C. à la piscine (2) - histoire érotique

C. à la piscine (2)



..La voir ainsi réagir me stimule encore plus et je mordille son clito, mes doigts jouant toujours avec chacun de ses trous.
Elle semble ne rien pouvoir ou vouloir contrôler quand une sonnerie retentit...

Toujours dans une torpeur absolue, C. ne réagit pas.

-Tu n'entends pas où tu n'as pas envie de répondre ?
-De quoi ?
-Ton téléphone sonne.
-Oh merde, j'ai pas fait attention. En plus c'est A.

C. décroche et s'étend sur le dos, dans le mode détente.
Elle échange alors avec son homme et le harcèle de questions, avant que lui ne puisse lui en poser sur l'endroit où elle se trouve par exemple.

Tout en continuant la conversation, elle me regarde avec son joli sourire, hoche la tête style lassitude et se caresse le sexe de façon papouillage, rien de plus.
Malheureusement pour elle, sa désinvolture appelle chez moi une envie de lui faire passer le temps de façon agréable,

Je saisis sa main et tout en la fixant dans les yeux, je suce deux de ses doigts, puis lui porte directement sur son minou.
Le simple contact de ses doigts mouillés sur son bouton fait que son corps se tend. Elle se mord la lèvre inférieure et ne peut pas s'empêcher de commencer à se caresser le bouton.

Elle coince son portable avec son épaule, continue de parler « naturellement » et porte sa main à sa tempe pour me dire que je suis fou.
Je prends un air surpris et par geste lui fais comprendre que c'est pas moi et que je ne fais rien.

Elle sourit, me tire la langue et continue son massage langoureux.

Je porte mes mains sous ses fesses et les amène au bord de la piscine, là où, tout en restant dans l'eau, je peux jouer avec ma bouche et ma langue sur son puits.

C. fait non de la tête mais se hisse d'elle-même vers ma bouche.

Ma langue s'empare de son bouton, le lape et le suce avec avidité. Sa main quitte son sexe, et vient imprimer le tempo qu'elle attend de ma bouche, les doigts dans mes cheveux.

Elle se trémousse doucement mais ne peut rien exprimer. Sans être dans le plaisir, C. est dans une forme de bonheur relaxant. De légers mouvements du bassin font que je comprends qu'elle se détend à fond.

Un peu tordu, je veux pousser mon avantage plus loin. Je lui caresse le sexe avec deux doigts et une fois bien humides, je les dirige vers son anus.

Surprise, C. relève la tête et les traits de son visage font que je comprends qu'elle ne saura pas résister au plaisir que je vais lui «imposer». Mes doigts tournent autour de son cercle magique mais sans chercher à le pénétrer. Je sais que cette simple caresse peut être ô combien diabolique.

Je sens le corps de C. se tendre, venir à la rencontre de mes doigts et ses mains s'accrocher à mes cheveux, m'attirant ainsi vers elle.
C. commence alors à avoir des soubresauts, et s'agite de plus en plus.

C'est au moment où elle me fixe dans les yeux que je porte le coup de grâce. Alors que sa petite porte est bien détendue, mon majeur s'y introduit tout naturellement.
Elle ne peut pas s'empêcher de laisser sortir un petit cri.

A. doit lui demander ce qu'il se passe puisqu'elle lui explique s'être tordu la cheville. Je continue mon ramonage de plus belle avec maintenant un doigt dans sa chatte également. C. est otage de son plaisir et ne peut pas résister à cette vague.

Dans un mouvement incontrôlé, en se trémoussant sur elle-même, C. fait une fausse manœuvre et actionne le haut-parleur de son téléphone.

Même les lèvres serrées, elle émet quelques sons d’extase qui ne peuvent pas tromper A., je pense.

C'est d'ailleurs à ce moment-là, plein de fausse naïveté je pense, qu'il lui demande si elle est déjà chez moi. Grand moment de solitude pour C. qui raconte alors avoir dû perdre son temps sur son chemin avec un ancien (un peu perdu de la tête). A lui dit alors qu'ils ne vont pas tarder à arriver, lui et le gamin.

De mon côté, je suis toujours appliqué entre ses jambes et profite de boire son jus qui s'écoule régulièrement, comme un petit ruisseau.
De sa main (paume ouverte) et d'une mimique interrogative, C. me fait comprendre qu'elle ne contrôle rien.

Toujours dans l'envie de jouer et ayant envie de provoquer encore plus, je sors de la piscine.

Je me mets à genoux à côté de la poitrine de C. et commence à lui mordiller les seins. Elle me prend le pouce et l'index, les porte à un téton et les sert en les faisant rouler. Je ne peux que comprendre ce qu'elle attend et accentue ce mouvement de torture voulue.

Je suis persuadé que A ne peut que se douter d'où est sa belle et même ce qu'elle fait en ce moment alors qu'ils échangent au téléphone. Maintenant qu'il sait ce dont elle est capable (voir Un Grand merci.)

Comme C. semble prête à bien des délires,je prends mon sexe en main et le porte à quelques centimètres de son visage. C'est sans hésiter qu'elle le prend en main, le caresse, puis me branle en faisant semblant de le lécher, toute langue dehors.

C'est à mon tour de lui tenir la tête et de faire comprendre ce que je voudrais. Avec un regard profond, C. ouvre grand la bouche et m'aspire comme si sa vie en dépendait. Entre
deux succions, elle lâche quelques monosyllabes.

A la remarque de son homme, C. lui dit alors que c'est la liaison qui doit être mauvaise car elle-même ne l'entend plus très bien (tu parles...).

A dit qu'il n'y a rien de grave et qu'ils ne vont pas tarder à arriver, lui et le gamin. Elle secoue la tête de dépit. Je lui prends alors la tête à deux mains et lui impose une cadence plus rapide. Elle participe volontiers, me tète goulument. C'est alors moi qui part dans un long râle et me vide dans sa bouche.
A. demande ce qu'est ce bruit et C. ne sachant quoi répondre, lui dit que ce doit être les animaux de mon voisin, puisqu'elle arrive chez moi. Grand seigneur, A. se dit surpris de ne pas la voir, eux-mêmes arrivant mais à pied.

Sachant le portillon fermé à clé (donc pas le risque d'être surpris), C. me finit avec la langue et avale scrupuleusement.
- Ne laissons pas de traces.
- Effectivement, si ton mari a compris, le gamin pourrait poser des questions sur ce qui flotte.
C. rigole et me gratifie d'un dernier coup de langue.
A peine avons-nous enfilé nos maillots que le portail s'ouvre.