C et la piscine (1)
Récit érotique écrit par geniez19 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 15 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de geniez19 ont reçu un total de 36 588 visites.
Cette histoire de sexe a été affichée 2 232 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
C et la piscine (1)
Depuis quelque temps, nous connaissons une vague de chaleur sur le département.
Genre de conditions qui font que je suis bien heureux de posséder une piscine, si modeste soit-elle.
C'est d'ailleurs à cause de cette météo que C. m'appelle. Sans détour, elle me demande si A., son mari, le gamin et elle-même peuvent venir tremper. Même si j'aurais préféré qu'elle soit seule, je ne peux pas refuser (au moins pour le coup d'œil sur ses formes, même si je les connais pour en avoir déjà profité).
Moins de 10 minutes plus tard, je la vois arriver… seule.
Tout de go, elle me dit qu'ils la gavent, le gamin ne voulant plus venir et le père ne sachant pas s'imposer.
— Plus que marre de devoir me sacrifier au bon vouloir de chacun. Je leur ai dit qu'ils me fatiguaient et que je partais prendre l'air. Par cette chaleur, c'est un comble.
Je ris et reconnais bien là son fichu caractère,
— Et encore, ils ont de la chance, j'ai laissé l'auto. Même si je ne me voyais pas monter dedans par cette chaleur.
— Ça ne te dérange pas que je me sois permise d'appeler ?
— Si ça avait été le cas, je ne t'aurais pas dit ok,
— En tout cas merci, à moi au moins, ça fera du bien.
Tout en discutant, elle quitte ses vêtements et apparait dans un maillot 2 pièces. Si le bas est classique, concernant le haut, j'ai l'impression, juste quand elle marche, que ses seins vont s'évader.
— C'est fou comme ton coin est bien dissimulé. Avant de venir chez toi, je ne savais même pas que tu avais un bassin.
— Tu te doutes bien que ce n'est pas moi qui vais montrer les choses. En plus, cette discrétion offre une tranquillité absolue.
— Une tranquillité et une discrétion visuelle, ça, c'est sûr. Après, pour le bruit, ça dépend de qui se baigne, je présume.
Je suis déjà dedans, quand C. enjambe les margelles et me rejoint.
Comme toutes les femmes (ou presque), elle émet un petit son aigu en rentrant dans l'eau.
Je souris et lui réponds que la discrétion, comme en toute circonstance, dépend des personnes.
— Pourquoi j'ai crié fort, demande-t-elle ?
— Ah non pas du tout, on a connu pire.
Ça, je ne veux même pas savoir.
— Mais je n'ai rien dit non plus.
— J'ai cru comprendre quelques allusions. En plus, un tel lieu ne peut qu'appeler aux plaisirs, suivant les circonstances.
— C'est vrai que c'est un terrain de jeu aux multiples facettes…
— Tu vois que j'avais bien compris tes propos.
— Je voulais dire : jeu de ballon, matelas pneumatique, pistolet à eau, etc.
— Mais c'est exactement ce que j'avais compris, dit-elle avec un sourire espiègle,
Alors qu'elle se lance pour nager, je la vois se rattraper et se redresser,
— Ce maillot me fait c… Il est trop petit ou mes seins trop gros mais ça me gave. Ça te gêne si j'enlève le haut ?
— UNE question stupide, une réponse bête. Regarde, il y a longtemps que je n'en mets plus. Après, à toi de voir si A et le gamin arrivent.
— Concernant A., il n'avait qu'à venir. Et pour le gamin, j'ai laissé l'auto exprès, sachant qu'ils viendront avec.
— Calcul judicieux qui me laisse penser que l'après-midi pourrait être très agréable.
Tout en s'approchant, elle quitte son haut et vient se coller à moi.
— Tes seins me rendent fou. Voir tes tétons dressés comme ça, me donne envie de les croquer.
— Tu sais que si tu les croques, je risque de ne plus contrôler la situation.
— Pour être franc, j'espère bien.
Aussi vite je les saisis et m'amuse à les faire rouler entre mes doigts,
— Je risque de ne pas savoir rester discrète et de trahir la quiétude du lieu si tu continues. Même si je pense que ce ne sera pas une première.
— Tu m'incites à vouloir entendre ce dont tu es capable en vocalises.
