Relevé des calorimètres
Récit érotique écrit par Nymphomane69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2022 dans la catégorie Plus on est
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Relevé des calorimètres
C'était quelques mois après mon mariage avec Laurent, nous habitions un petit appartement sur les hauteurs de Liège.
Un jour, dans la boite aux lettres, il y avait eu un avis de passage pour le relevé des calorimètres précisant que ce serait le mardi suivant entre 08h et 12h.
Le jour dit, Laurent était parti au travail et moi j'avais totalement oublié le passage de cet ouvrier.
Il devait être aux alentours de 8h15' lorsque la sonnette a retentit. Pensant qu'il s'agissait de Laurent qui avait oublié quelque chose je suis allée ouvrir. Oups, il s'agissait de l'ouvrier !
Le souci était que j'étais à moitié nue, seulement vêtue de ma nuisette et la porte grande ouverte.
Trop tard pour faire marche arrière, je l'ai laissé entrer. Directement j'ai vu son regard se porter sur ma poitrine très visible vu le décolleté profond de ma tenue. Mais qu'importe, je ne suis pas pudique.
Après avoir fait le tour des radiateurs du living et de la cuisine, je l'ai accompagné dans la salle de bain puis la chambre. Je voyais bien qu'il était plus intéressé par moi que par son travail, ça m'émoustillait et je m'amusais à en exhiber le plus possible mine de rien.
Malheureusement, lorsqu'il eut terminé ses relevés, il s'en alla.
Arrivé près de la porte d'entrée il marqua un temps d'arrêt et j'ai cru qu'il allait me faire des avances.
Mais non, pas du tout, juste il me dit qu'il devrait revenir le lendemain avec son patron car le calorimètre de la salle de bain devait être changé.
A peine était-il parti que je suis allée m'allonger sur le lit et me suis donnée beaucoup de plaisir avec un de mes sextoys. J'avais du regret, maintenant qu'il était parti j'ai culpabilisé de ne pas l'avoir plus titillé.
Le lendemain je m'étais faite toute belle et sexy pour sa venue, même si je savais qu'il ne serait pas seul et que malheureusement il ne se passerait rien. Néanmoins j'avais envie d'une aventure avec lui, ce n'était pas un Apollon mais la situation du jour précédent m'avais mise en émoi. Je n'avais rien dit à Laurent, à cette époque-là je ne parlais pas trop de tout ça avec lui.
Petite jupe courte, crop-top, escarpins et... petit mot sur papier que j'escomptais lui remettre en douce avec mon numéro de portable ainsi qu'un bisou dessiné.
Ding dong, je suis allée ouvrir telle une furie. Effectivement mon "désir" n'était pas seul, un homme (son patron) l'accompagnait. Si mon "désir" paraissait avoir plus ou moins 20/25 ans, son patron devait bien être âgé d'au moins 60 ans.
Ils sont entrés et j'ai bien cru être gobée par le patron tellement il me déshabillait du regard.
- "Effectivement, dit-il en s'adressant à son ouvrier, mademoiselle est ravissante, je dirai même encore plus belle que ce que tu me l'avais décrite".
J'ai souri en le remerciant pour le compliment et les ai précédé jusqu'à la salle de bain.
Je les y ai laissés seuls et suis allée au salon. Moins d'une minute plus tard le patron est venu vers moi en me tendant (et tripotant) mon soutien-gorge de la veille que j'avais (pas intentionnellement) laissé trainer car je devais recoudre un point à une bretelle.
- "Je suppose que c'est à vous cette jolie chose, j'en suis même certain car il semble à votre taille".
J'ai tendu le bras et m'en suis saisie en admettant qu'effectivement il m'appartenait.
- "Vous portez toujours d'aussi joli dessous ? Même quand viennent des ouvriers ?" m'a-t-il demandé.
- "Je ne possède que des belles choses" ai-je répondu.
- "Je ne vous crois pas, en général les femmes ne mettent d'aussi belles lingeries que lorsqu'elles ont une idée derrière la tête".
- Quel abruti, il ne doit pas être gâté chez lui, me suis-je dit. -Mais je lui ai répondu du tac au tac, sans réfléchir: "Peut-être que j'en ai une, qu'est-ce que vous en savez".
Il a cru à une proposition de ma part, et cela en était une alors que je ne l'avais pas dit volontairement.
- "Vous portez le même genre de lingerie aujourd'hui ?".
- "Peut-être" ai-je répondu.
- "Je peux voir ?".
J'ai hésité un instant puis ai relevé mon crop-top.
Il a appelé son ouvrier et m'a demandé de rester ainsi. Le jeune gars est arrivé et est resté bouche-bée d'ainsi me voir.
- "Tu m'avais dit qu'elle ne portait pas de soutien-gorge quand tu es venu hier, c'est dommage qu'elle en ait un aujourd'hui".
L'ouvrier dit timidement: "Oui, c'est dommage".
Ils me regardaient tous les deux en silence, je commençais à me sentir idiote à tenir mon crop-top ainsi relevé.
J'ai lâché mon crop-top, qui est resté levé, et ai dégrafé mon SG afin de laisser ma poitrine nue.
- "Voilà, comme ça je suis presque comme hier et vous ne serez pas jaloux de monsieur" ai-je dit au patron.
Le vieux s'est approché de moi et a dirigé une main vers ma poitrine en disant: "Je peux ?".
