Branlette au sport Ep05 A fond l'entraînement
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Branlette au sport Ep05 A fond l'entraînement
Branlette au sport Ep05
A fond l'entraînement
Pendant les jours qui ont suivi, je ne pensais plus qu'à Djimmy, je n'étais plus puceau et j'étais content. J'avais défoncé un cul, et en plus c'était un beau cul.
Djimmy occupait mes rêves et mes pensées depuis ce soir là, et lors de la séances d'entraînement suivant je ne pouvais pas détacher mes yeux, je le fixais. Ce n'était pas le meilleur joueur de l'équipe, et de loin, mais il ne s'en sortait pas si mal. En tous cas, il y mettait du cœur, il en voulait.
On m'apprenait que quelques semaines plus tôt seulement il était le dernier, le plus nul de toute l'équipe. Il avait clairement progressé depuis qu'il portait son dispositif de chasteté.
Jeff et Bobby semblaient plus décidés, plus concentrés. Ils portaient eux aussi un dispositif de chasteté depuis deux jours.
Tout comme la première fois l'entraînement était intense, on terminait sur les rotules et en sueur. J'étais à la fois inquiet et excité au moment de la douche. J'adore voir tous ces corps nus et dégoulinants qui s'activaient, se recouvraient de savon et de shampooing. J'adore tout particulièrement ces grosse queue, bien massives, bien lourdes qui prennent un peu de volume juste sous l'effet de la chaleur et se balancent à chaque mouvements.
Il y avait aussi à chaque fois ces grosses couilles bien lourdes elles aussi, qui pendaient et bougeaient en suivant leur bite maîtresse.
Il y avait aussi ces trois paires de couilles qui n'avaient plus leur grosse bite pour les accompagner. Oh elles n'étaient pas bien loin, elles étaient bien enfermées dans une cage. Elles n'avaient pas disparues, on les voyait moins, c'est tout, vraiment moins. La cage était noire et disparaissait sous la touffe de poils.
Les porteurs étaient épilés, et gardaient une épilation parfaite mais juste sur les parties génitales. Djimmy m'expliquait qu'il s'épilait juste a partir de l'anneau et tout ce qui passait dedans devait être totalement dépourvu de poil.
Seuls les poils de la bite et des couilles étaient retirés. La touffe restait intacte, c'était plus discret sous un maillot par exemple mais là, sous la douche on ne voyait plus que ça, enfin on ne voyait plus que les couilles qui devenaient alors particulièrement visible.
Avec la cage les couilles devenaient plus fermes le plus souvent. Il fallait l'effet de la chaleur de la douche pour qu'elles pendouillent, ils étaient particulièrement sexy ces trois là. Sexuellement neutralisés mais terriblement attirants.
Et moi, comme la première fois, moi, je bandais.
– Je crois qu'il faudra te mettre en cage toi aussi ! Me criait Kevin.
Il me sautait dessus et en me saisissait dans mon dos. Il en profitait pour me tripoter les couilles et la bite, il rigolait, je me défendais, on chahutait, il n'y avait pas de violence mais vous imaginez bien que c'est pas ce genre de contact qui risquait de me calmer.
Quand il me relâchait, je bandais encore plus et je n'étais plus le seul, il avait lui aussi une bite de compétition qui se relevait.
J'ai toujours du mal à rester totalement détendu quand je me met à poil, sauf si je suis seul dans ma chambre ou dans ma baignoire. Dans les douches public comme ici, je ne parvenait pas facilement à me retenir de bander, et si en plus on me taquinait, là c'était fini. Ma queue pointait vers le pommeau de douche le plus près, juste au dessus de ma tête.
C'était une belle grosse bite qui se manifestait et quand je dis ma petite bite, ce n'est qu'une façon de parler. En fait elle est bien grosse mais nous sommes tous dans la même situation dans cette équipe. On est tous bien monté.
Je me savonnais, comme il convient. Je me shampooinais, bien comme il faut le faire. Je penchais la tête en arrière et je me rinçais les cheveux.
– Justement, pour moi ce n'est plus nécessaire ! Disait Kevin sur un ton agacé.
– Ça ne change rien, tu devrais essayer ! Lui répondait Jeff sur un ton insistant.
Je n'ai pas entendu le reste de la discussion, Kevin ne bandait plus, il s'était calmé, moi pas, et quelques autres bandaient également.
