, j'ai gémi, j'arrivais à peine à respirer. Je sentais son visage juste au dessus de mon épaule, je sentais son souffle, je ne disais rien.
Il commençais à me limer le cul, je me suis mis à pousser des cris et à pleurer.
– Tu es étroit, tu sais.
J'aurais bien répondu quelque chose mais je n'arrivais pas à articuler. Il s'enfonçait et ressortait, il y allait lentement et dans la douleur je ressentais aussi un plaisir. Le plaisir était aussi intense que la douleur.
Pour cette première il a décidé de ne pas faire durer et à éjaculé en moi rapidement. Il s'est alors retiré, toujours en douceur. Et c'est là que moi j'ai éjaculé.
Il m'a laissé tout le temps pour récupérer, on a discuté, il était surpris d'apprendre que pour moi, c'était la première fois.
– Tu as un sacré potentiel ! Me disait-il.
Plus tard on a pris une douche. On s'est encore fait un câlin puis …
A cette époque nous n'avions que dis huit ans, à peine. Nous en aurons bientôt le double. Nous nous sommes mariés quelques années plus tard, je n'ai pas repris l'usine de papa, j'ai fais d'autres études et maintenant je travaille dans un musée. Ali enseigne les arts plastiques …
Si tout se passe bien nous devrions être papas bientôt …
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Il n'y avait rien de nouveau dans ce monde, dans mon monde. L'avenir était déjà prévu, trois ou quatre ans de fac puis je reprendrais l'affaire de papa, une petite entreprise qui fabriquait des pâtes artisanale, enfin pas si petite que ça. Mon père roulait quand même en Mercedes …
Bref tout allait bien. Je n'avais pas de copine et je devais être le seul garçon de mon âge dans ce cas. Mais ça ne me manquait pas, en fait je n'y pensais même pas. Je ne me posais pas de questions, et encore moins une question de ce genre …
C'est cette année là qu'il est arrivé dans notre ville, dans notre vie, dans notre école.
Il avait de l'allure, quand il est arrivé, quand on nous l'a présenté, je n'aurais pas aimé être à sa place. Tout le monde le regardait. Moi je crois que je serais devenu tout rouge mais lui, c'était peut être le cas remarquez mais, ça ne se voyait pas. Il était black.
Il avait de l'allure, mince et relativement grand, mince mais musclé. Il portait un jeans qui lui allait vraiment bien et une chemise crème, un peu dans le genre, chemise militaire. Il était sexy comme ça.
Son visage avait les traits fins. Un nez un peu aplati mais le front clair, enfin quand je dis clair, un peu plus clair … En tous cas c'est comme ça que je le voyais et je ne pouvais pas détourner mon regard. Il avait le regard noir, enfin il avait les yeux noir, ce qui lui donnait un air sérieux et grave. Au moment ou son regard se posait sur moi, il me lançais un sourire éclatant. Un flash, j'étais sonné et je ne pouvais pas lui répondre, j'étais tétanisé.
Il prenait place. Là encore je ne pouvais pas détourner mon regard, il était tellement beau. Quand il bougeait, chacun de ses gestes se transformaient en un mouvement de danse. Je n'étais pas seulement sous le charme, j'étais mordu. Il me plaisait, je ne savais pas ce qui m'arrivait, c'était la première fois que je me trouvais autant intimidé par un garçon.
C'était peut être la couleur de sa peau, ou alors c'était son allure sexy. On distinguait nettement une bosse tout en haut entre ses cuisses.
Je finissais par me rendre compte que je ne parvenais pas à détourner le regard. Au bout de quelques jours, nos regards s'étaient croisés à de nombreuses reprises et je me sentais un peu gauche. Qu'allait-il penser de cette manière d'agir de ma part. Je détournais les yeux, c'était pas facile, mon regard revenait vers lui. Il était tellement beau.
J'avais peur qu'il ne me remarque, qu'il ne remarque mon jeu de regard et qu'il ne me trouve un peu bizarre. En fait il m'avais déjà remarqué. Quand nos yeux se croisaient ce n'était pas lui qui détournait le regard ou baissait les yeux.
Puis il y avait le sport, la piscine c'était l'enfer, on se voyait tous torse nue. Jusque là ça ne m'avait jamais gêné mais … Sa peau prenait tellement bien la lumière, elle était douce ou en avait l'air, il avait un grain de peau très fin, des muscles clairement dessinés, une tablette de chocolat au niveau de son ventre. C'était une merveille et je l'aurais volontiers croquée. Mais timidement je préférais détourner le regard et ne le regardait plus de face.
