Un déménagement épuisant

- Par l'auteur HDS geniez19 -
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Récit libertin : Un déménagement épuisant Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un déménagement épuisant
Depuis quelques temps déjà, C. et moi nous rencontrons régulièrement.

Plus jeune que moi (elle a 37 ans), C’est une maman de 2 enfants (dont une fille d’une 1ère union) qui est en union libre avec A, jeune homme de 32 ans, timide et pas vraiment mâle. Elle occupe des fonctions d’un certain niveau au sein de la mairie.

Au départ, c’est à l’occasion d’élections que nous échangeons pour la 1ère fois. Elle me demande de bien vouloir être assesseur lors du dépouillement, ce que j’accepte.

Quelques jours plus tard elle se présente à ma porte avec une bonne bouteille afin de me remercier. Je lui dis qu’il n’y avait pas lieu, la remercie et l’invite à entrer. Je lui propose de la boire ensemble. Elle hésite…puis décline mon offre me disant ne pas avoir beaucoup de temps devant elle.

Depuis, nous échangeons alors régulièrement par Sms et un autre soir d’élection, ayant compris mon intérêt pour la chose public, elle me demande si elle peut venir suivre la soirée électorale chez moi, mari et enfants étant partis au cinéma.

J’accepte et nous passons alors la soirée à disserter ensemble sur les résultats. Au fil du temps notre relation s’établit mais sans rien de probant, si ce ne sont quelques petits pics et remarques taquines.

Ainsi alors qu’un jour je la charrie sur l’embauche d’un jeune secrétaire, elle me dit qu’il n’est pas son type d’homme, qu’elle a déjà un jeune pour la servir à la maison et qu’aujourd’hui, elle se tournerait plutôt vers un homme mûr. (tiens, tiens…).

C. sort de mon environnement et quelques semaines plus tard, elle me contacte pour avoir un renseignement. Nous échangeons sur tout et rien elle me dit alors devoir déménager sa mère dans quelques jours, et que cela risque d’être galère vu le peu de personnes qu’ils sont.

Je lui propose mon aide qu’elle s’empresse d’accepter, me promettant de me dédommager. Je lui dis, le faire de grand cœur et que lui rendre service ne me coûte rien.

Le jour venu, d’humeur rieuse, je mets un Sms comme quoi je suis coincé du dos et ne peux
pas venir. Puis dément derrière.
5mn après elle arrive chez moi et s’effondre dans mes bras me disant lui avoir fait une sacrée peur…
Je lui dis être désolé mais que je trouvais ça drôle.

« Ça aurait pu être vrai par un faux mouvement ou une nuit agitée » dit-elle, ayant retrouvée le sourire.
« Va savoir, tout est possible de nos jours »
« T’es trop con, la peur que j’ai eu. Mais ça se paiera ».
« Même pas peur »
« Tu pourrais bien le regretter. »
Quoi ? Ma farce ou ces mots ? »
« Peut-être les 2 »

Nous nous rendons sur les lieux et entamons la valse des cartons. J’ai le sentiment que chaque passage scelle notre complicité et que nos échanges de regards sont plein de complicité.

Alors que j’ai les mains chargées, C. en me croisant feint de porter les mains vers moi avec ces mots :
« Là je pourrais avoir une partie de ma revanche ».

Je souris et lui dis que je sais ne rien risquer tant elle est sage et a l’esprit occupé.
Le tout est de savoir par quoi mon esprit est occupé et pour ce qui est de la sagesse…, tu verras que pas forcément, réplique-t-elle.

Sa réponse m’étonne. Au cours de la matinée alors que je suis occupé à dépendre un élément de cuisine, C. passe dans mon dos et profitant que mon maillot est relevé dans le bas du dos, elle vient me pincer gentiment.

Qui c’est le chef, sur ce coup-là ? demande-t-elle.
« Avec des garceries comme ça, ta mère pourrait bien avoir à vivre dans des cartons ou à racheter des meubles. .»
« Ca c’est son problème, moi je me serai fait plaisir. »
« Tu m’accorderas juste le droit de chercher à me venger avec les mêmes moyens que toi. »
« Tu n’y arriveras pas, tant je vais être vigilante ».

Les allés et retours se font sans qu’aucune occasion ne se présente et cela me doit même un petit rire narquois.
C’est en passant derrière alors qu’elle est penchée pour ramasser des papiers que je remarque qu’elle a quitté son pull et porte un tee-shirt. Mon idée de vengeance est trouvée. N’ayant pas hésité à être familière, je le serai aussi.

Elle a les bras chargés de carton, quand on se croise, elle, toujours avec ce petit rictus. Étant seuls dans le couloir je me retourne rapidement et d’un geste efficace, je décroche son soutien de gorge.
« Non pas ça, c’est trop dégeulasse »
« Rappelle toi, tu as voulu jouer… »
« C’est immonde, comment je fais maintenant »
« Ou tu lâches tes cartons, ou tu continues ton chemin en devant peut être expliquer la chose. Il te reste que quelques mètres à faire et tu pourras le raccrocher. A moins que tu ne préfères le quitter, du coup»
« Tant pis, on verra bien. »

Mon prochain chargement me conduit à la cave. J’y suis seul quand j’entends descendre.
C’est C. qui arrive et d’un ton rieur me dit :
« J’ai préféré l’ôter c’est plus simple.»
« Et encore plus joli pour ceux qui te croisent.»
« Charmant compliment. » me dit-elle.