– Un bon bandard en fait bander vingt. Me lançait Fabien.
Il était juste derrière moi, il se rinçait les cheveux, il bandait lui aussi.
– Tu sais avant que tu n'arrives c'était plus calme sous la douche.
Je me retournais vers lui, oui je sais je bandais mais je préférais ne plus y faire attention.
– On arrivait à se tenir, mais depuis que tu es là, c'est plus pareil et puis il y a cette nouvelle coutume.
– En quoi est-ce une coutume, il y a trois mecs qui portent une cage de chasteté et alors ?
– Alors … Djimmy était nul à chier, il a tellement progressé qu'il à fait monté la moyenne de toute l'équipe rien qu'en s'améliorant lui même. Et ça ne fait pas beaucoup plus d'un mois.
– Et alors ? Demandais-je.
– Voilà, j'ai entendu le coach …
– Oui.
– Depuis que le champion Djé Brosso fait la promotion des cages à bite, depuis qu'on peut en constater les effets sur les performances sportives …le coach va peu à peu le proposer à toute l'équipe.
– Hein !
– Alors profites en pour bander tant que tu peux !
Mais comment avait-il appris ça. Et puis moi je n'avais pas vraiment envie de me mettre un truc pareil sur la bite. Bon, je ne dis pas que je ne pourrais pas me dévouer, mais les conditions, selon la fondation Brosso, étaient un peu définitives. Elles se résumaient à ' pour toujours ' .
Mais finalement, ce n'était peut être un ragot, il y en a toujours plein dans ces milieux. Milieux sportifs je veux dire … ( vous pensiez à quoi ? Note de l'auteur ).
Ça ne m'a pas fait débander toute cette histoire.
Je n'ai commencé à me calmer qu'une foi parfaitement séché et habillé. Le coach nous attendait, en fait il était passé par les douche pour tester la température. Ce gars savait tout, il voyait tout, il entendait tout et il nous connaissait tous, moi, il me découvrait, j'étais le seul qu'il ne connaissait pas encore.
Il était installé au bar, préparait des cocktails vitaminés sans alcool. Sur le mur, au fond de la salle il y avait cette affiche de la PK Compagnie. Une affiche publicitaire, il ne me semblait pas qu'elle était là l'autre jour.
Il nous servait à boire, c'était bon finalement son truc. Pas de médicament d'aucune sorte, c'était contraire à l'étique, mais par contre des produits naturels à base de fruits.
Puis on a discuté, lentement le coach emmenait la discussion sur nos amis qui étaient en cage. Il les faisait parler, se confier. Tout se passait bien pour eux, ils avouaient ressentir comme une frustration, mais une bonne frustration qui les motivait.
– Et vous, Rémi, Jonathan, Philaé, vous en dites quoi ?
Les trois garçons qu'il avait nommé se tortillaient, se retournaient l'un vers l'autre. Puis Rémi prenait la parole
– Ma copine m'a dit qu'elle était d'accord mais à condition de garder les clés.
J'étais vert, '' Fabien a donc raison '' me disais-je.
– Et toi tu en pense quoi? Rajoutais le coach. Pour les clés, pendant la saison des match, c'est moi qui les garde, c'est comme ça. Mais le reste de l'année je veux bien les lui donner. Elle devra venir en parler avec moi !
– C'est ce que je lui ai dit.
Le coach regardait tous nos visages. J'étais un peu perturbé au moment ou il me regardait, j'avais l'impression qu'il me regardait avec insistance. Mais ce n'était peut être qu'une impression.
– Ma copine aussi ! Déclarait Philaé avec une toute petite voix.
– Moi ma copine m'a largué ! Concluait Jonathan.
– Vous êtes tous d'accord, il faut penser à l'équipe et la baise, vous aurez tout le temps pour ça ...
Les trois garçons s'approchaient du coach, il y avait encore un silence de mort. Le coach ouvrait un tiroir, on entendait un drôle de bruit de succion, tous les regards se retournaient vers Kevin, c'était lui qui avait un problème avec sa paille …
– Oh pardon ! S'exclamait-il en relevant les yeux.
On reprenait.
Le coach posait sur le bar trois dispositif complet. Chacun des garçons en prenait un. Ils n'étaient pas vraiment pressés, ils inspectaient le dispositif avec attention, ils le découvraient.
