Un grand merci (4) - histoire érotique

C. souhaite changer de lieu et de position.
Arn propose de nous poser sur la banquette (bien dans l’axe de la caméra, même si plus loin) mais elle lui dit alors que l’endroit est petit vu la tournure de la soirée.

-Ton homme veut peut être encore garder un souvenir de cette soirée.

-Désolée, mon chéri mais le lit offrira plus de possibilités.

Je propose à Arn que nous prenions nos portables pour filmer conjointement ou à tour de rôle.
C. me demande si je tiens tant que cela à garder un souvenir.

-Je ne suis pas obsédé par la prise d’images. C’est vous qui m’avez donné cette opportunité et te voir te faire démonter restera un très joli souvenir que je veux garder.

Je me lève, met une petite claque sur le cul de C. et nous prenons la direction des chambres.
Sans hésitation, C. ouvre la porte de leur chambre.
Elle s’assied sur le bord du lit. Je m’approche d’elle et d’autorité, je lui mets ma queue dans la bouche.
Arn juste à côté, son portable en main filme la scène.
Sans quitter ma queue, C. le regarde filmer, tend une main dans sa direction et le branle.

-Je suis quand même la seule à donner du plaisir. Je ne vous intéresse plus ?

Je prends ça comme un défi.

-Tu peux compter sur moi pour au moins, essayer de t’en donner du plaisir. Même de nouveaux peut être.

C. prend son homme par la main, le couche sur le lit et vient se placer tête bêche au-dessus de lui.
-Je veux t’avaler la queue pendant que tu te régales avec mon bouton et que P. me prends la chatte. Vous devrez aussi satisfaire mon petit trou. J’ai failli exploser de plaisir tout à l’heure.

-On a compris que tu étais très gourmande mais pour l’instant, je décide encore du plaisir que je prends et surtout de celui que je te donne.

-Là, ma chérie, je pense que ton amant à une idée derrière la tête et que tu vas peler.

-Je ne sais pas si ton homme t’a déjà offert ce que je vais te faire ou au moins tenter.

Je frotte ma main contre la chatte déjà bien mouillée et par la langue de son homme et par son fluide naturel.
Arn semble deviner où je veux en venir et n’hésite pas à me lécher les doigts. Il va même jusqu’à les sucer tout en continuant à se régaler du bouton et de la fente de sa belle.

Je me positionne à genoux sur le côté de C., lui caresse le dos par des vas et viens avec la main gauche. Ma main droite lui mets quelques fessées qui la font gémir et tendre ses fesses.
Arn sourit en me regardant et lui fait remarquer qu’elle aime ce traitement. Je lui propose de prendre le relais, ce qu’il s’empresse de faire.

Ses coups sont plus appuyés que les miens ce dont C. ne se plaint pas.
Ma main droite commence alors à jouer avec sa chatte. Sans aucun ultimatum, je lui glisse 4 doigts à l’intérieur, jusqu’à la jointure du pouce. Ce dernier lui est occupé à jouer avec la rondelle, sans chercher à la pénétrer.

-Oh la vache, là, c’est la totale que vous me faites. Une bouche qui me tête le clito et une main qui joue avec mes 2 trous c’est le bonheur absolu.

-Non pas encore. Il y a toujours plus fort.

Je sors mes doigts bien lubrifiés, introduit mon pouce qui à son tour, ressort trempé.
C. manifeste sa déception de ne plus être occupée à fond.

-Ton impatience fait plaisir et je vais y répondre tout de suite…

Je réintroduis les 4 doigts et après quelques allées et venues, je joins mon pouce à ce mouvement.
Tout à son plaisir, C. arrête de sucer son homme, cambre son fessier, pose sa tête sur le lit.

-Là c’est trop. Trop de doigts mais trop bon en même temps.

-A toi de voir, tu préfères moins de doigts donc moins de plaisir ?

-Non, surtout pas. Ne change rien.

Arn a cessé de la lécher pour profiter à fond du spectacle sans changer de place.
C. a plus de liberté pour bouger son cul et ne s’en prive pas, venant régulièrement chercher une pénétration plus profonde par un mouvement global de son corps.

J’accentue alors sa danse par ma main libre puis l’immobilise dans la position où ma pénétration est maximale.

-C’est maintenant que tu vas connaitre ton plaisir absolu.

Je n’ai pas grand effort à faire et après quelques allers et retours bien appuyés, ma main disparait dans la chatte de C.
Celle-ci se cambre alors encore plus et viens chercher ma main avec la sienne pour se pénétrer encore plus profondément.

Pour C., des feulements de plaisir font comprendre que le plaisir est bien là.

Arn, toujours aux 1ères loges par sa position se branle frénétiquement.

Moi, je fesse allégrement C. d’une main, et la pénètre de l’autre. Le trip absolu que de bouger librement les doigts dans cette grotte. Ces gestes ont l’avantage de sensibiliser chacun des recoins intérieurs de C.

C’est alors que, soudain, C. vibre de tout son corps, ses feulements deviennent cris (voir hurlements) de plaisir et elle éjecte un long et puissant jet de cyprine.
Arn, lui, augmente sa cadence sur sa tige et ouvre grand la bouche pour avaler tout ce qu’il peut de la mouille de sa femme.

Les deux sont dans un état second, liés au plaisir.

Je profite alors de ce moment de plénitude pour approcher ma queue pleine de désir de la bouche d’Arn.

Le kif est général…
C’est en me fixant dans les yeux qu’il fait les derniers centimètres avec sa bouche, m’avale, et jouit dans un long râle.
C. elle qui observe tout ça, repart dans un nouveau jet, inondant le visage de son suceur de mari.
Tout en la fessant encore et toujours, sentant le plaisir ultime venir, je prends la tête d’Arn, l’immobilise, et éjacule dans sa bouche. Suivant bien la scène, C. demande à son homme de lui garder du sperm, car dit-elle, elle veut avaler sa dose.

Après quelques instants de béatitude, C. se laisse glisser vers la bouche de son homme. Ce dernier, obéissant (comme toujours ?), lui offre un baiser lent et baveux.

Et pendant tout ce temps, mon portable était posé sur la table de chevet …

-Merci de m’avoir laissée vivre ça, dit alors C.à son homme.
-Merci à toi de m’avoir fait connaitre ces plaisirs lui répond Arn.

Merci à vous pour ce fabuleux déménagement…

PS
Aux esprits chagrins, le déménagement et la suite des événements ont bien eu lieu... (et ont permis à ce couple de se découvrir, à priori)