— Tu risques d'être encore plus surpris que ce que tu as déjà entendu. Il faudra que tu me dévores la bouche pour me faire taire.
J'exerce alors une pression encore plus forte et vois C. se trémousser et me regarder de son regard coquin et provocateur.
Je me jette sur sa bouche, l'embrasse goulûment, continue ma torture sur un sein. Ma seconde main se dirige vers son bas-ventre et sans autre formalité, deux doigts la pénètrent.
L'effet de surprise est tel qu'elle se projette sur ma main et c'est elle qui maintenant me dévore la bouche.
Le jeu ne dure que quelques instants et elle recule puis, chancelante, s'appuie contre le bord.
— Je ne devais pas ?
— Bien sûr que si. Ma jouissance a été tellement rapide et instantanée que je n'ai même pas eu le temps de gémir. C'est mieux parce que je pense que j'aurais crié comme une folle. Je ne t'ai pas mordu au moins ?
— Je dois t'avouer que tes seins à l'air, sans aucune pudeur et à ma pleine disposition, m'ont guidé vers cette envie quasi bestiale de t'avoir pour moi seul, sans que rien n'existe autour.
— Tu peux dire que c'est réussi et j'ai pris un pied exceptionnel, tant par la rapidité que par l'intensité. L'après-midi risque d'être torride et pas que par la météo. J'espère que mes rabat-joie ne vont pas arriver. Ou au moins pas tout de suite.
Je propose à C. de boire un coup, ce qu'elle accepte.
— Je dois remettre mon maillot ou je peux sortir sans être vue en faisant attention ?
Alors qu'elle se hisse hors du bassin, je l'aide en la soulevant par les hanches, au niveau du bas de son maillot. J'en profite pour le crocheter et le faire glisser le long de ses jambes.
— Non, non, seulement tu peux, mais tu vas et dois sortir sans la totalité de ton maillot.
— On ne va pas me voir, tu es sûr ? me demande-t-elle en se retournant pour s'asseoir.
— De toute façon, ceux qui t'ont vu arriver ici, seule, ont déjà tiré des plans sur la comète et ils t'ont imaginée dans des situations et peut-être des positions impensables.
— T'es chié de me dire ça.
— Tu le savais en arrivant et c'est peut-être même ce qui t'a fait décoller aussi vite. La réalisation d'un fantasme inavoué, le goût d'un interdit encore plus fort que les précédents.
— C'est vrai que j'espérais bien que l'on se retrouve tous les deux.
— La garce aux seins provocateurs pourrait peut-être bien regretter sa venue…
— Impossible. Juste ce que je viens de vivre me fait dire que j'ai bien fait de provoquer le destin.
Elle se tend vers moi et nous échangeons un baiser pendant que ma main lui écarte les cuisses et fait une place à ma tête vers son sexe parfaitement entretenu, orné d'un tatouage discret qui représente une plume.
— Pourquoi une plume ? C'est pour le plaisir qu'elle peut procurer ou parce que ceux qui ont la chance de la voir auront écrit une partie de ton histoire ? Là, je suis un peu présomptueux, peut-être,
— Je n'avais pas pensé à ça mais c'est très mignon. Et non, ce n'est pas présomptueux.
Elle toujours assise sur le bord de la piscine et moi dans l'eau, nous sommes juste bien, même si nous n'avons toujours pas été boire. Ses doigts jouent avec mes cheveux et j'ai l'impression d'une légère pression afin de guider mon visage encore plus près de son antre.
— Madame aurait-elle envie que je lui dévore son minou ?
— Madame a effectivement très envie que ta langue vienne lécher son fruit, que ta bouche aspire son bouton et que tes doigts la fouillent ou torturent mes tétons comme ils savent le faire.
— Demandé si gentiment, je ne peux pas refuser…
C'est tout naturellement qu'une de mes mains repart à la rencontre de ses seins.
— J'adore voir tes tétons se dresser. Ils me provoquent et me donnent envie de les mordre en permanence. Je pense qu'un piercing les mettrait encore plus en valeur pour qui saurait le voir. Et à toi, il serait un révélateur de plaisir en permanence par l'érection provoquée au contact du sein avec le tissu.
— Je ne veux même pas imaginer la chose. Je serais en transe en permanence par le frottement et à imaginer ce que pourrait susciter comme envie mes tétons en érection.
— Bref, en gros, un rôle de parfaite garce.