– Ce sont les nouveau dispositifs ? Demandait Jonathan.
– Ce sont les nouveaux modèles, garantis confort. Expliquait le coach.
– Ce sont les modèles mis au point par Djé Brosso en personne ! Rajoutais Rémi. Tous le monde le regardait et il rajoutait. Bein quoi, je me suis documenté …
La tout le monde éclatait de rire et le pauvre Rémi se faisait tout petit.
Finalement c'est Philaé qui baissait son pantalon, il faisait face à ses camarades, sans attendre il passait ses couilles dans l'anneau. Ses amis baissaient également leurs pantalons, ils avaient juste un mouvement de retard.
– Moi aussi je suis volontaire, ça fait un moment que j'y pense et … S'exclamait Daniel.
Imperturbable le coach sortait un quatrième dispositif.
En effet il était décidé le petit Daniel ( un mètre quatre vingt douze ), c'est d'une manière presque frénétique qu'il procédait, il baissait son pantalon, glissait ses couilles et sa bite dans l'anneau puis sans attendre, comme en apnée, il glissait sa queue dans la cage et refermait le tout.
Rémi, Philaé et Jonathan en étaient toujours au même poins, toutefois personne ne bandait. C'est Jonathan qui concluait ensuite. Ses deux autres camarades le suivaient quelques instants plus tard.
Ils se retournaient tous les quatre ver le coach qui leur donnait à chacun la clé et le cadenas. Chacun glissait son cadenas dans la fente prévue, tournait la clé, ce qui la libérait du cadenas et la donnait au coach.
Il ouvrait le coffre, le grand coffre, celui qui est fermé à clé et en sortait une bière, il se retournait vers l'équipe.
– Bon là chacun va se servir !
– A poil tous les porteurs du dispositif ! S'exclamait Djimmy.
Je me suis brusquement retrouvé à l'étroit dans mon pantalon, je me suis mis à bander en voyant ces sept corps magnifique, encore plus beaux et plus sexy avec le dispositif de chasteté sur eux. J'avais envie de craquer, un instant j'ai pensé me porter volontaire pour un dispositif également mais ça aurait été inutile, je bandais et jamais je n'aurais réussi à y glisser ma bite, elle n'aurait jamais voulu.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
A fond l'entraînement
Pendant les jours qui ont suivi, je ne pensais plus qu'à Djimmy, je n'étais plus puceau et j'étais content. J'avais défoncé un cul, et en plus c'était un beau cul.
Djimmy occupait mes rêves et mes pensées depuis ce soir là, et lors de la séances d'entraînement suivant je ne pouvais pas détacher mes yeux, je le fixais. Ce n'était pas le meilleur joueur de l'équipe, et de loin, mais il ne s'en sortait pas si mal. En tous cas, il y mettait du cœur, il en voulait.
On m'apprenait que quelques semaines plus tôt seulement il était le dernier, le plus nul de toute l'équipe. Il avait clairement progressé depuis qu'il portait son dispositif de chasteté.
Jeff et Bobby semblaient plus décidés, plus concentrés. Ils portaient eux aussi un dispositif de chasteté depuis deux jours.
Tout comme la première fois l'entraînement était intense, on terminait sur les rotules et en sueur. J'étais à la fois inquiet et excité au moment de la douche. J'adore voir tous ces corps nus et dégoulinants qui s'activaient, se recouvraient de savon et de shampooing. J'adore tout particulièrement ces grosse queue, bien massives, bien lourdes qui prennent un peu de volume juste sous l'effet de la chaleur et se balancent à chaque mouvements.
Il y avait aussi à chaque fois ces grosses couilles bien lourdes elles aussi, qui pendaient et bougeaient en suivant leur bite maîtresse.
Il y avait aussi ces trois paires de couilles qui n'avaient plus leur grosse bite pour les accompagner. Oh elles n'étaient pas bien loin, elles étaient bien enfermées dans une cage. Elles n'avaient pas disparues, on les voyait moins, c'est tout, vraiment moins. La cage était noire et disparaissait sous la touffe de poils.
Les porteurs étaient épilés, et gardaient une épilation parfaite mais juste sur les parties génitales. Djimmy m'expliquait qu'il s'épilait juste a partir de l'anneau et tout ce qui passait dedans devait être totalement dépourvu de poil.