Son regard envers moi devenait plus sévère. J'avais l'impression qu'il me faisait la gueule, mais même quand il faisait la gueule il était beau. Il avait les cheveux très courts et c'était comme un tapis plein de petites boucles qu'il avait sur la tête, ça donnait envie de lui toucher la tête. Pas pour le taquiner, juste pour le plaisir.
Vous imaginez bien que je n'osais pas.
Et c'est ainsi, en pensant à ce garçon que je me rendais compte quelques semaines après son arrivée que je ne lui avais jamais parlé.
C'était à peine croyable, je le regardais de loin, de travers pour que ça ne se voit pas mais, je ne l'avais jamais abordé, je ne lui avais jamais adressé la parole. Il avait une voix douce et bien posée, bien masculine, bien virile mais pas sévère.
Oh pour ce qui est d'être sexy, il n'y avait pas que sa voix. Tout était sexy en lui, et j'avais presque honte de penser une telle chose. De nouveau je détournais le regard.
Quand on courait au sport, j'étais toujours derrière lui. Oui je sais, comme ça je pouvais le regarder, l'admirer sans qu'il ne risque de se vexer. Mais c'est uniquement parce qu'il était meilleur que moi, et si je devais le rattraper dans une course de vitesse, vous pouvez me croire là, je tirais la langue … Et là c'était sans arrière pensées.
Il avait les cuisses larges et fortes, les bras musclés et les mains … Je ne pouvais qu'imaginer mais ça ne faisait pas le moindre doute, elles devaient être douces et souvent je rêvais de les sentir sur mon corps.
Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, c'était la première fois que je ressentais un tel sentiment pour quelqu'un. J'étais mignon, on me l'avait dit et je savais que je n'avais qu'à claquer des doigts pour qu'une demie douzaine de filles ne se précipitent à mes pieds.
Il y avait des questions à se poser sur ce point de détail.
Un jour arrivait, nous avions un devoir, une sorte d'exposer à préparer à deux. La prof me lançait.
– Charly ! Si vous voulez bien vous ferez équipe avec notre ami Ali !
Mon sang se glaçait dans mes veines. Je m'angoissais, comment allais-je réussir à me contrôler. Là je sentais que j'allais craquer, il était tellement beau, tellement élégant, sexy, sa voix était tellement douce et masculine, et envoûtante, et charmeuse et …
Là c'était sûr, j'allais craquer.
Mais là j'ai pris une douche froide !
C'est à peine s'il me regardait, on a passé un long moment à préparer le plan de travail. Il était distant, ceci dit je ne l'avais jamais approché. De près il était toujours aussi beau, et plus même. Mais il était froid.
On se fixait un rendez-vous pour le lendemain à la bibliothèque. Je ne comprenais plus rien. Remarquez ça faisait un moment que je ne comprenais plus rien mais là. J'avais espéré qu'on se rapprocherais, mais je ne me rendais pas vraiment compte que s'il y avait un blocage, c'est moi et moi seul qui en était responsable.
On se retrouvait, comme prévu, on s'installait mais il y avait un malaise. Il finissait par s'énerver.
– Écoute Charly, tu ne t'imagines pas que je n'ai rien remarquer, ta manière de me regarder de travers, de détourner les yeux, aucun regard directe, honnête.
Un silence suivait.
– Je demanderai à la prof de changer les groupes, je prendrai tout sous ma responsabilité. Lui répondais-je, j'étais à la limite des larmes.
– Tu ferai bien. Répondait-il sur un ton sec.
– Pardonne moi, je ne voulais pas te mettre mal à l'aise, je ne voulais pas embarrasser. Là je le regardais dans les yeux. Mais tu .. tu es tellement beau.
Là je craquais. Je voyais de la surprise dans ses yeux.
– Tu peux me répéter ça, j'ai pas bien compris ?
– Tu es beau comme un dieu, dès que je t'ai vu j'ai craqué pour toi, ton élégance, ta manière de bouger ou de parler. À l'instant que je t'ai vu j'ai eu envie de toi …
Et là je fondais en larmes. On était dans un coin un peu isolé, et personne ne voyais ni n'entendait rien. Il me regardait, il n'avait pas l'air malin à cet instant, la bouche à moitié ouverte.
– C'est parce que je te plais que tu m'évites depuis plus d'un moi ?
Je faisais oui de la tête.