— C'est un peu ça. J'en connais au moins un qui ne serait pas contre. Je me trompe ?
— Absolument pas !
J'amène les fesses de C. tout au bord de la margelle, avance ma 2ᵉ main vers sa poitrine et porte ma bouche sur sa chatte.
C. se tend vers l'arrière et prend alors appui sur ses mains. Une position dans laquelle elle profite des bienfaits du soleil comme des caresses sur son corps. Très vite des petits gémissements sortent de sa bouche et ses tétons reprennent forme.
— C'est le soleil ou tu es en manque de cul ?
— Le soleil et une partie de baise avec toi font un tout. Avec toi, je me débride totalement sans avoir à craindre que les enfants m'entendent ou qu'A. me juge.
— Pourtant il a bien appris à se lâcher aussi, non ?
— Oui mais toi tu es l'amant, loin du quotidien, ma bouée de délires, ma fuite vers l'interdit. Pour preuve, rien que là, je sens un orgasme qui va me foudroyer.
— Déjà ?
— T'es marrant toi. Tu vois ce que tu me fais. Tout mon corps est sollicité.
C sort alors ses jambes de l'eau, les écarte et ramène ses pieds au niveau des ses cuisses. Elle les maintient avec ses mains, m'offrant ainsi une vue formidable sur son compas grand ouvert.
J'abandonne un sein et ma main libre descend le long de son corps. Après avoir humidifié mes doigts dans son sexe, je les dirige vers son anus tout en soutenant son regard. Une fois en place, je dessine de petits cercles et la pénètre très légèrement avant de ressortir et recommencer.
— Maintenant oui, tout ton corps est motivé.
C. quitte sa position, attrape ma main alors que mon doigt entre dans son antre.
— Oh putain, t'arrêtes pas ! Pince-moi, vas-y, suce-moi, croque-moi, je jouis.
C. part dans une fulgurance de plaisir . Son corps se tend avant de lâcher un jet impressionnant de cyprine, que je me dois d'avaler. Elle rugit, gingue et rentre dans une sorte de danse incapable de contrôler son corps.
La voir ainsi réagir me stimule encore plus et je mordille son clito, mes doigts jouant toujours avec chacun de ses trous.
Elle semble ne rien pouvoir ou vouloir contrôler quand une sonnerie retentit...
Genre de conditions qui font que je suis bien heureux de posséder une piscine, si modeste soit-elle.
C'est d'ailleurs à cause de cette météo que C. m'appelle. Sans détour, elle me demande si A., son mari, le gamin et elle-même peuvent venir tremper. Même si j'aurais préféré qu'elle soit seule, je ne peux pas refuser (au moins pour le coup d'œil sur ses formes, même si je les connais pour en avoir déjà profité).
Moins de 10 minutes plus tard, je la vois arriver… seule.
Tout de go, elle me dit qu'ils la gavent, le gamin ne voulant plus venir et le père ne sachant pas s'imposer.
— Plus que marre de devoir me sacrifier au bon vouloir de chacun. Je leur ai dit qu'ils me fatiguaient et que je partais prendre l'air. Par cette chaleur, c'est un comble.
Je ris et reconnais bien là son fichu caractère,
— Et encore, ils ont de la chance, j'ai laissé l'auto. Même si je ne me voyais pas monter dedans par cette chaleur.
— Ça ne te dérange pas que je me sois permise d'appeler ?
— Si ça avait été le cas, je ne t'aurais pas dit ok,
— En tout cas merci, à moi au moins, ça fera du bien.
Tout en discutant, elle quitte ses vêtements et apparait dans un maillot 2 pièces. Si le bas est classique, concernant le haut, j'ai l'impression, juste quand elle marche, que ses seins vont s'évader.
— C'est fou comme ton coin est bien dissimulé. Avant de venir chez toi, je ne savais même pas que tu avais un bassin.
— Tu te doutes bien que ce n'est pas moi qui vais montrer les choses. En plus, cette discrétion offre une tranquillité absolue.
— Une tranquillité et une discrétion visuelle, ça, c'est sûr. Après, pour le bruit, ça dépend de qui se baigne, je présume.
Je suis déjà dedans, quand C. enjambe les margelles et me rejoint.
Comme toutes les femmes (ou presque), elle émet un petit son aigu en rentrant dans l'eau.