Seuls les poils de la bite et des couilles étaient retirés. La touffe restait intacte, c'était plus discret sous un maillot par exemple mais là, sous la douche on ne voyait plus que ça, enfin on ne voyait plus que les couilles qui devenaient alors particulièrement visible.
Avec la cage les couilles devenaient plus fermes le plus souvent. Il fallait l'effet de la chaleur de la douche pour qu'elles pendouillent, ils étaient particulièrement sexy ces trois là. Sexuellement neutralisés mais terriblement attirants.
Et moi, comme la première fois, moi, je bandais.
– Je crois qu'il faudra te mettre en cage toi aussi ! Me criait Kevin.
Il me sautait dessus et en me saisissait dans mon dos. Il en profitait pour me tripoter les couilles et la bite, il rigolait, je me défendais, on chahutait, il n'y avait pas de violence mais vous imaginez bien que c'est pas ce genre de contact qui risquait de me calmer.
Quand il me relâchait, je bandais encore plus et je n'étais plus le seul, il avait lui aussi une bite de compétition qui se relevait.
J'ai toujours du mal à rester totalement détendu quand je me met à poil, sauf si je suis seul dans ma chambre ou dans ma baignoire. Dans les douches public comme ici, je ne parvenait pas facilement à me retenir de bander, et si en plus on me taquinait, là c'était fini. Ma queue pointait vers le pommeau de douche le plus près, juste au dessus de ma tête.
C'était une belle grosse bite qui se manifestait et quand je dis ma petite bite, ce n'est qu'une façon de parler. En fait elle est bien grosse mais nous sommes tous dans la même situation dans cette équipe. On est tous bien monté.
Je me savonnais, comme il convient. Je me shampooinais, bien comme il faut le faire. Je penchais la tête en arrière et je me rinçais les cheveux.
– Justement, pour moi ce n'est plus nécessaire ! Disait Kevin sur un ton agacé.
– Ça ne change rien, tu devrais essayer ! Lui répondait Jeff sur un ton insistant.
Je n'ai pas entendu le reste de la discussion, Kevin ne bandait plus, il s'était calmé, moi pas, et quelques autres bandaient également.
– Un bon bandard en fait bander vingt. Me lançait Fabien.
Il était juste derrière moi, il se rinçait les cheveux, il bandait lui aussi.
– Tu sais avant que tu n'arrives c'était plus calme sous la douche.
Je me retournais vers lui, oui je sais je bandais mais je préférais ne plus y faire attention.
– On arrivait à se tenir, mais depuis que tu es là, c'est plus pareil et puis il y a cette nouvelle coutume.
– En quoi est-ce une coutume, il y a trois mecs qui portent une cage de chasteté et alors ?
– Alors … Djimmy était nul à chier, il a tellement progressé qu'il à fait monté la moyenne de toute l'équipe rien qu'en s'améliorant lui même. Et ça ne fait pas beaucoup plus d'un mois.
– Et alors ? Demandais-je.
– Voilà, j'ai entendu le coach …
– Oui.
– Depuis que le champion Djé Brosso fait la promotion des cages à bite, depuis qu'on peut en constater les effets sur les performances sportives …le coach va peu à peu le proposer à toute l'équipe.
– Hein !
– Alors profites en pour bander tant que tu peux !
Mais comment avait-il appris ça. Et puis moi je n'avais pas vraiment envie de me mettre un truc pareil sur la bite. Bon, je ne dis pas que je ne pourrais pas me dévouer, mais les conditions, selon la fondation Brosso, étaient un peu définitives. Elles se résumaient à ' pour toujours ' .
Mais finalement, ce n'était peut être un ragot, il y en a toujours plein dans ces milieux. Milieux sportifs je veux dire … ( vous pensiez à quoi ? Note de l'auteur ).
Ça ne m'a pas fait débander toute cette histoire.
Je n'ai commencé à me calmer qu'une foi parfaitement séché et habillé. Le coach nous attendait, en fait il était passé par les douche pour tester la température. Ce gars savait tout, il voyait tout, il entendait tout et il nous connaissait tous, moi, il me découvrait, j'étais le seul qu'il ne connaissait pas encore.
Il était installé au bar, préparait des cocktails vitaminés sans alcool. Sur le mur, au fond de la salle il y avait cette affiche de la PK Compagnie. Une affiche publicitaire, il ne me semblait pas qu'elle était là l'autre jour.