– Excuse moi, je ne voulais pas te déranger, t’embarrasser. Je …
– Tu sais la première fois que je t'ai vu, je t'ai trouvé très mignon, très attirant, moi aussi je t'ai trouvé tellement attirant c'est pour ça que je t'ai lancé ce sourire mais tu ne m'as pas répondu.
– En fait j'étais sonné, aucun mec ne m'avait jamais fait cet effet.
– Et moi qui pensais que je te dégoûtais parce que je suis noir.
– Je crois que même blanc tu me plairais quand même. Répondais-je en séchant mes larmes.
Il refermait les livres, rangeait tout.
– Je pense que nous n'arriverons pas à travailler plus aujourd'hui. Tu me suis.
Je le suivais, je ne savais pas ou nous allions mais je le suivais sans poser de question. Je me sentais mieux, plus léger. Là je n'avais plus peur de le regarder et quand il tournait les yeux dans ma direction je lui souriais, je lui souriais enfin.
Il m'entraînait vers une grande maison, c'est là qu'il vivait. On entrait, il avait une chambre dans le garage, enfin un ancien garage, il était bien installé et en plus là, il était tranquille.
– Mes parents ne rentreront pas avant ce soir.
Il s'approchait de moi.
– Si je t'embrasse alors, tu ne me repousseras pas. Me demandait-il.
Je faisais non de la tête. Il posais ses lèvres sur les miennes, et m'embrassais. Je l'ai laissé faire, j'ai même participé. Et j'ai fait comme lui, j'ai refermé mes bras sur son corps. On s'enlaçait, on se caressait et il me faisait basculer sur son lit.
On se caressait on roulait l'un sur l'autre et comme on se chatouillait, on rigolait. Il me retournait sur le dos et me chevauchait. Il se redressait et en me regardant avec un large sourire, il ouvrait ma chemise. Je le laissais faire, et là enfin j'ai senti la douceur de ses doigts. Je le savais déjà, ses mains étaient douces.
Il me caressait le torse depuis mon cou jusqu'à mon nombril. Il s'attardait sur mes tétons, et je bandais. Je me sentais bien et totalement en confiance, je le laissais faire et quand j'intervenais de nouveau c'était juste pour vérifier si sa peau était aussi douce qu'il m'avait semblé.
Je glissais mes mains sous sa chemise, je le chatouillais et il se tortillait en rigolant. De nouveau il se penchait vers moi et de nouveau il m'embrassait … on s'embrassait. Et je découvrais que sa peau était merveilleusement douce.
Nous nous retrouvions torse nue. Sa peau glissait contre la mienne, j'étais dans un autre monde. Il semblait lui aussi apprécier mon contacte.
On s'embrassait, mais là on ne s'embrassait pas seulement sur les lèvres. Nos lèvres couraient sur le corps de l'autre, ses lèvres bien sûr mais aussi son cou, ses épaules, on s'attardait longuement sur les tétons, il me mordillait doucement, je faisais comme lui.
Pour moi c'était une première mais pas pour lui, il me guidait et je le suivais. Il me montrait, comme un exemple et je reproduisais avec un immense plaisir. Tout était beau chez lui.
Je lui caressais les cuisses et en remontant la main je ne parvenait pas à savoir s'il bandait. Mais je n'osais pas insister. Il était moins timide que moi. Il m'allongeait sur le dos et ouvrait mon pantalon, ma braguette suivait ensuite. Il passait ses mains sous mes fesses me soulevais, je ne restais pas amorphe je soulevais mon dos, il en profitait pour faire glisser mon pantalon et mon caleçon. D'un mouvement des jambes je me retrouvais totalement nu, offert à ses caresses.
Il me caressait la queue, il me massait les couilles. Je lui caressais la main. Il me masturbait lentement, ma main remontait sur son bras et redescendait sur son torse jusqu'à sa ceinture. Je glissais deux doigts dans son pantalon.
Il se redressait alors, à genoux sur son lit, juste à côté de moi.
– Vas y, continue ! Me disait-il avec un large sourire.
J'hésitais un moment, je bandais ferme et je n'étais pas le seul, je pouvais voir très distinctement sa queue sous le tissus, elle semblait très grosse et se redressait sur le côté. J'étais bouleversé j'hésitais encore quelques instants, et finalement je lui ouvrais son pantalon. Il bandait ferme et sa queue était énorme.
A cette époque je n'avais pas vraiment de référence pour faire la comparaison mais maintenant je vous le confirme, elle était énorme. Mon cœur battait à tout rompre. Je lui baissait son pantalon, il avait une belle paire de couilles qui tombaient et se balançaient dans leurs bourses.