Je souris et lui réponds que la discrétion, comme en toute circonstance, dépend des personnes.
— Pourquoi j'ai crié fort, demande-t-elle ?
— Ah non pas du tout, on a connu pire.
Ça, je ne veux même pas savoir.
— Mais je n'ai rien dit non plus.
— J'ai cru comprendre quelques allusions. En plus, un tel lieu ne peut qu'appeler aux plaisirs, suivant les circonstances.
— C'est vrai que c'est un terrain de jeu aux multiples facettes…
— Tu vois que j'avais bien compris tes propos.
— Je voulais dire : jeu de ballon, matelas pneumatique, pistolet à eau, etc.
— Mais c'est exactement ce que j'avais compris, dit-elle avec un sourire espiègle,
Alors qu'elle se lance pour nager, je la vois se rattraper et se redresser,
— Ce maillot me fait c… Il est trop petit ou mes seins trop gros mais ça me gave. Ça te gêne si j'enlève le haut ?
— UNE question stupide, une réponse bête. Regarde, il y a longtemps que je n'en mets plus. Après, à toi de voir si A et le gamin arrivent.
— Concernant A., il n'avait qu'à venir. Et pour le gamin, j'ai laissé l'auto exprès, sachant qu'ils viendront avec.
— Calcul judicieux qui me laisse penser que l'après-midi pourrait être très agréable.
Tout en s'approchant, elle quitte son haut et vient se coller à moi.
— Tes seins me rendent fou. Voir tes tétons dressés comme ça, me donne envie de les croquer.
— Tu sais que si tu les croques, je risque de ne plus contrôler la situation.
— Pour être franc, j'espère bien.
Aussi vite je les saisis et m'amuse à les faire rouler entre mes doigts,
— Je risque de ne pas savoir rester discrète et de trahir la quiétude du lieu si tu continues. Même si je pense que ce ne sera pas une première.
— Tu m'incites à vouloir entendre ce dont tu es capable en vocalises.
— Tu risques d'être encore plus surpris que ce que tu as déjà entendu. Il faudra que tu me dévores la bouche pour me faire taire.
J'exerce alors une pression encore plus forte et vois C. se trémousser et me regarder de son regard coquin et provocateur.
Je me jette sur sa bouche, l'embrasse goulûment, continue ma torture sur un sein. Ma seconde main se dirige vers son bas-ventre et sans autre formalité, deux doigts la pénètrent.
L'effet de surprise est tel qu'elle se projette sur ma main et c'est elle qui maintenant me dévore la bouche.
Le jeu ne dure que quelques instants et elle recule puis, chancelante, s'appuie contre le bord.
— Je ne devais pas ?
— Bien sûr que si. Ma jouissance a été tellement rapide et instantanée que je n'ai même pas eu le temps de gémir. C'est mieux parce que je pense que j'aurais crié comme une folle. Je ne t'ai pas mordu au moins ?
— Je dois t'avouer que tes seins à l'air, sans aucune pudeur et à ma pleine disposition, m'ont guidé vers cette envie quasi bestiale de t'avoir pour moi seul, sans que rien n'existe autour.
— Tu peux dire que c'est réussi et j'ai pris un pied exceptionnel, tant par la rapidité que par l'intensité. L'après-midi risque d'être torride et pas que par la météo. J'espère que mes rabat-joie ne vont pas arriver. Ou au moins pas tout de suite.
Je propose à C. de boire un coup, ce qu'elle accepte.
— Je dois remettre mon maillot ou je peux sortir sans être vue en faisant attention ?
Alors qu'elle se hisse hors du bassin, je l'aide en la soulevant par les hanches, au niveau du bas de son maillot. J'en profite pour le crocheter et le faire glisser le long de ses jambes.
— Non, non, seulement tu peux, mais tu vas et dois sortir sans la totalité de ton maillot.
— On ne va pas me voir, tu es sûr ? me demande-t-elle en se retournant pour s'asseoir.
— De toute façon, ceux qui t'ont vu arriver ici, seule, ont déjà tiré des plans sur la comète et ils t'ont imaginée dans des situations et peut-être des positions impensables.
— T'es chié de me dire ça.
— Tu le savais en arrivant et c'est peut-être même ce qui t'a fait décoller aussi vite. La réalisation d'un fantasme inavoué, le goût d'un interdit encore plus fort que les précédents.