Il nous servait à boire, c'était bon finalement son truc. Pas de médicament d'aucune sorte, c'était contraire à l'étique, mais par contre des produits naturels à base de fruits.
Puis on a discuté, lentement le coach emmenait la discussion sur nos amis qui étaient en cage. Il les faisait parler, se confier. Tout se passait bien pour eux, ils avouaient ressentir comme une frustration, mais une bonne frustration qui les motivait.
– Et vous, Rémi, Jonathan, Philaé, vous en dites quoi ?
Les trois garçons qu'il avait nommé se tortillaient, se retournaient l'un vers l'autre. Puis Rémi prenait la parole
– Ma copine m'a dit qu'elle était d'accord mais à condition de garder les clés.
J'étais vert, '' Fabien a donc raison '' me disais-je.
– Et toi tu en pense quoi? Rajoutais le coach. Pour les clés, pendant la saison des match, c'est moi qui les garde, c'est comme ça. Mais le reste de l'année je veux bien les lui donner. Elle devra venir en parler avec moi !
– C'est ce que je lui ai dit.
Le coach regardait tous nos visages. J'étais un peu perturbé au moment ou il me regardait, j'avais l'impression qu'il me regardait avec insistance. Mais ce n'était peut être qu'une impression.
– Ma copine aussi ! Déclarait Philaé avec une toute petite voix.
– Moi ma copine m'a largué ! Concluait Jonathan.
– Vous êtes tous d'accord, il faut penser à l'équipe et la baise, vous aurez tout le temps pour ça ...
Les trois garçons s'approchaient du coach, il y avait encore un silence de mort. Le coach ouvrait un tiroir, on entendait un drôle de bruit de succion, tous les regards se retournaient vers Kevin, c'était lui qui avait un problème avec sa paille …
– Oh pardon ! S'exclamait-il en relevant les yeux.
On reprenait.
Le coach posait sur le bar trois dispositif complet. Chacun des garçons en prenait un. Ils n'étaient pas vraiment pressés, ils inspectaient le dispositif avec attention, ils le découvraient.
– Ce sont les nouveau dispositifs ? Demandait Jonathan.
– Ce sont les nouveaux modèles, garantis confort. Expliquait le coach.
– Ce sont les modèles mis au point par Djé Brosso en personne ! Rajoutais Rémi. Tous le monde le regardait et il rajoutait. Bein quoi, je me suis documenté …
La tout le monde éclatait de rire et le pauvre Rémi se faisait tout petit.
Finalement c'est Philaé qui baissait son pantalon, il faisait face à ses camarades, sans attendre il passait ses couilles dans l'anneau. Ses amis baissaient également leurs pantalons, ils avaient juste un mouvement de retard.
– Moi aussi je suis volontaire, ça fait un moment que j'y pense et … S'exclamait Daniel.
Imperturbable le coach sortait un quatrième dispositif.
En effet il était décidé le petit Daniel ( un mètre quatre vingt douze ), c'est d'une manière presque frénétique qu'il procédait, il baissait son pantalon, glissait ses couilles et sa bite dans l'anneau puis sans attendre, comme en apnée, il glissait sa queue dans la cage et refermait le tout.
Rémi, Philaé et Jonathan en étaient toujours au même poins, toutefois personne ne bandait. C'est Jonathan qui concluait ensuite. Ses deux autres camarades le suivaient quelques instants plus tard.
Ils se retournaient tous les quatre ver le coach qui leur donnait à chacun la clé et le cadenas. Chacun glissait son cadenas dans la fente prévue, tournait la clé, ce qui la libérait du cadenas et la donnait au coach.
Il ouvrait le coffre, le grand coffre, celui qui est fermé à clé et en sortait une bière, il se retournait vers l'équipe.
– Bon là chacun va se servir !
– A poil tous les porteurs du dispositif ! S'exclamait Djimmy.
Je me suis brusquement retrouvé à l'étroit dans mon pantalon, je me suis mis à bander en voyant ces sept corps magnifique, encore plus beaux et plus sexy avec le dispositif de chasteté sur eux. J'avais envie de craquer, un instant j'ai pensé me porter volontaire pour un dispositif également mais ça aurait été inutile, je bandais et jamais je n'aurais réussi à y glisser ma bite, elle n'aurait jamais voulu.
A suivre
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