Je n'ai rien répondu mais ai souri. Alors il a commencé à me caresser un sein tandis que son ouvrier regardait.
A suivre dans quelques jours,
Clélia
Un jour, dans la boite aux lettres, il y avait eu un avis de passage pour le relevé des calorimètres précisant que ce serait le mardi suivant entre 08h et 12h.
Le jour dit, Laurent était parti au travail et moi j'avais totalement oublié le passage de cet ouvrier.
Il devait être aux alentours de 8h15' lorsque la sonnette a retentit. Pensant qu'il s'agissait de Laurent qui avait oublié quelque chose je suis allée ouvrir. Oups, il s'agissait de l'ouvrier !
Le souci était que j'étais à moitié nue, seulement vêtue de ma nuisette et la porte grande ouverte.
Trop tard pour faire marche arrière, je l'ai laissé entrer. Directement j'ai vu son regard se porter sur ma poitrine très visible vu le décolleté profond de ma tenue. Mais qu'importe, je ne suis pas pudique.
Après avoir fait le tour des radiateurs du living et de la cuisine, je l'ai accompagné dans la salle de bain puis la chambre. Je voyais bien qu'il était plus intéressé par moi que par son travail, ça m'émoustillait et je m'amusais à en exhiber le plus possible mine de rien.
Malheureusement, lorsqu'il eut terminé ses relevés, il s'en alla.
Arrivé près de la porte d'entrée il marqua un temps d'arrêt et j'ai cru qu'il allait me faire des avances.
Mais non, pas du tout, juste il me dit qu'il devrait revenir le lendemain avec son patron car le calorimètre de la salle de bain devait être changé.
A peine était-il parti que je suis allée m'allonger sur le lit et me suis donnée beaucoup de plaisir avec un de mes sextoys. J'avais du regret, maintenant qu'il était parti j'ai culpabilisé de ne pas l'avoir plus titillé.
Le lendemain je m'étais faite toute belle et sexy pour sa venue, même si je savais qu'il ne serait pas seul et que malheureusement il ne se passerait rien. Néanmoins j'avais envie d'une aventure avec lui, ce n'était pas un Apollon mais la situation du jour précédent m'avais mise en émoi. Je n'avais rien dit à Laurent, à cette époque-là je ne parlais pas trop de tout ça avec lui.
Petite jupe courte, crop-top, escarpins et... petit mot sur papier que j'escomptais lui remettre en douce avec mon numéro de portable ainsi qu'un bisou dessiné.
Ding dong, je suis allée ouvrir telle une furie. Effectivement mon "désir" n'était pas seul, un homme (son patron) l'accompagnait. Si mon "désir" paraissait avoir plus ou moins 20/25 ans, son patron devait bien être âgé d'au moins 60 ans.
Ils sont entrés et j'ai bien cru être gobée par le patron tellement il me déshabillait du regard.
- "Effectivement, dit-il en s'adressant à son ouvrier, mademoiselle est ravissante, je dirai même encore plus belle que ce que tu me l'avais décrite".
J'ai souri en le remerciant pour le compliment et les ai précédé jusqu'à la salle de bain.
Je les y ai laissés seuls et suis allée au salon. Moins d'une minute plus tard le patron est venu vers moi en me tendant (et tripotant) mon soutien-gorge de la veille que j'avais (pas intentionnellement) laissé trainer car je devais recoudre un point à une bretelle.
- "Je suppose que c'est à vous cette jolie chose, j'en suis même certain car il semble à votre taille".
J'ai tendu le bras et m'en suis saisie en admettant qu'effectivement il m'appartenait.
- "Vous portez toujours d'aussi joli dessous ? Même quand viennent des ouvriers ?" m'a-t-il demandé.
- "Je ne possède que des belles choses" ai-je répondu.
- "Je ne vous crois pas, en général les femmes ne mettent d'aussi belles lingeries que lorsqu'elles ont une idée derrière la tête".
- Quel abruti, il ne doit pas être gâté chez lui, me suis-je dit. -Mais je lui ai répondu du tac au tac, sans réfléchir: "Peut-être que j'en ai une, qu'est-ce que vous en savez".
Il a cru à une proposition de ma part, et cela en était une alors que je ne l'avais pas dit volontairement.
- "Vous portez le même genre de lingerie aujourd'hui ?".
- "Peut-être" ai-je répondu.
- "Je peux voir ?".
J'ai hésité un instant puis ai relevé mon crop-top.
Il a appelé son ouvrier et m'a demandé de rester ainsi. Le jeune gars est arrivé et est resté bouche-bée d'ainsi me voir.
- "Tu m'avais dit qu'elle ne portait pas de soutien-gorge quand tu es venu hier, c'est dommage qu'elle en ait un aujourd'hui".
L'ouvrier dit timidement: "Oui, c'est dommage".
Ils me regardaient tous les deux en silence, je commençais à me sentir idiote à tenir mon crop-top ainsi relevé.
J'ai lâché mon crop-top, qui est resté levé, et ai dégrafé mon SG afin de laisser ma poitrine nue.
- "Voilà, comme ça je suis presque comme hier et vous ne serez pas jaloux de monsieur" ai-je dit au patron.
Le vieux s'est approché de moi et a dirigé une main vers ma poitrine en disant: "Je peux ?".
Je n'ai rien répondu mais ai souri. Alors il a commencé à me caresser un sein tandis que son ouvrier regardait.
A suivre dans quelques jours,
Clélia
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