— C'est vrai que j'espérais bien que l'on se retrouve tous les deux.
— La garce aux seins provocateurs pourrait peut-être bien regretter sa venue…
— Impossible. Juste ce que je viens de vivre me fait dire que j'ai bien fait de provoquer le destin.
Elle se tend vers moi et nous échangeons un baiser pendant que ma main lui écarte les cuisses et fait une place à ma tête vers son sexe parfaitement entretenu, orné d'un tatouage discret qui représente une plume.
— Pourquoi une plume ? C'est pour le plaisir qu'elle peut procurer ou parce que ceux qui ont la chance de la voir auront écrit une partie de ton histoire ? Là, je suis un peu présomptueux, peut-être,
— Je n'avais pas pensé à ça mais c'est très mignon. Et non, ce n'est pas présomptueux.
Elle toujours assise sur le bord de la piscine et moi dans l'eau, nous sommes juste bien, même si nous n'avons toujours pas été boire. Ses doigts jouent avec mes cheveux et j'ai l'impression d'une légère pression afin de guider mon visage encore plus près de son antre.
— Madame aurait-elle envie que je lui dévore son minou ?
— Madame a effectivement très envie que ta langue vienne lécher son fruit, que ta bouche aspire son bouton et que tes doigts la fouillent ou torturent mes tétons comme ils savent le faire.
— Demandé si gentiment, je ne peux pas refuser…
C'est tout naturellement qu'une de mes mains repart à la rencontre de ses seins.
— J'adore voir tes tétons se dresser. Ils me provoquent et me donnent envie de les mordre en permanence. Je pense qu'un piercing les mettrait encore plus en valeur pour qui saurait le voir. Et à toi, il serait un révélateur de plaisir en permanence par l'érection provoquée au contact du sein avec le tissu.
— Je ne veux même pas imaginer la chose. Je serais en transe en permanence par le frottement et à imaginer ce que pourrait susciter comme envie mes tétons en érection.
— Bref, en gros, un rôle de parfaite garce.
— C'est un peu ça. J'en connais au moins un qui ne serait pas contre. Je me trompe ?
— Absolument pas !
J'amène les fesses de C. tout au bord de la margelle, avance ma 2ᵉ main vers sa poitrine et porte ma bouche sur sa chatte.
C. se tend vers l'arrière et prend alors appui sur ses mains. Une position dans laquelle elle profite des bienfaits du soleil comme des caresses sur son corps. Très vite des petits gémissements sortent de sa bouche et ses tétons reprennent forme.
— C'est le soleil ou tu es en manque de cul ?
— Le soleil et une partie de baise avec toi font un tout. Avec toi, je me débride totalement sans avoir à craindre que les enfants m'entendent ou qu'A. me juge.
— Pourtant il a bien appris à se lâcher aussi, non ?
— Oui mais toi tu es l'amant, loin du quotidien, ma bouée de délires, ma fuite vers l'interdit. Pour preuve, rien que là, je sens un orgasme qui va me foudroyer.
— Déjà ?
— T'es marrant toi. Tu vois ce que tu me fais. Tout mon corps est sollicité.
C sort alors ses jambes de l'eau, les écarte et ramène ses pieds au niveau des ses cuisses. Elle les maintient avec ses mains, m'offrant ainsi une vue formidable sur son compas grand ouvert.
J'abandonne un sein et ma main libre descend le long de son corps. Après avoir humidifié mes doigts dans son sexe, je les dirige vers son anus tout en soutenant son regard. Une fois en place, je dessine de petits cercles et la pénètre très légèrement avant de ressortir et recommencer.
— Maintenant oui, tout ton corps est motivé.
C. quitte sa position, attrape ma main alors que mon doigt entre dans son antre.
— Oh putain, t'arrêtes pas ! Pince-moi, vas-y, suce-moi, croque-moi, je jouis.
C. part dans une fulgurance de plaisir . Son corps se tend avant de lâcher un jet impressionnant de cyprine, que je me dois d'avaler. Elle rugit, gingue et rentre dans une sorte de danse incapable de contrôler son corps.
La voir ainsi réagir me stimule encore plus et je mordille son clito, mes doigts jouant toujours avec chacun de ses trous.
Elle semble ne rien pouvoir ou vouloir contrôler quand une sonnerie retentit...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par geniez19
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...