Il dégageait son pantalon et s'allongeait sur moi.
C'étaient alors deux corps nus qui se caressaient l'un l'autre. Il me faisait tourner dans ses bras puis il se penchait sur ma queue et sans rien demander me prenait ma queue dans la bouche.
Là c'était une surprise, c'était doux et humide. Je sentais sa langue qui passait et repassait sur mon gland.
Je pouvais enfin lui caresser les cheveux, c'était un peu rêche mais c'était agréable, il avait de toutes petites bouclettes et ses cheveux, en fait, étaient plus longs qu'on ne l'aurait cru.
Ma queue rentrait plus profond et sa langue me caressait la bite. J'ai bien cru que j'allais jouir mais je me retenais, je devinais que ce serait mieux, bien mieux de prendre son temps.
Il se redressait et me disais juste …
– A ton tour.
Je comprenais ce qu'il voulait et je m'exécutais. À mon tour je lui léchais le gland, il était circoncis. Je refermais mes lèvres sur sa queue, elle était grosse et je vous jure que c'était pas facile. Je m'appliquais, il me donnait des conseils et je faisais au mieux.
Il me caressait les fesses, et glissait rapidement un doigt entre mes fesses, je laissais faire et continuais à lui sucer la queue du mieux que je pouvais faire.
Il lubrifiais et me prodiguais un immense plaisir en glissant un doigt dans mon cul, de nouveau j'ai bien cru que j'allais jouir. Un deuxième doigt suivait, il les agitait.
Au bout d'un moment je fatiguais, sa queue était grosse et je n'étais pas habitué, pas encore. Il décidait donc de passer à autre chose.
– Tu veux que je t'encule ?
Oui ! Mais … Répondais-je.
Avec une immense douceur il me retournait et me guidais en position a genoux. Je m'abandonnais à lui, ne résistais pas et prenais la position qu'il m'indiquait avec les mains.
J'en menais pas large, vous avez deviné que j'étais puceau à cette époque. Mon cœur battait fort et je ne lui aurais rien refusé, à cet instant il pouvait me demander tout ce qu'il voulait.
Sans rien dire il me lubrifiait le cul, j'allais suffoquer, il prenait position et s'appuyait sur mon dos. Il plaçait sa queue et je sentais alors une pression intense contre mon cul. Je respirait fort, il m'embrassait avec une grande douceur l'épaule puis terminais en me mordant. J'ai crié, mon cul s'est relâche en même temps et sa queue est entrée.
J'ai hurlé, c'était la panique, dans ma tête, dans mon cul, dans tout mon corps, sur toute ma peau, c'était la panique.
C'était douloureux mais c'était ce garçon que je regardais depuis des semaines et que j'avais déjà dans la peau qui m'enculait. Maintenant, je ne l'avais plus dans peau, je l'avais dans le cul, je l'avais en moi. Il me faisait mal mais je voulait le laisser terminer, j'ai serré les dents.
– Ça va ? Me demandait-il.
Je répondais ' Oui ! ' d'une mâchoire crispée. Il s'enfonçait complètement. J'ai hurlé de nouveau, j'ai gémi, j'arrivais à peine à respirer. Je sentais son visage juste au dessus de mon épaule, je sentais son souffle, je ne disais rien.
Il commençais à me limer le cul, je me suis mis à pousser des cris et à pleurer.
– Tu es étroit, tu sais.
J'aurais bien répondu quelque chose mais je n'arrivais pas à articuler. Il s'enfonçait et ressortait, il y allait lentement et dans la douleur je ressentais aussi un plaisir. Le plaisir était aussi intense que la douleur.
Pour cette première il a décidé de ne pas faire durer et à éjaculé en moi rapidement. Il s'est alors retiré, toujours en douceur. Et c'est là que moi j'ai éjaculé.
Il m'a laissé tout le temps pour récupérer, on a discuté, il était surpris d'apprendre que pour moi, c'était la première fois.
– Tu as un sacré potentiel ! Me disait-il.
Plus tard on a pris une douche. On s'est encore fait un câlin puis …
A cette époque nous n'avions que dis huit ans, à peine. Nous en aurons bientôt le double. Nous nous sommes mariés quelques années plus tard, je n'ai pas repris l'usine de papa, j'ai fais d'autres études et maintenant je travaille dans un musée. Ali enseigne les arts plastiques …
Si tout se passe bien nous devrions être papas bientôt …
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire et belle vie a vous deux !
J'adore cette histoire .