Elle jette un coup d’œil derrière elle, et lève son tee-shirt.
Tu ne les trouve pas trop gros, trop lourds. A. les trouve à son goût mais j’ai toujours peur qu’il soit trop courtois ?
Trop gros, certainement pas et trop lourds je ne peux pas dire.
C me prend alors une main et la porte sur sa poitrine.

« Et comme ça, tu en dis quoi ? »
Qu’ils sont justes à mon goût et que je les croquerais avec passion…
Je tends alors mes lèvres vers cette poitrine si généreuse et commence à gober un téton, pendant que je m’occupe de l’autre avec mes doigts.
« T’es fou, si A. arrives, je fais quoi ? »
« Tu lui dis que tu as joué, et que tu as perdu. »
« Un peu court comme explication, tu crois pas.»
« Je ne sais pas, c’est ton homme, c’est toi qui le connais. Moi, je pense qu’il ne serait pas très surpris. Je le devine comme sous ta coupe. Je vous imagine bien, toi en dominante et lui aimant ça.

Tu lui imposerais un amant qu’il accepterait ça volontiers, je pense.»
« Le coup de l’amant, je ne sais pas, mais moi dominante, c’est parfaitement ça. »
«Et bien là, tu vas découvrir l’inverse. Pour commencer tu vas commencer par me branler entre tes seins. »

Je me cale dos au mur, face à l’escalier extérieur. C se baisse prend ses seins en main et glisse mon sexe entre. L’extase totale, tant sa poitrine est généreuse. Elle n’a commencé que depuis quelques instants quand je devine par une ombre voir quelqu’un descendre les escaliers. Je reste en position, ne dis rien et continues de profiter de cet instant.

Comme il l’est naturellement, A arrive discrètement et reste sans voix en voyant sa femme en train de me branler entre ses seins. Je le regarde en souriant et prend la tête de C entre les mains, afin de lui imposer une cadence plus soutenue. Celle-ci pousse un grognement de satisfaction et baisse même la tête pour avaler ma bite.

« Je vois assez bien ton homme regarder ce spectacle et se branler devant l’image qu’offre sa femme en bonne chienne. Je suis sûr que tu ne lui as jamais offert un tel plaisir avec tes seins. Par contre je l’imagine assez bien de bouffer la minette, la tête coincée entre tes jambes en face sitting. » C’est en regardant A dans les yeux (un peu reculé et dissimulé) que je parle à sa femme.

C veut répondre mais je l’empêche, la forçant toujours à avaler ma bite.
Arn. frotte son sexe à travers son pantalon mais n’ose pas se dévêtir pour se branler.

« Je suis persuadé qu’il se ferait un plaisir de faire quelques photos ou de filmer un coup pour te prouver qu’il t’a vu dans tes œuvres. Ce serait pour lui une façon de te dominer dans sa soumission. »
Ma branleuse dégage sa tête et dit être persuadée que jamais il n’oserait faire cela. Je l’invite à se taire et continuer sa besogne. Provoqué, A. sort son appareil et immortalise le moment. Au bout d’un moment, j’invite C. à se relever et lui dis qu’il faut qu’on retourne à nos cartons avant que les autres ne nous cherchent. C. me dit alors qu’elle est trempée et déçue de ne pas m’avoir fait jouir.
« On verra ça plus tard mais là, j’aimerais voir dans quel état est ta chatte.»

Je la relève, glisse ma main dans son jean et constate un taux d’humidité conséquent qui me fait sourire. Madame est délurée, cochonne et trempée. Tout un programme…
Son homme parti, je dis alors à C. que son homme est venu, nous a vu et a bien profité du spectacle.

C. rit et me dit que je suis con, qu’il aurait sûrement hurlé de désespoir en nous tombant dessus. J’invite alors C. à emprunter le téléphone de son homme pour voir si je mens. Elle commence à douter…
Le déménagement se poursuit et lorsqu’on se croise A. a un air tout penaud, comme si c’est lui qui était en faute.

Je profite d’un moment où nous sommes seuls les 2 pour lui demander si c’est la 1ère fois qu’il tombe sur sa femme en train de donner du plaisir à un autre. Il bafouille et cherche à prendre la poudre d’escampette. Je le retiens et lui dis qu’il a là, un magnifique moyen de pression sur C. pour obtenir ce qu’il veut.

Chaque fois que je vois C., je ne peux pas m’empêcher d’imaginer ma queue entre ses seins et dans sa bouche, surtout en devinant sa poitrine nue sous son léger maillot.
Nous faisons un 1er voyage et C. me propose de partir avec elle en voiture. Je décline et lui indique qu’il serait plus judicieux de ne prendre que le camion. A regret elle accepte et monte entre nous 2. C’est moi qui conduis.

Au cours de ce court voyage, Arn fait remarquer à sa femme qu’elle parait bien enjouée et il lui demande si c’est le fait de déménager sa mère et de l’éloigner un peu de chez eux.
C. ne voit évidemment rien venir et lui dit que c’est le fait que les choses soient faites qui la satisfait.

Le déchargement se passe normalement, si ce n’est la pluie qui se met de la partie et fait que nous finissons trempés. Discrètement, je dis alors à C. que la voir ainsi, avec son seul tee shirt lui collant à la peau me donne des envies.
-Tes seins collés à ce léger voile, ça me met une gaule du tonnerre. Tes tétons saillants sont juste un appel à les croquer.
-Comme j’aimerais que tu puisses le faire, là maintenant.
-On va se calmer pour le reste de la journée car je suis persuadé que ton soumis se doute de quelque chose et nous surveille…

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Superbe texte. Aimerais bien dialoguer avec vous. Merci de m'écrire.
anne



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