C'était un chaud bonhomme - histoire érotique

Après 17 ans de mariage, mes parents ont divorcé. 3 semaines plus tard mon papa était déjà en couple avec une autre femme avec laquelle le courant est passé tout de suite, d'ailleurs c'est toujours le cas et, régulièrement, nous allons ensemble faire du shopping.
Maman a mis plus longtemps avant de retrouver un compagnon, la séparation l'avait fort attristée.
Mon nouveau beau-père est une homme très bien, plus âgé qu'elle de 5 ans il ne fait pas son âge.
Famille recomposée veut également dire nouvelles belles-familles, c'est parfois difficile d'accepter ces nouvelles gens.
Comme j'habitais chez maman, c'est la famille de mon beau-père que je voyais le plus, ce sont des personnes charmantes, surtout le papa de mon beau-père. Pour vous parler de lui:(Georges) c'était (à l'époque) un homme veuf de 68 ans, un peu rondouillard mais plein de charme. Plein d'humour, souvent grivois dans ses propos, il mettait parfois maman mal à l'aise.
Bien que n'étant plus ce qu'on appelle "une jeune fille", je n'avais pas l'habitude de telles conversations, et surtout pas à la maison. J'en parlais parfois à ma meilleure amie, ça la faisait rire et elle s'étonnait de ma pudibonderie.
Un jour, sachant que Georges venait tous les mardis, mon amie me demanda si elle pouvait venir chez nous pour faire sa connaissance, ce que j'ai évidemment accepté.
Ce que je ne savais pas c'est que mon amie avait déjà "rencontré" des hommes beaucoup plus vieux qu'elle, que c'est grâce à ça qu'elle était toujours habillée de grandes marques.
Lorsqu'elle est arrivée Georges était déjà là et, sans aucune gêne, elle lui a fait la bise pour lui dire bonjour.
La tenue qu'elle portait était assez provocante et elle ne se gênait pas pour, à diverses reprises, laisser les pans de sa jupe remonter assez haut sur ses cuisses. De nombreuses fois je les ai aperçus, Georges et elle, se sourire de manière ambigüe. Les yeux de Georges se portaient souvent sur les jambes de mon amie, jambes que parfois elle écartait.
Lorsqu'elle s'en est allée, elle et moi avons discuté longtemps sur le pas de porte, elle m'a dit qu'elle ne comprenait pas pourquoi je n'allumais Georges, qu'il serait certainement un gentil "parrain" pour moi. C'est à ce moment-là qu'elle m'a révélé en avoir eu plusieurs.
Je lui ai dit qu'elle devait se tromper, que Georges n'était pas ce genre d'homme même si il aimait parler sexe.
- Et moi je suis certaine qu'il ne dirait pas non à pouvoir s'amuser avec toi, d'ailleurs si tu ne le fais pas je le draguerai.
Tout tournait assez vite dans ma tête, c'était vrai que je le trouvais séduisant mais il était fort âgé et que dirait maman si elle l'apprenait !
- Comme si il allait le dire à ta mère, réfléchis un peu !! Je te mets au défi de lui donner un baiser sur la bouche aujourd'hui, et aussi de le séduire en allant mettre une jupe plus courte. D'ailleurs on va prétexter que j'ai raté mon bus et que le prochain n'est que dans 3/4h.
Nous sommes rentrées et montées directement dans ma chambre où elle m'a choisi une jupe que j'ai mise aussitôt.
Mais au moment de redescendre au salon je faisais moins la fière, j'étais terriblement paniquée.
Me voyant, maman m'a dit: Tiens, tu t'es changée ? Je n'ai pas répondu et suis allée immédiatement m'asseoir sur le divan.
Mon amie a pris place sur une chaise presque face à moi. Georges était assis dans un fauteuil-club, mes jambes lui étaient offertes. Enfin, presque offertes, par réflexe j'avais tiré le tissu de ma jupe et en-dehors de mes genoux il ne pouvait voir grand-chose. C'est vrai qu'à ce moment-là Georges semblait plus attiré par mon amie que par moi, amie qui me faisait les gros yeux. Bien sûr que je comprenais pourquoi elle me regardait ainsi, mais il m'a fallu plusieurs minutes pour frenchir le pas. Et gauche comme je suis, lorsque j'ai remonté ma jupe mon geste brusque a fait que elle s'est presque retouvée à hauteur de mon ventre ! Comble de coïncidence, à cet instant Georges me regardait justement. Moi aussi je le regardais, j'ai vu ses yeux s'exorbiter avant de me lancer un drôle de sourire. J'ai redescendu un peu ma jupe, laissant malgré tout mes jambes fort dévoilées. Mon amie m'a fait un clin d'oeil complice, suivi aussitôt de mouvements des lèvres signifiant un baiser.
Fallait pas pousser, je n'allais quand même pas embrasser Georges sous les yeux de maman et Lionel (mon beau-père).
Je ne sais pas si il existe un bon Dieu et encore moins si c'est un coquin, mais maman est allée dans la cuisine et 2 minutes plus tard appela Lionel. Ne restait plus au salon que Georges, mon amie et moi. Georges avait les yeux rivés sur mes cuisses et ne disait rien.
Mon amie me dit alors: Tu sais ce que je t'ai dit tout à l'heure, c'est le moment de relever le défi.
Je voulais me lever, mais mes fesses restaient collées sur le divan. Finalement j'y suis arrivée, me suis dirigée vers Georges et ai déposé un petit baiser sur ses lèvres. Il en est resté pantois, mais lorsque j'ai repris place sur le divan il me regardait tout en passant sa langue sur ses lèvres.
Mon amie s'est approchée de lui et lui a parlé à l'oreille, ce n'est que plus tard que j'ai su ce qu'elle lui avait dit.
Lorsque tout le monde fut parti et que je fus dans ma chambre, j'ai repensé à ce qui venait de se passer et me suis caressée.
Bien sûr ça n'en est pas resté là, je vous raconterai prochainement comment Georges est devenu mon amant.